Vos dernières séances [films/Animes]

[Gringos10]

Police Academy, c'est surtout de la musique dont je me souviens. Je la trouvais tellement géniale

Putain je l'ai dans la tête depuis ce matin !

[Captain Obvious]

Vu le nombre de films qu'il y a eu dans cette série, je suis étonné qu'il n'ait pas encore eu un remake/reboot...

[Gringos10]

Il y avait un anime qui était sympa, et apparemment ils ont essayé un reboot en série live dans les années 2000 qui a foiré.

[Captain Obvious]

En ce moment je feuillette chaque jour ce bouquin génial et indispensable !
(pour rappel 6 balles chez noz, tout le monde doit l'acheter !)
Et à chaque chronique j'ai envie de ressortir une vieille VHS pour me mater le film en question



Hier j'en étais à ça :



Et ni une ni deux, j'ai dégainé le coffret qui traînait dans un placard depuis des années :


Donc j'ai rematé le premier police academy, que je n'avais pas dû voir depuis 25 ans, et quel bonheur ! Quel plaisir ! Ça n'a pas pris une ride, l'humour fait toujours mouche, le casting est exceptionnel, c'est culte et pas pour rien !

Y a un doc sur Netflix qui à l'air d'être un peu dans la même veine ( je ne l'ai pas vu).

[8pneus]

[mention]Paradis[/mention] , peur que le cinoche finisse comme les salles d'arcade ...

Sinon pour revenir au sujet, avec les gnomes ont a regardé TMNT 2 de 91 je crois, enfin dans ces eaux là, celui avec Vanilla Ice, cte purge pour moi, fiuu, le truc qui fait tenir c'est la qualité des animatronics de Henson "Splinter surtout".

[Paradis]

@Paradis , peur que le cinoche finisse comme les salles d'arcade ...

A terme, il y a une certaine analogie.
Juste que ça sera sans doute tout en douceur.
On ne le verra pas venir. Les petits d'abord et puis les autres...

Sinon, j'ai revu avant hier Interstellar . . . en attendant de 2 sur Netflix. Vraiment ?

[Gringos10]

en attendant de 2 sur Netflix. Vraiment ?

[8pneus]

[mention]Paradis[/mention] , ta signature, avatar, localisation, ... tu veux nous mettre sur une piste ?

[Paradis]

Non, Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles

[8pneus]

Bon moi j'ai rajouté un avatar aussi, j'ai du colorer les pneus en jaune car en marron ça fait un peu étron sur les bords , sinon le compte est bon.
En plus c'est tiré de Dead Connection, un jeu que j'adore et qui est raccord avec le sujet du topic, ambiance films noirs.

[Gringos10]

Je suis tombé par hasard sur Logan, en farfouillant sur prime, et bonne surprise, un Marvel bien dark, sans concession, ça change des soupes habituelles qu'ils nous servent. Écrit et réalisé par James Mangold (Copland, Identity, Le Mans 66, 3h10 pour Yuma, Walk the line, Indiana Jones 5 )

[8pneus]

Cela va faire bizarre après la retraite de Hugh, il campait bien le perso.

[Gringos10]

En effet il est moins interchangeable que d'autres acteurs campant des super-héros.

[aragorn42]

Je l'ai vu, il y a longtemps Logan. Il faudrait que je le remate, la jeune actrice est top, elle joue aussi dans une série assez sympa, His Dark materials.

[petitevieille]

Vu, enfin, Blade Runner 2049.

On y retrouve une très belle histoire d'amour, car impossible, entre deux êtres que tout sépare, l'un étant un réplicant cherchant un sens à sa vie d'androïde larbin des humains après une découverte déstabilisante, l'autre cherchant lui aussi un sens à sa vie 30 ans après des événements cruciaux pour le premier. Le fait que cette histoire se déroule dans un futur encore plus désespéré que le premier met en exergue l'aspiration à une existence pleine et entière des réplicants, mais alors bien pleine et bien entière l'existence hein, en la plaçant dans un registre tragi-comique.

[Gringos10]

t'as bien aimé sinon?

[petitevieille]

J'y ai retrouvé tout ce qui faisait la qualité de Blade Runner le premier, avec juste un poil trop de maniérisme, par moments. Par exemple j'étais blasé de cette volonté de faire de Wallace un type plus qu'étrange, pompeux et parlant presque en énigmes, là où dans le premier, Tyrell était certes perché mais encore crédible.
Mais sinon, belle exploitation de la thématique de l'androïde, pas trop prévisible, à part la présence de Deckard qui était de toute façon grillée d'avance, c'était impossible d'en faire une surprise.
Par ailleurs, le fait de savoir que l'univers d'ALIEN est le même que celui de Blade Runner influence nettement la vision qu'on a de l'histoire.

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Cela désamorce l'enjeu de la capacité des réplicants à enfanter : puisqu'on connaît le futur, avec l'histoire d'ALIEN et de Prometheus, on sait que les futurs androïdes sont toujours fabriqués par les humains, et même technologiquement plus robotiques que les réplicants synthétiques organiques. Par exemple David est parfaitement conscient de son statut de machine artificielle. On sait donc déjà que la révolution nataliste des réplicants rebelles n'aboutira pas. Ou alors, ils se sont totalement mêlés à la population humaine et on ne sait plus faire la différence, et les androïdes comme David sont encore une autre lignée, volontairement moins organique. Ce fatalisme est néanmoins assez cohérent avec l'ambiance des flims.

[Captain Obvious]

Il me semblait que les replicants étaient plus des espèces de clones que des robots comme on voit dans Alien.Non?

[petitevieille]

Oui, des êtres synthétiques mais organiques, pour lesquels on a cultivé des cellules, comme les animaux synthétiques déjà présents dans le roman eux aussi.
Dans ALIEN, les androïdes ont une base clairement mécanique, informatique, enrobée dans des tissus. S'il y a continuité des univers, il y a nécessairement eu un abandon des technologies organiques, qui ne sont jamais évoquées dans ALIEN. Ils auraient eu l'occasion pourtant, par exemple en expliquant la valeur surréaliste accordée au chat par le fait qu'il est un véritable animal naturel, pas un être synthétique (mais dans ce cas que ferait-il dans un vaisseau cargo ?).

[Urbinou]

Mouais, et si le "lien" entre ces deux films n'était qu'un easter egg, un clin d'oeil sans réalité concrète ? Voire un appeau à théories fumeuses

[Tryphon]

Surtout que Blade Runner, c'est quand même un bouquin à la base (même si le film est assez éloigné).

[petitevieille]

Je pense que c'est une facilité de Papy Ridley qui n'était pas du tout présente à l'époque. Si c'était le cas ils auraient mis des indices plus clairs dans les flims à l'époque (et pas seulement le design des ordinateurs qui sont surtout les témoins d'une époque).
Mais c'est intéressant à creuser.

[Gringos10]

Mouais, et si le "lien" entre ces deux films n'était qu'un easter egg, un clin d'oeil sans réalité concrète ? Voire un appeau à théories fumeuses

Bah ce n'est que ça oui.

[Captain Obvious]

John Mc Tiernan a 70 ans aujourd'hui.
Petite interview de 2016 :

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... n-America-

[Captain Obvious]

Mouais, et si le "lien" entre ces deux films n'était qu'un easter egg, un clin d'oeil sans réalité concrète ? Voire un appeau à théories fumeuses

Bah ce n'est que ça oui.

Ouais ou alors pire ça rentrerait dans l'idée de créer une licence avec un univers étendu, des crossover, des série...etc Ce que cherchent à faire tout les studios aujourd'hui.

[Gringos10]

John Mc Tiernan a 70 ans aujourd'hui.
Petite interview de 2016 :

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... n-America-

j'adore !

[lessthantod]

J'ai rematé les 2 woody Allen avec Emma Stone ...



Magic in the Moonlight nous emmène sur la French Riviera, dans les années 20 et en compagnie du duo Colin Firth-Emma Stone. L'alchimie ne semble pas être évidente entre les 2 acteurs et on sent que Colin Firth n'est pas très à l'aise dans l'univers de Woody Allen. Par contre Emma Stone est impeccable et est bien plus à l'aise que son partenaire masculin. A l'image de Scarlett Johansson quelques années auparavant, elle rayonne de milles feux sous la caméra de Woody Allen et correspond parfaitement au profil que l'on se fait de l'héroïne "allénienne", belle, fraiche et enjouée.
Woody Allen est très économe dans sa mise en scène et par conséquent le film ressemble beaucoup à une pièce de théâtre filmée. Les dialogues teintés d’humour font souvent (mais pas toujours) mouche, ce qui bien souvent (mais pas toujours) nous sauve de l'ennuie. De plus le tout est léger et charmant, mais un peu trop léger à mon goût. Les beaux paysages et la reconstitution des années 20 est très réussie, les images sont léchées, mais un manque de rythme rend le tout bien trop ennuyeux par moment. Le scénario tourne en rond autour de la question de la croyance et la confrontation entre Colin Firth "le rationnel" et Emma Stone "la croyante" s'essouffle trop vite. On comprends très vite que le personnage incarné par Emma Stone n'est pas si croyante que ça et qu'elle s'amuse de ce magicien (Colin Firth) aigri, misanthrope et rationnel. On espère que le film nous réserve des surprises sur la fin, mais non elles ne viennent jamais. Woody Allen est un réalisateur très méthodique, il expose sa théorie, mais au final il s’enfonce dedans. C'est que le réalisateur new yorkais a alors 78 ans lors du tournage du film et ça se ressent, il peine à retrouver la fougue de ses premiers films.
La recette allénienne ne prend pas cette fois-ci et le crue 2014 se révèle être un peu décevant, pas totalement raté mais bien loin du meilleur que ce que peut nous offrir Woody Allen.



L'Homme Irrationnel fait suite à Magic in the Moonlight et se révèle être fort heureusement bien plus réussi que ce dernier. Dès les premiers instants, on est fasciné par le jeu d'acteur de Joachim Phoenix en professeur dépressif et alcoolique (y compris en cours). Tout le film tourne autour de ce personnage, de ses 2 histoires d'amour avec une collègue (Parker Posey) et une jeune étudiante (Emma Stone), ainsi que de la préparation d'un meurtre.
Ce cru 2015 est un pur moment de délectation, tout s'enchaîne très vite et on n'a jamais le temps de s'ennuyer. Le scénario révèle de nombreuses surprises et même le dénouement final de cette terrible histoire est inattendu, sauf bien sûr pour les habitués du cinéma de Woody Allen qui auront vite compris les intentions du réalisateur. Mais peu importe que l'on ait deviné ou pas le dénouement final, ça ne diminue en rien notre plaisir en tant que spectateur, car le plaisir est ailleurs, dans le jeu des acteurs, les dialogues jubilatoires et l'énergie qui s'en dégage de l'ensemble. On retrouve la fausse légèreté, le ton désabusé, l’agressivité et enfin la violence d’un Match Point. Dés les premières minutes du film on se sent donc en terre connue, mais pas forcément en terrains conquis de crainte que Woody Allen nous ressorte une fois de plus sa recette habituelle, mais sans saveur. Les premiers instants nous avaient mis la puce à l’oreille, une mise en scène dynamique, un ton méchant et acerbe, le charisme naturel de Joachim Phoenix, la séduction d'Emma Stone ... et au final le film prend la forme exacte qu’on supposait et surtout il tient toutes ses promesses.
Les fans de Woody Allen ne pourront s’empêcher de constater une certaine prévisibilité dans la mécanique de ce cru 2015. Mais voilà, on prend énormément de plaisir à nous faire balader par l’intelligence du scénario et on sent que Woody Allen s’amuse vraiment de et avec nous en brouillant les pistes.

[Gringos10]

J'avais commencé l'homme irrationnel sans aller au bout, j'avais l'impression que Phoenix était à la limite de la caricature, déjà j'ai Anderson je ne l'avais pas trouvé inspiré.
Le dernier bon Allen que j'ai vu, je crois que c'est match point.

[lessthantod]

J'avais commencé l'homme irrationnel sans aller au bout, j'avais l'impression que Phoenix était à la limite de la caricature, déjà j'ai Anderson je ne l'avais pas trouvé inspiré.
Le dernier bon Allen que j'ai vu, je crois que c'est match point.

Bah justement ...

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On retrouve la fausse légèreté, le ton désabusé, l’agressivité et enfin la violence d’un Match Point.

Pour moi L'homme Irrationnel c'est le meilleur Woody Allen depuis Match Point avec lequel "je trouve" il partage de nombreux point communs (et donc ça m'étonne que tu ne l'ai pas apprécié lui aussi).
Par contre, c'est clair qu'il radote en vieillissant. Même si j'aime encore beaucoup Woody Allen, tous ses films des années 2000-2010 et même 90, ne sont que de pâle copies +/- réussies de ses films des années 70/80.

[Gringos10]

Ah mais je l'ai pas vu en entier, donc je ne peux pas dire que je ne l'apprécie pas, c'est juste le début qui ne m'a pas enthousiasmé mais il faut que je lui laisse sa chance.

[lessthantod]

Oui redonne lui sa chance, car c'est clairement son meilleur film depuis Match Point.
Dans le même style, y'a aussi Le rêve de Cassandre qui pourrait te plaire. Encore que, j'oubliais ... y'a ton chouchou Colin Farrell dedans

[Tryphon]

Je me refais Ghost in the Shell. Ça fait bien 20 ans que je l'ai pas vu. Ça a vraiment super bien vieilli.

[Gringos10]

Tu peux même dire que ça vieillit pas.
Voire que ça se bonifie avec le temps

[Tryphon]

Ouaille, mine de rien le Cyberpunk, il s'est pas passé grand chose en cinéma depuis...

[Gringos10]

A part les Wachowski et Neil Blonkamp, ouais pas grand chose...

[petitevieille]

Vu hier, Seul sur Mars de Papy Ridley.

On y voit une belle histoire d'amour, car impossible, entre deux êtres que tout sépare, l'un étant laissé pour mort sur une planète déserte sans moyen de communication, et dans le genre séparation on peut difficilement faire pire, l'autre étant repartie dans un vaisseau sans même savoir qu'il est encore en vie, et en train de jouer avec son caca. Le fait que cette histoire se déroule sur plusieurs mois, avec les contraintes spécifiques des voyages spatiaux en termes de temps écoulé et de fenêtre d'action, met en exergue les difficultés inhérentes à l'exploration spatiale, en les plaçant dans un registre tragi-comique (surtout la musique de merde d'une autre époque, sérieux commandant…).

En gros c'est Gravity, mais sur Mars et avec des patates au caca.

[Captain Obvious]

Tu peux même dire que ça vieillit pas.
Voire que ça se bonifie avec le temps

Comme il y a de moins en moins de productions de ce type ça va vieillir comme un bon vin. Pareil pour Akira.

[Captain_Eraclés]

J'ai pris le temps dimanche soir de mater un petit film sans prétention pour finir la soirée . Du coup, j'ai cherché un peu sur Netflix, et j'ai trouvé :

Small Crimes
De E.L. Katz, avec Nikolaj Coster-Waldau (Jaime Lannister)

Ayant particulièrement apprécié le jeu d'acteur de ce dernier dans le bon "Shot Caller" ("l'Exécuteur" en français), j'ai pas hésité longtemps à lancer le film . L'acteur est toujours aussi convaincant je trouve . Le film se laisse regarder, mais il faut attendre les 15 dernières minutes pour avoir un peu d'action et d'émotion .

Je vous mets également l'affiche et la bande annonce de "Shot Caller"

[lessthantod]

J'ai rematé 127 heures ...



127 heures, c'est du 100% Danny Boyle. On y retrouve tous les tics de réalisation qui traversent sa filmo et tous les thèmes qui l'obsèdent. Si vous n'aimez pas le style Danny Boyle, ce n'est pas ce film qui va vous réconcilier avec le bonhomme.
127 heures c'est l'histoire vraie d'un jeune alpiniste Aron Ralston, pourtant expérimenté, qui se retrouve bloqué au fond d'un canyon isolé lorsqu'un rocher s'éboule, lui emprisonnant le bras. Comme tous les films de Danny Boyle, 127 heures c'est un film centré sur son personnage principal (character storyline). On suit donc l'évolution psychologique de Aron Ralston, qui passe par tous les états, le désespoir, l’aliénation, l’espérance, le regret, le salut et la rédemption. Ce sont tous les thèmes qui traversent la filmo de Boyle, de Trainspotting à Slumdog Millionaire, en passant par Sunshine et 28 jours plus tard. Le réalisateur use et abuse de ses effets de style, les plans ultra cuttés, les plans à la première personne, les split screen, la caméra en perpétuel mouvement, la photo ultra travaillée avec des couleurs très vives et une narration non linéaire. Et la mise en scène colle à l'état d'esprit du personnage, avec mise en images très "stylisée" des hallucinations et des souvenirs passés du personnage qui la lutte pour sa survie. Danny Boyle c'est tout pour la forme, ce qui sera parfaitement illustré à la fin du film, lorsque arrive l'insoutenable (et limite racoleuse) dernière scène dans le canyon. Inutile de préciser ici de quoi il s'agit, vous le savez probablement déjà ... sinon je vous laisse la surprise. Et pour une fois, James Franco est très bon. L'idée que je me faisait de l'acteur, égocentrique et irritant au possible, colle parfaitement au caractère égoïste et assez branleur du personnage qu'il incarne.
Forcément, l'intérêt principal de 127 heures réside dans le fait que c'est une histoire vraie. C'est toujours plus alléchant pour l'amateur de drames bien réels, même si cela désamorce en partie le suspense. Mais ce qui fait passer le film à un niveau encore supérieur, c'est la vision unique de Danny Boyle et la performance d'acteur de James Franco.

[Mastergurt]

Bon bah petit feed sur le film kickboxer vengeance





Si vous avez vu le premier kickboxer, je pense que vous allez être très déçu. Cela a été mon cas.

Le pitch : Un mec se fait tué par Tong Po lors d'un match à gros sous. Son frangin veut venger sa mort, et se fait entrainer par JCVD.

Etant fan de JCVD, j'étais bien content de voir un film que je n'avais pas vu. Il reste un rôle secondaire, mais fait le taff. Après, on est d'accord, c'est pas du grand ciné hein
Par contre Tong Po, ils ont été nous chercher David Bautista

On est d'accord, on est loin de notre Tong Po tant aimé dans le kickboxer, le VRAI

Tong Po était pour moi un mec qui faisait peur, pour lequel tu tremblais rien que d'écouter le nom. La ils nous ont mis un catcheur du type The Rock. Autant dire qu'il est barraque, mais que côté frisson, y'a mieux

Même les scènes de combat m'ont déçu. L'entrainement du frangin voulant se venger est bâclé, la où dans l'original, cela avait un vrai intérêt, et faisait parti intégrante du film comme la castagne. La, pas une once d'émotion, rien...

En résumé, film sympathique a regarder en faisant autre chose, car ne vous emballera sans doute pas. Par contre, il vous donnera sans doute, comme moi, envie de vous remettre l'original.

Ce navet intersidérale, ouai en faisant cuire tes pâtes et ton steack pour dire regarder un truc. Nul à chier. Allez plutôt regarder le premier ou Blood And Bones avec Jai White. Ou Only The Strong pour la capoeira. Ou Full Contact le meilleur Van Damme.

[Albibak]

On est bien d'accord

[Gringos10]

On est bien d'accord

sauf sur le fait que full contact est le meilleur JCVD

[lessthantod]

J'ai rematé Her ...



Spike Jonze est un réalisateur qui, au vu de sa filmographie, se fait bien trop rare, avec seulement 4 films sur ces 20 dernières années et toujours aucune sortie depuis Her (2013). Mais toujours est-il que peu de réalisateurs peuvent se targuer de manier aussi bien et avec autant d'habilité, originalité du scénario et intelligence du propos, d'où une filmographie d'exception.
Her est un film SF d'anticipation qui se démarque de la concurrence de part son originalité, ainsi que par la sensibilité de son scénario avec des touches humoristiques vraiment bien senties. En instance de divorce, Théodore (Joaquim Phoenix) trouve un palliatif à sa solitude auprès d'un programme informatique fort original qui, par le biais d'une simple voix (Scarlett Johansson), va le bouleverser à tel point qu'elle va devenir sa nouvelle compagne "virtuelle". Il en découle beaucoup de sensibilité dans les sentiments amoureux "cyber-humain" qui animent ces 2 êtres, mais aussi quelques situations fort cocasses. On se prend très vite d'affection, voir même on s'identifie à notre héros au regard si triste. Les dialogues percutants ainsi que les nombreuses surprises du scénario, font qu'on ne s'ennuie jamais. Les scènes d'anthologie sont nombreuses, à commencer par les tentatives maladroites (et à l'issue désastreuse) de l'héroïne, pour provoquer son union avec Théodore. C'est parfois drôle et toujours tendre, révélant la force des sentiments réciproques animant ces 2 êtres si différents. C'est brillamment réalisé, mais aussi et surtout superbement interprété avec un Joaquin Phoenix hors normes, la voix enivrante de Scarlett Johansson et un casting secondaire impressionnant (Rooney Mara, Amy Adams, Olivia Wilde ...).
Her est le genre de film qui vous pousse à réfléchir sur les dérives de notre société actuelle et qui vous hante pendant un bon moment. C'est un film hautement recommandable, qui rappelle par bien des côtés le génie déjà perçu précédemment dans Adaptation et Dans la peau de John Malkovich.

[Gringos10]

J'ai rematé Her ...



Spike Jonze est un réalisateur qui, au vu de sa filmographie, se fait bien trop rare, avec seulement 4 films sur ces 20 dernières années

+10 000
après c'est peut être mieux d'attendre d'avoir des choses à dire plutôt que de se répéter ou pire se caricaturer (comme certains)

[Captain Obvious]

Pour l'anecdote, le jeu vidéo qu'on voit dans le film a été imaginé par un vrai développeur ( David OReilly) à qui on doit notamment Everything.

[Gringos10]

je ne m'en souviens même pas dans le film.

[Captain Obvious]

Pour être plus clair, dans le film on ne voit pas Everything, on voit un jeu imaginé par David OReilly ( qui à aussi fait Everything(un vrai jeu)).

[Captain_Eraclés]

"HER"

C'est le film qui m'a fait connaître Joaquin PHOENIX . J'ai adoré

[Gringos10]

"HER"

C'est le film qui m'a fait connaître Joaquin PHOENIX . J'ai adoré

Ahhh
et depuis t'en as vu d'autres?

[Captain_Eraclés]

Et bien uniquement "JOKER" que j'ai également adoré, surtout pour sa performance !

Sinon, rétrospectivement, j'ai vu des films avec lui, mais que je prenais pour un acteur lambda, sans y prêter attention . Je vous mets les films avec le nom de l'acteur qui me revient :
-Le Village (Adrien Brody)
-Signes (Mel Gibson)
-Gladiator (Russell Crowe)

Et puis deux que j'ai envi de voir :
-Les frères Sisters
-L'Homme irrationnel