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Très intéressant ce topic, on découvre pas mal de choses sur les membres ^^
Pour ma part, je ne m'en souvenais plus mais en revoyant par hasard il y a quelques jours mes fiches d'orientation en classe de 5è, j'avais écrit que je voulais être prof d'histoire. Après un parcours assez chaotique (j'ai redoublé ma 3è pour cause de comportement et un avis défavorable pour l'obtention du brevet, que j'ai eu lors de ma première 3è, donc j'ai redoublé pour rien, j'ai également eu un avis défavorable pour l'obtention du bac, que j'ai eu sans trop de problèmes), j'ai entamé une année en fac d'histoire, pour bifurquer vers une formation AFPA en tant que développeur informatique(c'était l'AVENIR, disaient-ils !) avec un formateur qui nous donnait des tâches à faire le matin puis passait en mode "demerden sie sich", en mode posé tranquille le reste du temps toute sa journée dans son bureau. Que faisait-il ? Mystère... J'ai pas validé cette formation (flemme de chercher un stage de fin d'année pour valider cette formation, et puis de toute façon je pigeais rien à l'informatique et au codage, trop abstrait pour moi), je suis retourné en histoire, j'ai décroché ma licence sans trop de problème en la commençant à Nancy puis en la finissant à Bordeaux (très bonne université, Michel de Montaigne, au passage) pour entamer ensuite quelques postes de profs dans le public (contractuel, le gros mot à la mode, on peut aussi dire bouche-trou, ça marche aussi) et dans le privé, à plusieurs postes (de la maternelle aux doctorants), que ce soit en tant que prof d'histoire, de lettres (en CAP et en Bac Pro, si on enseigne l'histoire, on enseigne obligatoirement le français avec... Drôle de truc mais ça m'a permis d'acquérir de l'expérience pour l'enseignement du français) puis de FLE (français langue étrangère, une discipline que j'ai connu par hasard en fréquentant une association qui dispensait ce type de cours. Ca m'a énormément plu et j'ai assisté puis donné des cours avec un formateur FLE pour acquérir une certaine légitimité que certaines formations ne donnent pas toujours). Déçu par l'EN (Education Nationale pour les intimes) à moult reprises, je pensais faire carrière dans le privé en tant que prof de FLE mais cette année j'ai eu l'opportunité de retourner à l'EN pour les classes spéciales UPE2A (donc toujours du FLE mais pour des collégiens, et en petit comité) et comme les conditions me paraissaient bonnes (à défaut du salaire, je dois être à 1600 balles/mois, une misère par rapport aux enseignants titulaires), j'ai signé pour cette année. A voir si je continuerai par la suite, le privé donnant quand même bien plus de marges de manoeuvre aux enseignants.
Je n'imagine pas ma vie autrement que prof en tout cas, et en FLE en particulier : je me sens vraiment utile, mon public semble en général apprécier ce que je dispense, et j'arrive même parfois à être satisfait de moi (chose vraiment rare en général) quand je constate leurs progrès en français. Rien à voir avec le fait d'être prof d'histoire/lettres pour des bacpro (ou autre public) qui n'en ont rien à carrer, qui sont souvent là par défaut (je parle d'expérience pour le coup, j'ai du faire une dizaine d'établissement type bacpro/CAP et dans des régions différentes, et à chaque fois, même constat) et qui se contentent, dans le meilleur des cas, de subir un cours qui ne les passionnent pas et ne les passionneront jamais.
Pour ma part, je ne m'en souvenais plus mais en revoyant par hasard il y a quelques jours mes fiches d'orientation en classe de 5è, j'avais écrit que je voulais être prof d'histoire. Après un parcours assez chaotique (j'ai redoublé ma 3è pour cause de comportement et un avis défavorable pour l'obtention du brevet, que j'ai eu lors de ma première 3è, donc j'ai redoublé pour rien, j'ai également eu un avis défavorable pour l'obtention du bac, que j'ai eu sans trop de problèmes), j'ai entamé une année en fac d'histoire, pour bifurquer vers une formation AFPA en tant que développeur informatique(c'était l'AVENIR, disaient-ils !) avec un formateur qui nous donnait des tâches à faire le matin puis passait en mode "demerden sie sich", en mode posé tranquille le reste du temps toute sa journée dans son bureau. Que faisait-il ? Mystère... J'ai pas validé cette formation (flemme de chercher un stage de fin d'année pour valider cette formation, et puis de toute façon je pigeais rien à l'informatique et au codage, trop abstrait pour moi), je suis retourné en histoire, j'ai décroché ma licence sans trop de problème en la commençant à Nancy puis en la finissant à Bordeaux (très bonne université, Michel de Montaigne, au passage) pour entamer ensuite quelques postes de profs dans le public (contractuel, le gros mot à la mode, on peut aussi dire bouche-trou, ça marche aussi) et dans le privé, à plusieurs postes (de la maternelle aux doctorants), que ce soit en tant que prof d'histoire, de lettres (en CAP et en Bac Pro, si on enseigne l'histoire, on enseigne obligatoirement le français avec... Drôle de truc mais ça m'a permis d'acquérir de l'expérience pour l'enseignement du français) puis de FLE (français langue étrangère, une discipline que j'ai connu par hasard en fréquentant une association qui dispensait ce type de cours. Ca m'a énormément plu et j'ai assisté puis donné des cours avec un formateur FLE pour acquérir une certaine légitimité que certaines formations ne donnent pas toujours). Déçu par l'EN (Education Nationale pour les intimes) à moult reprises, je pensais faire carrière dans le privé en tant que prof de FLE mais cette année j'ai eu l'opportunité de retourner à l'EN pour les classes spéciales UPE2A (donc toujours du FLE mais pour des collégiens, et en petit comité) et comme les conditions me paraissaient bonnes (à défaut du salaire, je dois être à 1600 balles/mois, une misère par rapport aux enseignants titulaires), j'ai signé pour cette année. A voir si je continuerai par la suite, le privé donnant quand même bien plus de marges de manoeuvre aux enseignants.
Je n'imagine pas ma vie autrement que prof en tout cas, et en FLE en particulier : je me sens vraiment utile, mon public semble en général apprécier ce que je dispense, et j'arrive même parfois à être satisfait de moi (chose vraiment rare en général) quand je constate leurs progrès en français. Rien à voir avec le fait d'être prof d'histoire/lettres pour des bacpro (ou autre public) qui n'en ont rien à carrer, qui sont souvent là par défaut (je parle d'expérience pour le coup, j'ai du faire une dizaine d'établissement type bacpro/CAP et dans des régions différentes, et à chaque fois, même constat) et qui se contentent, dans le meilleur des cas, de subir un cours qui ne les passionnent pas et ne les passionneront jamais.
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lol Tryphon,purée moi aussi je serai surement riche aussiTryphon a écrit : ↑04 juin 2024 10:14Bah chercheur en mathématiques. Après les mathématiques c'est très large. Par exemple, j'ai fait deux DEA. Le premier était en géométrie algébrique, un truc tellement abstrait que j'aurais du mal à te l'expliquer, avec assez peu d'applications. Le deuxième était en mathématiques de l'image et intelligence artificielle. Celui-là si je l'avais poursuivi je serais riche aujourd'hui![]()

méler la neuroscience a l'I.A..le combo parfait en 2024.On serai chez Open AI en Californie ,a boire des coktails avec pleins de nanas a gros seins^^
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Killvan a écrit : ↑04 juin 2024 10:25Très intéressant ce topic, on découvre pas mal de choses sur les membres ^^
Pour ma part, je ne m'en souvenais plus mais en revoyant par hasard il y a quelques jours mes fiches d'orientation en classe de 5è, j'avais écrit que je voulais être prof d'histoire. Après un parcours assez chaotique (j'ai redoublé ma 3è pour cause de comportement et un avis défavorable pour l'obtention du brevet, que j'ai eu lors de ma première 3è, donc j'ai redoublé pour rien, j'ai également eu un avis défavorable pour l'obtention du bac, que j'ai eu sans trop de problèmes), j'ai entamé une année en fac d'histoire, pour bifurquer vers une formation AFPA en tant que développeur informatique(c'était l'AVENIR, disaient-ils !) avec un formateur qui nous donnait des tâches à faire le matin puis passait en mode "demerden sie sich", en mode posé tranquille le reste du temps toute sa journée dans son bureau. Que faisait-il ? Mystère... J'ai pas validé cette formation (flemme de chercher un stage de fin d'année pour valider cette formation, et puis de toute façon je pigeais rien à l'informatique et au codage, trop abstrait pour moi), je suis retourné en histoire, j'ai décroché ma licence sans trop de problème en la commençant à Nancy puis en la finissant à Bordeaux (très bonne université, Michel de Montaigne, au passage) pour entamer ensuite quelques postes de profs dans le public (contractuel, le gros mot à la mode, on peut aussi dire bouche-trou, ça marche aussi) et dans le privé, à plusieurs postes (de la maternelle aux doctorants), que ce soit en tant que prof d'histoire, de lettres (en CAP et en Bac Pro, si on enseigne l'histoire, on enseigne obligatoirement le français avec... Drôle de truc mais ça m'a permis d'acquérir de l'expérience pour l'enseignement du français) puis de FLE (français langue étrangère, une discipline que j'ai connu par hasard en fréquentant une association qui dispensait ce type de cours. Ca m'a énormément plu et j'ai assisté puis donné des cours avec un formateur FLE pour acquérir une certaine légitimité que certaines formations ne donnent pas toujours). Déçu par l'EN (Education Nationale pour les intimes) à moult reprises, je pensais faire carrière dans le privé en tant que prof de FLE mais cette année j'ai eu l'opportunité de retourner à l'EN pour les classes spéciales UPE2A (donc toujours du FLE mais pour des collégiens, et en petit comité) et comme les conditions me paraissaient bonnes (à défaut du salaire, je dois être à 1600 balles/mois, une misère par rapport aux enseignants titulaires), j'ai signé pour cette année. A voir si je continuerai par la suite, le privé donnant quand même bien plus de marges de manoeuvre aux enseignants.
Je n'imagine pas ma vie autrement que prof en tout cas, et en FLE en particulier : je me sens vraiment utile, mon public semble en général apprécier ce que je dispense, et j'arrive même parfois à être satisfait de moi (chose vraiment rare en général) quand je constate leurs progrès en français. Rien à voir avec le fait d'être prof d'histoire/lettres pour des bacpro (ou autre public) qui n'en ont rien à carrer, qui sont souvent là par défaut (je parle d'expérience pour le coup, j'ai du faire une dizaine d'établissement type bacpro/CAP et dans des régions différentes, et à chaque fois, même constat) et qui se contentent, dans le meilleur des cas, de subir un cours qui ne les passionnent pas et ne les passionneront jamais.
En lisant ton profil, je me dis que tu pourrais te tourner vers les écoles françaises de l'étranger (AEFE). Grâce à tes compétences, tu pourrais y enseigner l'histoire et le aussi le FLE. Après, si tu es en couple ou que tu as une famille, ce sera peut-être difficile…
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Super projet,ne laches pas!!Albibak a écrit : ↑03 juin 2024 21:21De mon côté, j'ai fait là où me portait le vent.
J'ai tjr des facilité à l'école, sans jamais rien branler (à part... ah non, il est trop tôt encore), puis arrive la 4eme/3eme, où tu dois bosser quand même. Et quand tu as passer 10ans à rien faire chez toi car tu assimilait tout rapidement, bah le drame lol. J'arrive au bac avec une moyenne de moins de 11, me donnant pas trop le choix dans ce que je peux faire. Je voulais aller dans les compagnons, travailler le bois, et j'ai fini en bac STI electrotech(je voulais faire electronique, mais on m'a dit que j'étais trop mauvais). Bref, je voulas arreter les études avant le bac, mais mes parents m'ont dit "tu ne feras jamais rien si t'as même pas le bac". Bac en poche, je fais un BTS, histoire de leur faire plaisir (mais vraiment). Mon prof d'informatique était président du jury. Il m'appelle un soir pour me dire : "Tu as ton BTS, moyenne 10.02. Pour info, j'étais président du jury." J'ai bien compris que je lui devais mon BTS. J'ai ensuite fait une licence en admin réseaux informatique, car je ne savais vraiment pas quoi faire, et la, j'ai terminé avec 16 de moyenne, car j'aimais vraiment ça.
Je me lance dans la vie active, et je me retrouve à bosser chez Bouygues Telecom pendant 11ans (support technique, projet, configuration..).
Je profite d'un plan de départ pour aller dans une autre boite de Telecom où je monte tout un support niveau 2. Après 3ans, on m'offre pas de mobilité interne, du coup je m'en vais, et je vais travailler dans une boite qui fait des tag RFID (les trucs qu'il y a dans les fringues notamment), pour les boutiques de luxe. Je découvre un monde très particulier, mais enrichissant. Histoire humaine complexe avec mon chef, je m'en vais dans une autre boite pour prendre la direction du service support et service client. Recrutement bancal du board, mauvaises décisions sur mauvaises décisions des patrons, je décide de monter ma boite.
Depuis un peu moins d'un an, j'essaie de développer ma boite afin d'ouvrir une boutique physique de vente de jeux vidéo. Compliqué, très compliqué, mais j'essaie de m'accrocher.
En ce moment je regarde pour faire mon site web avec boutique, et je me jette dans les réseaux sociaux et autre pour faire du Marketing, mais c'est vraiment pas mon truc, donc ça marche pas du tout.
Voila pour moi![]()
@Biff57 super ton topic

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A voir en effet, j'y ai songé, pourquoi pas dans les prochaines années. Ma compagne est prof aussi, de lettres, à l'EN (collège) et pour le moment je ne pense pas qu'elle souhaite être hors système. A voir si ce type de projet lui plairait. Et comme on ne veut pas de gosses, on reste assez mobile, on va dire ^^Fellock a écrit : ↑04 juin 2024 10:32Killvan a écrit : ↑04 juin 2024 10:25Très intéressant ce topic, on découvre pas mal de choses sur les membres ^^
Pour ma part, je ne m'en souvenais plus mais en revoyant par hasard il y a quelques jours mes fiches d'orientation en classe de 5è, j'avais écrit que je voulais être prof d'histoire. Après un parcours assez chaotique (j'ai redoublé ma 3è pour cause de comportement et un avis défavorable pour l'obtention du brevet, que j'ai eu lors de ma première 3è, donc j'ai redoublé pour rien, j'ai également eu un avis défavorable pour l'obtention du bac, que j'ai eu sans trop de problèmes), j'ai entamé une année en fac d'histoire, pour bifurquer vers une formation AFPA en tant que développeur informatique(c'était l'AVENIR, disaient-ils !) avec un formateur qui nous donnait des tâches à faire le matin puis passait en mode "demerden sie sich", en mode posé tranquille le reste du temps toute sa journée dans son bureau. Que faisait-il ? Mystère... J'ai pas validé cette formation (flemme de chercher un stage de fin d'année pour valider cette formation, et puis de toute façon je pigeais rien à l'informatique et au codage, trop abstrait pour moi), je suis retourné en histoire, j'ai décroché ma licence sans trop de problème en la commençant à Nancy puis en la finissant à Bordeaux (très bonne université, Michel de Montaigne, au passage) pour entamer ensuite quelques postes de profs dans le public (contractuel, le gros mot à la mode, on peut aussi dire bouche-trou, ça marche aussi) et dans le privé, à plusieurs postes (de la maternelle aux doctorants), que ce soit en tant que prof d'histoire, de lettres (en CAP et en Bac Pro, si on enseigne l'histoire, on enseigne obligatoirement le français avec... Drôle de truc mais ça m'a permis d'acquérir de l'expérience pour l'enseignement du français) puis de FLE (français langue étrangère, une discipline que j'ai connu par hasard en fréquentant une association qui dispensait ce type de cours. Ca m'a énormément plu et j'ai assisté puis donné des cours avec un formateur FLE pour acquérir une certaine légitimité que certaines formations ne donnent pas toujours). Déçu par l'EN (Education Nationale pour les intimes) à moult reprises, je pensais faire carrière dans le privé en tant que prof de FLE mais cette année j'ai eu l'opportunité de retourner à l'EN pour les classes spéciales UPE2A (donc toujours du FLE mais pour des collégiens, et en petit comité) et comme les conditions me paraissaient bonnes (à défaut du salaire, je dois être à 1600 balles/mois, une misère par rapport aux enseignants titulaires), j'ai signé pour cette année. A voir si je continuerai par la suite, le privé donnant quand même bien plus de marges de manoeuvre aux enseignants.
Je n'imagine pas ma vie autrement que prof en tout cas, et en FLE en particulier : je me sens vraiment utile, mon public semble en général apprécier ce que je dispense, et j'arrive même parfois à être satisfait de moi (chose vraiment rare en général) quand je constate leurs progrès en français. Rien à voir avec le fait d'être prof d'histoire/lettres pour des bacpro (ou autre public) qui n'en ont rien à carrer, qui sont souvent là par défaut (je parle d'expérience pour le coup, j'ai du faire une dizaine d'établissement type bacpro/CAP et dans des régions différentes, et à chaque fois, même constat) et qui se contentent, dans le meilleur des cas, de subir un cours qui ne les passionnent pas et ne les passionneront jamais.
En lisant ton profil, je me dis que tu pourrais te tourner vers les écoles françaises de l'étranger (AEFE). Grâce à tes compétences, tu pourrais y enseigner l'histoire et le aussi le FLE. Après, si tu es en couple ou que tu as une famille, ce sera peut-être difficile…
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Je t'aurai bien vu psychologue.darktet a écrit : ↑04 juin 2024 10:01Non.
Le contenu des cours étaient passionnants mais je me voyais mal exercer un métier dans ce domaine.psychologue,conseiller d'orientation,CPE,psychothérapeute,coach en je sais pas quoi, ect...C'était pas pour moi.
A la rigueur "chercheur en Neurosciences" m'aurai bien botté,mais a la fac de Rennes cette spécialité était très peu mise en lumière.Il m'aurai fallu un maitre de conférence,une pointure dans ce domaine pour rejoindre son équipe.Mais a l'université de Rennes,rien de tout cela. Et puis fallait être brillant et travailler énormément pour un salaire de misère en début de carrière.J'en ai pas eut le courage.
Puis j'ai fait Barman,après tout,c'est le psy des classes populaires^^
Tu ne manques pas d'empathie, contrairement @Tryphon et @lincruste
"Avec le canon d'un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles"
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Allez zou, petit flashback récapitulatif :
Tout petit j'aimais beaucoup dessiner, je faisais ça tout le temps. Quand les ordinateurs sont arrivés début 80, je me suis aussi pris de passion pour l'informatique sans trop savoir quoi y faire, j’aimais bien apprendre le basic et j’ai recopié quelques codes Hebdogiciel mais bon, les métiers « sérieux » dans le domaine (principalement de l’informatique de gestion à l’époque) ne me tentaient pas du tout.
Mais vers 90 bingo ! J'ai pu réunir mes passions grâce à un Amiga + Deluxe Paint, une révélation ! J'ai eu du bol car ça correspondait au début de la PAO, j'ai fait un stage et j'ai ensuite été embauché comme enseignant (photoshop / illustrator / XPress). En 95 je suis parti pour l'Italie (j’ai suivi ma future femme italienne) et j'ai bossé dans ce secteur pour une boite avant de me mettre à mon compte. Entre-temps le web s’est développé et c’est naturellement que je me suis tourné vers ce media.
Je dois dire que j’ai beaucoup de chance : j’aime mon boulot car il me correspond (créa + technique), il est varié et évolue constamment, je rencontre beaucoup de gens de tous horizons, je découvre plein de secteurs d’activité et je gère des projets qui m’intéressent.
Je suis quelqu’un de très indépendant et je ne pourrais pas bosser pour un « chef », faire des boulots qui ne me plaisent pas, faire tous les jours un même trajet, etc. J’aime bien mener ma barque. En même temps je n’ai jamais voulu embaucher, trop de responsabilités et j’aime le côté « artisan » qui me permet de toucher à tout, s’il y a des trucs que je ne sais pas ou que je ne veux pas faire (site e-commerce, web-marketing, …) je délègue à des connaissances.
Enfin et c’est pas rien, j’ai un cadre professionnel idéal : j’ai mon bureau chez moi, dans une belle grande maison avec grand jardin, quasi immergé dans la nature tout en étant à 20mn de Turin.
Être à mon compte a plein d’avantages, la flexibilité dans la gestion du temps en particulier. La contrepartie ce sont les responsabilités et le fait que le boulot ne s’arrête jamais vraiment, contrairement à quelqu’un qui fait ses heures et passe à autre chose. Avec l’expérience j’ai appris à gérer le dosage entre boulots ambitieux et rémunératifs et ma qualité de vie, même s’il m’arrive d’être en situation de stress, ayant toujours cette sale tendance à faire les choses au dernier moment… mais bon, on se refait pas
Tout petit j'aimais beaucoup dessiner, je faisais ça tout le temps. Quand les ordinateurs sont arrivés début 80, je me suis aussi pris de passion pour l'informatique sans trop savoir quoi y faire, j’aimais bien apprendre le basic et j’ai recopié quelques codes Hebdogiciel mais bon, les métiers « sérieux » dans le domaine (principalement de l’informatique de gestion à l’époque) ne me tentaient pas du tout.
Mais vers 90 bingo ! J'ai pu réunir mes passions grâce à un Amiga + Deluxe Paint, une révélation ! J'ai eu du bol car ça correspondait au début de la PAO, j'ai fait un stage et j'ai ensuite été embauché comme enseignant (photoshop / illustrator / XPress). En 95 je suis parti pour l'Italie (j’ai suivi ma future femme italienne) et j'ai bossé dans ce secteur pour une boite avant de me mettre à mon compte. Entre-temps le web s’est développé et c’est naturellement que je me suis tourné vers ce media.
Je dois dire que j’ai beaucoup de chance : j’aime mon boulot car il me correspond (créa + technique), il est varié et évolue constamment, je rencontre beaucoup de gens de tous horizons, je découvre plein de secteurs d’activité et je gère des projets qui m’intéressent.
Je suis quelqu’un de très indépendant et je ne pourrais pas bosser pour un « chef », faire des boulots qui ne me plaisent pas, faire tous les jours un même trajet, etc. J’aime bien mener ma barque. En même temps je n’ai jamais voulu embaucher, trop de responsabilités et j’aime le côté « artisan » qui me permet de toucher à tout, s’il y a des trucs que je ne sais pas ou que je ne veux pas faire (site e-commerce, web-marketing, …) je délègue à des connaissances.
Enfin et c’est pas rien, j’ai un cadre professionnel idéal : j’ai mon bureau chez moi, dans une belle grande maison avec grand jardin, quasi immergé dans la nature tout en étant à 20mn de Turin.
Être à mon compte a plein d’avantages, la flexibilité dans la gestion du temps en particulier. La contrepartie ce sont les responsabilités et le fait que le boulot ne s’arrête jamais vraiment, contrairement à quelqu’un qui fait ses heures et passe à autre chose. Avec l’expérience j’ai appris à gérer le dosage entre boulots ambitieux et rémunératifs et ma qualité de vie, même s’il m’arrive d’être en situation de stress, ayant toujours cette sale tendance à faire les choses au dernier moment… mais bon, on se refait pas

Dernière modification par Cormano le 04 juin 2024 11:25, modifié 1 fois.
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Mais ça cherche quoi ce genre de chercheurs ?

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Pourtant j'ai pas mal empathé ces derniers tempsGringos10 a écrit : ↑04 juin 2024 11:13Je t'aurai bien vu psychologue.darktet a écrit : ↑04 juin 2024 10:01Non.
Le contenu des cours étaient passionnants mais je me voyais mal exercer un métier dans ce domaine.psychologue,conseiller d'orientation,CPE,psychothérapeute,coach en je sais pas quoi, ect...C'était pas pour moi.
A la rigueur "chercheur en Neurosciences" m'aurai bien botté,mais a la fac de Rennes cette spécialité était très peu mise en lumière.Il m'aurai fallu un maitre de conférence,une pointure dans ce domaine pour rejoindre son équipe.Mais a l'université de Rennes,rien de tout cela. Et puis fallait être brillant et travailler énormément pour un salaire de misère en début de carrière.J'en ai pas eut le courage.
Puis j'ai fait Barman,après tout,c'est le psy des classes populaires^^
Tu ne manques pas d'empathie, contrairement @Tryphon et @lincruste![]()
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
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Bah je te le dis plus bas. Les algorithmes de compression d'images ou de vidéo, les réseaux de neurones, le deep learning, c'est pas sorti du trou du cul du bon dieu

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Dieu est nul en maths ?
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Pas terrible, il joue aux dés...
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
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Si t'es vraiment fort en maths, postule au N.E.R.D., ils recrutent.Kannagi a écrit : ↑03 juin 2024 20:58Pour ma part c'est bien moins joyeux.
Enfant je rêvais d’être astronaute ou tout autre métier en rapport avec l'espace parce que passionné d'astronomie (je ne suis devenu ni astronaute ni ne bosse chez ArianeGroup).
J'ai fait des études d'info-math (2010-2014) mais quelque soucis perso m'ont fait arrêté et j'ai mis du temps à me remettre.
Ensuite j'ai bossé (en auto entrepreneure vers 2016) en collab avec une boite pour faire quelque jeux sur android/IOS , j'ai arrêté après 2-3 ans parce que je bossais beaucoup mais je gagnais moins que le SMIC...
Ensuite j'ai un peu abandonné et le covid est arrivé donc ça m'a pas forcément motivé.
J'ai ensuite fait une formation bidon qui s'est terminé vers fin 2023 , en tant que développeur web.
J'ai envoyé a peu près 300 CV depuis.
Et mes derniers entretien me met tout simplement en rogne pour la simple raison qu'il me dise ouvertement que je suis un "débutant" ,ah ben peu importe que tu sais faire un processeur de A à Z , un langage de programmation , que tu as programmé sur une vingtaine de machine différente que tu sais faire de la 3D , plusieurs langage de programmation compilé ou web ,tout ça n'a aucune importante ,même si tu donne les preuves concrètes de tout ça, tout est dans mes 2-3 ans en tant que dev mobile , le reste ne compte pas.
Tout ça pour un poste qui demanderait probablement pas 1% de mes compétences (quand je vois ce qui est demandé comme boulot)....
Mon rêve si j'avais des cojones, ça serait de me faire une banque et de prendre une retraite, mais comme j'ai pas de cojones et pas de AK47 , je dirais que ça serait actuellement d’être à mon propre compte, donc pour le moment je bosse sur le coté marketing/prospection/etc
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La vraie question est : est-ce qu'il trouve ?
Tu sais ce qu'on dit. Des chercheurs qui cherchent on en trouve mais des chercheurs qui trouvent on en cherche
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C'est une des blagues qui me font le moins rire 
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
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Il pourra bosser avec Steflincruste a écrit : ↑04 juin 2024 12:02Si t'es vraiment fort en maths, postule au N.E.R.D., ils recrutent.Kannagi a écrit : ↑03 juin 2024 20:58Pour ma part c'est bien moins joyeux.
Enfant je rêvais d’être astronaute ou tout autre métier en rapport avec l'espace parce que passionné d'astronomie (je ne suis devenu ni astronaute ni ne bosse chez ArianeGroup).
J'ai fait des études d'info-math (2010-2014) mais quelque soucis perso m'ont fait arrêté et j'ai mis du temps à me remettre.
Ensuite j'ai bossé (en auto entrepreneure vers 2016) en collab avec une boite pour faire quelque jeux sur android/IOS , j'ai arrêté après 2-3 ans parce que je bossais beaucoup mais je gagnais moins que le SMIC...
Ensuite j'ai un peu abandonné et le covid est arrivé donc ça m'a pas forcément motivé.
J'ai ensuite fait une formation bidon qui s'est terminé vers fin 2023 , en tant que développeur web.
J'ai envoyé a peu près 300 CV depuis.
Et mes derniers entretien me met tout simplement en rogne pour la simple raison qu'il me dise ouvertement que je suis un "débutant" ,ah ben peu importe que tu sais faire un processeur de A à Z , un langage de programmation , que tu as programmé sur une vingtaine de machine différente que tu sais faire de la 3D , plusieurs langage de programmation compilé ou web ,tout ça n'a aucune importante ,même si tu donne les preuves concrètes de tout ça, tout est dans mes 2-3 ans en tant que dev mobile , le reste ne compte pas.
Tout ça pour un poste qui demanderait probablement pas 1% de mes compétences (quand je vois ce qui est demandé comme boulot)....
Mon rêve si j'avais des cojones, ça serait de me faire une banque et de prendre une retraite, mais comme j'ai pas de cojones et pas de AK47 , je dirais que ça serait actuellement d’être à mon propre compte, donc pour le moment je bosse sur le coté marketing/prospection/etc
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
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Non je ne suis pas forcément bon en math (j'ai dit nulle part que j'étais bon en maths d'ailleurs) , mon niveau est je dirais assez moyen même.
Et honnêtement ,je doute qu'ils me prendront vu mon CV
Et honnêtement ,je doute qu'ils me prendront vu mon CV
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Très sympa ce topic 
Pour ma part, j'ai eu un parcours assez chaotique. L'école je n'ai jamais aimé ça (dès la maternelle), sauf la récrée.
Cela m'a valu quelques aléas comme me faire virer de plusieurs collèges à cause d'absentéisme, bagarre, ou insolence.
En troisième, lorsqu'il fallait choisir un stage dans une entreprise pour découvrir un métier, j'ai vu ça comme une opportunité de rien glander pendant une semaine en me faisant "embaucher" dans un magasin de jeu de rôle/cartes Magic/jeux de plateau. Semaine pendant laquelle bah... j'ai rien glandé, limite à me dégoûter de faire ce métier tellement je m'ennuyais (les clients étaient rares et les journées longues). Bon en même temps, je n'avais pas envie de faire ce métier non plus à la base.
J'obtiens mon brevet tant bien que mal et je me retrouve en seconde STT, là où, en gros, on mettait tous les cancres qui n'étaient pas passionnés par les études. Je n'ai pas trop aimé cette filière, sauf la partie informatique où j'avais quelques facilités (et où je passais la moitié du temps à jouer à Bomberman que j'avais installé en douce via une disquette
).
Et là, un petit déclic cette même année : je me suis pris d'une passion pour les services secrets
Je voulais devenir agent de la DGSE, ou de la DST ou un truc approchant. Tellement désireux de faire ça que je me suis mis à bosser davantage, à améliorer mes notes en sciences dans le but de passer en première S où j'ai fini par être accepté, sauf que le niveau était bien plus difficile que j'imaginais, et que pour y arriver, il fallait bosser et réviser tous les jours, chose que je n'étais pas très habitué à faire. Et entre temps ma passion pour les services secrets s'était un peu estompée
Faut dire aussi que c'est très incertain et flou comme cursus, ce qui n'a pas aidé à me motiver.
En début de terminale S, ma mère décède, je reçois un peu de sous de l'assurance vie qu'elle avait contractée et je me barre de la maison familiale car c'était pas la joie avec mon daron en ce temps-là, m'installant avec ma copine dans un petit studio. Une chose en amenant une autre, j'arrête les cours et n'obtiendrai donc jamais mon BAC.
Une fois le peu de sous d'héritage dilapidé (et ça va très vite), je me lance dans une carrière pas très légale pour subvenir à mes besoins
Ça a duré un temps, mais la routourne tourna et je finis par me faire arrêter. J'avais 21 ans.
S'ensuit un contrôle judiciaire avec obligation de trouver un truc à faire de ma vie sous peine d'aller en prison. Ne voulant pas passer quelques années à ramasser des savonnettes, je me suis dégoté une formation AFPA en TSE (Technicien Supérieur en Electronique) et je quittais Rouen pour rejoindre ma ville natale, Toulouse.
Alors l'AFPA, me concernant, c'était exactement pareil que ce qu'a dit Killvan : des profs qui glandaient rien toute la journée, qu'on voyait quasiment pas, et une année que je n'ai pas validée également car je n'ai pas trouvé de stage.
Malgré tout, je me suis quand même fait embaucher dans une petite boite d'électronique où j'ai rapidement gravit les échelons, mais la boite a finit par péricliter et je me suis donc fait licencier faute de clients et de travail à faire.
S'ensuivit une période de chômage, puis de boulots alimentaires (déménageur, désenfumage, ménages...) puis de RSA, puis la découverte d'Internet. Internet existait déjà depuis un moment mais je n'avais jamais eu de connexion chez moi jusqu'ici. Avec mon temps libre, je me mis très vite à créer un site sur le jeu de rôle pour publier mes nombreux écrits de jeunesse et en faire profiter d'autres passionnés. De fil en aiguille, je rencontrai une personne plus âgée qui admirait mon travail en JdR et mes capacités en développement et me suggéra d'en faire mon métier comme lui (développeur Web) en auto entrepreneur. Ce que je fis, apprenant tout le nécessaire en autodidacte. Aujourd'hui encore, c'est mon boulot.
Mais l'aspect commercial de ce métier (trouver des clients) n'étant pas mon fort, les périodes varient de fastes à moins fastes et puis je commence à en avoir un peu marre, d'autant qu'ayant tout appris seul sur le tas et n'ayant pas fait d'études poussées dans le domaine, mes compétences sont limitées. Et j'ai pas du tout le courage de reprendre des études, encore moins dans un domaine aussi "pointu".
En parallèle, j'ai également bossé pour des maisons d'édition dans le JdR en tant qu'auteur.
Aujourd'hui, j'aimerai bien me reconvertir, mais je ne sais absolument pas quoi faire.
Voilà dans les grandes lignes.

Pour ma part, j'ai eu un parcours assez chaotique. L'école je n'ai jamais aimé ça (dès la maternelle), sauf la récrée.

Cela m'a valu quelques aléas comme me faire virer de plusieurs collèges à cause d'absentéisme, bagarre, ou insolence.
En troisième, lorsqu'il fallait choisir un stage dans une entreprise pour découvrir un métier, j'ai vu ça comme une opportunité de rien glander pendant une semaine en me faisant "embaucher" dans un magasin de jeu de rôle/cartes Magic/jeux de plateau. Semaine pendant laquelle bah... j'ai rien glandé, limite à me dégoûter de faire ce métier tellement je m'ennuyais (les clients étaient rares et les journées longues). Bon en même temps, je n'avais pas envie de faire ce métier non plus à la base.

J'obtiens mon brevet tant bien que mal et je me retrouve en seconde STT, là où, en gros, on mettait tous les cancres qui n'étaient pas passionnés par les études. Je n'ai pas trop aimé cette filière, sauf la partie informatique où j'avais quelques facilités (et où je passais la moitié du temps à jouer à Bomberman que j'avais installé en douce via une disquette
![Dan.San :]](/forum/images/smilies/8.gif)
Et là, un petit déclic cette même année : je me suis pris d'une passion pour les services secrets

Je voulais devenir agent de la DGSE, ou de la DST ou un truc approchant. Tellement désireux de faire ça que je me suis mis à bosser davantage, à améliorer mes notes en sciences dans le but de passer en première S où j'ai fini par être accepté, sauf que le niveau était bien plus difficile que j'imaginais, et que pour y arriver, il fallait bosser et réviser tous les jours, chose que je n'étais pas très habitué à faire. Et entre temps ma passion pour les services secrets s'était un peu estompée

En début de terminale S, ma mère décède, je reçois un peu de sous de l'assurance vie qu'elle avait contractée et je me barre de la maison familiale car c'était pas la joie avec mon daron en ce temps-là, m'installant avec ma copine dans un petit studio. Une chose en amenant une autre, j'arrête les cours et n'obtiendrai donc jamais mon BAC.
Une fois le peu de sous d'héritage dilapidé (et ça va très vite), je me lance dans une carrière pas très légale pour subvenir à mes besoins
![Dan.San :]](/forum/images/smilies/8.gif)
Ça a duré un temps, mais la routourne tourna et je finis par me faire arrêter. J'avais 21 ans.
S'ensuit un contrôle judiciaire avec obligation de trouver un truc à faire de ma vie sous peine d'aller en prison. Ne voulant pas passer quelques années à ramasser des savonnettes, je me suis dégoté une formation AFPA en TSE (Technicien Supérieur en Electronique) et je quittais Rouen pour rejoindre ma ville natale, Toulouse.
Alors l'AFPA, me concernant, c'était exactement pareil que ce qu'a dit Killvan : des profs qui glandaient rien toute la journée, qu'on voyait quasiment pas, et une année que je n'ai pas validée également car je n'ai pas trouvé de stage.
Malgré tout, je me suis quand même fait embaucher dans une petite boite d'électronique où j'ai rapidement gravit les échelons, mais la boite a finit par péricliter et je me suis donc fait licencier faute de clients et de travail à faire.
S'ensuivit une période de chômage, puis de boulots alimentaires (déménageur, désenfumage, ménages...) puis de RSA, puis la découverte d'Internet. Internet existait déjà depuis un moment mais je n'avais jamais eu de connexion chez moi jusqu'ici. Avec mon temps libre, je me mis très vite à créer un site sur le jeu de rôle pour publier mes nombreux écrits de jeunesse et en faire profiter d'autres passionnés. De fil en aiguille, je rencontrai une personne plus âgée qui admirait mon travail en JdR et mes capacités en développement et me suggéra d'en faire mon métier comme lui (développeur Web) en auto entrepreneur. Ce que je fis, apprenant tout le nécessaire en autodidacte. Aujourd'hui encore, c'est mon boulot.
Mais l'aspect commercial de ce métier (trouver des clients) n'étant pas mon fort, les périodes varient de fastes à moins fastes et puis je commence à en avoir un peu marre, d'autant qu'ayant tout appris seul sur le tas et n'ayant pas fait d'études poussées dans le domaine, mes compétences sont limitées. Et j'ai pas du tout le courage de reprendre des études, encore moins dans un domaine aussi "pointu".
En parallèle, j'ai également bossé pour des maisons d'édition dans le JdR en tant qu'auteur.
Aujourd'hui, j'aimerai bien me reconvertir, mais je ne sais absolument pas quoi faire.
Voilà dans les grandes lignes.

- Albibak
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Décidément, on en apprend beaucoup sur tout le monde, très intéressant.
Sacré parcours aussi Maskass. Au moins, tu as plein de chose à raconter sur ta vie c'est intéressant.
Si tu cherches un client pour un site Web, je cherche un dev ahah, dommage que tu en aies marre.
Sacré parcours aussi Maskass. Au moins, tu as plein de chose à raconter sur ta vie c'est intéressant.
Si tu cherches un client pour un site Web, je cherche un dev ahah, dommage que tu en aies marre.
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Oui ça me fait des choses à raconter, c'est vrai
Explique moi ton projet en MP, ça m'intéresse.

Disons que je commence à me poser des questions sur mon avenir dans ce métier, mais ça reste encore mon boulot, que j'aime bien malgré tout (je le fais depuis 2015).
Explique moi ton projet en MP, ça m'intéresse.

En ligne
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@maskass oh, copain d'Afpa ! Donc c'est la glandouille partout pour les formateurs dans ce type de centre, on dirait ! Bon bah je sais déjà où j'irai, quand j'approcherai de la retraite ;p Sinon, beau parcours, te concernant ^^
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Merci ^^
D'après certaines connaissances qui ont fait l'AFPA, ce n'est pas partout pareil : il y a des formateurs plus talentueux et investis que d'autres. On n'est juste pas tombés sur ceux-là.
D'après certaines connaissances qui ont fait l'AFPA, ce n'est pas partout pareil : il y a des formateurs plus talentueux et investis que d'autres. On n'est juste pas tombés sur ceux-là.

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Oh j'étais dans un centre de formation qui est assez proche de l'AFPA , j'ai plus eu envie de les assassiner , 16 personnes , 2 qui abandonne , 2 qui trouve en alternance et 10 qui retourne à Pole emploi.
Mais les formateurs nous assurait que tout le monde aura du travail en sortant de leur super formation !
(ah bien sur ils glandaient rien , on était en "autonomie" h24).
Mais les formateurs nous assurait que tout le monde aura du travail en sortant de leur super formation !
(ah bien sur ils glandaient rien , on était en "autonomie" h24).
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Bon moi je ne vais rien raconter, ma vie est intéressante comparée à certains 
Honnêtement, vous lire est très intéressant et enrichissant.
Honnêtement, vous lire est très intéressant et enrichissant.
- BeyondOasis
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Demande à chatgpt d'en imaginer une pour toi sinon:
Enfant, je rêvais de grandes aventures. Je passais des heures à explorer les bois près de chez moi, fasciné par la faune et la flore. À l'adolescence, mon amour pour la nature s'intensifie, mais un rêve plus insolite me prend aux tripes : devenir mannequin crash test. Je me voyais déjà dans les laboratoires, contribuant à la sécurité des véhicules et sauvant des vies de manière indirecte.
Mais la vie n'est pas un conte de fées. À 16 ans, une tragédie frappe ma famille : la perte d'un être cher bouleverse mon existence (adieu Pipou). Mon monde s'effondre et mes rêves semblent soudainement hors de portée. Malgré cette épreuve, je trouve refuge dans mes études, essayant de maintenir un semblant de normalité.
La bifurcation inattendue :Enfant, je rêvais de grandes aventures. Je passais des heures à explorer les bois près de chez moi, fasciné par la faune et la flore. À l'adolescence, mon amour pour la nature s'intensifie, mais un rêve plus insolite me prend aux tripes : devenir mannequin crash test. Je me voyais déjà dans les laboratoires, contribuant à la sécurité des véhicules et sauvant des vies de manière indirecte.
Mais la vie n'est pas un conte de fées. À 16 ans, une tragédie frappe ma famille : la perte d'un être cher bouleverse mon existence. Mon monde s'effondre et mes rêves semblent soudainement hors de portée. Malgré cette épreuve, je trouve refuge dans mes études, essayant de maintenir un semblant de normalité.
Après le lycée, je m'inscris à l'université, déterminé à poursuivre mon rêve. Cependant, les difficultés financières et émotionnelles s'accumulent. Je dois jongler entre les cours, un emploi à mi-temps et le soutien à ma famille. Peu à peu, le poids des responsabilités devient écrasant, et je suis forcé de quitter l'université avant d'obtenir mon diplôme.
Les années suivantes sont marquées par une série de petits boulots sans avenir. Je me sens piégé dans une routine sans fin, mes rêves de mannequin crash test s'estompant lentement. C'est une période de profonde introspection et de remise en question. Je me demande souvent ce que l'avenir me réserve et si j'ai encore une chance de réaliser mes aspirations.
Un jour, lors d'un de mes petits boulots, je fais la rencontre de Jean, un vieux taxidermiste passionné. Son atelier, rempli de créatures magnifiquement préservées, réveille en moi une flamme que je croyais éteinte. Jean voit en moi une curiosité et un potentiel, et il me propose de m'enseigner les bases de la taxidermie.
Plongé dans cet univers, je redécouvre ma passion pour la nature. La taxidermie me permet de combiner ma fascination pour les animaux avec une nouvelle forme d'expression artistique. Je me lance dans cet apprentissage avec une détermination féroce, passant des heures à perfectionner ma technique. Pour moi, chaque animal que je préserve est une manière de rendre hommage à la beauté de la nature et de lui donner une seconde vie.
Les années passent et mon talent en taxidermie s'affine. Mes œuvres commencent à attirer l'attention, et je reçois des commandes de musées, de collectionneurs et d'amateurs d'art. Chaque pièce que je réalise est un témoignage de ma résilience et de ma capacité à transformer la douleur en beauté. Aujourd'hui, je suis un taxidermiste reconnu, respecté pour mon savoir-faire et ma sensibilité artistique. Mon parcours n'a pas été linéaire, mais chaque détour m'a permis de grandir et de me rapprocher de ma véritable vocation. Ma volonté de surmonter les obstacles et de suivre ma passion, malgré les épreuves, m'a finalement conduit à une carrière où je peux pleinement exprimer mon amour pour la nature et mon talent artistique.
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Putain, même plus la peine de vivre...
C'est un θ, il croyait qu'il était τ, mais en fait il est θ.
- Captain_Eraclés
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Ce que je voulais faire :
-Vétérinaire safari (jamais je ne me suis donné les moyens de mes ambitions)
-Footballeur (un bon niveau, mais aucun sérieux, préférant les sorties avec les minettes)
Mon petit parcours :
-Les études, ce n'était pas pour moi, je m'ennuyais totalement et passais mon temps à rire avec les copains . J'obtiens mon Bac STG option GSI avec un petit 10,6 de moyenne sans jamais avoir révisé de ma scolarité .
-J'arrête les études pour m'orienter vers l'armée de terre (19ème régiment du génie) : Beaucoup de bas du front, les femmes insupportables, ambiance pochtrons et cassos... J'ai abandonné malgré un engagement signé pour 5 ans . Je suis donc catégorisé comme déserteur .
-S'en suit une multitudes de petits métiers : Standardiste/Réceptionniste en maison de retraite, gardien d'immeuble, vendeur chez office dépôt
-Reprise d'un BTS MUC en alternance (vendeur en animalerie), obtention de ce dernier avec une bonne moyenne de 15 ,sans jamais avoir révisé encore une fois, car ça ne m'intéressait pas spécialement, mais je ne voulais pas retourner faire des boulots par défaut .
A la fin de ce BTS, aucune offre d'emplois , si ce n'est une proposition en CDD de deux semaines pour être vendeur de sapins de Noël ... J'ai eu l'impression qu'on se foutait de ma gueule, j'ai donc décidé d'ouvrir ma boite .
-Création de ma société, vente en ligne de produits culturels (80% jeu vidéo, 20% BD/Comics/Manga) pendant 8 ans sur Amazon/Rakuten/Ebay .
Suite à la période Covid, je ne trouvais plus de stock (qui provenait des brocantes, japon, ventes aux enchères, particulier... Tout ce que le Covid a annulé) et j'ai fermé mon entreprise .
-Je postule dans un entrepôt Amazon qui se trouve à moins de 7 minutes en voiture de chez moi, je deviens "agent de logistique" pendant 6 mois puis évolue en Lead (chef d'équipe) . 6 mois plus tard, Amazon ouvre sa première imprimerie en France (agrandissement de l'entrepôt où je me trouve) et je suis selectionné (20 postes à pourvoir sur + de 600 candidatures) pour faire parti de l'équipe de lancement .
Ce que je fais maintenant :
Chef d'équipe en logistique et production
Ca fait maintenant deux ans que j'y suis et je m'y sens plutôt bien, j'ai trouvé un juste milieu entre taf pas déplaisant et liberté . Je travaille à moins de 10 minutes de chez moi (un plein de carburant tous les deux mois), je fais 5h00-13h30 (me laissant mes aprés-midi pour mes passions), je suis en week-end le jeudi à 13h30 une semaine sur deux, ne travaille jamais le samedi/dimanche, j'ai 7 semaines de congés payés et un salaire pas déconnant (pas mirobolant non plus) pour seulement 2 ans d'expérience chez eux .
Ce que j'aimerai faire à l'avenir :
Evoluer encore d'un échelon au sein d'Amazon pour garder et améliorer mon confort de vie, avec cependant des responsabilités qui s'arrêtent à la badgeuse.
Parfois je réfléchis à ma vie et je me demande ce que je pourrais bien faire, j'aimerai servir ou produire quelque chose , me sentir utile, nécessaire à la communauté, aider, une orientation vers un mode de vie plus simple, plus proche de nos anciens en communion avec les animaux, la nature . Mais ça reste très flou .
-Vétérinaire safari (jamais je ne me suis donné les moyens de mes ambitions)
-Footballeur (un bon niveau, mais aucun sérieux, préférant les sorties avec les minettes)
Mon petit parcours :
-Les études, ce n'était pas pour moi, je m'ennuyais totalement et passais mon temps à rire avec les copains . J'obtiens mon Bac STG option GSI avec un petit 10,6 de moyenne sans jamais avoir révisé de ma scolarité .
-J'arrête les études pour m'orienter vers l'armée de terre (19ème régiment du génie) : Beaucoup de bas du front, les femmes insupportables, ambiance pochtrons et cassos... J'ai abandonné malgré un engagement signé pour 5 ans . Je suis donc catégorisé comme déserteur .
-S'en suit une multitudes de petits métiers : Standardiste/Réceptionniste en maison de retraite, gardien d'immeuble, vendeur chez office dépôt
-Reprise d'un BTS MUC en alternance (vendeur en animalerie), obtention de ce dernier avec une bonne moyenne de 15 ,sans jamais avoir révisé encore une fois, car ça ne m'intéressait pas spécialement, mais je ne voulais pas retourner faire des boulots par défaut .
A la fin de ce BTS, aucune offre d'emplois , si ce n'est une proposition en CDD de deux semaines pour être vendeur de sapins de Noël ... J'ai eu l'impression qu'on se foutait de ma gueule, j'ai donc décidé d'ouvrir ma boite .
-Création de ma société, vente en ligne de produits culturels (80% jeu vidéo, 20% BD/Comics/Manga) pendant 8 ans sur Amazon/Rakuten/Ebay .
Suite à la période Covid, je ne trouvais plus de stock (qui provenait des brocantes, japon, ventes aux enchères, particulier... Tout ce que le Covid a annulé) et j'ai fermé mon entreprise .
-Je postule dans un entrepôt Amazon qui se trouve à moins de 7 minutes en voiture de chez moi, je deviens "agent de logistique" pendant 6 mois puis évolue en Lead (chef d'équipe) . 6 mois plus tard, Amazon ouvre sa première imprimerie en France (agrandissement de l'entrepôt où je me trouve) et je suis selectionné (20 postes à pourvoir sur + de 600 candidatures) pour faire parti de l'équipe de lancement .
Ce que je fais maintenant :
Chef d'équipe en logistique et production
Ca fait maintenant deux ans que j'y suis et je m'y sens plutôt bien, j'ai trouvé un juste milieu entre taf pas déplaisant et liberté . Je travaille à moins de 10 minutes de chez moi (un plein de carburant tous les deux mois), je fais 5h00-13h30 (me laissant mes aprés-midi pour mes passions), je suis en week-end le jeudi à 13h30 une semaine sur deux, ne travaille jamais le samedi/dimanche, j'ai 7 semaines de congés payés et un salaire pas déconnant (pas mirobolant non plus) pour seulement 2 ans d'expérience chez eux .
Ce que j'aimerai faire à l'avenir :
Evoluer encore d'un échelon au sein d'Amazon pour garder et améliorer mon confort de vie, avec cependant des responsabilités qui s'arrêtent à la badgeuse.
Parfois je réfléchis à ma vie et je me demande ce que je pourrais bien faire, j'aimerai servir ou produire quelque chose , me sentir utile, nécessaire à la communauté, aider, une orientation vers un mode de vie plus simple, plus proche de nos anciens en communion avec les animaux, la nature . Mais ça reste très flou .
Dernière modification par Captain_Eraclés le 04 juin 2024 15:46, modifié 3 fois.
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Vous avez de sacrés parcours.
@Captain_Eraclés il y a une pub bien casse c… d’ailleurs sur Amazon qui passe tout le temps avec les formations, est ce que vu ton niveau tu peux pas prétendre à une de ces formations et te diriger vers quelque chose en rapport avec la nature?
Tiens pour rester dans le thème des métiers je me suis toujours demandé comment les testeurs de jeux vidéo sont devenus testeurs de jeux vidéo?
Je n’ai pas de chronologie bien précise en tête mais les premiers magazines de jeux vidéo sont sortis peu après les jeux vidéos non? Alors comment ils ont pu atterrir là avant même que les jeux vidéo explosent vraiment?
Est ce que ça a été que des coups de bols ou est ce que certains ont senti le coup et se sont mis à plusieurs pour faire un magazine?
@Captain_Eraclés il y a une pub bien casse c… d’ailleurs sur Amazon qui passe tout le temps avec les formations, est ce que vu ton niveau tu peux pas prétendre à une de ces formations et te diriger vers quelque chose en rapport avec la nature?
Tiens pour rester dans le thème des métiers je me suis toujours demandé comment les testeurs de jeux vidéo sont devenus testeurs de jeux vidéo?
Je n’ai pas de chronologie bien précise en tête mais les premiers magazines de jeux vidéo sont sortis peu après les jeux vidéos non? Alors comment ils ont pu atterrir là avant même que les jeux vidéo explosent vraiment?
Est ce que ça a été que des coups de bols ou est ce que certains ont senti le coup et se sont mis à plusieurs pour faire un magazine?
- Captain_Eraclés
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Je ne regarde jamais la TV et ai des bloqueurs de pubs sur le net, du coup je n'ai pas vu passer cette annonce . Après je pourrais m'informer au sein même de mon entrepôt ou sur notre réseau, mais je ne m'occupe pas vraiment de ça, la volonté de changement est encore trop discrète et très flou . Mais maintenant que tu m'en parles, je vais me renseigner 

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Je suis traducteur à mon compte depuis une dizaine d'années (et avant ça j'étais coordinateur de projets / chargé de relation client dans une agence de traduction). Je traduis du contenu en français pour des marques internationales. Généralement du contenu marketing, dans différents domaines (automobile, santé/bien-être et habillement, notamment).
Mais depuis quelques mois, je songe à faire autre chose. Le secteur semble en crise et même si je suis un bon traducteur (en tout cas, les agences avec qui je travaille me disent que je suis leur meilleur traducteur anglais > français - perso je pense pas être particulièrement doué, mais que c'est surtout parce que je suis consciencieux), je reçois moins de demandes qu'avant. Et franchement, ça m'inquiète, au point que je suis parfois prêt à tout arrêter.
D'ailleurs, cette semaine je suis à Paris car il y avait une journée speed dating des métiers de l'hôtellerie qui s'est tenue hier. C'est un secteur qui m'intéresse et je pense que je pourrais être efficace là-dedans. Comme je sais que mon CV n'attirerait pas vraiment l'attention des professionnels de l'hôtellerie en temps normal, je me suis dit que c'était une bonne idée d'aller à ce speed dating et de miser sur l'impression que je leur donnerais. Bref, je pense que ça s'est bien passé et il y a potentiellement des hôtels intéressés par mon profil qui vont me recontacter. Cela dit, je me demande si je suis prêt à changer radicalement de vie (surtout pour travailler dans l'hôtellerie, j'imagine que j'aurai aucun de mes weekends). Bref, je suis un peu en période de doute. Mais peut-être que les choses vont s'arranger.
Mais depuis quelques mois, je songe à faire autre chose. Le secteur semble en crise et même si je suis un bon traducteur (en tout cas, les agences avec qui je travaille me disent que je suis leur meilleur traducteur anglais > français - perso je pense pas être particulièrement doué, mais que c'est surtout parce que je suis consciencieux), je reçois moins de demandes qu'avant. Et franchement, ça m'inquiète, au point que je suis parfois prêt à tout arrêter.
D'ailleurs, cette semaine je suis à Paris car il y avait une journée speed dating des métiers de l'hôtellerie qui s'est tenue hier. C'est un secteur qui m'intéresse et je pense que je pourrais être efficace là-dedans. Comme je sais que mon CV n'attirerait pas vraiment l'attention des professionnels de l'hôtellerie en temps normal, je me suis dit que c'était une bonne idée d'aller à ce speed dating et de miser sur l'impression que je leur donnerais. Bref, je pense que ça s'est bien passé et il y a potentiellement des hôtels intéressés par mon profil qui vont me recontacter. Cela dit, je me demande si je suis prêt à changer radicalement de vie (surtout pour travailler dans l'hôtellerie, j'imagine que j'aurai aucun de mes weekends). Bref, je suis un peu en période de doute. Mais peut-être que les choses vont s'arranger.
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En plus sur le Discord y'a Sybillin qui a envoyé un lien vers un article qui dit que ça se casse la gueule très vite avec les IA génératives qui traduisent de mieux en mieux.
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L'IA a déjà changé pas mal de choses. On travaille plus souvent sur des textes prétraduits par une IA (donc ça prend moins de temps).
Je pense qu'il y aura toujours du travail humain à faire, notamment pour les contenus qui nécessitent de la créativité, mais ouais y en aura moins, c'est clair.
Je pense qu'il y aura toujours du travail humain à faire, notamment pour les contenus qui nécessitent de la créativité, mais ouais y en aura moins, c'est clair.
- Biff57
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Tu sais peut importe l’IA, elle ne remplacera pas la conversation humaine en temps réel donc si tu trouves une voie qui te plaît et où tu serais potentiellement en contact avec des clients étrangers comme par exemple comme tu l’as cité l’hôtellerie, tu auras certainement un énorme avantage à pouvoir converser tout de suite en anglais ou autre comparé au gars qui devra sortir son tel et demander une traduction si efficace soit elle, elle le fera pas avec le sourire, toi si et ça changera tout.Jun a écrit : ↑06 juin 2024 19:13L'IA a déjà changé pas mal de choses. On travaille plus souvent sur des textes prétraduits par une IA (donc ça prend moins de temps).
Je pense qu'il y aura toujours du travail humain à faire, notamment pour les contenus qui nécessitent de la créativité, mais ouais y en aura moins, c'est clair.
Ton aptitude va très certainement continuer de te servir au moins comme « petit plus » pour décrocher un job
- BeyondOasis
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Je suis assez épaté, vous avez quasi tous de vrais boulots.
Je veux dire j'en vois pas trop ici dire qu'ils ont d'obscur taf happiness manager ou autres trucs du genre.
Je vois aussi que vous êtes nombreux a vous poser des questions. J'espère que vous trouverez votre nouvelle voie.
Et @Jun je trouve ça bien ces formats de rencontre avec les recruteurs qui changent de la normale. Ça permet de montrer une facette de soi qu'on ne trouve pas dans un cv. En tout cas j'espère que ça paiera.
Je veux dire j'en vois pas trop ici dire qu'ils ont d'obscur taf happiness manager ou autres trucs du genre.
Je vois aussi que vous êtes nombreux a vous poser des questions. J'espère que vous trouverez votre nouvelle voie.
Et @Jun je trouve ça bien ces formats de rencontre avec les recruteurs qui changent de la normale. Ça permet de montrer une facette de soi qu'on ne trouve pas dans un cv. En tout cas j'espère que ça paiera.
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En tout cas quelque part, même si j'ai jamais trouvé vraiment ma voie (sans dec' si demain je me reveille avec toutes mes connaissances en 1995 quand j'avais 10 ans, je suis tjrs pas sur de vers quoi je me dirigerais) je suis quand même content d'être né dans les années 80.
De nos jours, le parcours sup ou on te demande dès la fin de la 3eme de décider de ton avenir, p'tain, je filerais élever des chèvres dans le Larzac je crois.
De nos jours, le parcours sup ou on te demande dès la fin de la 3eme de décider de ton avenir, p'tain, je filerais élever des chèvres dans le Larzac je crois.
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J'en croise tellement des bullshit jobs. Au secours...BeyondOasis a écrit : ↑06 juin 2024 20:29Je suis assez épaté, vous avez quasi tous de vrais boulots.
Je veux dire j'en vois pas trop ici dire qu'ils ont d'obscur taf happiness manager ou autres trucs du genre.
"Je mets les pieds où je veux Little John, et c'est souvent dans la gueule."
https://www.youtube.com/watch?v=usTQAuAvQq8
[Feedback Supa]
https://www.youtube.com/watch?v=usTQAuAvQq8
[Feedback Supa]
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Oh, ce topic est très intéressant ! J'ai aimé lire tous vos parcours de vie, très atypiques pour la majorité ! Moi même, j'ai un parcours un peu chaotique mais j'en parlerai plus tard. Là je veux juste dormir après cette lecture 

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Plus jeune je voulais être DJ, depuis mes 10 ans.
Ado, je suis devenu DJ amateur.
Adulte, je suis devenu DJ Pro.
C'est donc tout naturellement qu'aujourd'hui je suis adjoint administratif aux finances d'une collectivité territoriale (comptable d'une ville quoi
)
Ado, je suis devenu DJ amateur.
Adulte, je suis devenu DJ Pro.
C'est donc tout naturellement qu'aujourd'hui je suis adjoint administratif aux finances d'une collectivité territoriale (comptable d'une ville quoi

And now, I'm an old broken down piece of meat


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Comme certains le savent moi je suis responsable d’une agence immobilière depuis plusieurs années, c’est un taff stressant avec beaucoup de variables mais certains avantages non négligeable.
Beaucoup essayent ce métier mais peu restent, la dure loi du marché.
Beaucoup essayent ce métier mais peu restent, la dure loi du marché.
- JonMadlaine
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Aha non rien à 50 000 euros, même pas un studio. L’immobilier est en crise depuis plus d’un an, on traverse une période compliquée.
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Ah tient j'ai dit dans le topic des trucs qui saoulent que les banques me rendaient dingue dans notre tentative d'achat immobilier (c'est plus drôle de toute les mettre dans le même sac en mode scrogneugneu).
Du coup, par honnêteté intellectuelle, je me sens obligé de dire que le boss de l'agence lui, heureusement qu'il est la. J'sais pas exactement votre rôle propre, mais pour nous j'ai quand même l'impression qu'il dépasse quand même pas mal son cadre par moment, genre quand il pourrit totalement la conseillère bancaire incompétente qui nous bloque on sait même pas pourquoi ni comment, et que ça débloque le truc.
Donc allez, je vais également tous vous mettre dans le même sac. Et je vous aime d'amour.
Ça doit pas toujours être drôle comme métier, surtout les vendeurs qui surcotent totalement la valeur du taudis qu'ils veulent vendre.
Du coup, par honnêteté intellectuelle, je me sens obligé de dire que le boss de l'agence lui, heureusement qu'il est la. J'sais pas exactement votre rôle propre, mais pour nous j'ai quand même l'impression qu'il dépasse quand même pas mal son cadre par moment, genre quand il pourrit totalement la conseillère bancaire incompétente qui nous bloque on sait même pas pourquoi ni comment, et que ça débloque le truc.
Donc allez, je vais également tous vous mettre dans le même sac. Et je vous aime d'amour.
Ça doit pas toujours être drôle comme métier, surtout les vendeurs qui surcotent totalement la valeur du taudis qu'ils veulent vendre.
- Shovel Knight
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Par contre un chef qui dénigre ses employés devant les clients, les dits employés fussent ils réellement incompétents ou ayant fait des erreurs : c'est un chef de merde hein.
Tu veux un coup d'pelle ?
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Le métier d’agent immobilier contrairement à ce qui est montré à la tv est très dur. C’est beaucoup de montagnes russes, tu sais jamais ton salaire à la fin du mois. Je suis salarié donc j’ai minimum un peu plus que le smic et une voiture de fonction avec carte essence.
Estimer c’est compliqué mais encore plus dur de faire comprendre la valeur aux gens, ça m’arrive tous les jours les mecs qui ont une maison qui vaut 300k et qui veulent la vendre 400k. Les gens n’ont plus de notion de prix du coup ça reste 6 mois sur le marché et le mec t’engueule car tu n’as pas de visites.
Estimer c’est compliqué mais encore plus dur de faire comprendre la valeur aux gens, ça m’arrive tous les jours les mecs qui ont une maison qui vaut 300k et qui veulent la vendre 400k. Les gens n’ont plus de notion de prix du coup ça reste 6 mois sur le marché et le mec t’engueule car tu n’as pas de visites.
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Cest l'agent immobilier qui pourrit la banquière.Shovel Knight a écrit : ↑08 juil. 2024 21:41Par contre un chef qui dénigre ses employés devant les clients, les dits employés fussent ils réellement incompétents ou ayant fait des erreurs : c'est un chef de merde hein.
Pas ses employés.
"Avec le canon d'un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles"
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Ah ouais j'avais pas pigé la remarque du Chevalier à la Pelle.Gringos10 a écrit : ↑08 juil. 2024 22:52Cest l'agent immobilier qui pourrit la banquière.Shovel Knight a écrit : ↑08 juil. 2024 21:41Par contre un chef qui dénigre ses employés devant les clients, les dits employés fussent ils réellement incompétents ou ayant fait des erreurs : c'est un chef de merde hein.
Pas ses employés.
C'est comme le dit Gringos. C'est l'agent immobilier qui nous aide vachement en engueulant les banques qui font rien qu'a nous embêter. Bon je me doute bien que c'est pas désintéressé, il veut vendre quoi, histoire de toucher ses honoraires, mais franchement il nous a bien aidé, et aura pas volé les honoraires en question. Genre si ça allait pas nous ruiner d'acheter notre future baraque, j'y laisserais un gros pourboire.
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C’est clair que les banques nous mettent des bâtons dans les roues. Ça m’arrive de me prendre la tête avec parfois. Ils sont dans leurs bureaux, ils ne comprennent rien.
Dernier exemple : J’ai une offre de la part d’un client pour une maison. Je demande un document de sa banque comm quoi le financement est possible. La banque dit « Non, signez d’abord un compromis et on étudie »
Moi je refuse, trop risqué et ça se fait pas pour le propriétaire. Si je lui apporte un client je veux qu’il soit solvable.
Du coup en insistant j’ai eu un papier de la banque mais la conseillère totalement teubé me disait que c’est la première fois qu’une agence demande ça. Sois elle débute, sois toutes les agences sont incompétentes.
Dernier exemple : J’ai une offre de la part d’un client pour une maison. Je demande un document de sa banque comm quoi le financement est possible. La banque dit « Non, signez d’abord un compromis et on étudie »
Moi je refuse, trop risqué et ça se fait pas pour le propriétaire. Si je lui apporte un client je veux qu’il soit solvable.
Du coup en insistant j’ai eu un papier de la banque mais la conseillère totalement teubé me disait que c’est la première fois qu’une agence demande ça. Sois elle débute, sois toutes les agences sont incompétentes.
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Du cout?
Peux t'on savoir ton parcours ?
@FK-corporation et que penses tu de ton collègue S.Plaza et de ses agents de M6 ?
C'est juste du show TV ou y'a du vrai?
la question est peut être naive,j'y connais rien en immobilier.
Je sais juste que c'est trop cher.
Que les étudiants doivent raquer mini 800 e pour une cage d'une dizaine M carré a Paris ,je trouve ça choquant.