Allez ! Je balance mon ressenti sur ce topic nécro.
Autant je suis capable d'être irrévérencieux parfois sur certaines morts (les dessins sur la mort de Gaspard Uliel dans Charlie Hebdo m'ont fait hurler de rire), autant la paresse de faire une phrase et de mettre un lien pour parler d'un décès, je le vois comme un crachat sur une tombe, un manque de respect pour la personne décédée qui ne mérite même pas qu'on lui consacre un peu de temps pour parler d'elle. Pareil avec vos réponses "RIP".
J'arrête là. J'ai dit ce que j'avais à dire.
Je connaissais déjà ton ressenti à ce sujet.
Effectivement parfois par "manque de temps" on reste assez évasif sur la nécro de tel ou tel artiste, mais aussi parfois parce qu'on a peu de choses à dire que n'importe qui ne saurait déjà.
Je vois aussi parfois passé la news du décès de certaines personnes sans forcément le mettre ici, principalement parce que je ne connaissais pas ou parce que je n'ai pas grand chose à en dire.
Donc même si tu juges ça parfois un peu limite, ce que je peux comprendre, c'est malgré tout une certaine forme de respect.
J'avais d'ailleurs tenté de faire un récapitulatif un peu détaillé en premier page de ce topic mais ça prend du temps
@( Z ) C'est vrai que j'aurais pu mettre un lien pour ceux qui ne connaissaient pas le bonhomme mais je me dis que si tel ou tel nom ne parle pas à certains, ce n'est pas nécessaire. Ce n'est en aucun cas par manque de respect.
Mais je peux comprendre ta réaction.
Iron Maiden, le premier CD de métal que j'aie écouté, en CM1. Pour tout vous, j'ai pas aimé tout de suite (j'ai reçu Dance of the Dead pour noël quelques années plus tard, celui là il a tourné !)
C'est drole car je me le suis repassé samedi dernier, Prowler, quel hit !
Allez ! Je balance mon ressenti sur ce topic nécro.
Autant je suis capable d'être irrévérencieux parfois sur certaines morts (les dessins sur la mort de Gaspard Uliel dans Charlie Hebdo m'ont fait hurler de rire), autant la paresse de faire une phrase et de mettre un lien pour parler d'un décès, je le vois comme un crachat sur une tombe, un manque de respect pour la personne décédée qui ne mérite même pas qu'on lui consacre un peu de temps pour parler d'elle. Pareil avec vos réponses "RIP".
J'arrête là. J'ai dit ce que j'avais à dire.
Faut être grave dans sa tête quand même pour voir dans un simple message un manque de respect et de rire à gorge déployée de la mort d'autres. A se demander qui est le plus respectueux...
Perso je comprend un peu @( Z ) , sans être aussi offusqué qu'elle.
Après je sais pas ce qui se cache derrière un "RIP", je suis pas dans vos têtes, je me permettrais pas de presumer d'un manque de respect. J'ai été a des enterrements ou j'étais quand même assez bouleversé, et pas beaucoup plus démonstratif qu'un " rip" au final.
Par contre, attaquer (Z) sournoisement en lui disant à demi-mot que c'est elle l'irrespectueuse, je trouve ça beaucoup plus violent que son post. En tout cas ça m'a davantage interpellé (sans ça j'aurais pas posté).
Les annonces de décès avec juste un simple nom sans aucune présentation de la personne avant (c'est qui, elle a fait quoi, pourquoi elle est célèbre), j'ai tiqué assez souvent. Aussi parce que pour la moitié d'entre eux j'ai pas la moindre petite idée de qui ils étaient (genre la jeune asiat de 38 ans page précédente, mais y'en a eu moults autres). J'ai également tilté devant "l'annonce" du décès de Paul Di'Anno par Kenji. Pas que ça me semble vraiment irrespectueux, mais... Pas si loin. Plutôt a-rrespectueux. Une absence de respect plus que l'inverse du respect (pas du mépris quoi). Ça coûte pas plus cher d'ecrire 2-3 lignes sur le bonhomme quoi.
Et, tout à fait personnellement (et z'avez le droit de vous en foutre, je comprendrais TOTALEMENT que vous vous en foutiez) j'ai horreur de cette formule du Rest in Peace. Je crois pas en l'âme immortelle, le mort il est mort et il s'en fout, c'est plutôt à la famille, à l'entourage voire aux fans
que je souhaite paix, reconfort et condoléances.
A chacun sa manière d'honorer les personnes disparues, par contre se marrer sur certains morts et ensuite critiquer ceux qui ne font pas d'éloges pompeuses pour d'autres, pour moi ça ne passe pas.
A chacun sa manière d'honorer les personnes disparues, par contre se marrer sur certains morts et ensuite critiquer ceux qui ne font pas d'éloges pompeuses pour d'autres, pour moi ça ne passe pas.
Rire de la mort ce n'est pas rire sur les morts
Mais bon chacun a sa vision et sa sensibilité sur le sujet.
L'objectif ici est de mettre en lumière des personnes décédés et pour lesquelles on estime qu'il peut être important d'en faire part.
On peut avoir envie de faire découvrir ces personnes, de parler d'anecdotes ou de dire ce qu'ils ou elles nous ont apporté.
Je pense qu'on a tous une façon d'exprimer notre respect ou non d'ailleurs (je ne crois pas avoir posté quoi que ce soit sur Delon par exemple) mais bien que cela puisse paraître maladroit parfois, il ne me semble pas qu'il y aie une quelconque mauvaise intention.
Franck Fritz 60ans ( décédé le 30 septembre )
je sait pas si c'est connu par ici , j'ai découvert l'émission américain's pickers sur la chaine history il y a quelques années , c'est une émissions sur une paire de pote d'enfance chineurs au US
23 saisons
Ah oui je suis tombé quelques fois sur cette émission, c'était à l'époque des trucs sur les achats de caves ou de containers non réclamés qui étaient vendus aux enchères.
Chers membres de Gamers Things le forum et admirateurs de l'incommensurable Quincy Jones,
C’est avec une tristesse infinie que nous nous réunissons aujourd’hui pour honorer la mémoire d’un homme dont le génie musical a traversé le temps et les frontières, laissant une empreinte impérissable dans nos cœurs. Comment résumer, en quelques mots, la vie de celui qui a su élever l’âme humaine à travers les notes, chaque accord vibrant avec l’histoire d’un monde qu’il a contribué à changer, un morceau après l’autre ?
Quincy Jones n’était pas seulement un producteur et compositeur. Il était un visionnaire, un bâtisseur de ponts entre les cultures, un homme capable de révéler la beauté cachée dans chaque rythme, dans chaque silence. Souvent, je me rappelle de ce moment légendaire lorsqu’il a tenu, pour la première fois, la partition du Thriller de Michael Jackson entre ses mains. Dans cette pièce enfumée de Los Angeles, sous la lumière tamisée, il avait ce sourire énigmatique qui présageait l’inoubliable. Un sourire qui disait : « Mon ami lincruste, ce que nous créons aujourd’hui ne sera jamais oublié. »
Son génie ne s’arrêtait pas là. On parle souvent des anecdotes du Quincy farceur, de ses répliques pleines d’humour qui désarmaient même les plus sceptiques. Une fois, lors d’un concert de charité organisé en pleine crise des années 1980, Quincy avait dû improviser une intervention pour calmer la foule impatiente. Il avait pris le micro et raconté comment, enfant, il utilisait des casseroles de sa mère pour créer des « symphonies » dans la cuisine familiale. Un rire général s’était propagé dans l’assistance, et, d’un geste, il avait réussi à harmoniser des cœurs et à préparer l’auditoire pour la magie musicale qui allait suivre.
Pour moi, un souvenir personnel revient sans cesse : celui d’un Quincy, assis au bord d’un quai de New York, le regard perdu sur les vagues de l’Hudson. Ce moment, où il s'était confié à moi, disant que c’était là qu’il puisait une grande partie de son inspiration. « Le son de l’eau, tu sais lincruste, c’est le blues de la nature », aurait-il murmuré. Cette phrase, comme toutes celles qu’il a partagées, contient une sagesse simple, universelle.
Quincy nous a quittés, et le vide qu’il laisse derrière lui est insondable, presque cruel. Il était l’étoile polaire de tant d’artistes, le guide lumineux d’une multitude de musiciens qui ont cherché à comprendre son secret, à saisir l’essence de son talent. Il y a toujours une anecdote, un souvenir lié à ses créations, ces musiques qui ont accompagné nos jours de joie, d’amour ou de tristesse. Mais aujourd’hui, c’est un autre sentiment qui s’impose : un profond regret.
Le regret de ne plus pouvoir entendre sa voix apaisante, celle qui résonnait si chaleureusement lors de ses interviews où il parlait de la musique comme d’un remède aux souffrances du monde. Le regret de ne plus pouvoir assister aux surprises qu’il aimait encore nous offrir, lui qui, jusqu’au bout, restait convaincu que le meilleur de son œuvre était toujours à venir. Nous ne verrons plus ce regard rieur, cette lumière dans ses yeux lorsqu’un nouveau projet musical s’animait dans son esprit.
Je me rappelle cette fois où Quincy, malgré ses années, s’était levé pour danser sur une chanson de Stevie Wonder lors d’une soirée privée où on se défonçait sur Playerunknown's Battlegrounds. Les rires éclataient, mais c’était un rire doux, empli de respect pour cet homme qui avait tant donné, tant partagé. Aujourd’hui, ce souvenir s’entoure de mélancolie, car son absence est une douleur dont nous ne savons pas comment guérir.
Il est si dur d’accepter que nous ne l’entendrons plus parler de son amour pour le jazz, de cette époque où il arpentait les clubs de Chicago avec son ami de toujours, Ray Charles. Ses histoires étaient des trésors, des perles de sagesse, et chaque anecdote portait en elle une leçon de vie. Quincy savait mieux que quiconque que la musique n’était pas qu’un art, mais une forme de guérison, un espace sacré de communion entre les âmes.
Que ferons-nous désormais sans cet éternel optimiste, cet homme dont la passion ne s’est jamais tarie, même quand le monde changeait autour de lui ? Nous pleurons, ensemble, sa perte, et nous nous accrochons à ses compositions, comme à une ancre dans la tempête. Ce qui nous reste de Quincy, c’est sa musique — et ce regret infini qu’il ne puisse plus voir les étoiles qu’il a contribué à faire briller.
Vous ne le connaissiez certainement pas sauf si vous vous êtes déja balader à Limoges. On ne pouvait pas le rater, tout le temps sur son vélo, grand pédalier, petit pignon, la force tranquille...
J'ai habité Limoges de 94 à 2000, je le voyais plusieurs fois par semaine.
Vous ne le connaissiez certainement pas sauf si vous vous êtes déja balader à Limoges. On ne pouvait pas le rater, tout le temps sur son vélo, grand pédalier, petit pignon, la force tranquille...
J'ai habité Limoges de 94 à 2000, je le voyais plusieurs fois par semaine.
Dans un premier temps, l’automobiliste qui a renversé le cycliste par l’arrière, le laissant sur le bas-côté de la départementale, a pris la fuite, déclenchant alors un appel à témoins des gendarmes. Mais le chauffard s’est finalement rendu de lui-même à la gendarmerie. Selon les médias locaux, il a reconnu être l’auteur de l’accident et a été placé en garde à vue.
Condoléances à la famille. Perso je connaissais pas du tout.
Je grimace toujours devant ce genre de fait divers. Un seul mort, mais deux vies brisées. Au moins. Si je compte pas les familles respectives de la victime et de l'auteur de l'accident.
Maïté, célèbre pour avoir longtemps été présentatrice d'une émission de cuisine, et pour sa présentation souvent rigolote de la cuisine du sud-Ouest. Un personnage devenu culte quand on était jeune, est décédée la nuit dernière.
Maïté, célèbre pour avoir longtemps été présentatrice d'une émission de cuisine, et pour sa présentation souvent rigolote de la cuisine du sud-Ouest. Un personnage devenu culte quand on était jeune, est décédée la nuit dernière.
Comme quoi, le beurre et la gnole c’est pas si nocif après tout
Les populations de lièvres et d’anguilles doivent être en liesse !
Elle a rejoint Micheline, rip Maïté