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Tiens l'ultime razzia jamais vu mais ça m'intéresse clairement car je suis plus client du Kubrick des débuts, et sterling Hayden m'a donné envie d'en voir d'autres après son rôle dans dr folamour.
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Oui c'est aussi l'effet que j'ai eu en voyant Dr folamour, Kubrick était clairement en avance sur son temps et surdoué pour la mise en scène, c'est sûrement pour ça qu'il choisit une voie si singulière par la suite.Shovel Knight a écrit : ↑06 juin 2022 00:05Je l'ai vu y'a fort longtemps et je me souviens clairement que pour un film des années 50 il m'avait fait forte impression pour sa modernité étonnante, de part sa narration non linéaire mais aussi sa mise en scène (plan séquence, mouvement de caméra, montage...). J'avais trouvé ça très dynamique et moderne je m'y attendais pas du tout.
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Pareil et je n'en avais gardé quasi aucun souvenir, mis à part le masque de clown du braqueur.Shovel Knight a écrit :Je l'ai vu y'a fort longtemps et je me souviens clairement que pour un film des années 50 il m'avait fait forte impression pour sa modernité étonnante, de part sa narration non linéaire mais aussi sa mise en scène (plan séquence, mouvement de caméra, montage...). J'avais trouvé ça très dynamique et moderne je m'y attendais pas du tout.lessthantod a écrit :J'ai aussi rematé L'Ultime Razzia ...
Et très surpris à quel point il est en avance sur son temps, la narration non linéaire a dû surprendre plus d'un spectateur à l'époque.
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Hier soir, j'ai maté Warm Bodies ...

Il y a beaucoup, mais alors vraiment beauuucouuup de films de zombies qui sont sortis dans les années 2000 puis 2010, grâce au succès de la saga Residence Evil (une immondice indigne de mon intérêt) et de 28 jours plus tard (un must du genre). Il n’est donc pas surprenant de voir les pontes des studios, tous les uns après les autres, essayer de tirer profit du phénomène. Les zombies sont plus rapides, plus lents, plus drôles et parfois même parodiés. Avec Warm Bodies, maintenant les zombies tombent amoureux.
R (Nicholas Hoult) est un zombie, mais il essaie de se souvenir de sa vie passée, lorsqu'il était humain. Il est à peine capable de grogner un mot et il a même un ami M (Rob Corddry) avec lequel il passe le plus clair de son temps. En chassant, R rencontre Julie (Teresa Palmer), une humaine qui s'est aventurée sur le territoire des zombie pour se ravitailler. R tombe immédiatement amoureux de la fille et la sauve de la meute de zombies.
Vous l'aurez compris, Warm Bodies c'est en quelque sorte Romeo & Juliette au pays des Zombies (R pour Roméo et Julie pour Juliette). C'est une comédie romantico-horrifique assez équilibrée, bien que ce soit la romance qui domine sur tout le reste. C'est gentiment gore sur les bords, mais rien de bien choquant pour le spectateur lambda. Le film est sorti avec la recommandation Rated PG-13 seulement. C'est assez drôle aussi par moment, mais jamais hilarant. Le réalisateur Jonathan Levine n'a jamais voulu tendre vers la parodie, ce qui "je pense" fut un choix judicieux.
Le film m’a bien sûr fait penser à Roméo & Juliette, mais aussi à Edward aux mains d'argent. A plusieurs repises, le jeu (et le physique) de Nicholas Hoult m'a rappelé celui de Johnny Depp (aka Edward Scissorhands) et je ne serais pas surpris d'apprendre que c'était une directive du réalisateur pour guider son jeu. Il y a un peu cette idée que R est un zombie, mais est aussi la créature de Frankenstein.
Rendre crédible une histoire d'amour entre une humaine et un zombie, ce n'était pas chose facile. Et pourtant, ça fonctionne, c'est la magie du cinéma qui opère à fond. Par contre, Warm Bodies ne respecte pas toujours ses propres règles du film de zombies et parfois ça m'a fait sortir du film. Notre héros R nous dit que les zombies ne peuvent pas courir, mais peu de temps après, nous voyons des zombies courir. En outre, pour une raison que j'ignore, les osseux se déplacent plus rapidement encore que les zombies, bien qu’ils soient à un stade plus avancé de zombification.
De part sa courte durée (1h38), le film profite d'un très bon rythme et on ne s'ennuie pas une seule seconde. Par contre, les zombies évoluent trop vite à mon goût, surtout M le meilleur ami de R. M s'humaine trop rapidement, sans qu'on puisse l'expliquer. Tout le film repose sur les épaules Nicolas Hoult, ça ne peut fonctionner que si on croit que c'est réellement un zombie. Il arrive à nous faire croire en ce monstre gentil et intelligent, assez solitaire et ayant du mal à exprimer ses sentiments en mots ou en actions, mais qui lentement s'humanise au contact de Julie. Warm Bodies pourrait même être considéré comme une allégorie sur la solitude, R qui n'arrive pas à s'intégrer, ce qui montre à quel point il est difficile de se connecter aux autres dans la société moderne.
Le maquillage des zombie est assez minimaliste et jamais vraiment effrayant. Et pour cause, il fallait rendre notre héros suffisamment attrayant, d’une manière gothique (aka Edward Scissorhands encore une fois), pour nous faire croire qu'une humaine puisse tomber amoureuse d'un zombie. De ce fait, il y a très peu de sang montré à l'écran et pas ou peu de scènes gores. La seule scène du film que je pourrais qualifier de "gore", c'est lorsqu'un zombie s'arrache la peau du visage pour devenir un osseux et encore que ... même ça, ce n'est pas très effrayant. Cette directive amoindrie forcément l'aspect horrifique du film, mais c'était difficile de faire autrement, j'imagine !
Warm Bodies repose sur un concept franchement casse-gueule et finalement, il ne s'en sort pas si mal ! Alors certes il ne réussi pas tout ce qu'il entreprend, mais il a au moins le mérite d'être originale au milieu de tous ces films de zombies.

Il y a beaucoup, mais alors vraiment beauuucouuup de films de zombies qui sont sortis dans les années 2000 puis 2010, grâce au succès de la saga Residence Evil (une immondice indigne de mon intérêt) et de 28 jours plus tard (un must du genre). Il n’est donc pas surprenant de voir les pontes des studios, tous les uns après les autres, essayer de tirer profit du phénomène. Les zombies sont plus rapides, plus lents, plus drôles et parfois même parodiés. Avec Warm Bodies, maintenant les zombies tombent amoureux.
R (Nicholas Hoult) est un zombie, mais il essaie de se souvenir de sa vie passée, lorsqu'il était humain. Il est à peine capable de grogner un mot et il a même un ami M (Rob Corddry) avec lequel il passe le plus clair de son temps. En chassant, R rencontre Julie (Teresa Palmer), une humaine qui s'est aventurée sur le territoire des zombie pour se ravitailler. R tombe immédiatement amoureux de la fille et la sauve de la meute de zombies.
Vous l'aurez compris, Warm Bodies c'est en quelque sorte Romeo & Juliette au pays des Zombies (R pour Roméo et Julie pour Juliette). C'est une comédie romantico-horrifique assez équilibrée, bien que ce soit la romance qui domine sur tout le reste. C'est gentiment gore sur les bords, mais rien de bien choquant pour le spectateur lambda. Le film est sorti avec la recommandation Rated PG-13 seulement. C'est assez drôle aussi par moment, mais jamais hilarant. Le réalisateur Jonathan Levine n'a jamais voulu tendre vers la parodie, ce qui "je pense" fut un choix judicieux.
Le film m’a bien sûr fait penser à Roméo & Juliette, mais aussi à Edward aux mains d'argent. A plusieurs repises, le jeu (et le physique) de Nicholas Hoult m'a rappelé celui de Johnny Depp (aka Edward Scissorhands) et je ne serais pas surpris d'apprendre que c'était une directive du réalisateur pour guider son jeu. Il y a un peu cette idée que R est un zombie, mais est aussi la créature de Frankenstein.
Rendre crédible une histoire d'amour entre une humaine et un zombie, ce n'était pas chose facile. Et pourtant, ça fonctionne, c'est la magie du cinéma qui opère à fond. Par contre, Warm Bodies ne respecte pas toujours ses propres règles du film de zombies et parfois ça m'a fait sortir du film. Notre héros R nous dit que les zombies ne peuvent pas courir, mais peu de temps après, nous voyons des zombies courir. En outre, pour une raison que j'ignore, les osseux se déplacent plus rapidement encore que les zombies, bien qu’ils soient à un stade plus avancé de zombification.
De part sa courte durée (1h38), le film profite d'un très bon rythme et on ne s'ennuie pas une seule seconde. Par contre, les zombies évoluent trop vite à mon goût, surtout M le meilleur ami de R. M s'humaine trop rapidement, sans qu'on puisse l'expliquer. Tout le film repose sur les épaules Nicolas Hoult, ça ne peut fonctionner que si on croit que c'est réellement un zombie. Il arrive à nous faire croire en ce monstre gentil et intelligent, assez solitaire et ayant du mal à exprimer ses sentiments en mots ou en actions, mais qui lentement s'humanise au contact de Julie. Warm Bodies pourrait même être considéré comme une allégorie sur la solitude, R qui n'arrive pas à s'intégrer, ce qui montre à quel point il est difficile de se connecter aux autres dans la société moderne.
Le maquillage des zombie est assez minimaliste et jamais vraiment effrayant. Et pour cause, il fallait rendre notre héros suffisamment attrayant, d’une manière gothique (aka Edward Scissorhands encore une fois), pour nous faire croire qu'une humaine puisse tomber amoureuse d'un zombie. De ce fait, il y a très peu de sang montré à l'écran et pas ou peu de scènes gores. La seule scène du film que je pourrais qualifier de "gore", c'est lorsqu'un zombie s'arrache la peau du visage pour devenir un osseux et encore que ... même ça, ce n'est pas très effrayant. Cette directive amoindrie forcément l'aspect horrifique du film, mais c'était difficile de faire autrement, j'imagine !
Warm Bodies repose sur un concept franchement casse-gueule et finalement, il ne s'en sort pas si mal ! Alors certes il ne réussi pas tout ce qu'il entreprend, mais il a au moins le mérite d'être originale au milieu de tous ces films de zombies.
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Ce week-end j'ai vu Odama 10 000 nuits dans la jungle, film consacré à Hirō Onoda, le dernier soldat japonais de la 2e guerre mondiale qui est resté sur une île des Philippines, où il avait envoyé pour y pratiquer la guérilla, jusqu'en 1974... C'est un film français de Arthur Harari qui rappelle un peu les films américains des années 70 sur le Vietnam. Le film traine un peu en longueur (2h45), mais on s'attache à ce groupe de soldats, qui se réduit au fur et à mesure que le temps passe, toujours prêts à sombrer dans la folie mais animés par un juste au boutisme qui les fait tenir autour de leur chef, Onoda. J'ai trouvé ça intéressant mais il manque un je ne sais quoi pour rendre le film plus marquant, ça ne m'a pas assez pris aux tripes je dirais.
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Compliqué ce genre de film pour moi. On s'est endormi devant hier soir, aujourd'hui je l'ai regardé seul. Si je devais résumer, ça donnerait ça : "Un film qui possède une âme, mais qui ne m'intéresse pas forcément." Je ne suis peut-être pas assez calé en cinoche pour apprécier cette partie de son histoire. Pourtant j'ai aimé le perso principal, mais je sais pas... J'étais pas à fond dedans.
Dernière modification par wiiwii007 le 05 mars 2023 16:20, modifié 1 fois.
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Film que j'ai déjà vu mais que je voulais revoir pour me rafraichir la mémoire. J'aime le concept, le délire toussa... En revanche j'ai trouvé qu'il trainait un peu en longueur. Sur la fin je me disais "bon, ce serait pas mal qu'il sauve les martiens et que ça se finisse". Ma copine, elle, a trouvé le film moyen, elle m'a dit "si je devais mettre une note ce serait entre 9 et 11." mais bon, à la base elle n'aime pas forcément la SF donc c'est compliqué. En plus c'est marrant on n'a pas eu la même vision de la fin. Elle, pense que c'est la réalité tout le film, alors que moi je pense qu'à partir de l'implant, il est dans le rêve.
Dernière modification par wiiwii007 le 05 mars 2023 16:20, modifié 1 fois.
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Il y a débat sur ce sujet ?
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Et pourtant ... selon Paul Verhoeven himself, c'est bien un rêve !
Dernière modification par lessthantod le 08 juin 2022 14:52, modifié 2 fois.
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Pour moi aussi, c'est un rêve. Même si certains points peuvent faire douter.
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Oui, malheureusement il y a trop d'incohérence pour affirmer avec certitude si c'est bien un rêve ou la réalité. Bien que Paul Verhoeven ait tranché la question à notre place, il y a toujours un élément qui vient ruiner l'une ou l'autre théorie.
Edit : ma critique de total Recall, rédigée il y a longtemps ...
Edit : ma critique de total Recall, rédigée il y a longtemps ...
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Dernière modification par lessthantod le 08 juin 2022 17:14, modifié 1 fois.
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Je suis plutôt d'ac avec ton avis less.
Rassuré de voir que le réalisateur a tranché dans cette version (rêve), sinon je n'aurais pas bien saisi sa réalisation. Ca m'aurait ennuyé car je ne l'aurais, du coup, pas trouvé bon du tout ce film. Là ça me va, le WTF est crédible.
Rassuré de voir que le réalisateur a tranché dans cette version (rêve), sinon je n'aurais pas bien saisi sa réalisation. Ca m'aurait ennuyé car je ne l'aurais, du coup, pas trouvé bon du tout ce film. Là ça me va, le WTF est crédible.
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J'ai vu Jurassic World 3 hier en avant première.
Je n'aime pas les 2 premiers films, donc je n'attendais rien du 3e, mais je suis quand même déçu !
J'y étais pour faire plaisir à un pote, fan de Jurassic Park, qui me tanne sur ce film depuis 1 an
Pour faire simple, l'histoire ne sert à rien.
Des films comme ça, ils peuvent en faire plein, tellement le sujet n'a pas bougé d'un iota entre le début et la fin du film.
C'est un film prétexte pour ressortir les (aujourd'hui mauvais) acteurs de Jurassic Park afin de dégueuler de fan service qui ne prend jamais.
2H30 difficiles pour moi, alors que je suis plutot bon client pour les films d'actions / spectacle
L'histoire en un mot :
Je n'aime pas les 2 premiers films, donc je n'attendais rien du 3e, mais je suis quand même déçu !

J'y étais pour faire plaisir à un pote, fan de Jurassic Park, qui me tanne sur ce film depuis 1 an

Pour faire simple, l'histoire ne sert à rien.
Des films comme ça, ils peuvent en faire plein, tellement le sujet n'a pas bougé d'un iota entre le début et la fin du film.
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Le Jurassic World 1 n'était vraiment pas fameux et le 2 encore pire, avec une action qui reste concentrée dans un pauvre hangar quasi tout le film.
Je n'espérais rien de ce 3ème opus mais visiblement ils ont réussi à faire encore pire
Je n'espérais rien de ce 3ème opus mais visiblement ils ont réussi à faire encore pire
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+1 pour moi, mais je trouve le film super bien fait là-dessus parce que les deux interprétations peuvent fonctionner.
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
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Ah merde, je comptais emmener le petit et son pote...DjBegi a écrit : ↑08 juin 2022 16:56J'ai vu Jurassic World 3 hier en avant première.
Je n'aime pas les 2 premiers films, donc je n'attendais rien du 3e, mais je suis quand même déçu !![]()
J'y étais pour faire plaisir à un pote, fan de Jurassic Park, qui me tanne sur ce film depuis 1 an![]()
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Des films comme ça, ils peuvent en faire plein, tellement le sujet n'a pas bougé d'un iota entre le début et la fin du film.
C'est un film prétexte pour ressortir les (aujourd'hui mauvais) acteurs de Jurassic Park afin de dégueuler de fan service qui ne prend jamais.
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+1
c'est très bon et c'est un point fort ces indices qui laissent planer le doute et ouvrent la porte aux deux possibilités.
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bah ne te prive pas, c'est fait pour eux justement...wiiwii007 a écrit : ↑08 juin 2022 17:39Ah merde, je comptais emmener le petit et son pote...DjBegi a écrit : ↑08 juin 2022 16:56J'ai vu Jurassic World 3 hier en avant première.
Je n'aime pas les 2 premiers films, donc je n'attendais rien du 3e, mais je suis quand même déçu !![]()
J'y étais pour faire plaisir à un pote, fan de Jurassic Park, qui me tanne sur ce film depuis 1 an![]()
Pour faire simple, l'histoire ne sert à rien.
Des films comme ça, ils peuvent en faire plein, tellement le sujet n'a pas bougé d'un iota entre le début et la fin du film.
C'est un film prétexte pour ressortir les (aujourd'hui mauvais) acteurs de Jurassic Park afin de dégueuler de fan service qui ne prend jamais.
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Ca reste du film spectacle qui peut plaire aux enfants bien sur
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Oui je sais bien, mais maintenant chui moins confiant ^^ En plus en FR, ça risque d'être compliqué. On verra bien.
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Vu Jurassic World : Le monde d'après avec ma fille hier soir au cinéma. Elle est passionnée par les dinosaures et fan de la série, c'est surtout pour elle qu'on est y allés parce que moi... mouais.

Bon, au final je ne suis pas si déçu parce que j'en ai lu tellement de mal et de critiques ultra négatives sur Twitter que je m'attendais à bien pire. Bon, c'est vraiment pas ouf effectivement mais ça se laisse regarder.
Le must, c'était de voir les réactions de ma fille. Déjà, elle connaissait TOUS les dinosaures qui apparaissaient à l'écran ("oh, un parasaurolophus", "waouh, un gigantosaure !", "attention, des dilophosaures !"), ça m'a fait trop rire.
Et les émotions quand elle a vu apparaître à l'écran Owen Grady / Chris Pratt, celle quand elle a entendu pour la première fois le thème principal de la saga, et les deux fois où elle a sursauté
Juste pour ça, je suis ravi d'être allé voir le film.
Mais sinon, mouais, voilà quoi. C'est un épisode parmi d'autres dans cette série, ni le pire, ni le meilleur.

Bon, au final je ne suis pas si déçu parce que j'en ai lu tellement de mal et de critiques ultra négatives sur Twitter que je m'attendais à bien pire. Bon, c'est vraiment pas ouf effectivement mais ça se laisse regarder.
Le must, c'était de voir les réactions de ma fille. Déjà, elle connaissait TOUS les dinosaures qui apparaissaient à l'écran ("oh, un parasaurolophus", "waouh, un gigantosaure !", "attention, des dilophosaures !"), ça m'a fait trop rire.
Et les émotions quand elle a vu apparaître à l'écran Owen Grady / Chris Pratt, celle quand elle a entendu pour la première fois le thème principal de la saga, et les deux fois où elle a sursauté

Juste pour ça, je suis ravi d'être allé voir le film.
Mais sinon, mouais, voilà quoi. C'est un épisode parmi d'autres dans cette série, ni le pire, ni le meilleur.
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C'est génial j'ai toujours cru que mes gosses feraient comme la tienne et comme Tim du premier film mais non, la grande c'est les marques de vêtements et le petit dernier c'est les fusils d'assaut, j'ai des gosses de droite je comprends pas.
- Shovel Knight
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J'avais envie d'en savoir plus sur Michaël Youn. Le premier : La beuze. Je l'avais déjà vu il y a quelques temps... Marrant, mais pas plus que ça. J'aime bien la chanson connue par contre. J'ai toujours bien aimé les conneries qu'il fait ^^

Celui là est beaucoup mieux à mon sens (pour ma copine aussi). Une situation simple : Un déménagement à la hâte. Tu ajoutes à ça des potes relous, des histoires de gonzesses, des quiproquos, et t'as un film vraiment sympa à suivre. On a passé un bon moment.
Dernière modification par wiiwii007 le 05 mars 2023 16:20, modifié 1 fois.
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T'as de drôles d'envies quand même...
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Bah j'aime bien Michaël Youn ^^ Je ne le trouve pas mauvais. Et il me fait rire.
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Il est pas mauvais dans Carbone.
Mais c'est un rôle sérieux.
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Pas vu dans ce film.
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Hier soir on a voulu tenter les débuts de John Carpenter ^^
Je ne sais pas trop comment expliquer le sentiment que j'ai eu vis à vis de ce film. C'est quoi au juste ? Une comédie SF ? Une curiosité ? Je ne m'attendais à rien et c'est tant mieux car c'est ce que j'ai eu
Chui méchant... J'ai eu quelques passages qui m'ont bien fait rire tellement c'était WTF. Putain la SF du début des années 80 c'est compliqué ^^
Sinon, chapeau quand même à John Carpenter car à cette époque, ça devait être compliqué, surtout qu'en plus il compose les ziks le monsieur. Bref, pas pour moi, mais c'était instructif.
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Hier soir on a voulu tenter les débuts de John Carpenter ^^
Je ne sais pas trop comment expliquer le sentiment que j'ai eu vis à vis de ce film. C'est quoi au juste ? Une comédie SF ? Une curiosité ? Je ne m'attendais à rien et c'est tant mieux car c'est ce que j'ai eu

Sinon, chapeau quand même à John Carpenter car à cette époque, ça devait être compliqué, surtout qu'en plus il compose les ziks le monsieur. Bref, pas pour moi, mais c'était instructif.
Dernière modification par wiiwii007 le 05 mars 2023 16:21, modifié 1 fois.
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Il n'est pas représentatif de la sf de l'époque, c'est limite un film d'étudiants, il est à prendre comme un brouillon de ce que seront les carrières de Carpenter et O'Bannon, deux génies qui ont laissé leurs noms au panthéon de la SF (au cinéma).
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Quand je disais "la SF du début des années 80 c'est compliqué", je me suis mal exprimé, je parlais des effets surtout. C'est dingue.
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Déjà c'est pas un film des années 80, ensuite c'est un film fauché.
A l'époque 2001 était déjà sorti, et star Wars/Alien allaient arriver.
Donc non ce n'était pas "compliqué" niveau effets spéciaux, c'est juste que dark star a été fait avec 3 bouts de ficelle.
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On en pense ce qu'on veut, mais 2001 niveau effets spéciaux, il se pose là quand même. 1968 le film...
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
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Oui clairement, si il y a un truc sur lequel il est irréprochable c'est bien ça.
Même aujourd'hui il tient encore la route.
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Ah ça va... 79, 80, c'est pareil ^^Gringos10 a écrit : ↑11 juin 2022 12:03Déjà c'est pas un film des années 80, ensuite c'est un film fauché.
A l'époque 2001 était déjà sorti, et star Wars/Alien allaient arriver.
Donc non ce n'était pas "compliqué" niveau effets spéciaux, c'est juste que dark star a été fait avec 3 bouts de ficelle.
Sinon ouai, effectivement, je ne sais pas pourquoi j'avais zappé que les "grosses pointures" étaient de ces années là... Dans ma tête on était plus dans le milieu des années 80 pour les Alien. Et Odyssey je ne l'ai jamais vraiment daté. Il est dingue celui là...
Mais ouai, j'ai du voir des merdouilles pour penser ça. Je retrouverais d'où ça vient avec le temps

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Bienvenue Mister Chance (titre original : Being There), 1980

Je ne sais plus où j'avais entendu parlé de ce film, mais il était sur mon disque dur depuis des années. Je me demande si c'était pas une reco de Karim Debache. Bref je l'ai lancé sans presque rien connaitre à part le pitch : "Les aventures d'un jardinier de Washington naïf et simplet prénommé Chance. Mr Chance est tellement naturel que chacune de ses phrases va être prise pour un véritable oracle et qu'il va devenir la coqueluche du pouvoir."
Et bin c'était génial. Un peu longuet sur la fin, le film dure 2h et aurait gagné à être raccourci un peu je pense. Mais j'ai été happé dès le début. Le personnage est fascinant, et on prend vraiment plaisir à le voir évoluer dans le monde réel qu'il découvre avec son regard naïf et simplet. Chaque nouvelle rencontre est délicieuse, les dialogues le sont tout autant. Peter Sellers est fantastique.
Bref je recommande.

Je ne sais plus où j'avais entendu parlé de ce film, mais il était sur mon disque dur depuis des années. Je me demande si c'était pas une reco de Karim Debache. Bref je l'ai lancé sans presque rien connaitre à part le pitch : "Les aventures d'un jardinier de Washington naïf et simplet prénommé Chance. Mr Chance est tellement naturel que chacune de ses phrases va être prise pour un véritable oracle et qu'il va devenir la coqueluche du pouvoir."
Et bin c'était génial. Un peu longuet sur la fin, le film dure 2h et aurait gagné à être raccourci un peu je pense. Mais j'ai été happé dès le début. Le personnage est fascinant, et on prend vraiment plaisir à le voir évoluer dans le monde réel qu'il découvre avec son regard naïf et simplet. Chaque nouvelle rencontre est délicieuse, les dialogues le sont tout autant. Peter Sellers est fantastique.
Bref je recommande.
Tu veux un coup d'pelle ?
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Moi il est dans un tiroir ou une pile de DVD, ça fait un moment aussi que je dois le regarder.
Tu m'as donné envie, je connais très mal Peter sellers, mais il me paraît très talentueux.
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Il est de 74!!!!wiiwii007 a écrit : ↑11 juin 2022 13:12Ah ça va... 79, 80, c'est pareil ^^Gringos10 a écrit : ↑11 juin 2022 12:03Déjà c'est pas un film des années 80, ensuite c'est un film fauché.
A l'époque 2001 était déjà sorti, et star Wars/Alien allaient arriver.
Donc non ce n'était pas "compliqué" niveau effets spéciaux, c'est juste que dark star a été fait avec 3 bouts de ficelle.
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J'en parle pas souvent et on ne l'a pas beaucoup cité dans le topic des tops SF (ce qui est inadmissible), mais Silent running a été un jalon essentiel de la SF au cinéma après l'odyssée. (D'ailleurs il se déroule également en 2001)

(1972)
Le réalisateur de ce film est à l'origine des effets spéciaux de 2001, rencontre du troisième type, blade runner, star trek le film... Rien que ça...
Et il devait réaliser ceux de star Wars mais il préféra orienter Lucas vers deux de ses disciples qui fondèrent ILM avec ce dernier.

(1972)
Le réalisateur de ce film est à l'origine des effets spéciaux de 2001, rencontre du troisième type, blade runner, star trek le film... Rien que ça...
Et il devait réaliser ceux de star Wars mais il préféra orienter Lucas vers deux de ses disciples qui fondèrent ILM avec ce dernier.
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Il est bon dans dr folamour (un des seuls que j'ai vu avec lui), mais je trouve qu'il se fait voler la vedette par sterling Hayden et Georges c.scott.
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Ah oui merde, je pensais 79 ^^ Je devais être à la rue hier soirGringos10 a écrit : ↑11 juin 2022 14:58Il est de 74!!!!wiiwii007 a écrit : ↑11 juin 2022 13:12Ah ça va... 79, 80, c'est pareil ^^Gringos10 a écrit : ↑11 juin 2022 12:03
Déjà c'est pas un film des années 80, ensuite c'est un film fauché.
A l'époque 2001 était déjà sorti, et star Wars/Alien allaient arriver.
Donc non ce n'était pas "compliqué" niveau effets spéciaux, c'est juste que dark star a été fait avec 3 bouts de ficelle.![]()

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Je viens de mater Un monde pour nous, premier film de Cameron Crowe ...

J'aime beaucoup le cinéma de Cameron Crowe, pour ses deux collaborations avec Tom Cruise (Jerry McGuire et Vanilla Sky) et surtout pour son magnifique film Almost Famous. Cameron Crowe a une sensibilité très personnelle et il excelle vraiment dans le cinéma "des bons sentiments". Il est aussi à noter que la BO a généralement une place très importante dans ses films. Un monde pour nous, sorti en 1989, nous donne un avant-goût de ce cinéma là.
Lloyd Dobler (John Cusack) est amoureux de Diane Court (Ione Skye), une fille trop belle et trop intelligente pour lui. Lloyd est un lycéen moyen sans grandes ambitions (contrairement à Diane) qui vit avec sa sœur plus âgée Constance (interprétée par Joan Cusack, sa sœur dans la vraie vie) et son jeune fils, tandis que ses parents sont dans l’armée américaine en Allemagne. Diane quant à elle vit avec son père James (l'excellent John Mahoney), qui dirige une maison de retraite lucrative. Diane devra choisir entre son Roméo (Lloyd) qui lui offre une sécurité émotionnelle qu’elle n’a jamais connue auparavant et son père qui s'oppose à cette relation ...
Premier film de Cameron Crowe, Un monde pour nous est une comédie romantique qui s'inscrit parfaitement dans la filmographie de son auteur. Mais comme pour beaucoup de films des années 80, il a malheureusement assez mal vieilli (sur la forme, comme sur le fond). Le film met en vedette le très bon John Cusack, qui se révèle être la seule véritable bonne raison de regarder ce film. Il nous offre une fois de plus une performance très riche, pouvant alterner entre grandes envolées lyriques et petits moments d'une grande vulnérabilité.
Il n’y a rien à reprocher de particulier au film. Il y a un vague plaisir à repérer de futures acteurs en devenirs qui sont très jeunes ici (Eric Stoltz, Jeremy Piven, Lili Taylor). Le scénariste et réalisateur Cameron Crowe tente d’incorporer quelques dispositifs formels originaux dans un cadre généralement naturaliste, comme le chœur de l'amitié (on se croirait dans une tragédie grec) des trois copines de Lloyd et les séances de conseils nocturne avec ses potes masculins.
Le film est légèrement subversif sur les bords, car Cameron Crowe semble vouloir ici explorer les affres de la relation brisée. Ainsi, les parents de Lloyd sont absents et sa sœur est séparée, tandis que ceux de Diane sont divorcés. On pourrait suggérer que les peurs et l’absence de but ressenties par les jeunes dans le film, s'expliquent par l'absence de parents pour les guider. Les parents sont les coupables ici et dans le cas de Diane et de son père, horriblement coupable. De plus Lloyd est un père de substitution pour le fils de sa sœur avec qui il habite. Diane devra elle aussi se libérer de la pression exercée par son père, pour enfin voler de ses propres ailes.
Le film se construit sur l'inversion des rôles. Au départ, en tant que héros masculin par excellence, Lloyd semble jouer le professeur pour Diane (malgré qu'elle soit plus intelligente que lui). Il lui montre comment s'entourer d'amis (Diane étant très solitaire), comment atteindre se détacher de son père, comment conduire ... mais à la fin, il l'accompagne en Angleterre et elle est enfin autorisée à mener sa carrière comme bon lui semble. De plus, un film américain des années 80 qui montre le départ des ses héros pour l’Europe, suggère peut-être une quête pour se libérer de la corruption, de l’incertitude, du conformisme et du capitalisme américain. Au final, le film se termine sur le déséquilibre du couple et sur le doute.
Le problème que j'ai avec Un monde pour nous, est double. Le film est plombé par trop de facilités scénaristiques et par un manque criant d’humour. C'est tellement convenu, qu'on devine tout à l'avance. Tout semble fake, non pas que ce soit surjoué, mais encore une fois c'est trop convenu pour qu'on y croit vraiment ... ça sonne faux, quoi ! Ensuite Cameron Crowe use et abuse des codes éprouvés du cinéma des années 80, comme utiliser la musique de Phil Collins pour souligner l’émotion, c'est tellement facile. Et puis tout le film est d'une telle platitude dans la mise en scène, au point où ça donne vraiment l'impression d'être devant un téléfilm.
Ensuite, le manque d’humour est le défaut fatal pour toutes comédies romantiques dignes de ce nom. Une comédie romantique, c'est sensée être drôle, non ? Certes, c'est une romance, amis c'est aussi une comédie, nom de Dieu ! Tout le film tire vers le mélodrame et oh mon Dieu, que ça se prend au sérieux. Les personnages du films sont tellement focalisés sur leurs angoisses, que ça en devient ridicule.
Cameron Crowe est capable du meilleur (Almost Famous) comme du pire (Elizabeth Town). Un monde pour nous se situe entre les deux, pas fantastique, mais pas catastrophique non plus ... une gentille comédie romantique inoffensive, quoi !

J'aime beaucoup le cinéma de Cameron Crowe, pour ses deux collaborations avec Tom Cruise (Jerry McGuire et Vanilla Sky) et surtout pour son magnifique film Almost Famous. Cameron Crowe a une sensibilité très personnelle et il excelle vraiment dans le cinéma "des bons sentiments". Il est aussi à noter que la BO a généralement une place très importante dans ses films. Un monde pour nous, sorti en 1989, nous donne un avant-goût de ce cinéma là.
Lloyd Dobler (John Cusack) est amoureux de Diane Court (Ione Skye), une fille trop belle et trop intelligente pour lui. Lloyd est un lycéen moyen sans grandes ambitions (contrairement à Diane) qui vit avec sa sœur plus âgée Constance (interprétée par Joan Cusack, sa sœur dans la vraie vie) et son jeune fils, tandis que ses parents sont dans l’armée américaine en Allemagne. Diane quant à elle vit avec son père James (l'excellent John Mahoney), qui dirige une maison de retraite lucrative. Diane devra choisir entre son Roméo (Lloyd) qui lui offre une sécurité émotionnelle qu’elle n’a jamais connue auparavant et son père qui s'oppose à cette relation ...
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Il n’y a rien à reprocher de particulier au film. Il y a un vague plaisir à repérer de futures acteurs en devenirs qui sont très jeunes ici (Eric Stoltz, Jeremy Piven, Lili Taylor). Le scénariste et réalisateur Cameron Crowe tente d’incorporer quelques dispositifs formels originaux dans un cadre généralement naturaliste, comme le chœur de l'amitié (on se croirait dans une tragédie grec) des trois copines de Lloyd et les séances de conseils nocturne avec ses potes masculins.
Le film est légèrement subversif sur les bords, car Cameron Crowe semble vouloir ici explorer les affres de la relation brisée. Ainsi, les parents de Lloyd sont absents et sa sœur est séparée, tandis que ceux de Diane sont divorcés. On pourrait suggérer que les peurs et l’absence de but ressenties par les jeunes dans le film, s'expliquent par l'absence de parents pour les guider. Les parents sont les coupables ici et dans le cas de Diane et de son père, horriblement coupable. De plus Lloyd est un père de substitution pour le fils de sa sœur avec qui il habite. Diane devra elle aussi se libérer de la pression exercée par son père, pour enfin voler de ses propres ailes.
Le film se construit sur l'inversion des rôles. Au départ, en tant que héros masculin par excellence, Lloyd semble jouer le professeur pour Diane (malgré qu'elle soit plus intelligente que lui). Il lui montre comment s'entourer d'amis (Diane étant très solitaire), comment atteindre se détacher de son père, comment conduire ... mais à la fin, il l'accompagne en Angleterre et elle est enfin autorisée à mener sa carrière comme bon lui semble. De plus, un film américain des années 80 qui montre le départ des ses héros pour l’Europe, suggère peut-être une quête pour se libérer de la corruption, de l’incertitude, du conformisme et du capitalisme américain. Au final, le film se termine sur le déséquilibre du couple et sur le doute.
Le problème que j'ai avec Un monde pour nous, est double. Le film est plombé par trop de facilités scénaristiques et par un manque criant d’humour. C'est tellement convenu, qu'on devine tout à l'avance. Tout semble fake, non pas que ce soit surjoué, mais encore une fois c'est trop convenu pour qu'on y croit vraiment ... ça sonne faux, quoi ! Ensuite Cameron Crowe use et abuse des codes éprouvés du cinéma des années 80, comme utiliser la musique de Phil Collins pour souligner l’émotion, c'est tellement facile. Et puis tout le film est d'une telle platitude dans la mise en scène, au point où ça donne vraiment l'impression d'être devant un téléfilm.
Ensuite, le manque d’humour est le défaut fatal pour toutes comédies romantiques dignes de ce nom. Une comédie romantique, c'est sensée être drôle, non ? Certes, c'est une romance, amis c'est aussi une comédie, nom de Dieu ! Tout le film tire vers le mélodrame et oh mon Dieu, que ça se prend au sérieux. Les personnages du films sont tellement focalisés sur leurs angoisses, que ça en devient ridicule.
Cameron Crowe est capable du meilleur (Almost Famous) comme du pire (Elizabeth Town). Un monde pour nous se situe entre les deux, pas fantastique, mais pas catastrophique non plus ... une gentille comédie romantique inoffensive, quoi !
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Il est génial dans Dr Folamour et très bon dans Lolita. Aprés faut aimer les comédies de Blake Edwards, mais il est vraiment excellent dans The Party.Shovel Knight a écrit :Pareil je connais quasi rien de Peter Sellers
Sérieux ? Moi je le trouve absolument génial et tellement drôle dans Dr Folamour ...Gringos10 a écrit :Il est bon dans dr folamour (un des seuls que j'ai vu avec lui), mais je trouve qu'il se fait voler la vedette par sterling Hayden et Georges c.scott.
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Ce sont les 2 seuls Kubrick que je n'ai jamais vu. Je ne sais pas pourquoi à chaque occasion de les voir j'ai choisi autre chose

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J’en avais un super souvenir, et puis je l’ai revu...Gringos10 a écrit : ↑11 juin 2022 15:05J'en parle pas souvent et on ne l'a pas beaucoup cité dans le topic des tops SF (ce qui est inadmissible), mais Silent running a été un jalon essentiel de la SF au cinéma après l'odyssée. (D'ailleurs il se déroule également en 2001)
(1972)
Le réalisateur de ce film est à l'origine des effets spéciaux de 2001, rencontre du troisième type, blade runner, star trek le film... Rien que ça...
Et il devait réaliser ceux de star Wars mais il préféra orienter Lucas vers deux de ses disciples qui fondèrent ILM avec ce dernier.
Visuellement c’est pas mal du tout, mais scenaristiquement, c’est quand même bien naze hein

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Ah merde, j'étais presque hypé 

C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
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Le scénario est pas plus naze que celui de 2001 hein 
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