Vos dernières séances [films/Animes]

[ankx]

Sympathy for Mister Vengeance (2002) de Park Chan-wook

Lente descente aux enfers pour deux protagonistes aux destins liés, chacun ayant sa motivation à se venger.
Tout aurait dû bien se passer, mais malheureusement pour eux, leur destin bascule violemment.

J'ai bien aimé ce film, très intrigant dans son rythme lent et ses plans alternant l'une ou l'autre des deux facettes de l'histoire.
Il y a assez peu de dialogues (notamment lors des scènes avec Ryu, mais pas que), ce qui amplifie la tension ressentie.
J'ai aussi trouvé les personnages plutôt attachants de par leur histoire personnelle, renforçant le côté tragique de l'ensemble.

Il s'agit du premier film de la trilogie de la Vengeance de Park Chan-wook, que je compte enchainer dans la foulée (j'ai déjà vu une partie de Old Boy, le suivant sur la liste).

[lessthantod]

Lady Vengeance est mon préféré. J'ai hâte de lire ton retour dessus.

[Gringos10]

Moi c'est Old Boy, et de loin.
Hormis ce film, je ne suis pas spécialement fan du style de park chan wook, je vibre beaucoup plus devant les film de Bong joon ho et Na hong jin.

[Gringos10]

- "Mother", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2009 -

Pour l'instant c'est mon préféré du réalisateur.

Cest quoi les autres que tu as vu ?

[Gringos10]

Tiens, je ne l'ai pas vu, The Artist, alors qu'il m'avait bien tenté lors de sa sortie.
Merci pour le rappel

Vu au cinéma, et j'en garde pas un souvenir très agréable.
Il m'avait gonflé.

[ankx]

Vu au cinéma, et j'en garde pas un souvenir très agréable.
Il m'avait gonflé.

J'avais trouvé le pitch sympa, je verrai ce que ça donne à l'écran.
Il m'avait donné envie de remater des Chaplin (ce que je compte faire avec mes gosses d'ailleurs)

[BeyondOasis]

Tiens, je ne l'ai pas vu, The Artist, alors qu'il m'avait bien tenté lors de sa sortie.
Merci pour le rappel

La même. J'ai pourtant voulu le lancer plusieurs fois mais je me suis toujours retenu. J'ai pas le sentiment que ce film soit pour moi

[wiiwii007]

- "Barking Dog", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2000 -

On a terminé la filmo de papi Woody, on attaque donc celle de monsieur Bong Joon-ho. A force d'entendre parler de lui, il fallait bien que je tente le coup ! Pour un premier film, c'est surprenant ^^ Pas du tout habitué à voir ce genre d'histoire dans une œuvre, j'étais à la fois étonné et curieux. Plus le film avance et plus ça devient chelou. J'ai beaucoup aimé l'ambiguïté qui règne sur tous les persos. C'est peut-être ce que j'ai préféré. La BO n'est pas loin derrière, le travail percu pour les poursuites et le côté Jazz cool m'a conquis.

Pour un premier film, c'est déjà pleins d'idées et d'originalité. Curieux de voir ses autres films.



- "Memories of Murder", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2003 -

J'ai comme un petit souci avec les films de Bong Joon-ho. J'ai du mal à encaisser le mélange comique/tragique. Pourtant quand c'est comique ça marche plutôt bien sur moi et quand c'est tragique aussi, sauf qu'entre temps je réfléchis, me dis que c'est bizarre de faire des scènes aussi barrés et irrationnels comme ça, puis je pars sur la vision du mec, le pourquoi etc. Pour au final me perdre dans mes pensées au lieu de suivre le film. Bizarre, surtout que j'aime à chaque fois ce que je vois ^^

Pour ce "Memories of Murder", aucun problème c'est super bien réalisé, avec des persos bien perchés, une histoire tirée d'un fait réel assez dingue. Puis on retrouve la pate du réa que j'aime beaucoup : course poursuite/musique percu. Donc aucun problème, j'ai suivi l'enquête avec intérêt et les délires du policier avec du recul ^^ La fin est géniale.

Bref, encore un bon film.



- "The Host", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2006 -

Sur les trois premiers, c'est celui que j'aime le moins pour l'instant. Il est sympa, mais j'ai pas plus accroché que ça. Pourtant ça partait bien avec le délire du rejet dans le fleuve et le monstre qui attaque. Mais je sais pas, j'ai pas été pris dans le truc. La faute à une narration qui ne m'a pas intéressé, une fin qu'on avait deviné dès le départ, un humour tellement pas à mon gout…

Bref, sympa sans plus.

@Gringos10 : Les trois premiers, dans l'ordre ^^

[wiiwii007]

Tiens, je ne l'ai pas vu, The Artist, alors qu'il m'avait bien tenté lors de sa sortie.
Merci pour le rappel

La même. J'ai pourtant voulu le lancer plusieurs fois mais je me suis toujours retenu. J'ai pas le sentiment que ce film soit pour moi

C'est spécial, mais ça a bien fonctionné sur moi.

[Gringos10]

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- "Barking Dog", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2000 -

On a terminé la filmo de papi Woody, on attaque donc celle de monsieur Bong Joon-ho. A force d'entendre parler de lui, il fallait bien que je tente le coup ! Pour un premier film, c'est surprenant ^^ Pas du tout habitué à voir ce genre d'histoire dans une œuvre, j'étais à la fois étonné et curieux. Plus le film avance et plus ça devient chelou. J'ai beaucoup aimé l'ambiguïté qui règne sur tous les persos. C'est peut-être ce que j'ai préféré. La BO n'est pas loin derrière, le travail percu pour les poursuites et le côté Jazz cool m'a conquis.

Pour un premier film, c'est déjà pleins d'idées et d'originalité. Curieux de voir ses autres films.



- "Memories of Murder", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2003 -

J'ai comme un petit souci avec les films de Bong Joon-ho. J'ai du mal à encaisser le mélange comique/tragique. Pourtant quand c'est comique ça marche plutôt bien sur moi et quand c'est tragique aussi, sauf qu'entre temps je réfléchis, me dis que c'est bizarre de faire des scènes aussi barrés et irrationnels comme ça, puis je pars sur la vision du mec, le pourquoi etc. Pour au final me perdre dans mes pensées au lieu de suivre le film. Bizarre, surtout que j'aime à chaque fois ce que je vois ^^

Pour ce "Memories of Murder", aucun problème c'est super bien réalisé, avec des persos bien perchés, une histoire tirée d'un fait réel assez dingue. Puis on retrouve la pate du réa que j'aime beaucoup : course poursuite/musique percu. Donc aucun problème, j'ai suivi l'enquête avec intérêt et les délires du policier avec du recul ^^ La fin est géniale.

Bref, encore un bon film.



- "The Host", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2006 -

Sur les trois premiers, c'est celui que j'aime le moins pour l'instant. Il est sympa, mais j'ai pas plus accroché que ça. Pourtant ça partait bien avec le délire du rejet dans le fleuve et le monstre qui attaque. Mais je sais pas, j'ai pas été pris dans le truc. La faute à une narration qui ne m'a pas intéressé, une fin qu'on avait deviné dès le départ, un humour tellement pas à mon gout…

Bref, sympa sans plus.

@Gringos10 : Les trois premiers, dans l'ordre ^^

Memories of murder c'est mon préféré.
The host j'ai bien aimé aussi.

[wiiwii007]

Si je devais faire un classement ce serait :

1. Mother
2. Memories
3. Barking
4. The Host

[ankx]

Old Boy de Park Chan-Wook (2003)

Second film de la trilogie Vengeance, celui-ci est très différent de son prédécesseur, notamment par son rythme et les environnements dans lesquels évoluent ses personnages.
Le film est tiré du manga éponyme, que je compte lire ensuite.

Il narre l'histoire de Oh Dae-Soo (incarné par Choi Min-sik), un type à problèmes, qui se retrouve séquestré dans une chambre sans fenêtre 15 années durant, avec une télévision comme seul regard sur le monde. Celui-ci ne sait ni pourquoi, ni par qui il a été enfermé.
Suite à sa libération, Dae-Soo va entamer une quête pour comprendre les raisons de son enlèvement, et tenter d'en retrouver les commanditaires afin de se venger.

Tantôt fou, tantôt touchant, Choi Min-sik nous livre ici une interprétation de son personnage incroyablement juste, incarnant parfaitement le côté animal du personnage qui est né en lui pendant ces 15 années de détention, redécouvrant le monde extérieur avec un regard très différent de celui qu'il avait avant son enlèvement.
Les autres personnages sont eux aussi incroyablement bien joués, rendant l'ensemble magnifique dans les interactions entre les différents protagonistes de l'histoire.

Mention spéciale pour Kang Hye-jeong (incarnant Mi-Do) et Yu Ji-tae (incarnant Lee Woo-jin), eux aussi excellents dans leurs rôles respectifs et leur relation avec Dae-Soo.

Visuellement, le film est magnifique, avec une esthétique plutôt sombre très en accord avec l'univers sale et décadent dans lequel se retrouve Oh Dae-Soo.
Les scènes d'action, très dynamiques et bien filmées, sont magnifiées par leur contraste entre la violence visuelle et la BO magnifique, BO que j'ai trouvée exceptionnelle.

Un gros coup de coeur, très différent du précédent film, au moins aussi bon de mon point de vue.

[Merriaz]

Old Boy de Park Chan-Wook (2003)

Second film de la trilogie Vengeance, celui-ci est très différent de son prédécesseur, notamment par son rythme et les environnements dans lesquels évoluent ses personnages.
Le film est tiré du manga éponyme, que je compte lire ensuite.

Il narre l'histoire de Oh Dae-Soo (incarné par Choi Min-sik), un type à problèmes, qui se retrouve séquestré dans une chambre sans fenêtre 15 années durant, avec une télévision comme seul regard sur le monde. Celui-ci ne sait ni pourquoi, ni par qui il a été enfermé.
Suite à sa libération, Dae-Soo va entamer une quête pour comprendre les raisons de son enlèvement, et tenter d'en retrouver les commanditaires afin de se venger.

Tantôt fou, tantôt touchant, Choi Min-sik nous livre ici une interprétation de son personnage incroyablement juste, incarnant parfaitement le côté animal du personnage qui est né en lui pendant ces 15 années de détention, redécouvrant le monde extérieur avec un regard très différent de celui qu'il avait avant son enlèvement.
Les autres personnages sont eux aussi incroyablement bien joués, rendant l'ensemble magnifique dans les interactions entre les différents protagonistes de l'histoire.

Mention spéciale pour Kang Hye-jeong (incarnant Mi-Do) et Yu Ji-tae (incarnant Lee Woo-jin), eux aussi excellents dans leurs rôles respectifs et leur relation avec Dae-Soo.

Visuellement, le film est magnifique, avec une esthétique plutôt sombre très en accord avec l'univers sale et décadent dans lequel se retrouve Oh Dae-Soo.
Les scènes d'action, très dynamiques et bien filmées, sont magnifiées par leur contraste entre la violence visuelle et la BO magnifique, BO que j'ai trouvée exceptionnelle.

Un gros coup de coeur, très différent du précédent film, au moins aussi bon de mon point de vue.

J'ai adoré ce film, la narration et le dénouement sont incroyables. Et il y a des plans superbe !

[Merriaz]

Sinon j'ai regardé hier, "Lars and the Real Girl" de Craig Gillespie.
Bon film qui nous rappel que le jugement est une barrière qui, si on passe par dessus, nous permet d'ouvrir notre coeur.

[wiiwii007]

- "Monsieur Verdoux", réalisé par Charlie Chaplin, sorti en 1947 -

J'ai repoussé pas mal de fois le visionnage de celui là, le titre ne m'inspirait pas. Je sais pas pourquoi, un à priori à la con qui me faisait préférer d'autres films en attendant un déclic. Mais c'est chose faite, ma copine voulait un Chaplin ce soir là…

Film lent, long et assez étrange. J'ai ressenti un malaise après avoir compris que c'était tiré d'une histoire vraie… Et quelle histoire ! Quand on la connait, ça fait bizarre. Dans "Monsieur Verdoux", pas une seule seconde j'ai vu le personnage (joué par Chaplin lui-même) psychopathe/méchant. Un peu foufou, marrant, escroc, ça oui, mais complètement barge et horrible, non. La faute à une orientation très comique du perso et à l'absence totale de violence visuelle. Pendant le film j'ai ri grâce à ce personnage, j'ai même été triste pour lui, la leçon de morale à la fin est superbe (One murder makes a villain, millions a hero. Numbers sanctify…). Mais le fait que ça vienne d'un vrai fou furieux, ça m'a fait bizarre. Pas sur le fait qu'on ne peut rien apprendre de ces personnes, pour moi, n'importe qui peut instruire volontairement ou involontairement. Non, c'est plus le fait qu'on mette cet assassin en valeur qui m'a dérangé, qu'on le rende un peu trop "sympa" à mon gout. Bref, c'est personnel.

Sans savoir la véritable histoire, le film est bon dans l'ensemble, avec quelques longueurs à mon sens, mais bien.



- "A League of Their Own", réalisé par Penny Marshall, sorti en 1992 -

J'ai bien aimé celui là. Ca m'a permis de faire une mini recherche sur le baseball féminin. Un sport que je ne connais absolument pas, ni pour les mecs, ni pour les femmes. C'était très intéressant de voir cette partie de l'histoire, j'imagine, complètement méconnue. Ca reste un film très conventionnel, avec un déroulement sans surprise, mais c'est bien foutu et la fin offre une séquence émotion très nostalgique, belle. Tom Hanks joue plutôt bien son rôle d'entraineur complètement pété.



- "Saw X", réalisé par Kevin Greutert, sorti en 2023 -

Ca y est on est à jour ! On a enfin vu tous les Saw ! Il a fallu que je m'impose pour ce dernier car ma copine commençait à le repousser indéfiniment. Elle a eu son Chaplin, j'ai imposé mon Saw. Je ne suis pas un fanatique mais j'aime bien terminer ce que je commence ^^ Du coup, elle a tourné la tête durant la moitié du film en me disant "j'entends les bruits, c'est horrible !!!!". Bref, ça m'a bien fait rire.

A part ça, le film est un chouilla différent des précédents opus. L'histoire se concentre essentiellement sur John Kramer et son cancer. Dans les autres films on sait qu'il puni des débiles/tarés mais on ne cautionne pas, c'est pas possible, même pour les raisons que l'on sait. Dans celui là, on ne cautionne toujours pas faut pas déconner, mais on comprend mieux ses envies meurtrières.

Et comme d'hab, on a droit à de la boucherie bien crade : De l'éclatage d'os au découpage de membres, on est dans la norme ^^

[Cathedrale]

The Chef (Boiling Point) - Philip Barantini (2021)

J'ai vu qu'il y avait une série, suite quasi directe du film, du coup je me suis dépêchée de le regarder (il était sur ma liste à voir depuis longtemps de toute façon).

Comme souvent chez les Anglais, c'est très bien foutu. Hyper bien écrit et réalisé, je recommande chaudement.

[wiiwii007]

- "Limelight", réalisé par Charlie Chaplin, sorti en 1952 -

Super film encore une fois, avec de superbes dialogues. La première partie du film développe les deux persos principaux. On apprend à les connaître, à comprendre la psychologie de chacun. C'est très important car dans la deuxième partie, la vie va malmener ce "couple" et tout ce que l'on a appris d'eux. Cette section est très très bonne. Avec un final très émouvant.

Chaplin est tout simplement parfait dedans. Il fait rire et pleurer comme jamais. J'ai moins accroché à la femme car je trouve qu'elle surjoue un poil, mais c'était pas bien grave. Surtout que les scènes de danse (je ne sais pas si c'est vraiment elle qui les faisait) sont démentes, surtout la première devant le producteur : un petit bijou.

Bref, un de mes films préférés de Chaplin… Il y a tellement à réfléchir, tellement à prendre que ça en est génial.



- "Radio Flyer", réalisé par Richard Donner, sorti en 1992 -

Marrant de voir Tim de Jurassic Park dans ce film ^^ Très sympa également. Le hic c'est que dans le même style (famille recomposée avec un beau père qui part en couille) j'ai vu mieux il y a peu avec DiCaprio et De Niro: "This Boy's Life". C'est exactement le même scénario à peu de choses près. Le souci c'est que l'un ne lésine pas avec la violence quand l'autre reste très soft. C'est con à dire mais dans ce genre de film je trouve que c'est très important de prendre la violence dans la gueule. Plus celle-ci est visible, plus l'empathie que j'éprouve augmente, plus il y a d'émotion.

Un autre point qui m'a manqué : la mère. On ne la voit pas assez, le quotidien reste hyper flou. Je trouve que ça manque vraiment.

Donc très bien car l'histoire m'a touché (merci le final très sympa), mais moins que "This Boy's Life".

[Tryphon]

C'est Elijah Wood le gaminou ?

[Morkalavin]

C'est Elijah Wood le gaminou ?

3ieme nom en haut de l'affiche

[wiiwii007]

Ah oui tiens, je l'avais pas reconnu lui ^^ Je connaissais pas son nom

C'est Mike, le grand frère.

[JonMadlaine]

Film indien pris au hasard dans le bac à DVD ! Il faut bien comprendre que depuis Baahubali et RRR, je suis triste et en manque de films indiens, parceque je sais que je n'en verrais jamais d'autre vraiment comme eux . Ca me fait ça aussi avec Conan le Barbare...
Bref, je vois "Once upon a time in India", Ok, c'est peut être mon client, avec un titre comme ça on doit être dans la fresque épique, c'est parti, je lis pas le synopsis !
Ca démarre dans une ambiance à la RRR, j'aime bien, quand soudain... "Je vous défie à un match de cricket !" . J'en reste reste quoi, est ce que ce sera juste une séquence de cricket sur les 3h40 de film ou bien...non, le film est là dessus ???
Je ne suis pas fan de sport, donc pas fan de films sportifs, donc je les évite. Mais des fois, c'est bien. Comme quand j'avais regardé des vieux Shojo comme Attaquantes ! ou Jeu, Set et Match. Ce serieux mortel couplé à des folies visuelles sur le terrain, ça fait des super films !
Et bah là; c'est pareil. Notre joyeuse troupe prends plaisir à s'emparer de sa liberté et de son sport national dans un gros mélange d'action, humour sans etre grotesque à la Shaolin Soccer, plutot des blagues très manga sportifs justement, avec des méchants très méchants et des gentils aux techniques...originales.
J'ai toujours rien compris au cricket mais j'ai passé un super moment. Les chansons sont vraiment sympa aussi, mais ça on a l'habitude.

[Tryphon]

C'est Elijah Wood le gaminou ?

3ieme nom en haut de l'affiche

Oui j'avais vu, mais justement je le voyais pas sur l'affiche.

[Morkalavin]

C'est Elijah Wood le gaminou ?

3ieme nom en haut de l'affiche

Oui j'avais vu, mais justement je le voyais pas sur l'affiche.

ba le petit bonhomme a gauche on reconnais ses yeux et le sourire qu'il a dans le seigneur des anneaux :p

[wiiwii007]

Je l'ai pas reconnu perso ^^ Par contre l'autre oui.

[lessthantod]

Je viens de mater Drive My Car ...



Sorti en 2021 et réalisé par Ryusuke Hamaguchi, Drive My Car est une œuvre largement saluée par la critique lors de sa sortie en salle et qui en outre, a reçu de nombreuses récompenses et autres nominations lors des cérémonies de fin d'année (Festival de Cannes, Césars, Oscars, Golden Globes, BAFA ...). Et pour cause, Drive My Car est un vrai bon feel-good movie. C'est avec ce film que je découvre les œuvres du réalisateur japonais Ryusuke Hamaguchi et maintenant, je n'ai plus qu'une seule envie, explorer toute sa filmographie. Le film dure prés de trois heures, mais on ne s'ennuie pas une seule minute. C'est un drame captivant et hypnotique, maitrisé de A à Z.

Dans Drive My Car, on va suivre les aventures de Yûsuke Kafuku (Hidetoshi Nishijima) un metteur en scène et acteur de théâtre. On sait peu de choses sur lui, si ce n'est qu'il aime sa femme (Reika Kirishima) elle aussi autrice de théâtre et que tous les deux ont perdu un enfant en bas âge. Toujours est-il que, très tôt dans le film, il va subir un drame personnel qui va beaucoup le marquer et que je ne dévoilerai pas ici (pour ne pas spoiler). Et c'est après une longue introduction de prés de quarante minutes, que le film commence enfin (le générique apparaît à ce moment là). On se retrouve donc deux ans plus tard, avec notre homme qui est invité à Hiroshima pour adapter la pièce de théâtre d'Anton Tchekhov, Oncle Vania, qu'il avait déjà mis en scène en plus d'interpréter le rôle principal. Il va alors faire passer des castings, y compris pour le rôle principal qu'il ne veut plus endosser, pour des raisons propres qui ont à voir avec le drame subit deux ans plus tôt. Les acteurs et actrices vont donc être recrutés de différentes nationalités, puisqu'ils vont être amenés à interpréter leurs personnage avec leurs langues propres (y compris un rôle avec le langage des signes).

Mais voilà, pour des questions d'assurance, les responsables de la pièce imposent à Yûsuke un chauffeur féminin Misaki Watari (Tôko Miura), qui va assurer les long trajets entre le lieu des répétitions et le lieu où il passe ses nuits. Et c'est donc au volant de sa voiture "vintage", une Saab 900 Turbo rouge des années 80, que Yûsuke se fait conduire (d'où le titre du film). Il n’a accepté qu’avec réticence de "lâcher le volant", puisque pour lui conduire c'est un moyen d'apprendre son texte grâce à une cassette que lui avait enregistré son épouse. C'est alors qu'une relation spéciale va naitre entre l'homme blessé et la jeune femme de 23 ans, le même âge qu'aurait eu son enfant s'il était encore en vie. Les deux âmes en peine vont apprendre l'un de l'autre et essayer de tirer le meilleur de cette relation, dont je ne révèlerai pas les teneurs (pour ne pas poiler encore une fois).

A partir d'une histoire apparemment simple, le film brasse un nombre conséquent de thématiques intimes. Et l’émotion prend très vite le dessus sur le récit, plongeant le spectateur dans un univers de sentiments complexes et de questionnements existentiels․ Mais plus que tout, Drive My Car c'est un film sur le deuil, ou plutôt les deuils ...

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Pour le protagoniste principal, ce sera le deuil de son enfant bien sûr, mais aussi celui de sa femme qui l'avait trompé avec un jeune acteur, acteur qui postulera deux ans plus tard pour un rôle dans sa pièce et à qui il confiera le rôle difficile de Vania. Et cet acteur, qui est donc l’amant de sa défunte épouse, lui-même essaie d'oublier son passé, puisque c'est une ancienne vedette de série TV qui aurait dérapé dans sa vie privée, aboutissant à son licenciement. Et pour la chauffeuse aussi, on en saura plus sur son vague à l'âme, puisqu'elle aussi essaie de faire son deuil, à savoir la perte de sa mère dans des conditions tragiques.

Et puis le film n'est pas seulement profond, il est beau aussi. Tous les cadres sont ultra léchés, les paysages sont magnifique et puis il y a cette Saab rouge qui semble sortir d'un autre temps. Cette voiture, de marque suédoise, nous ramène aux années 80 et elle possède une symbolique forte. Déjà, une voiture étrangère au japon, qui plus est des années 80 et en parfait état, ça interroge. C'est en soit un personnage à part entière du film, c'est le lieu dans lequel nos deux principaux protagonistes se laissent aller à des confidences (des scènes très fortes). C'est aussi le véhicule qui va les emmener pour un voyage sur la route, dans un road movie qui consiste à laisser derrière eux ce qui n’est plus, pour continuer à vivre. L'évolution de la relation entre le personnage principal et la chauffeuse est vraiment le centre émotionnel du film.

Bref, aussi beau sur le fond que sur la forme, Drive My Car est un film qui, à l'instar du cinéma de Wong Kar-Wai, joue beaucoup sur les silences, les regards et les non-dits, ce qui est suffisamment rare pour être apprécié. Et sans vouloir paraitre élitiste (ce n’est pas du tout le genre de la maison), c'est un vrai film pour cinéphiles, de part sa mise en scène subtile et raffinée, couplée à un scénario riche et profond.

[wiiwii007]

- "Les Infidèles", réalisé par Emmanuelle Bercot, Fred Cavayé, Alexandre Courtès, Jean Dujardin, Michel Hazanavicius, Éric Lartigau, Gilles Lellouche et Jan Kounen, sorti en 2012 -

Film à sketches sur le thème de l'infidélité. Ca dépote bien, faut être prêt à encaisser car ça envoie. Dujardin et Lellouche se sont bien fait plaisir ^^ Le film peut prêter à confusion sur ses intentions à cause d'un premier sketch au message ambigu mais la suite ne laisse aucun doute.

Avec ma copine on a bien aimé le délire. Il y a de bonnes idées, c'est bien décalé, les acteurs sont plutôt bons dans l'ensemble, et j'aime le message.



- "Battle at Big Rock", réalisé par Colin Trevorrow, sorti en 2019 -

Court métrage dans l'univers de Jurassic Park. En gros c'est juste une scène basique : une famille dans un camping-car, un gros dinosaure qui attaque, ils s'en sortent façon Walt Disney… Allez hop ! C'est parfait.

Pas fan, j'ai l'impression d'avoir rien regardé.



- "Crossroads", réalisé par Walter Hill, sorti en 1986 -

Film que je n'avais jamais vu… Je rattrape enfin cette folie !

C'était très sympa de se replonger dans cette fameuse légende. Le film nous traîne jusqu'au fin fond du Mississippi, aux presque racines du blues. J'ai beaucoup aimé le duo/trio. Le côté "apprentissage" aurait pu être plus poussé, je trouve ça dommage qu'on ne voit pas plus que ça l'évolution dans le jeu du petit. Mais bon, c'est pour chipoter, je me suis régalé ^^ Le blues c'est vraiment quelque chose qu'il faut vivre avec le contexte.



- "9 Mois ferme", réalisé par Albert Dupontel, sorti en 2013 -

Gros délire de Dupontel ^^ C'est barré, violent, marrant, triste et touchant à la fois. C'est le côté humoristique le véritable moteur du film bien évidement, mais ça n'empêche pas d'y voir un fond. J'ai bien aimé.



- "Snowpiercer", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2013 -

Film assez dingue. J'ai beaucoup aimé le côté SF mais moins le fait qu'on survole le fond. J'aurais adoré qu'on en sache beaucoup plus sur le déclenchement du merdier, l'histoire des personnes etc. C'est tellement peu par rapport à ce que ça pourrait être ! Je ne connais pas la BD d'ailleurs, si ça se trouve c'est beaucoup plus développé dans celle-ci.

En tout cas il y a encore beaucoup d'idées, de scènes assez folles, de belles images, de la noirceur… C'est encore une super œuvre de Bong Joon-ho pour moi. C'est un film SF axé action avec morale. Très bien.



- "Stand by Me", réalisé par Rob Reiner, sorti en 1986 -

Film que j'ai toujours voulu voir à cause de la chanson. Je peux enfin mettre des images sur cette histoire. Suivre cette bande de potes naïfs a été un plaisir. C'est simple mais efficace. La fin dévoile tout le potentiel du film et la chanson "Stand by me" résonne enfin totalement… C'était beau.

Les jeunes ne sont pas mauvais dans leur jeu, mis à part 2, 3 scènes, c'est vraiment sympa je trouve.



- "Johnny Got His Gun", réalisé par Dalton Trumbo, sorti en 1971 -

Depuis le temps… Encore un film bien violent. Déjà qu'en temps normal j'ai du mal à rester calme quand je pense aux horreurs de la guerre et à la bêtise humaine. Mais face à un film aussi fou, c'est la cata. On est tellement des débiles…

Sinon j'ai trop rien à dire, le film nous balance à gueule ce que l'humain peut-être de pire. La manière dont est traité le sujet est tellement folle, que ça en est prenant, révoltant, désespérant… Ca calme. Bravo pour le message Mr Dalton Trumbo.



- "Möbius", réalisé par Éric Rochant, sorti en 2013 -

Arrrf... J'aime pas quand un jeu/film parle d'espionnage russe/américain. Je sais pas pourquoi ça ne m'intéresse pas.

Quand le film a débuté, ça m'a gonflé directe, des espions de partout, on comprend rien à ce qu'il se passe. Tout le monde s'espionne, c'est très brouillon. Puis tu te rends compte que l'histoire d'espionnage n'est qu'un prétexte (rien n'est vraiment développé), et qu'en réalité on est devant une histoire d'amour impossible avec des scènes de sexes peu convaincantes. Enfin c'est peut-être leur façon de faire à tous les deux on sait pas. Mais ouai, c'était presque gênant pour moi… Du coup ni l'histoire d'amour, ni la partie espion ne m'a plu. Pourtant il y a eu des scènes sympas (téléphone dans la voiture par exemple) mais non. C'était pas un film pour moi.



- "Okja", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2017 -

Début compliqué, trop délirant pour moi. J'ai pas accroché à l'histoire ni à l'animal. Puis au fur et à mesure c'est passé, je me suis habitué aux persos. Mais bon, j'ai pas trouvé ça foufou. Le message est beau bien évidement, la fin fait plaisir. Mais le tout ne m'a pas super convaincu. Pour moi c'est le moins bon du réalisateur.



- "A King in New York", réalisé par Charlie Chaplin, sorti en 1957 -

Celui là il balance bien. Juste après sa période noire aux USA, Chaplin sort ce film. C'est quand même génial de pouvoir tarter la plus grande puissance mondiale ^^ Chaplin l'a fait ! Rien que pour ça, ce film vaut le coup d'œil. Visiblement il a galéré pour le réaliser car il ne mettait plus un pied en Amérique et n'avait plus son équipe habituelle. Ca se voit à l'écran sur le montage un peu moins précis par exemple. Mais sinon, génial : l'histoire, les persos, les sentiments, les effets comiques. Il n'est pas parfait mais il déboite bien.



- "8 Mile", réalisé par Curtis Hanson, sorti en 2002 -

J'adore Eminem et je n'ai jamais vu ce film… Je connaissais déjà son histoire personnelle donc je n'ai pas eu de surprise quant au scénario. Le reste était cool. J'ai enfin des images de ce que j'avais lu. C'est pas le film du siècle même si j'ai trouvé les acteurs plutôt bons, mais il se regarde facilement je trouve. C'est peut-être un peu long pour l'évolution des persos. En gros il ne se passe pas grand chose.

Mais bon, bien quand même.



- "Parasite", réalisé par Bong Joon-ho, sorti en 2009 -

C'était génial. Avec ma copine on s'est régalé. Il y a tout ce que j'aime dans ce film : une histoire bien trouvée, des persos bien écrit, des dialogues qui envoient bien, des situations bien délirantes, des messages… Au top !

Puis bon t'en prends également pleins les yeux. Il y a quelques décors vraiment beaux. Puis bon j'aime cette façon de mettre plus de réel et moins de poudres aux yeux à l'américaine. C'est ce que j'aime le plus avec Bong Joon-ho. Il a le don d'apporter un peu plus de réalité dans les films : une scène de sexe ? Ok, elle sera comme dans la vie réelle et non comme dans un film américain parfait.

Bref, c'est clairement mon film préféré du réalisateur.



- "La French", réalisé par Cédric Jimenez, sorti en 2014 -

Je ne connaissais que de très loin cette histoire. C'était donc cool de pouvoir approfondir un poil cette période noire. J'ai bien aimé le film. C'est un policier tout ce qu'il y a de plus classique. Il n'y a pas vraiment de surprise dans les événements. Mais ça ne m'a pas forcément dérangé. J'ai suivi l'histoire tranquillement, avec des acteurs qui jouent plutôt bien et une réalisation maîtrisée à mon sens. Pour un film français j'ai trouvé ça pas mal du tout.



- "Philadelphia", réalisé par Jonathan Demme, sorti en 1993 -

Petite tarte dans la gueule celui là. Je ne l'avais jamais vu et je ne savais pas du tout de quoi ça parlait. Une fois le film lancée, j'ai pas décroché une seule seconde. L'histoire est prenante et le procès horrible. Les dialogues sont tranchants, les mots blessent. C'est franchement violent psychologiquement. Puis alors Tom Hanks et Denzel Washington… Au top !

Pour moi c'est un sans faute, même la BO est géniale…



- "The Pleasure Garden", réalisé par Alfred Hitchcock, sorti en 1925 -

Après avoir terminé la filmographie de Bong Joon-ho il me fallait trouver un nouveau réalisateur… C'est tombé sur Alfred Hitchcock. Je voulais enfin comprendre le bonhomme car je ne pense pas connaître grand chose du monsieur. Au moins je rattraperais mon retard vis à vis de cette légende.

Pour son tout premier film c'était très moyen à mon sens. J'ai pas super aimé pour plusieurs raisons. Je trouve que les deux actrices se ressemblent trop, en noir et blanc, j'aurais aimé avoir une véritable différence pour ne pas confondre et m'emmêler les pinceaux. C'est juste chiant. Autre point pas génial : l'histoire. Basique et pas forcément intéressante à suivre. En réalité j'ai juste aimé la fin car ça part en live. Mais sinon, rien de bien foufou à l'horizon. Ca reste sa toute première réalisation donc c'est déjà génial en soit d'y arriver, mais non, j'ai pas aimé.



- "Twister", réalisé par Jan de Bont, sorti en 1996 -

Film que j'avais déjà vu auparavant. Sympa à revoir. Et même si les effets ont vieilli, ça ne m'a pas dérangé plus que ça. Rien à dire de particulier, c'est un film d'action/catastrophe avec tout ce que ça implique. Donc pas de surprise, c'est du simple, et ça m'a plu.



- "The Lodger: A Story of the London Fog", réalisé par Alfred Hitchcock, sorti en 1927 -

Second Hitchcock qu'on regarde… Bien mieux que le premier à mon sens. L'histoire est bien plus facile à comprendre par rapport à son premier, et la BO est très sympa. J'ai pas forcément trouvé le film génial, mais ça va, j'ai passé un bon moment. Ce qui me bloque le plus je pense c'est le surjeu des acteurs à cause du fait que les films soient muets. Ca me dérange vachement dans ce genre, alors que dans un Chaplin beaucoup moins. Mais bon…



- "The Haunting", réalisé par Jan de Bont, sorti en 1999 -

Dernier film réalisé par Jan de Bont (c'est pas le tout dernier, le "Lara Croft" je le visionnerais avec les autres films de la même licence). Compliqué celui là. Au début j'étais plutôt pris dans l'histoire mais plus ça avançait, plus je trouvais ça très moyen. La fin m'a achevé ^^ Pourtant j'aime bien l'ambiance générale… C'est con. Mais non, j'ai pas pu, entre les répliques que j'ai trouvé pourries et la direction des acteurs complètement pétée, c'était pas possible. Un film que j'aurais aimé aimer.

[lessthantod]

J'ai rematé Goldfinger ...



Sorti en 1964 et réalisé par Guy Hamilton, Goldfinger est le troisième volet de la saga James Bond avec Sean Connery. C'est aussi le premier James Bond réalisé par Guy Hamilton, qui en fera plusieurs par la suite, y compris avec Roger Moore. On y retrouve des personnages bien connus de la saga James Bond, à commencer par Q (Desmond Llewelyn), M (Bernard Lee) et Moneypenny (Lois Maxwell). Et dans le rôle du grand méchant Goldfinger, c'est l'acteur allemand Gert Fröbe qui s'y colle et il faut avouer qu'il en impose. Enfin, dans le rôle de la Pussy Galore (un nom qui ne doit rien au hasard) nous avons Honor Blackman qui s'impose tout de suite comme l'une des James Bond Girls les plus emblématiques de la saga. Sans oublier Shirley Eaton qui, malgré un temps d'apparition à l'écran très limité, rentrera dans l'imagerie de tous pour son corps recouvert de peinture d'or.

Dans Goldfinger, James Bond est employé par la CIA (première collaboration entre les américains et les britanniques dans un James Bond) pour enquêter sur le milliardaire Goldfinger qui est obsédé par l'or. James Bond finira par percer le grand projet de Golfinger, à savoir irradier le stock d’or américain avec une bombe qui rendra le stock d’or inutilisable pendant 58 ans, ce qui augmentera grandement la valeur de l’or en sa possession. Et comme d'habitude, James bond va accumuler les conquêtes durant le film et imposer son charisme face à Goldfinger et son bras droit Oddjob muni de son chapeau melon tranchant.

C'est vraiment dans ce James Bond qu'on aura pour la première fois une abondance de gadgets, à commencer donc par le chapeau mythique d'Oddjob qui découpe des têtes, la scène du laser, mais aussi la première apparition de la non moins mythique Aston Martin et Q et ses gadgets. C'est pour beaucoup le meilleur James Bond et celui qui est le plus représentatif de la période Sean Connery. Et je peux comprendre pourquoi, le film est vraiment très novateur pour l'époque, mais moi je préfère le classicisme de Bons Baisers de Russie qui copie le style Hitchcock.

Toujours est-il que oui, ce James bond là est mythique en accumulant les scènes iconiques. On a la première James Bond girl "éphémère" qui meurt asphyxiée dans sa peinture d'or (un plan iconique de la saga). On a aussi le garde du corps asiatique de Goldfinger qui marquera tous les esprits avec son chapeau muni de lames tranchantes. Et bien sûr, Pussy Galore deviendra la James Bond Girl ultime, parce que c'est l'égale de James Bond. Ici on est loin de la James Bond Girl apeurée et soumise à James bond qu'on verra tant de fois par la suite.

A revoir, Goldfinger est vraiment un très bon James Bond, probablement mon second favori de la période Sean Connery qui était vraiment à son "prime" à ce moment là. Non vraiment, Sean Connery est définitivement mon acteur préféré dans la peau de James Bond. Et puis la sublime Honor Blackman s'impose tout de suite comme l'une des James Bond Girls les plus emblématiques, peut-être bien ma James Bond Girl préférée avec Eva Green (Casino Royale) et Diana Rigg (Au service secret de Sa Majesté). Goldfinger est aussi plus orienté action que les deux premiers James Bond et on y retrouve tous les codes de la saga, de l'humour, des gadgets, des répliques cultes, les James Bond Girls et un méchant charismatique. Et même si à mes yeux le film souffre de quelques longueurs et un manque de rythme, ça reste un opus culte de la saga. (7.5/10)

[wiiwii007]

- "A Countess from Hong Kong", réalisé par Charlie Chaplin, sorti en 1967 -

Une page se tourne avec ce dernier long métrage. On a regardé toute la filmographie de Charlie Chaplin. Et je dois dire qu'après un démarrage très très compliqué pour ma part : j'ai pas aimé du tout le charlot des années "1914/1916", puis j'ai presque aimé ses films. Mais la révélation fut : "The Kid" en 1921. A partir de ce moment là, Chaplin change du tout au tout et devient le réalisateur que j'ai adoré jusqu'à ce "A Countess from Hong Kong".

Concernant ce dernier, c'était bien sans plus. Pourtant avec le fameux Marlon Brando ! Le film est sympa dans l'ensemble, c'est juste en comparaison de ses autres productions que je le trouve en dessous. On perd énormément à ne pas voir Chaplin en acteur. Puis le genre joue beaucoup également, on est clairement dans une comédie romantique proche du théâtre. C'est cool, mais il manque un peu de profondeur selon moi. Même si le fond est là avec cette comtesse en détresse, j'aurais aimé avoir des scènes fortes, prenantes. Ca n'a pas été le cas, dommage pour moi. Un film sympathique pour terminer.

Au final, j'ai adoré me faire toute sa filmo. Je suis triste de ne plus rien avoir à découvrir de lui. Une chose est sûre je me rematerai ses dernières productions. Ses films sont intemporels… Merci Monsieur Chaplin.

[Shovel Knight]

Le Deuxième Acte (Dupieux, 2024)



Putain c'était nuuuuuuuul. Heureusement c'était court. Même ça c'est un scandale : imagine tu payes une place de ciné plein pot pour à peine 1h de ce truc.
J'aime bien les propositions de Dupieux, mais parfois il ferait mieux d'appeler ça un essai ou un moyen métrage, mais pas un long métrage.
Et le fond du propos au début du film avec les 2 premiers dialogues est catastrophique. Un genre de "on peut plus rien dire" ridicule.
Les acteurs sont bons (même Lea Seydoux, première fois que je ne la trouve pas à chier), mais ça suffit pas.

[Gringos10]

- "La French", réalisé par Cédric Jimenez, sorti en 2014 -

mon avis dessus : viewtopic.php?p=85492#p85492

essaye de mater Bac Nord du même réal

[wiiwii007]

Oui c'est prévu, je sais pas quand, mais c'est prévu.

Je partage totalement ton avis, très bien écrit d'ailleurs, sur "La french"

[lessthantod]

J'ai rematé Au Service de sa Majesté ...



Sorti en 1969 et réalisé par Peter R. Hunt, Au service secret de Sa Majesté est le premier et dernier film avec George Lazenby dans le rôle de l'agent 007. C'est aussi le premier et seul film réalisé par Peter R. Hunt et c'est sans aucun doute le film le plus atypique de la saga James Bond. En lieu et place de Sean Connery dans le rôle principal, George Lazenby nous montre un 007 moins cynique et plus sensible, allant même jusqu'à tomber amoureux et à se marier. Si cette idée de faire évoluer le personnage est à saluer, on déplorera que l'intrigue manque de rythme, avec quelques lourdeurs et pas mal de longueurs ... 2h22 min tout de même.

Notre agent 007 "My name is Bond, James Bond" se retrouve dans une histoire qui le dépasse un peu. Contraint par M (Bernard Lee) de prendre des congés forcés, il va alors se mettre au service de Draco (Gabriele Ferzetti) un mafieux Corse qui l’emploie pour surveiller sa fille Tracy (Diana Rigg) avec qui la comédie sentimentale va se transformer en véritable histoire d'amour. Draco le mafieux va ensuite lui fournir des informations pour retrouver son pire ennemi, à savoir Blofeld (Telly Savalas) le chef de l'organisation criminelle SPECTRE, qui s'est réfugié dans son quartier général en Suisse. Et comme à chaque (ou presque) nouvelle aventure de James Bond, il devra contourner le nouveau plan machiavélique concocté par Blofeld.

Pour sa seule interprétation de l'agent 007, George Lazenby s'en sort remarquablement bien, surtout sachant qu'il passe après sir Sean Connery (incontestablement le meilleur de tous les Bond). Et même si George Lazenby n'arrive pas à la cheville de son prédécesseur, il fait le job. Sur la base d'un scénario qui se déroule quasiment tout le temps en Suisse, le film déroule les scènes d'actions qui sont rythmées par une excellente partition musicale de John Barry. Et si les gadgets sont quasiment absents de cette version, qui penche plutôt sur l'aspect sentimental, j'ai beaucoup aimé le réalisme de cet opus qui en cela se rapproche beaucoup de Bons Baisers de Russie (l'un de mes Bond préférés). A noter également un excellent casting (T. Savalas et Diana Rigg) et la scène de fin terriblement cruelle ...

Presque deux heures trente pour un James Bond, ce n'est pas habituel dans la saga, mais ça se justifie par l'ambition du réalisateur, qui voulait clairement faire un film plus dramatique que les précédents volets. Les gadgets sont donc mis de côté pour un temps (Desmond "Q" Llewelyn ne fait qu'une brève apparition) et cèdent leur place à l'action et à un certain sentimentalisme. En effet, cet opus est connu pour ses nombreuses scènes d'actions, la course de voiture, l’assaut du repère de Blofeld en hélicoptère et l’ultime poursuite en bobsleigh, ainsi que pour la scène de mariage à la fin du film et un final mélancolique.

Ceci dit, le film prend vraiment son temps pour démarrer et je dois dire que j'ai parfois trouvé le temps long lors de la première heure du film. Et puis il faut s'habituer à ne pas voir Sean Connery dans la peau de l'agent 007. George Lazenby n'y peut rien, c'est comme ça ... Sean Connery est inégalable. Mais j'ai fini par m'y habituer, malgré une certaine "rigidité" dans le jeu de l'acteur. Je dois même avouer qu'il s'en sort pas mal du tout, même si l'effort n'aura duré le temps que d'un seul épisode. Quant à Diana Rigg, elle est sans aucun doute l'une des plus ravissantes et élégantes James Bond girls de la saga.

Bref, ce James Bond est un peu à part dans la série, puisque que c'est l'unique opus avec George Lavenzy et parce que malgré tous ses efforts, il n'arrive pas à la cheville du grand Sean Connery. Mais malgré George Lavenzy et malgré quelques longueurs qui se font ressentir, Au Service Secret de sa Majesté est un bon James Bond. Ce n'est pas le meilleur de la saga, mais il a son charme et surtout, il possède tous les ingrédients qui font un bon James Bond, de l'action, de l'humour, de belles filles et on voyage pas mal ... et la fin, assez inattendue, est l'une des plus belles fins d'un James Bond.

[wiiwii007]

- "Spider-Man: No Way Home", réalisé par Jon Watts, sorti en 2021 -

L'ado est à la maison, on enchaîne avec un Marvel. Dernière ligne droite pour moi, j'aurais bientôt vu toute la filmo Marvel. Je me languis car je sature. Ce Spider-Man ne fera pas exception car tire larme pour rien, scènes à la con trop longues, milieu de film qui m'a fait complètement décrocher du délire… Bref, à part la fin que j'ai trouvé classique mais sympa, le reste… Non.



- "Indiana Jones and the Dial of Destiny", réalisé par James Mangold, sorti en 2023 -

On clôture la licence "Indiana" avec un opus que j'ai pas vraiment aimé. Il m'a ennuyé comme pas possible… Je l'ai trouvé long, avec des persos peu intéressants, des scènes d'action moyennes. J'ai pas kiffé grand chose en fait, c'était sans intérêt à mon sens.

[Antarka]

Je m'interroge encore si j'aime mieux le Indy 5 que le 4. Je suis pas sur. J'aurais vraiment aimé qu'Indy reste une trilogie

Par contre j'ai été scié par les FX de l'intro. Au cinoch, le Indy rajeuni, c'était bluffant. C'est bien la première fois d'ailleurs que je trouve ce procédé réussi.

[Morkalavin]

Je m'interroge encore si j'aime mieux le Indy 5 que le 4. Je suis pas sur. J'aurais vraiment aimé qu'Indy reste une trilogie

Par contre j'ai été scié par les FX de l'intro. Au cinoch, le Indy rajeuni, c'était bluffant. C'est bien la première fois d'ailleurs que je trouve ce procédé réussi.

Perso l'intro ma sortie du game , je m'explique indy capturé par les nazi , on enleve son sac sur sa tete et on lui met une torche dans la tronche, on lui agite devant la figure , la lumière qui ce reflet dans ces yeux reste fixe ... ca ma sortie, c'est con hein

[Shovel Knight]

Ce week end j'ai vu :



Pourquoi tu souris ? (2024 , Christine Paillard et Chad Chenouga)
"Comédie sociale impertinente" avec Jean-Pascal Zadi, Raphael Quenard et Emmanuelle Devos.
ça se regarde, 5/10



Panic Room (2002, David Fincher)
Jodie Foster, Kirsten Stewart, Forest Whitaker, Jared Letto. Thriller maitrisé. Rien de foufou, que du classique, mais bien réalisé, tension bien maitrisée. 7/10



Freaks (La Monstrueuse Parade) (1932, Tod Browning)
Compliqué de noter un film de 1932. Mais c'est un classique à voir, j'ai passé un très bon moment. Et c'est assez court (1h). 7/10

[lessthantod]

Je suis allé voir en famille Mufasa - Le Roi Lion ...



Réalisé par Barry Jenkins, Mufasa - Le Roi Lion n'est pas la suite mais la préquelle du Roi Lion de 2019 qui était un remake (presque) plan par plan de celui de 1994. C'est donc trente ans après Le Roi Lion, que Disney décide de nous raconter la jeunesse du père de Simba ... ou comment faire du neuf avec du vieux. Mais avec Mufasa on est bien dans l'esprit du remake de 2019 et non de l'original de 1994, puisque lui aussi est tourné en animation "photo réaliste" et non en animation "traditionnelle". Par contre, on ne retrouve pas John Favreau à la réalisation qui est remplacé ici par Barry Jenkins, un réalisateur américain indépendant à qui l'on doit Moonlight ... et autant le dire tout de suite, on ne retrouvera pas sa patte thématique ni visuelle ici. On retrouve donc la même technique d'animation "photo réaliste" que dans le remake du Roi Lion, mais cette fois-ci c'est pour raconter une autre histoire, celle des origines de Mufasa et de son frère Taka/Scar. Mufasa est donc un préquel au Roi Lion.

Dans Mufasa, on retrouve le vieux singe Rafiki qui raconte à Chiara l'histoire de son grand père Mufasa, avant les évènements du Roi Lion 2019. Ce sont donc les origines de Mufasa, mais aussi de son frère Taka qui deviendra par la suite Scar. On le sait déjà avant même d'aller voir le film, il n'y a aucun mystère sur l'identité de Taka/Scar. L'intérêt ici, c'est de savoir comment Taka est devenu Scar, à l'image du préquel de Star Wars où on découvre comment Anakin est devenu Dark Vador. On est bien chez Disney, tout est prétexte pour recycler des idées déjà toutes prêtes. On en apprend tout de même beaucoup sur Mufasa, qui n'était pas prédestiné à régner sur la terre des Lions. En réalité, c'était le jeune Taka qui devait devenir Le Roi Lion et pas le jeune Mufasa, recueilli par la famille de Taka après que ce dernier l'ait sauver de la noyade (une histoire d'eau qui revient à plusieurs moments dans le film). C'est la mère de Taka qui prend sous son aile Mufasa, notamment pour lui apprendre à chasser et à ressentir les signes de la nature ... une éducation qui participera à faire de lui Le Roi Lion.

Dans un premier temps, on va donc nous raconter comment les deux frères se sont retrouvés et se sont choisis, puis comment leur relation va se détériorer. Et étant donné que Mufasa est un préquel, le film ne va pas jouer sur le suspense, on sait déjà comment tout ça va finir. Néanmoins, cette histoire méritait d'être raconter, pour savoir comment Mufasa est devenu Le Roi Lion et comment Taka est devenu Scar. L'initiative est donc saluable, mais voilà il y a un hic, voire même deux hic. A savoir que, l'histoire qui nous est racontée ici par Rafiki est interrompue toutes les 15-20 minutes par le duo comique Pumbaa le phacochère et Timon le suricate. Ils sont tout simplement insupportables avec leurs blagues qui brisent le quatrième mur. On sent bien que les pontes de Disney ont imposé ses deux personnages qui sont les plus populaires auprès des plus jeunes et parce qu'ils sont déjà présents dans tous les films du Roi Lion. C'est vraiment dommage, car ça casse le rythme et ça brise tout le potentiel épique et émotionnel de l'intrigue principale. Ils nous sortent de l'histoire en permanence. Personnellement, je me serais largement contenté d'une ou deux interventions de leur part, mais non, il fallait absolument les mettre toutes les 15-20 minutes pour plaire aux plus jeunes et pour booster le merchandising.

Le deuxième hic dans Mufasa, ce sont les chansons qui sont toutes oubliables, musicalement c'est pauvre et les paroles sont insipides. Alors certes, j'ai vu le film en vf et pas en vo, mais quand même ... de mémoire, la vf de 1994 était plébiscité et a eu autant de succès que la vo, si ce n'est plus de succès que la vo. Et puis, Pumbaa et Timon sont d'autant plus insupportables que c'est Jamel debbouze et Alban Ivanov qui les doublent. Disney nous remet toujours sa même recette, on nous raconte une histoire et elle est interrompue par des chansons qui sont omniprésentes. Alors quand elles sont réussies comme dans Le Roi Lion, ça passe ... mais quand elles sont aussi insipide que dans Mufasa, ça ne passe plus.

Bref, Mufasa - Le Roi Lion est visuellement très impressionnant. Le rendu photo réaliste est à couper le souffle, même si personnellement je trouve qu'on y perd en magie. J'aurai toujours une préférence pour l'animation traditionnelle en 2D et même pour la 3D made in Pixar. Là, on a l'impression que tout est fait par ordinateur et qu'il n'y a aucun artiste à la conception des dessins. Et puis bon, il faut m'expliquer quel rôle a eu Barry Jenkins dans tout ça ? Quelle a été son influence ? Où a-t-il laissé sa marque sur le résultat final ? J'ai bien l'impression que c'est un simple "yes man" pour la firme aux deux grandes oreilles. Encore une fois, que ce soit visuellement ou au niveau du scénario, c'est du Disney en mode automatique, un film qui donne l'impression d'avoir été fait par une IA. Malgré tout, le film plaira aux plus jeunes et je dois lui accorder qu'il tente quelque chose. Ce n'est pas un simple remake comme Le Roi Lion de 2019, seulement dommage que le scénario soit un peu trop téléphoné et que le potentiel dramatique de l'histoire soit plombée par les deux autres zigoteaux Pumbaa et Timon.

[Antarka]

Dans Mufasa, on retrouve le vieux singe Rafiki qui raconte à Chiara l'histoire de son grand père Mufasa, avant les évènements du Roi Lion 2019. Ce sont donc les origines de Mufasa, mais aussi de son frère Taka qui deviendra par la suite Scar. On le sait déjà avant même d'aller voir le film, il n'y a aucun mystère sur l'identité de Taka/Scar. L'intérêt ici, c'est de savoir comment Taka est devenu Scar, à l'image du préquel de Star Wars où on découvre comment Anakin est devenu Dark Vador. On est bien chez Disney, tout est prétexte pour recycler des idées déjà toutes prêtes. On en apprend tout de même beaucoup sur Mufasa, qui n'était pas prédestiné à régner sur la terre des Lions. En réalité, c'était le jeune Taka qui devait devenir Le Roi Lion et pas le jeune Mufasa, recueilli par la famille de Taka après que ce dernier l'ait sauver de la noyade (une histoire d'eau qui revient à plusieurs moments dans le film). C'est la mère de Taka qui prend sous son aile Mufasa, notamment pour lui apprendre à chasser et à ressentir les signes de la nature ... une éducation qui participera à faire de lui Le Roi Lion.

Ça a l'air tellement à chier.

[Ouais_supère]

Non mais ça suffit "les histoires de méchants qui sont pas vraiment méchants car avant c'était des gentils qui ont souffert et alors après c'est des méchants mais au fond ils étaient gentils", ÇA. SUFFIT !!!
MERDE, quoi.
On va en sortir un jour de ces conneries de gamins de 6 ans ?

[dandyboh]

Je suis allé voir Vaiana 2 avec ma fille. Ben c'était vraiment pas terrible. Elle a aimé, c'est le principal, mais moi j'ai trouvé ça sans intérêt.

[BeyondOasis]

Non mais ça suffit "les histoires de méchants qui sont pas vraiment méchants car avant c'était des gentils qui ont souffert et alors après c'est des méchants mais au fond ils étaient gentils", ÇA. SUFFIT !!!
MERDE, quoi.
On va en sortir un jour de ces conneries de gamins de 6 ans ?

Voici une bien saine réaction

J'avoue que c'est quand même du réchauffe

[Shovel Knight]

Hier soir j'ai vu :

Mad God (2021, Phil Tippett)



Et ben je sais pas ce que j'ai vu, j'ai pas compris grand chose, mais wow quelle expérience visuelle ! Chaque plan chaque scène est monstrueuse de beauté. Et pourtant tout y est horrifique, gore, glauque, poisseux, hideux...
C'est un film à voir plusieurs fois je pense.

Pour ceux qui connaissent pas Phil Tippet c'est le marionettiste/animateur stop motion derrière Star Wars, Robocop, Jurassic Park, Starship Troopers.
Il a commencé à tourner les première scènes de ce film, son propre projet, en 1993 dans la foulée de Jurassic Park, mais dès 94 il faisait passer son studio au tout numérique et à rangé au placard les bandes et les maquettes.

C'est vraiment un truc unique, à voir.

[Tryphon]

Non mais ça suffit "les histoires de méchants qui sont pas vraiment méchants car avant c'était des gentils qui ont souffert et alors après c'est des méchants mais au fond ils étaient gentils", ÇA. SUFFIT !!!
MERDE, quoi.
On va en sortir un jour de ces conneries de gamins de 6 ans ?

Perso je trouve plutôt que c'est pas évident pour un enfant de 6 ans de comprendre que peu de gens sont méchants pour le plaisir d'être méchant. À mon époque je me posais plutôt la question de savoir pourquoi ils étaient aussi méchants.

Parce queeeeeeeee !!!

[wiiwii007]

Moi ça ne me choque pas car si le méchant est juste méchant = on râle, si il est méchant puis gentil = on râle etc. Je pense que c'est la narration le nerf de la guerre et non l'histoire. Une vraie bonne narration peut tout nous faire accepter. On est blasé car on est vieux, on a vu des centaines de films. C'est très difficile de faire quelque chose d'original aujourd'hui.

[Kenji]

[Gringos10]

Film indien pris au hasard dans le bac à DVD ! Il faut bien comprendre que depuis Baahubali et RRR, je suis triste et en manque de films indiens, parceque je sais que je n'en verrais jamais d'autre vraiment comme eux . Ca me fait ça aussi avec Conan le Barbare...
Bref, je vois "Once upon a time in India", Ok, c'est peut être mon client, avec un titre comme ça on doit être dans la fresque épique, c'est parti, je lis pas le synopsis !
Ca démarre dans une ambiance à la RRR, j'aime bien, quand soudain... "Je vous défie à un match de cricket !" . J'en reste reste quoi, est ce que ce sera juste une séquence de cricket sur les 3h40 de film ou bien...non, le film est là dessus ???
Je ne suis pas fan de sport, donc pas fan de films sportifs, donc je les évite. Mais des fois, c'est bien. Comme quand j'avais regardé des vieux Shojo comme Attaquantes ! ou Jeu, Set et Match. Ce serieux mortel couplé à des folies visuelles sur le terrain, ça fait des super films !
Et bah là; c'est pareil. Notre joyeuse troupe prends plaisir à s'emparer de sa liberté et de son sport national dans un gros mélange d'action, humour sans etre grotesque à la Shaolin Soccer, plutot des blagues très manga sportifs justement, avec des méchants très méchants et des gentils aux techniques...originales.
J'ai toujours rien compris au cricket mais j'ai passé un super moment. Les chansons sont vraiment sympa aussi, mais ça on a l'habitude.

Cool !
Je ne savais pas que tu avais vu et apprécié les films de Rajamouli.
Lagaan j'ai bien aimé aussi, je suis très friand du cinéma indien.

[Gringos10]

Freaks (La Monstrueuse Parade) (1932, Tod Browning)
Compliqué de noter un film de 1932. Mais c'est un classique à voir, j'ai passé un très bon moment. Et c'est assez court (1h). 7/10

Ça fait un moment qu'il est sur ma pile "à regarder" celui là.

[Gringos10]

Je suis allé voir Vaiana 2 avec ma fille. Ben c'était vraiment pas terrible. Elle a aimé, c'est le principal, mais moi j'ai trouvé ça sans intérêt.

Idem, vu au ciné avec les enfants il y a quelques jours, bof bof

[Tryphon]

Est-ce que Dwayne Johnson chante ?

[Gringos10]

Est-ce que Dwayne Johnson chante ?

Sûrement, mais j'ai vu en VF, et aucune chanson ne m'a marqué.