moi c'est le contraire, pacific rim, godzilla ou the host je les considère comme des films de monstres, alors que les 3 que tu cites, c'est bien plus que ça !lessthantod a écrit : ↑12 déc. 2020 15:06
Edit : les meilleurs films de monstres, c'est Alien, The Thing et La Mouche. Je dirais bien aussi Pacific Rim, mais je n'arrive pas à le considérer comme un vrai film de monstres.
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Les Kaijus c'est un peu un genre à part entière.
Ce qui n'est pas donné est perdu.
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Bah justement, contrairement à tous les autres films cités, je le trouve bien creux The Host.
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Je ne l'ai vu qu'une fois à sa sortie, mais j'avais pas trop accroché non plus, d'après mes souvenirs ça ressemblait beaucoup trop à une comédie.
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Après moi j'ai un jugement particulier sur la filmo du réal, puisque mon Bong Joon Ho préféré c'est probablement celui qui lui ressemble le moins, Snowpiercer
Ceci dit je ne l'ai vu qu'une seule fois, je vais donc lui redonner sa chance à celui-là. Beaucoup le considèrent comme LE meilleur thriller de tous les temps, chose que j'ai du mal à comprendre ... et moi je veux comprendre

C'est justement ce que je reproche aussi à Memories of Murder ... je n'accroche pas à son humour noir.Captain Obvious a écrit :ça ressemblait beaucoup trop à une comédie
Ceci dit je ne l'ai vu qu'une seule fois, je vais donc lui redonner sa chance à celui-là. Beaucoup le considèrent comme LE meilleur thriller de tous les temps, chose que j'ai du mal à comprendre ... et moi je veux comprendre

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vous êtes fous! the host c'est à des années lumières au dessus de godzilla et pacific rim!
limite, il ne boxe pas dans la même catégorie....
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Je me souviens plus trop de the Host à part que c'était très (trop)axé comédie.
Après je considère pas non plus Godzilla comme un chef d’œuvre, mais je lui trouve des qualités, surtout comparé aux blockbusters de ces dernières années.
Je suis pressé de voir le prochain film de Gareth Edwards qui sera un film original sans le carcan d'une grosse licence.
Après je considère pas non plus Godzilla comme un chef d’œuvre, mais je lui trouve des qualités, surtout comparé aux blockbusters de ces dernières années.
Je suis pressé de voir le prochain film de Gareth Edwards qui sera un film original sans le carcan d'une grosse licence.
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Sinon, ça y est j'ai maté Wake in fright du réalisateur de Rambo, Ted Kotcheff, canadien d'origine bulgare qui s'est retrouvé à tourner dans le Outback australien (qui est également le décor d'un autre film culte Razorback)... allez comprendre.
Le moins que l'on puisse dire c'est que sa réputation de film culte n'est pas usurpée.
Pour la petite histoire, le film fut l'effet d'une bombe lors du festival de Cannes 1971, avant de disparaitre littéralement pendant près de 40 ans, une légende du cinéma underground qui failli se volatiliser à tout jamais, mais un producteur australien retrouva les bobines au début des années 2000 au fin fond d'un entrepôt de Pittsburgh, dans une caisse portant l'indication "à détruire", et cela n'était peut-être pas fortuit.
"Jusqu'à ce qu'on retrouve les négatifs et qu'ils soient restaurés, Wake in Fright était devenu une rumeur : un film secret, un peu dangereux, dont les gens entretenaient la légende sans même l'avoir vu" dixit Jack Thomson.
Si je devais le renommer ce serait en "Contes de la folie ordinaire au pays des kangourous". On est entre le documentaire ethnographique et le film survivaliste à la violence latente dans la lignée des Chiens de paille ou de Deliverance. On comprend en le voyant, l'influence qu'il a eu sur la vague des jeunes réalisateurs australiens de la génération suivante (weir, miller...), car il possède l'ambiance caractéristique de ce cinéma brut, une atmosphère cotonneuse à la limite de l'onirisme, de grands espace à la lumière écrasante, on ressent quasiment la chaleur étouffante poisseuse via les protagonistes, c'en est presque palpable. La sueur et la bière coulent à flot, les paysages désertiques s'étendent à perte de vue, le malaise est permanent, la violence en sourdine, prête à exploser, fruit d'une frustration endémique.... et elle explosera, mais pas de la manière dont on l'attendait. Comme souvent dans ce genre d'histoire, le mal n'est ni dans l'autre, ni dans l'environnement, mais intérieur.
Et pour petitevieille, on pourra également y voir une histoire d'amour impossible... entre deux êtres que tout sépare

Le moins que l'on puisse dire c'est que sa réputation de film culte n'est pas usurpée.
Pour la petite histoire, le film fut l'effet d'une bombe lors du festival de Cannes 1971, avant de disparaitre littéralement pendant près de 40 ans, une légende du cinéma underground qui failli se volatiliser à tout jamais, mais un producteur australien retrouva les bobines au début des années 2000 au fin fond d'un entrepôt de Pittsburgh, dans une caisse portant l'indication "à détruire", et cela n'était peut-être pas fortuit.
"Jusqu'à ce qu'on retrouve les négatifs et qu'ils soient restaurés, Wake in Fright était devenu une rumeur : un film secret, un peu dangereux, dont les gens entretenaient la légende sans même l'avoir vu" dixit Jack Thomson.
Si je devais le renommer ce serait en "Contes de la folie ordinaire au pays des kangourous". On est entre le documentaire ethnographique et le film survivaliste à la violence latente dans la lignée des Chiens de paille ou de Deliverance. On comprend en le voyant, l'influence qu'il a eu sur la vague des jeunes réalisateurs australiens de la génération suivante (weir, miller...), car il possède l'ambiance caractéristique de ce cinéma brut, une atmosphère cotonneuse à la limite de l'onirisme, de grands espace à la lumière écrasante, on ressent quasiment la chaleur étouffante poisseuse via les protagonistes, c'en est presque palpable. La sueur et la bière coulent à flot, les paysages désertiques s'étendent à perte de vue, le malaise est permanent, la violence en sourdine, prête à exploser, fruit d'une frustration endémique.... et elle explosera, mais pas de la manière dont on l'attendait. Comme souvent dans ce genre d'histoire, le mal n'est ni dans l'autre, ni dans l'environnement, mais intérieur.
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c'est pas "axé comédie", c'est le ton burlesque et parodique habituel du réalisateur, qui dépeint l'horreur par la métaphore et l'absurde. On retrouve la même chose dans Memories of murder et Parasites.Captain Obvious a écrit : ↑12 déc. 2020 22:37Je me souviens plus trop de the Host à part que c'était très (trop)axé comédie.
Après je considère pas non plus Godzilla comme un chef d’œuvre, mais je lui trouve des qualités, surtout comparé aux blockbusters de ces dernières années.
Je suis pressé de voir le prochain film de Gareth Edwards qui sera un film original sans le carcan d'une grosse licence.
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J'ai regardé du coin de l'œil le flim d'animation, tout en deudé dessinée classique, que diffusait Gulli et que les enfants ont regardé : Zarafa, d'à peu près une histoire vraie.
C'est une très belle histoire d'amour, car impossible, entre deux êtres que tout sépare, l'un étant un jeune garçon destiné à la captivité par des esclavagistes Frrrrrançais, Monsieur, l'autre étant une jeune girafe que le garçon va rencontrer pendant une évasion, et qui se retrouve à son tour destinée à la captivité pour être offerte par un Sultan gentil mais naïf au roi de Frrrrrrance, Monsieur, dans le fol espoir d'obtenir quelque soutien frrrrrrançais dans des affaires militaires mal engagées.
Le fait que cette histoire se déroule, au prix de quelques arrangements avec les faits historiques, dans un début de XIXème siècle encore bien enfoncé dans les pratiques négrières et la royauté la plus crasse met en exergue la beauté pure de la sincérité des engagements enfantins au milieu de ce monde de merde, en la plaçant dans un registre tragi-comique.
C'est une très belle histoire d'amour, car impossible, entre deux êtres que tout sépare, l'un étant un jeune garçon destiné à la captivité par des esclavagistes Frrrrrançais, Monsieur, l'autre étant une jeune girafe que le garçon va rencontrer pendant une évasion, et qui se retrouve à son tour destinée à la captivité pour être offerte par un Sultan gentil mais naïf au roi de Frrrrrrance, Monsieur, dans le fol espoir d'obtenir quelque soutien frrrrrrançais dans des affaires militaires mal engagées.
Le fait que cette histoire se déroule, au prix de quelques arrangements avec les faits historiques, dans un début de XIXème siècle encore bien enfoncé dans les pratiques négrières et la royauté la plus crasse met en exergue la beauté pure de la sincérité des engagements enfantins au milieu de ce monde de merde, en la plaçant dans un registre tragi-comique.
« Nintendo c'est des gros fils de putes avides et réactionnaires » - lincruste, 2022.
« ces fils de pute de chez Sony » - lincruste, 2023.
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J'ai maté Butch Cassidy & The Sundance Kid ...

Butch Cassidy & The Sundance Kid est un film très singulier dans le genre Western, de part le fait qu'il ne s'inscrit pas du tout dans le grand classicisme du genre. C'est un western qui innove énormément et casse tous les codes du genre. Le film mélange tous les tons, la comédie, la tragédie, la romance, la traque, les braquages et les gun fight, le tout au service d'une aventure épique et trépidante. Au final c'est un film qui, à bien des égards, préfigure le genre buddy movie des années 80, et ceci donc presque 20 ans avant L'arme fatale. Robert Redford (the sundance kid) et Paul Newman (Butch Cassidy) forment un duo parfait, leur complicité est évidente et ils suscitent une énorme empathie. Ce sont pourtant des bandits, mais on se range tout de suite de leur côté et on milite pour les voir se sortir de toutes les situations délicates et tant pis pour les "dommages" collatéraux.
George Roy Hill trouve ici l'équilibre parfait entre la tragédie et la comédie, bien que la comédie l'emporte bien souvent sur la tragédie, ceci grâce aux nombreuses facéties de Paul Newman qui joue le joyeux boute-en-train de service. Robert Redford quant à lui trouve là son premier grand rôle au cinéma. Ici il sort le grand jeu, charme, séduction, humour et virilité ... Robert Redford c'est vraiment le Brad Pitt des années 70/80. Il est d'un charisme fou et en le voyant on aimerait tous être Robert Redford (aka l'homme parfait). Et dire que c'est Steve Mcqueen qui était envisagé au départ pour épauler Paul Newman, mais la guerre des égos aura précipité son départ du projet. Tant mieux j'oserais dire, car même si j'adore ces 2 acteurs, ils jouent trop sur le même registre et je ne vois aucun des 2 incarner the Sundance Kid (sans même évoquer la différence d'âge).
Butch Cassidy & The Sundance Kid est un western qui se rapproche beaucoup plus du western spaghetti à la Sergio Leone que du western âpre et violent à la Sam Peckinpah. George Roy Hill ramène ici l'histoire de la conquête de l'ouest à une échelle humaine, à celle d'une amitié virile, très belle, drôle et émouvante ... et surtout, tout ça c'est du grand cinéma.

Butch Cassidy & The Sundance Kid est un film très singulier dans le genre Western, de part le fait qu'il ne s'inscrit pas du tout dans le grand classicisme du genre. C'est un western qui innove énormément et casse tous les codes du genre. Le film mélange tous les tons, la comédie, la tragédie, la romance, la traque, les braquages et les gun fight, le tout au service d'une aventure épique et trépidante. Au final c'est un film qui, à bien des égards, préfigure le genre buddy movie des années 80, et ceci donc presque 20 ans avant L'arme fatale. Robert Redford (the sundance kid) et Paul Newman (Butch Cassidy) forment un duo parfait, leur complicité est évidente et ils suscitent une énorme empathie. Ce sont pourtant des bandits, mais on se range tout de suite de leur côté et on milite pour les voir se sortir de toutes les situations délicates et tant pis pour les "dommages" collatéraux.
George Roy Hill trouve ici l'équilibre parfait entre la tragédie et la comédie, bien que la comédie l'emporte bien souvent sur la tragédie, ceci grâce aux nombreuses facéties de Paul Newman qui joue le joyeux boute-en-train de service. Robert Redford quant à lui trouve là son premier grand rôle au cinéma. Ici il sort le grand jeu, charme, séduction, humour et virilité ... Robert Redford c'est vraiment le Brad Pitt des années 70/80. Il est d'un charisme fou et en le voyant on aimerait tous être Robert Redford (aka l'homme parfait). Et dire que c'est Steve Mcqueen qui était envisagé au départ pour épauler Paul Newman, mais la guerre des égos aura précipité son départ du projet. Tant mieux j'oserais dire, car même si j'adore ces 2 acteurs, ils jouent trop sur le même registre et je ne vois aucun des 2 incarner the Sundance Kid (sans même évoquer la différence d'âge).
Butch Cassidy & The Sundance Kid est un western qui se rapproche beaucoup plus du western spaghetti à la Sergio Leone que du western âpre et violent à la Sam Peckinpah. George Roy Hill ramène ici l'histoire de la conquête de l'ouest à une échelle humaine, à celle d'une amitié virile, très belle, drôle et émouvante ... et surtout, tout ça c'est du grand cinéma.
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et c'est bien ça, ce ton burlesque, qui me gêne dans son cinéma.Gringos10 a écrit :c'est le ton burlesque et parodique habituel du réalisateur ...
et aussi dans Snowpiercer (la maitresse d'école), mais je trouve que ça passe beaucoup mieux dans le genre SF que dans le thriller ou le film d'horreur.Gringos10 a écrit :On retrouve la même chose dans Memories of murder et Parasites ...
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" traîné sur le bitume ", un polar avec Mel Gibson.
Les dialogues sont parfois un peu lourds et les ficelles un peu grosses, mais dans l'ensemble c'est plutôt réussi.
Le réalisateur prend son temps pour bien mettre en place et exploiter chaque situations. Le vilain est vraiment bon dans son genre, et bien filmé, on est presque déçu quand il disparaît surtout qu'après ça le film retombe un peu...
Je connaissais ce réalisateur à travers ses livres et ça m'a donné envie de voir ses films précédents, et surtout les suivants si il y en a.
Bref je recommande.

Les dialogues sont parfois un peu lourds et les ficelles un peu grosses, mais dans l'ensemble c'est plutôt réussi.
Le réalisateur prend son temps pour bien mettre en place et exploiter chaque situations. Le vilain est vraiment bon dans son genre, et bien filmé, on est presque déçu quand il disparaît surtout qu'après ça le film retombe un peu...
Je connaissais ce réalisateur à travers ses livres et ça m'a donné envie de voir ses films précédents, et surtout les suivants si il y en a.
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Ce qui n'est pas donné est perdu.
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Qui joue le bad guy ?
Le réal a fait quoi d'autre ?
Je crois que c'est [mention]dav1974[/mention] qui avait aimé aussi.
Le réal a fait quoi d'autre ?
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Le réalisateur c'est Craig Zahler, il a aussi réalisé Bone Tomahawk que je n'ai pas encore vu.
C'est un touche à tout, il compose aussi la musique sur ses films, il a écrit beaucoup de scenarios, et c'est aussi un écrivain ( c'est comme ça que je le connaissais à la base).
Le bad guy n'est pas joué par quelqu'un de connu, ce que j'ai trouvé intéressant avec ce vilain c'est surtout comment il est montré
C'est un touche à tout, il compose aussi la musique sur ses films, il a écrit beaucoup de scenarios, et c'est aussi un écrivain ( c'est comme ça que je le connaissais à la base).
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J'ai donc vu, près de 15 ans après la première tentative, Lost in Translation.

Le croiriez-vous ? J'y ai vu une très belle histoire d'amour, car impossible, entre deux êtres que tout sépare, l'un étant désabusé par 25 ans de mariage et perdu au milieu des clichés pittoresques de la société japonaise vue par les occidentaux, l'autre étant désabusée par 2 ans de mariage, et perdue au milieu des clichés pittoresques de la société japonaise vue par les occidentaux.
Le fait que cette histoire se déroule dans cet univers dont ils ne maîtrisent pas les codes (et ne cherchent absolument pas à y parvenir) met en exergue la vacuité des insignifiants éléments qui peuvent rapprocher ou éloigner deux humains en déficit affectif, en les plaçant dans un registre tragi-comique.
Mais sinon c'est toujours aussi chiant, lourd avec cet embarrassant exotisme vaguement méprisant pour les japonais, et artificiel dans l'exposition d'une relation improbable entre papy tranxène et la méga bonnasse de service dont on nous fait bien comprendre que c'est de la chair fraîche à consommer, par la multiplication des plans gratuits sur la viande, et le fait que c'est elle qui prend l'initiative d'un contact et qui sera la plus remuée par la séparation (et que papy a préféré faire zobi-zoba avec une vieille, l'enflure enfin, merde, mes tétés à moi sont pas flasques bordel à quoi ça sert que je le chauffe pendant des jours merde !).
Les quelques moments réussissant à faire passer quelque chose (tout particulièrement appréciables quand on a subi les mêmes pesanteurs matrimoniales que le personnage) ne compensent pas tous ceux où on se demande si on a bien vu ce qu'on a vu.
Pourtant les acteurs sont excellents techniquement.

Le croiriez-vous ? J'y ai vu une très belle histoire d'amour, car impossible, entre deux êtres que tout sépare, l'un étant désabusé par 25 ans de mariage et perdu au milieu des clichés pittoresques de la société japonaise vue par les occidentaux, l'autre étant désabusée par 2 ans de mariage, et perdue au milieu des clichés pittoresques de la société japonaise vue par les occidentaux.
Le fait que cette histoire se déroule dans cet univers dont ils ne maîtrisent pas les codes (et ne cherchent absolument pas à y parvenir) met en exergue la vacuité des insignifiants éléments qui peuvent rapprocher ou éloigner deux humains en déficit affectif, en les plaçant dans un registre tragi-comique.
Mais sinon c'est toujours aussi chiant, lourd avec cet embarrassant exotisme vaguement méprisant pour les japonais, et artificiel dans l'exposition d'une relation improbable entre papy tranxène et la méga bonnasse de service dont on nous fait bien comprendre que c'est de la chair fraîche à consommer, par la multiplication des plans gratuits sur la viande, et le fait que c'est elle qui prend l'initiative d'un contact et qui sera la plus remuée par la séparation (et que papy a préféré faire zobi-zoba avec une vieille, l'enflure enfin, merde, mes tétés à moi sont pas flasques bordel à quoi ça sert que je le chauffe pendant des jours merde !).
Les quelques moments réussissant à faire passer quelque chose (tout particulièrement appréciables quand on a subi les mêmes pesanteurs matrimoniales que le personnage) ne compensent pas tous ceux où on se demande si on a bien vu ce qu'on a vu.
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Dernière modification par petitevieille le 15 déc. 2020 04:57, modifié 1 fois.
« Nintendo c'est des gros fils de putes avides et réactionnaires » - lincruste, 2022.
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Sofia Coppola pour moi c’est surtout 1 film, son premier film, un chef d’œuvre ... Virgin Suicide
Depuis chacun de ses films est moins bon que le précédent et j’ai décroché après Somewhere. J’ai vu Lost in translation à sa sortie au ciné et si j’en garde un bon souvenir, c’est uniquement pour Bill Murray et Scarlett Johansson. Quant à Marie-Antoinette, c’est beau mais vain ... totalement vain.

Depuis chacun de ses films est moins bon que le précédent et j’ai décroché après Somewhere. J’ai vu Lost in translation à sa sortie au ciné et si j’en garde un bon souvenir, c’est uniquement pour Bill Murray et Scarlett Johansson. Quant à Marie-Antoinette, c’est beau mais vain ... totalement vain.
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Ici aussi c'est vain, un peu.
S'ils n'étaient pas tous les deux isolés de leur environnement par la distanciation culturelle et linguistique, ils se seraient copieusement ignorés. Le flim suggère donc qu'on peut rencontrer et s'attacher à des gens qu'on aurait pas cru trouver intéressants, ok… mais encore faut-il le montrer, créer du lien.
Je suis habituellement très sensible aux histoires de personnages qui "se trouvent" malgré de gros obstacles a priori, et qui comblent l'un pour l'autre une lacune, une blessure, bref, qui se soignent.
Je suis toujours remué par Million Dollar Baby par exemple. Même Black Snake Moan marche bien sur ce thème-là.
Ici leur rapprochement est superficiel, elle est un cliché de bombe atomique ultra-sexualisée, lui est un cliché de mec avec de l'esprit donc trop craquant lol, et ça fait des Chocapics alors que rien ne fonde ce lien.
Là, c'est vide, creux, plat, tout le long on se demande ce que se trouvent et s'apportent les deux personnages, qui sont aussi cliché que la description du Japon dans le flim.
On voit bien ce qu'ils fuient (Bobonne chiante, les amis du mari décérébrés) mais pas ce qui les rapproche. Et le flim n'est pas assez critique avec les médiocres mécanismes de la "séduction" pour que ce soit son sujet (ça pourrait), sinon les personnages ne seraient pas rendus sympathiques comme le fait la réalisatrice.
Bref, c'est de la branlette.
J'ai dû voir Virgin Suicides mais je ne m'en souviens pas. J'ai peur.
S'ils n'étaient pas tous les deux isolés de leur environnement par la distanciation culturelle et linguistique, ils se seraient copieusement ignorés. Le flim suggère donc qu'on peut rencontrer et s'attacher à des gens qu'on aurait pas cru trouver intéressants, ok… mais encore faut-il le montrer, créer du lien.
Je suis habituellement très sensible aux histoires de personnages qui "se trouvent" malgré de gros obstacles a priori, et qui comblent l'un pour l'autre une lacune, une blessure, bref, qui se soignent.
Je suis toujours remué par Million Dollar Baby par exemple. Même Black Snake Moan marche bien sur ce thème-là.
Ici leur rapprochement est superficiel, elle est un cliché de bombe atomique ultra-sexualisée, lui est un cliché de mec avec de l'esprit donc trop craquant lol, et ça fait des Chocapics alors que rien ne fonde ce lien.
Là, c'est vide, creux, plat, tout le long on se demande ce que se trouvent et s'apportent les deux personnages, qui sont aussi cliché que la description du Japon dans le flim.
On voit bien ce qu'ils fuient (Bobonne chiante, les amis du mari décérébrés) mais pas ce qui les rapproche. Et le flim n'est pas assez critique avec les médiocres mécanismes de la "séduction" pour que ce soit son sujet (ça pourrait), sinon les personnages ne seraient pas rendus sympathiques comme le fait la réalisatrice.
Bref, c'est de la branlette.
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Il y avait quelque chose dans Virgin, une incandescence, qui s'est évaporée au fil des films de sa réalisatrice.
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c'est Thomas Kretschmann en fait, excellent acteur!
j'ai maté le film, en effet il est pas mal
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J'ai revu The Rover, une ode à la poésie et l'amour de son prochain
Nan, en fait ce serait plutôt, quand Falling Down rencontre Mad Max !
Et Ne le dis à personne, un excellent film français, pour une une fois ni comédie ni drame dépresso-psychologique.

Et Ne le dis à personne, un excellent film français, pour une une fois ni comédie ni drame dépresso-psychologique.
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Ici on continue le bureau des légendes, on commence doucement la saison 4!
ça reste bien dans l'ensemble mais ça commence à s'essouffler je trouve! le niveau des saisons est pas égal et l'ajout de nouveaux personnes à la pelle dans la saison 4 m'a saucé !
ça reste bien dans l'ensemble mais ça commence à s'essouffler je trouve! le niveau des saisons est pas égal et l'ajout de nouveaux personnes à la pelle dans la saison 4 m'a saucé !
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Deux films qui ont mon approbation


The rover c'est du ciné de haute volée made in Australia comme ils ont l'habitude d'en proposer. Un western futuriste impitoyable.
Ne le dis à personne, comme dirait @petitevieille, c'est une histoire d'amour impossible entre deux êtres que tout sépare, mais à François cluzet qui court, rien d'impossible !
Je l'avais vraiment bien apprécié lors de sa sortie, mais en tombant dessus récemment, j'ai eu l'impression qu'il passait mal les années notamment dans sa représentation de la voyoucracie des cités un peu caricaturale et mal jouée.
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La dernière série que l'on vient de finir avec madame :

Je n'en avais jamais entendu parler, et ce n'est pas moi qui ai choisi de la regarder
Bref, série en 3 saisons pour 28 épisodes de 54 minutes au total.
Synopsis by wiki :
- Justin Theroux
- Amy Brenneman
- Carrie Coon
- Liv Tyler
- Scott Glenn
On a connu pire
Les avis sur Rotten Tomatoes sont assez dithyrambiques, surtout pour la dernière saison.
Personnellement, j'ai bien apprécié la saison 1, grandement la saison 2, et quand à la dernière ce fut plus laborieux. Trop de prêchi-prêcha christiques à mon goût, même si le sujet était inévitable vu le point de départ du synopsis. Mais point trop n'en faut.
Malgré tout, je conseille quand même.
C'est bien foutu, le rythme varie beaucoup d'un épisode à un autre, on est jamais lassé, parfois intrigué voir largué dans les pistes scénaristiques, mais tout se tient (presque) à la fin.
Bon on voit un peu trop le derche de monsieur Theroux, mais ça fera plaiz' à vos dames
Puis Carrie Coon est pas mal non plus hein !?
Bref, si vous avez du temps, que vous avez aimé Lost (obligé d'y penser à de nombreux moments !) et que vous acceptez de ne pas avoir toutes les réponses à la fin, allez-y.


Je n'en avais jamais entendu parler, et ce n'est pas moi qui ai choisi de la regarder

Bref, série en 3 saisons pour 28 épisodes de 54 minutes au total.
Synopsis by wiki :
Le casting est assez alléchant pour cette série HBO :2 % des êtres humains ont disparu de la surface de la Terre sans la moindre explication, dans une sorte de ravissement. Les habitants de la petite ville de Mapleton sont confrontés à cette question lorsque nombre de leurs voisins, amis et amants s'évanouissent dans la nature le même jour d'automne.
Trois ans plus tard, la vie a repris son cours dans la bourgade dépeuplée, mais rien n'est plus comme avant. Personne n'a oublié ce qu'il s'est passé ni ceux qui ont disparu. À l'approche des cérémonies de commémoration, le shérif Kevin Garvey est en état d'alerte maximale : des affrontements dangereux se préparent entre la population et un groupuscule aux revendications mystérieuses, comparable à une secte.
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- Carrie Coon
- Liv Tyler
- Scott Glenn
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![Dan.San :]](/forum/images/smilies/8.gif)
Les avis sur Rotten Tomatoes sont assez dithyrambiques, surtout pour la dernière saison.
Personnellement, j'ai bien apprécié la saison 1, grandement la saison 2, et quand à la dernière ce fut plus laborieux. Trop de prêchi-prêcha christiques à mon goût, même si le sujet était inévitable vu le point de départ du synopsis. Mais point trop n'en faut.
Malgré tout, je conseille quand même.
C'est bien foutu, le rythme varie beaucoup d'un épisode à un autre, on est jamais lassé, parfois intrigué voir largué dans les pistes scénaristiques, mais tout se tient (presque) à la fin.
Bon on voit un peu trop le derche de monsieur Theroux, mais ça fera plaiz' à vos dames


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Butch Cassidy & The Sundance Kid m'a donné envie de remater sa version féminine des années 90, Thelma & Louise ...lessthantod a écrit :J'ai maté Butch Cassidy & The Sundance Kid ...► Afficher le texte

Thelma & Louise, c'est vraiment le copier-coller parfait de Butch Cassidy & The Sundance Kid, version 90's et au féminin. Vous remplacez les chevaux par des voitures et les hommes par des femmes et vous avez votre film de cowboy au féminin. Thelma & Louise c'est une tragédie soupoudrée d'humour et filmée comme un western. C'est aussi et surtout l'histoire d'une amitié forte entre 2 femmes Thelma (Geena Davis) et Louise (Susan Sarandon) qui devront lutter contre les évènements "contraires". Le film démarre idéalement, comme un road movie enjoué (une virée en week-end entre 2 femmes), mais très vite un premier élément dramatique vient totalement noircir le tableau (la tentative de viol et le meurtre qui s'ensuit). Le film aurait pu être filmé au premier degré, comme un drame social, mais Ridley Scott a préféré en faire une comédie et on ne peut que lui en être reconnaissant. C'est un film qui au final nous laisse avec un goût de feel good-movie, un sentiment de joie qui finalement l'emporte sur la tragédie. On sait dés le départ que tout ça, ça ne peut pas finir en happy-end. On devine très vite que forcément ça va finir mal, mais peu importe ... l'énergie et la fougue du duo tête d'affiche, ainsi que la drôlerie des situations et des dialogues, l'emporte sur l'aspect sombre du film.
Susan Sarandon c'est Butch Cassidy (Paul Newman) la mentor et Geena Davis c'est The Sundance Kid (Robert Redford) la jeune intrépide. Thelma est un peu naïve (voir enfantine) et irréfléchie, tandis que Louise est plus mature (presque maternel) et réfléchie. Leurs 2 personnalités se complètent parfaitement et la complicité entre les 2 actrices principales est évidente et même épatante. Face à elles, il reste peu de place pour les hommes, néanmoins Ridley Scott a soigné son casting masculin. Harvey Keitel est parfait en flic compréhensif qui essaie encore de sauver ce qui peut l'être (il joue le gentil flic, pour une fois). Christopher McDonald (le mari de Thelma) quant à lui est hilarant avec sa petite moustache ridicule et ses claquettes. Michael Madsen (le mari de Louise) semble directement sortir de Réservoir Dogs, avec cette présence magnétique qui impressionne. Et puis il y a Brad Pitt dans un rôle secondaire de petit briguant séducteur, un Brad Pitt très jeune mais déjà prometteur dans LE rôle qui lancera sa carrière.
Thelma & Louise, c'est un hymne à la liberté, un road-movie très touchant et bouleversant qui s'achève sur une scène vraiment mémorable (là encore en copier-coller de Butch Cassidy & The Sundance Kid). C'est une œuvre somptueuse et un grand classique du genre.
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Je n'ai jamais fait le rapport entre butch Cassidy et Thelma Louise!
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Il faudrait que je le revoie. Il y a nécessairement une très belle histoire d'amour, car impossible, entre deux êtres que tout sépare.
« Nintendo c'est des gros fils de putes avides et réactionnaires » - lincruste, 2022.
« ces fils de pute de chez Sony » - lincruste, 2023.
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Un peu...
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Il est pourtant évident

C'est filmé comme un western des années 60 avec ses grands paysages désertiques (et sacrément beaux) et l'histoire est un copier-coller de Butch Cassidy au féminin. Même la fin est identique avec l'arrêt sur image qui ne laisse aucun doute sur le destin funeste des 2 protagonistes, mais qui arrive malgré tout à nous donner le sourire.
Edit : et c'est parfaitement assumé par la scénariste et par Ridley Scott dans les bonus du DVD.
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En plus j'ai vu butch récemment pour la première fois et je n'ai même pas remarqué 
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Sinon Thelma et Louise ça n'a jamais été un de mes Scott préférés, malgré sa fin épique je ne le trouve pas très intéressant.
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Bah, maintenant il faut juste que tu revois Thelma & Louise pour te le remettre en mémoire et comparer.Gringos10 a écrit :En plus j'ai vu butch récemment pour la première fois et je n'ai même pas remarqué
Perso je connais Thelma & Louise par cœur, ça fait parti de mes films cultes de l'un de mes Ridley Scott préféré. Quand j'ai vu pour la première fois Butch Cassidy le week-end dernier, j'ai tout de suite pensé à Thelma & Louise tellement c'est du 100% copier-coller ... jusqu'à la toute dernière scène finale.
C'est dans mon top 5 Ridley Scott avec Alien, Les duellistes, Blade Runner, Gladiator et La Chute du Faucon Noir.Gringos10 a écrit :Sinon Thelma et Louise ça n'a jamais été un de mes Scott préférés,
Perso j'adore les road-movie et les feel good-movie et je le considère comme l'un des meilleur du genre.Gringos10 a écrit :malgré sa fin épique je ne le trouve pas très intéressant.
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Je le trouve pas tellement feel-good.
Sinon dans mon top Scott il n'y est pas, et le faucon non plus
Dans l'ordre :
Blade runner
Alien
American gangster
Gladiator
Legend
1492
Black rain
Prometheus
Robin des bois
Duellists
Sinon dans mon top Scott il n'y est pas, et le faucon non plus
Dans l'ordre :
Blade runner
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Normal, toi t'as pas de cœurGringos10 a écrit :Je le trouve pas tellement feel-good

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Ah je l'avais même pas reconnu en fait vu qu'on le voit en général de loin ou avec une cagoule... Il a vraiment une bonne présence dans ce film en tout cas.
Ce qui n'est pas donné est perdu.
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J'avais arrêté à la fin de la 3ème. Il y a eu un changement de réalisateur à la 4 ème donc j'était pas sûr d'accrocher.
Mais j'ai vu qu'Audiard avait réalisé la fin donc j'y jetterait sans doute un oeil un jour.
Ce qui n'est pas donné est perdu.
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Je suis sur la saison 2 de The Boys. C'est quand même moins sympa que la première, mais ça se suit 

C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
- Captain Obvious
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J'ai bien envie de la voir, tu regardes ça où?spip a écrit : ↑18 déc. 2020 11:49La dernière série que l'on vient de finir avec madame :
Je n'en avais jamais entendu parler, et ce n'est pas moi qui ai choisi de la regarder![]()
Bref, série en 3 saisons pour 28 épisodes de 54 minutes au total.
Synopsis by wiki :Le casting est assez alléchant pour cette série HBO :2 % des êtres humains ont disparu de la surface de la Terre sans la moindre explication, dans une sorte de ravissement. Les habitants de la petite ville de Mapleton sont confrontés à cette question lorsque nombre de leurs voisins, amis et amants s'évanouissent dans la nature le même jour d'automne.
Trois ans plus tard, la vie a repris son cours dans la bourgade dépeuplée, mais rien n'est plus comme avant. Personne n'a oublié ce qu'il s'est passé ni ceux qui ont disparu. À l'approche des cérémonies de commémoration, le shérif Kevin Garvey est en état d'alerte maximale : des affrontements dangereux se préparent entre la population et un groupuscule aux revendications mystérieuses, comparable à une secte.
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Les avis sur Rotten Tomatoes sont assez dithyrambiques, surtout pour la dernière saison.
Personnellement, j'ai bien apprécié la saison 1, grandement la saison 2, et quand à la dernière ce fut plus laborieux. Trop de prêchi-prêcha christiques à mon goût, même si le sujet était inévitable vu le point de départ du synopsis. Mais point trop n'en faut.
Malgré tout, je conseille quand même.
C'est bien foutu, le rythme varie beaucoup d'un épisode à un autre, on est jamais lassé, parfois intrigué voir largué dans les pistes scénaristiques, mais tout se tient (presque) à la fin.
Bon on voit un peu trop le derche de monsieur Theroux, mais ça fera plaiz' à vos damesPuis Carrie Coon est pas mal non plus hein !?
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Bref, si vous avez du temps, que vous avez aimé Lost (obligé d'y penser à de nombreux moments !) et que vous acceptez de ne pas avoir toutes les réponses à la fin, allez-y.
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Ce qui n'est pas donné est perdu.
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Sur OCS.
Après c'est peut être dispo ailleurs.
Personne ne dit rien sur le dernier épisode de la saison 2 du Mandalorian ?

Après c'est peut être dispo ailleurs.
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Shut up!
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J'ai maté The Mist ...

Frank Darabont s'est fait une spécialité d'adapter les romans de Stephen king, puisque après les Evadés et la Ligne verte, il s'attaque en 2008 à la courte nouvelle Brume. Résultat, une fois encore il nous offre là l'une des meilleures adaptations des œuvres du célèbre auteur, The Mist étant une très agréable surprise malgré un budget limité et un casting de série B.
Déjà le film démarre sous les meilleurs auspices avec un hommage appuyé à John Carpenter et à Stephen King. Le personnage principal du film David Drayton (Thomas Jane) est un peintre illustrateur qui travaille sur une affiche fictionnelle de La Tour Sombre et on voit une affiche de The Thing sur un mur de son atelier de travail. L'ambiance est tout de suite posée et on nous présente notre petite famille, les Drayton (papa, maman et le fiston) ainsi que l'ensemble des protagonistes plus ou moins secondaires du film. Mais tout ça, c'est avant que le brouillard ne commence à pointer de son nez. Le film ne perd pas de temps et très vite (au bout de même pas 15 minutes) l'ensemble du casting se retrouve alors coincé dans une supérette, bloqués par le mystérieux et inquiétant brouillard. Certains personnages semblent un peu trop caricaturaux, mais très vite ils gagnent tous en subtilité, par exemple le bourrin de service qui devient fanatique religieux. Justement, la charge contre le fanatisme religieux est un point essentiel du film. The Mist n'est pas qu'un vulgaire film de monstres en huit-clos, il essaie de faire passer le message que la menace à l'intérieur du magasin est bien plus à craindre que la menace extérieure. C'est là qu'intervient le personnage incarnée par Marcia Gay Harden. Elle est géniale en fanatique religieuse, leader d'un groupe de petits fanatiques qui grossit au fur et à mesure que la peur gagne du terrain sur la rationalité. D'abord sa folie nous donne envie de rire, puis nous énerve, pour finalement se révéler être le personnage le plus effrayant du film, même plus effrayant que les monstres à l'extérieur du magasin.
Par contre si certains effets spéciaux sont très réussis, plus généralement les effets pratiques, d'autres, notamment certains effets numériques, sont particulièrement hideux (les tentacules de la première créatures et les grosses bestioles volantes). Ensuite la mise en scène caméra à l'épaule en mode "docufiction" est très immersive, mais ça semble un peu trop improvisé pour le bien du film. C'est plus une mise en scène prétexte (par manque de temps) qu'une mise en scène finement étudiée. Tout ça, ça ressemble beaucoup plus à un téléfilm ou un épisode de série TV qu'un film de cinéma, quoi !
Et puis il faut évoquer le dénouement final, d'une noirceur abyssale. Différente de celle du roman, elle fut imaginée par Darabont et validée par Stephen King himself. Sans rien en révéler, c'est à la fois bouleversant et teinté d'une forte dose d'une ironie.
Bref, The Mist n'est pas parfait, mais c'est vraiment un film qui donne envie de l'aimer, tellement ça déborde de bonnes intentions. Et tans pis pour les petits reproches, le plaisir est réel pour tous les adorateurs des œuvres de Stephen King.

Frank Darabont s'est fait une spécialité d'adapter les romans de Stephen king, puisque après les Evadés et la Ligne verte, il s'attaque en 2008 à la courte nouvelle Brume. Résultat, une fois encore il nous offre là l'une des meilleures adaptations des œuvres du célèbre auteur, The Mist étant une très agréable surprise malgré un budget limité et un casting de série B.
Déjà le film démarre sous les meilleurs auspices avec un hommage appuyé à John Carpenter et à Stephen King. Le personnage principal du film David Drayton (Thomas Jane) est un peintre illustrateur qui travaille sur une affiche fictionnelle de La Tour Sombre et on voit une affiche de The Thing sur un mur de son atelier de travail. L'ambiance est tout de suite posée et on nous présente notre petite famille, les Drayton (papa, maman et le fiston) ainsi que l'ensemble des protagonistes plus ou moins secondaires du film. Mais tout ça, c'est avant que le brouillard ne commence à pointer de son nez. Le film ne perd pas de temps et très vite (au bout de même pas 15 minutes) l'ensemble du casting se retrouve alors coincé dans une supérette, bloqués par le mystérieux et inquiétant brouillard. Certains personnages semblent un peu trop caricaturaux, mais très vite ils gagnent tous en subtilité, par exemple le bourrin de service qui devient fanatique religieux. Justement, la charge contre le fanatisme religieux est un point essentiel du film. The Mist n'est pas qu'un vulgaire film de monstres en huit-clos, il essaie de faire passer le message que la menace à l'intérieur du magasin est bien plus à craindre que la menace extérieure. C'est là qu'intervient le personnage incarnée par Marcia Gay Harden. Elle est géniale en fanatique religieuse, leader d'un groupe de petits fanatiques qui grossit au fur et à mesure que la peur gagne du terrain sur la rationalité. D'abord sa folie nous donne envie de rire, puis nous énerve, pour finalement se révéler être le personnage le plus effrayant du film, même plus effrayant que les monstres à l'extérieur du magasin.
Par contre si certains effets spéciaux sont très réussis, plus généralement les effets pratiques, d'autres, notamment certains effets numériques, sont particulièrement hideux (les tentacules de la première créatures et les grosses bestioles volantes). Ensuite la mise en scène caméra à l'épaule en mode "docufiction" est très immersive, mais ça semble un peu trop improvisé pour le bien du film. C'est plus une mise en scène prétexte (par manque de temps) qu'une mise en scène finement étudiée. Tout ça, ça ressemble beaucoup plus à un téléfilm ou un épisode de série TV qu'un film de cinéma, quoi !
Et puis il faut évoquer le dénouement final, d'une noirceur abyssale. Différente de celle du roman, elle fut imaginée par Darabont et validée par Stephen King himself. Sans rien en révéler, c'est à la fois bouleversant et teinté d'une forte dose d'une ironie.
Bref, The Mist n'est pas parfait, mais c'est vraiment un film qui donne envie de l'aimer, tellement ça déborde de bonnes intentions. Et tans pis pour les petits reproches, le plaisir est réel pour tous les adorateurs des œuvres de Stephen King.
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Merci Less ! Je me sens moins seul.
Si tu as l'occasion de mettre la main sur le première édition sortie en DVD, elle contenait le film en noir et blanc. Et l'immersion en est multiplié.
D'ailleurs c'est la version que préfère Darabont.
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Je l'ai revu il y a quelques semaines et je ne me rappelait plus de la fin. Je l'ai pas vue venir j'ai adoré.lessthantod a écrit : ↑19 déc. 2020 17:33Et puis il faut évoquer le dénouement final, d'une noirceur abyssale. Différente de celle du roman, elle fut imaginée par Darabont et validée par Stephen King himself. Sans rien en révéler, c'est à la fois bouleversant et teinté d'une forte dose d'une ironie.
Du même avis que toi, bravo pour la chronique j'en redemandelessthantod a écrit : ↑19 déc. 2020 17:33Bref, The Mist n'est pas parfait, mais c'est vraiment un film qui donne envie de l'aimer, tellement ça déborde de bonnes intentions. Et tans pis pour les petits reproches, le plaisir est réel pour tous les adorateurs des œuvres de Stephen King.

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Merci Shovel Knight
Il faut dire que j'avais lu la nouvelle lorsque j'étais gamin et je m'attendais à la même conclusion pour le film. Pour une fois je trouve que le dénouement de l'adaptation ciné est meilleur que celui du roman.
J'ai quand même maté quelques scène de la version n&b et même si ça donne un joli caché au film, on sent tout de même que le film a été pensé en couleur et filmé en couleur. Je trouve que le rendu n&b fait un peu trop faux, ça manque de dégradé, ça fait trop propre et policé.

Oui j'ai été très surpris moi aussi et ne l'ai pas du tout vu venir.Shovel Knight a écrit : ↑19 déc. 2020 20:03Je l'ai revu il y a quelques semaines et je ne me rappelait plus de la fin. Je l'ai pas vue venir j'ai adoré.lessthantod a écrit : ↑19 déc. 2020 17:33Et puis il faut évoquer le dénouement final, d'une noirceur abyssale. Différente de celle du roman, elle fut imaginée par Darabont et validée par Stephen King himself. Sans rien en révéler, c'est à la fois bouleversant et teinté d'une forte dose d'une ironie.
Il faut dire que j'avais lu la nouvelle lorsque j'étais gamin et je m'attendais à la même conclusion pour le film. Pour une fois je trouve que le dénouement de l'adaptation ciné est meilleur que celui du roman.
Bah justement, j'ai l'édition 2 DVD avec la version noir&blanc sur le 2nd disque, mais j'ai préféré mater la version cinéma.spip a écrit :Merci Less ! Je me sens moins seul.
Si tu as l'occasion de mettre la main sur le première édition sortie en DVD, elle contenait le film en noir et blanc. Et l'immersion en est multiplié.
D'ailleurs c'est la version que préfère Darabont.
J'ai quand même maté quelques scène de la version n&b et même si ça donne un joli caché au film, on sent tout de même que le film a été pensé en couleur et filmé en couleur. Je trouve que le rendu n&b fait un peu trop faux, ça manque de dégradé, ça fait trop propre et policé.
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The Mist m'a fait forte impression, avant même la fin, précisément parce qu'il montre que l'horreur vient d'abord des humains, en situation de crise. C'est la marque des bons flims de monstres.
Et cette fin bordel, c'est une conclusion parfaite et pourtant extrêmement osée, une claque en deux temps, et complètement raccord avec le reste du flim.
Ne vous la gâchez surtout pas, voyez-le, appréciez déjà tout ce qu'il y a avant, car c'est en soi excellent, même sans la fin. Et puis prenez-la comme elle vient.
Et cette fin bordel, c'est une conclusion parfaite et pourtant extrêmement osée, une claque en deux temps, et complètement raccord avec le reste du flim.
Ne vous la gâchez surtout pas, voyez-le, appréciez déjà tout ce qu'il y a avant, car c'est en soi excellent, même sans la fin. Et puis prenez-la comme elle vient.
« Nintendo c'est des gros fils de putes avides et réactionnaires » - lincruste, 2022.
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un film que je n'ai jamais eu envie de voir...
mais vous me chauffez là avec votre histoire de fin 'qu'on voit pas venir" !
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Moi non plus ... comme quoi, parfois faut lutter contre ses préjugésGringos10 a écrit :un film que je n'ai jamais eu envie de voir...
