
Hobb Robin j'ai lu les 13 tome (à l'époque, il me semble que depuis c'est plus ?) de l'Assassin Royal, je trouve que la série démarre très fort, et puis au deuxième cycle ça devient absolument n'importe quoi.
On m'avait conseillé Vision aveugle de Peter Watts comme hard SF , mais comme le résumé ne m'a pas trop convaincu, jamais acheté, mais apparemment c'est un des meilleurs livre pour ceux qui aime le genre.Shovel Knight a écrit : ↑18 août 2024 20:42Je suis pas un grand lecteur, et j'y connais rien en hard SF, mais dernièrement j'ai acheté ce recueil de nouvelles :
30-40 pages par nouvelles ça me va bien, j'essaie d'en lire une par jour. J'aime bien. Même si parfois ça fait fumer le cerveau![]()
Les deux, mais surtout Axiomatique. C'est un de mes livres de sf préférés. Si tu as le courage (parce que c'est rude à lire le Greg Egan), La Cité des Permutants ça tabasse bien aussi...
Tu en avais déjà parlé ici de Axiomatique ? Parce que je ne me souviens plus du tout qu'est-ce qui m'avait fait acheté ce bouquin, j'avas dû lire une reco qq part, peut être toi.Tryphon a écrit : ↑19 août 2024 20:42Les deux, mais surtout Axiomatique. C'est un de mes livres de sf préférés. Si tu as le courage (parce que c'est rude à lire le Greg Egan), La Cité des Permutants ça tabasse bien aussi...
La cité des Permutants ça reprend une des nouvelles d'Axiomatique (celle où le narrateur se rend compte qu'il est une copie numérique). Il y a un bouquin qui reprend un peu l'idée de l'Assassin Infini, attends que je retrouve le titre...Shovel Knight a écrit : ↑19 août 2024 20:53Tu en avais déjà parlé ici de Axiomatique ? Parce que je ne me souviens plus du tout qu'est-ce qui m'avait fait acheté ce bouquin, j'avas dû lire une reco qq part, peut être toi.
Y'a des nouvelles bien rudes oui, notamment la première qui m'a fait un peu peur :
L'Assassin infini : Un tueur est chargé d'éliminer des personnes se déplaçant, grâce à une drogue, à travers une infinité d'univers parallèles, entraînant une dislocation de la réalité.
Je note pour La Cité des Permutants, mais si c'est du niveau de complexité (pas de lecture mais des concepts "scientifiques") de l'Assassin infini je ne me vois pas faire surchauffer mon cerveau comme ça sur 600 pages![]()
Mais sinon après cette première nouvelle ça se calme et j'aime bcp
Une des séries les plus surcotées de l'histoire des séries.Antarka a écrit : ↑19 août 2024 21:17La Servante Ecarlate de Margaret Atwood.
Bah p'tain, voilà une lecture absolument pas feel-good.
Je recommande bien sûr. Il a une énorme puissance évocatrice ce truc. Et les thèmes abordés sont malheureusement encore beaucoup d'actualités, voire ptetre davantage même qu'il y a 40 ans, en tout cas en occident (je dis pas que la condition de la femme a empiré depuis en occident hein, juste qu'on est un peu sorti de la certitude que tout ira en s'améliorant à ce niveau la).
C'était puissant. J'ai pas vu la série, mais elle a plutôt de bonnes critiques, j'essaierais certainement de mater ça un de ces 4.
Et j'ai appris que l'autrice avait écrit une suite récemment, je suis intrigué.
Lenteurs inutiles, mise en scène au rabais alternant les gros plans sur le visage de l'héroïne et diverses scènes pompées à droite et à gauche, acteurs de seconde zone plus insupportables les uns que les autres, et plein d'autres stéréotypes de séries ecrites sans aucune subtilité, qui me donnaient envie d'éteindre la tv dès que je tombais dessus
La 1ere saison était plutôt réussie, elle suivait le livre (qui est sympa aussi) mais les autres saisons ont été écrites par des scénaristes et c'est moins bien.Gringos10 a écrit : ↑20 août 2024 10:22Lenteurs inutiles, mise en scène au rabais alternant les gros plans sur le visage de l'héroïne et diverses scènes pompées à droite et à gauche, acteurs de seconde zone plus insupportables les uns que les autres, et plein d'autres stéréotypes de séries ecrites sans aucune subtilité, qui me donnaient envie d'éteindre la tv dès que je tombais dessus
En gros 1200 pages qui explique une partie de l'histore des sciences ,de comment on est passé que la vie à une âme à la molécule.Quelles stratégies la biologie a-t-elle développées, tout au long de son histoire, pour expliquer la vie ? Comment, d’une conception où l’univers entier était quasiment vivant, où les vivants par excellence étaient les dieux et les astres, et où la vie était même une caractéristique divine, est-on passé à une conception où seuls sont vivants quelques objets matériels dotés d’une organisation particulière, et où la vie n’est plus guère qu’un fonctionnement machinique.
Comment est-on passé d’une conception où les processus vitaux étaient expliqués par une âme, à une conception où ils sont soumis aux mêmes lois physiques que les objets inanimés. Comment, dans un monde unifié par de telles lois, a-t-on alors essayé de rendre compte de la spécificité de l’être vivant, de la définir et de la concilier avec l’unité et l’universalité des principes physiques explicatifs ?