Vos dernières séances [films/Animes]

[Gringos10]

ah ouais dur ce que tu t'infliges...

C'est ce que je me dis à chaque fois que tu parles de foot...

ça fait pas mal ça, t'inquiète pas pour nous, au contraire on est même en manque au mois de juillet.
cette saison c'est l'orgie avec une coupe du monde en plein milieu de saison, on est refait !

[Captain Obvious]

Non, pas encore !

Oui

Bah alors, ton avis ... c'est bien ou c'est pas bien ?

J'ai détesté. C'est typiquement le genre de film qui me dégoûte au point de me debarasser du DVD au plus vite, comme je l' avais fait pour antichrist de lars von trier.
Efira s'en sort comme elle peut, elle se met à nu, au sens propre comme au figuré, dans une prestation qui n'est pas sans rappeler celle de Scarlett Johansson dans under the skin, mais le sujet est nul, tout comme le traitement qui en est fait.

Verhoeven, c'est pas lui qui a failli être religieux avant de devenir cinéaste ?

Il a plutôt abandonné une carrière de professeur de Maths.
Par contre il a toujours été fasciné par le "Jesus historique" et a même écrit un livre dessus (dont le contenu ne laisse pas vraiment à penser qu'il a failli être religieux).

[Tryphon]

Verhoeven, c'est pas lui qui a failli être religieux avant de devenir cinéaste ?

Il a plutôt abandonné une carrière de professeur de Maths.

C'est un peu pareil

Ce gars m'est de plus en plus sympathique

[Noctis]

Bon on a réussi à mater quelques films cette semaine, entre les séries SDA, House of Dragon et The Crown (s3) c'est pas toujours évident ^^'

- Ridicule. Excellent film qui se situe au XVIIème siècle, très porté sur les dialogues et les joutes verbales. J'ai beaucoup aimé et je ne saurai expliqué pourquoi mais j'ai réussi à bien m'immerger dans l'époque, là où d'habitude j'ai l'impression de rester un peu sur le côté. Peut-être parce que les personnages apparaissent plus souvent sans maquillage.
- A perfect World de et avec Clint Eastwood ainsi que Kevin Costner. J'ai bien accroché dans l'ensemble mais je l'ai trouvé trop long, notamment toutes les scènes avec la police qui sont finalement peu importantes je trouve.
- The Green Hornet de Michel Gondry. J'en attendais absolument rien et finalement on a bien rigolé avec cette parodie de super-héros ! Ca s'essouffle un peu dans la seconde partie du film mais une bonne surprise.

Et avec les enfants, hier : Vaiana. Je le trouve très bon ! Peut-être le meilleur Disney des années 2010 hors Pixar (coucou Coco). L'animation est superbe, l'univers, les personnages et l'histoire sont intéressants et j'ai beaucoup aimé la chanson principale du film !

[Gringos10]

Bon on a réussi à mater quelques films cette semaine, entre les séries SDA, House of Dragon et The Crown (s3) c'est pas toujours évident ^^'

C'est clair, même moi je galère pour enchaîner les films à cause des séries du moment

[Gringos10]

- Ridicule. Excellent film qui se situe au XVIIème siècle, très porté sur les dialogues et les joutes verbales. J'ai beaucoup aimé et je ne saurai expliqué pourquoi mais j'ai réussi à bien m'immerger dans l'époque, là où d'habitude j'ai l'impression de rester un peu sur le côté. Peut-être parce que les personnages apparaissent plus souvent sans maquillage.

Et avec les enfants, hier : Vaiana. Je le trouve très bon ! Peut-être le meilleur Disney des années 2010 hors Pixar (coucou Coco). L'animation est superbe, l'univers, les personnages et l'histoire sont intéressants et j'ai beaucoup aimé la chanson principale du film !

J'ai également vu récemment ridicule, on en avait parlé ici >> viewtopic.php?p=76466#p76466

Sinon Vaiana est effectivement très bon, c'est le truc qui m'attirait pas le moins du monde, mais ma fille le regardant en boucle j'ai fini par l'apprécier en le voyant petit à petit du coin de l'œil.

[Noctis]

Ah putai* je l'avais lue ta critique ! Et du coup pendant le film j'ai dit à madame "non mais c'est tellement ça, ils citent Voltaire mais...".

En fait je ne faisais que te citer sans m'en souvenir

[lessthantod]

A perfect World de et avec Clint Eastwood ainsi que Kevin Costner. J'ai bien accroché dans l'ensemble mais je l'ai trouvé trop long, notamment toutes les scènes avec la police qui sont finalement peu importantes je trouve.

Mon Clint Eastwood préféré (et pas loin d'être mon Kevin Costner préféré aussi), j'adore ce film

[wiiwii007]

Et avec les enfants, hier : Vaiana. Je le trouve très bon ! Peut-être le meilleur Disney des années 2010 hors Pixar (coucou Coco). L'animation est superbe, l'univers, les personnages et l'histoire sont intéressants et j'ai beaucoup aimé la chanson principale du film !

Carrément, il est top, le son est très bon dans celui là. Même l'animation est top.

[Gringos10]

Bon déjà je déments cette phrase d'accroche sur la jaquette du DVD :




On est loin, mais très loin de la trilogie de Sam Raimi. La licence ayant été passée à la moulinette marvel/Disney depuis.
J'en viens presque à regretter le dyptique avec Andrew Garfield alors que c'était déjà pas folichon.

J'ai une part de responsabilité dans le fait de ne pas avoir pris la peine de mater les épisodes précédents de cette nouvelle trilogie, pensant que ça pouvait être vu indépendamment, et attiré par cette idée de multiverse entre les films des sagas precedentes, mais non il y a tout un contexte et des persos mis en place dans les deux premiers films (et d'autres marvel), donc j'ai été un peu perdu au début sans aucune référence, je m'y attendais un peu donc ce n'est pas ce que je lui reprocherai, mais par contre je n'en peux plus de ces montages de tarés dans les films du mcu, avengers en tête, ça fuse dans tous les sens, on est asséné d'informations et les saynètes s'enchaînent les unes après les autres afin de placer le max de cameos et de punchlines qui tombent à l'eau à cause de ce rythme effréné. C'est dommage car cet épisode avait vraiment un potentiel de dingue avec cette idée de crossover entre les sagas, et au final ça donne juste un bordel mal filmé et même le fan service le plus basique est gâché dans son traitement.

[petitevieille]

Les flims de Sam Raimi ont leur floppée de défauts aussi tout de même.

Sur cette triplette récente, je garde un bon souvenir du premier, Homecoming, qui se permet de recontextualiser à notre époque les profils des personnages, donc de manquer de respect à l'œuvre initiale d'il y a 60 ans, oui, et pourtant ce n'est pas si éloigné. Flash Thompson en tête à claques, Peter en grand gamin sarcastique et néanmoins maladroit, et des mutations pas si honteuses que ça. Je préfère mille fois la MJ moderne, espèce de nerd solitaire mais brillante qui n'est même pas l'intérêt libidinal de Peter au départ, à celle de Raimi, insupportable princesse bécasse.
Le deuxième est nettement plus dispensable, il m'a laissé l'impression de remplir du vide.

[Tryphon]

Perso j'ai vu les deux premiers et je n'ai jamais compris l'enthousiasme. J'ai vu ça comme des films d'action prévisibles.

[petitevieille]

Complètement. Mes enfants regardent les flims Marvel, et à chaque fois, l'absence de surprise est totale. À part peut-être un truc dans Homecoming, plutôt bien géré.
L'enthousiasme est typique des grosses productions de divertissement : calibré, donc efficace sur le gros du public.

Là par exemple les Avengers, je me fais royalement chier devant ces trucs.

[Gringos10]

Perso j'ai vu les deux premiers et je n'ai jamais compris l'enthousiasme. J'ai vu ça comme des films d'action prévisibles.

Les deux premiers de quelle série ?
Celle de Raimi, celle de Webb ou celle de watts ?

[Tryphon]

de Raimi

[Shovel Knight]

Perso j'ai vu les deux premiers et je n'ai jamais compris l'enthousiasme. J'ai vu ça comme des films d'action prévisibles.

Complètement. Mes enfants regardent les flims Marvel, et à chaque fois, l'absence de surprise est totale. À part peut-être un truc dans Homecoming, plutôt bien géré.
L'enthousiasme est typique des grosses productions de divertissement : calibré, donc efficace sur le gros du public.

Là par exemple les Avengers, je me fais royalement chier devant ces trucs.

Tout pareil

[lessthantod]

Perso j'adore les 2 premier Spider-Man de Sam Raimi, surtout le 2 qui rentre sans problème dans mon top 5 de mes films de super héros préférés. Et même si le 3 est moins bon, il reste meilleur que 99% de la production MCU. Alors certes je n'ai pas vu grand chose du MCU, mais je n'ai pas besoin d'en voir plus pour savoir que ce n'est pas pour moi tous ces films de super-héros génériques et qui se ressemblent tous.

[wiiwii007]

Déjà vu il y a très longtemps, je me languissais de me rafraichir la mémoire.

Autant le dire de suite, j'ai pas été hyper convaincu. Je ne sais pas pourquoi, un manque de narration, de caractères prenants, d'un "héros" un peu plus charismatique... Bref, il m'a manqué une accroche. J'ai aimé la technique, certains plans, des scènes délirantes, folles, un aspect psychologique (surtout dans la première partie) très puissant etc. Mais non, j'ai plus eu l'impression d'assister à un "reportage" froid qu'à un film.

Donc bien, mais pas plus.

[Shovel Knight]

Dans mon top 10 des meilleurs films de tous les temps ce Full Metal Jacket en ce qui me concerne.

Mais non, j'ai plus eu l'impression d'assister à un "reportage" froid qu'à un film.

Je pense que c'est volontaire, surtout sur la deuxième partie. Le format 4/3. Le fait que l'on suit l'action à travers l'équipe de presse souvent. A vérifier mais il me semble que les caméra et pellicule utilisée sont du matos de TV et non de cinéma.

[wiiwii007]

Ca me surprendrait pas qu'il soit allé dans ce sens.

La première partie m'a vraiment plu. C'était un poil "too much" niveau gueulante mais j'ai beaucoup aimé suivre le délire militaire. C'est surtout la seconde partie que j'ai moins aimé. Je trouve que le héros aurait mérité un autre traitement. Je neme suis pas forcément attaché à lui à cause des discours contraires et surtout des dialogues et des réactions. Je ne trouvais pas le perso "logique", donc ça m'a sorti du truc. Et à la fin, lors du dilemme, j'ai rien ressenti. J'ai largement préféré la fin de la première partie, plus prenante.

[Noctis]

Bon déjà je déments cette phrase d'accroche sur la jaquette du DVD :




On est loin, mais très loin de la trilogie de Sam Raimi. La licence ayant été passée à la moulinette marvel/Disney depuis.
J'en viens presque à regretter le dyptique avec Andrew Garfield alors que c'était déjà pas folichon.

J'ai une part de responsabilité dans le fait de ne pas avoir pris la peine de mater les épisodes précédents de cette nouvelle trilogie, pensant que ça pouvait être vu indépendamment, et attiré par cette idée de multiverse entre les films des sagas precedentes, mais non il y a tout un contexte et des persos mis en place dans les deux premiers films (et d'autres marvel), donc j'ai été un peu perdu au début sans aucune référence, je m'y attendais un peu donc ce n'est pas ce que je lui reprocherai, mais par contre je n'en peux plus de ces montages de tarés dans les films du mcu, avengers en tête, ça fuse dans tous les sens, on est asséné d'informations et les saynètes s'enchaînent les unes après les autres afin de placer le max de cameos et de punchlines qui tombent à l'eau à cause de ce rythme effréné. C'est dommage car cet épisode avait vraiment un potentiel de dingue avec cette idée de crossover entre les sagas, et au final ça donne juste un bordel mal filmé et même le fan service le plus basique est gâché dans son traitement.

C'est surtout la réalisation fade qui m'a déplu, ça aurait pu être énorme et là vraiment bof. Le décors du combat final bof bof...

Sinon en scénario j'ai beaucoup aimé l'évolution du Spidey de Tom Holland (alors que je n'avais pas trop aimé les deux premiers films), celui d'Andrew Garfield vraiment émouvant et les différents dialogues entre les Spidey. Franchement vu day one au cinéma l'émotion était décuplée, je reconnais sans problème la faible qualité cinématographique du film mais je peux vous dire que j'ai eu les larmes aux yeux plusieurs fois ^^'

[lessthantod]

Je viens de mater Tu ne tueras point ...



Dix ans se sont écoulés depuis Apocalypto (2006), lorsque sort le dernier film de Mel Gibson, Tu ne tueras point (2016). C'est le cinquième film de Mel Gibson en tant que réalisateur et on attend encore à ce jour, au moment où j'écris ces quelques lignes (2022), son sixième film.

Tu ne tueras point est un drame sur la Seconde Guerre mondiale qui raconte comment Desmond T. Doss (Andrew Garfield) devient le premier objecteur de conscience à recevoir la médaille d'honneur. Pourquoi me direz-vous ? C'est parce qu'il n’a jamais tiré une seule balle sur la zone de combat. C'est un peu l'antithèse d'American Sniper de Clint Eastwood, quoi ! Mais c'est aussi en quelque sorte un remake déguisé de Gallipoli de Peter Weir (et avec Mel Gibson) ou un Gallipoli 1.5, puisque les deux films partagent les mêmes envies de raconter une histoire d'hommes au sein d'un film de guerre. Les deux films partagent aussi la même structure narrative, avec une très longue exposition, avant de passer à la zone de combats. Comme Gallipoli, pour moi Tu ne tueras point est plus un film dramatique, qu'un vrai film de guerre.

L'obstination de Desmond T. Doss à ne pas vouloir, ne serait-ce toucher un fusil et de refuser à tuer des gens, est enracinée dans son éducation religieuse et est cimentée par un incident d’enfance durant lequel il blessa accidentellement son frère lors d’une bagarre. En temps de paix, c’est un précepte auquel nous adhérons tous, mais pas en temps de guerre ça vient se heurter avec la réalité des viols collectifs, des exécutions, des camps de concentration, des meurtres, des déplacements massifs de réfugiés, de la purification ethnique ... c'est un fait, la nature de l'homme est violente.

Au lieu d’être un objecteur de conscience qui observe les choses de loin, Desmond décide plutôt de se porter volontaire pour rejoindre l’armée, comme beaucoup de jeunes hommes de son temps, poussé par l’enthousiasme patriotique. Personne n'arrivera à lui faire changer d'avis, pas même son père Tom Doss (Hugo Weaving qui vole la vedette à tout le monde en l'espace de deux ou trois scènes chocs et douloureuses) qui est un vétéran de la Première Guerre mondiale, lui qui a été traumatisé par la perte de ses camardes et plus proches amis. Il ne pense pas que l’idéologie de son fils puisse s'accommoder avec celle de l’armée. Mais voilà, Desmond veut poursuivre son propre plan. Galvanisé par sa romance avec l’infirmière Dorothy Schutte (Teresa Palmer), il décide de s’enrôler comme infirmier sur le champ de bataille, pour sauver des vies au lieu de les prendre.

Comme on pouvait le pressentir, sa singularité est considérée comme impensable aux yeux de ses pairs et de la haute hiérarchie militaire. Ainsi, dans le camp d’entraînement il est pris à partie, insulté, battu ... tout ça, parce qu’il refuse de toucher à un fusil ou à toute autre arme létale. Desmond s’en tient à ses principes jusqu'au bout. C'est alors que le film rentre dans sa dernière partie et que les choses sérieuses commencent. Les combats rapprochsé entre les États-Unis et le Japon sur la crête hacksaw à Okinawa, est d'une violence sidérante. Mel Gibson ne lésine pas sur le gore, les balles qui volent, les membres qui volent, les jets de sang ... c'est une véritable plongée en enfer.

Le film est clairement divisé en deux partie. La première partie est "diront certains" d'une niaiserie pas possible, illuminée par le sourire béat permanent de Desmond ... et quand je dis "sourire béat", je suis gentil avec lui. Alors certes, ça vient trancher avec la deuxième partie du film où l'on verse dans l'horreur absolue, mais toujours est-il qu'Andrew Garfield en fait des tonnes. Moi au lieu de voir de l’émerveillement sur son visage, j’ai réellement cru que c’était un débile profond au début du film.

Ensuite, pour ce qui est de la bataille finale, aussi bien réalisée soit-elle, elle n'apporte rien de nouveau au genre film de guerre. C'est un mélange entre Il faut sauver le soldat Ryan de Steven Spielberg et la série The Pacific (made in HBO en collaboration avec Steven Spielberg). Je m'attendais à mieux de la part d'un Mel Gibson, que ces moments de bravoure appuyées par des ralentis à foison et une musique omniprésente. J'ai aussi noté de nombreux faux-raccords, trop de CGI (dont certains dignes d'une cinématique PS4), des fonds verts trop voyants ...

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Et puis c'est quoi ce délire avec Andrew Garfield qui fait une reprise de volée avec la grenade ?

Un autre fait gênant, est le traitement problématique du côté ennemi par Mel Gibson. Les japonais sont vus comme de la chair à canon et des machines à tuer n'éprouvant pas la moindre émotion. Le pire, c'est quand à la fin ...

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Les Japonais montent un canular flagrant au drapeau blanc. Cette scène est intentionnellement orchestrée pour souligner la nature trompeuse du rival, ce qui sape le peu d'empathie qu'il nous restait pour les japonais.

On est loin de la représentation plus honnête et équilibrée des forces en présence dans Lettres d'Iwo Jima de Clint Eastwood.

Si on enlève l'originalité du pitch de départ (un infirmier qui ne touche pas aux armes), on se retrouve face à un bon film de guerre, mais qui ne transcende pas le genre. Et pourtant, malgré tous les reproches que je puisse faire au film, on est d'abord pris par l'émotion et comme Desmond on tombe immédiatement amoureux de l'infirmière (Teresa Palma est trop "mimitoutplein"). Et puis, dans le final les scènes de combats sont à couper le souffle, on est littéralement cloué à son siège. Alors certes, ça ne vaut pas Braveheart ni Apocalypto, mais on se prend d'empathie pour ce p'tit bonhomme vraiment très courageux au sourire un peu trop béat.

[lessthantod]

Cette semaine j'ai également maté Moi, toi et tous les autres ...



Moi, toi et tous les autres fut une agréable surprise pour moi, un feel-good movie vraiment rafraichissant et qui fait du bien au moral. C'est le premier film (2005) de Miranda July qui porte ici et avec talent la triple casquette de réalisatrice, scénariste et actrice principale auprès de John Hawkes. C'est un esprit curieux et original, qui n’a pas peur de s’attaquer à des problèmes délicats. Elle apporte une touche de légèreté à cette histoire sur des personnages de tous âges, qui essaient de se connecter les uns avec les autres et ceci dans ce monde complexe dans lequel nous vivons.

Au centre de l'histoire se trouve Richard (John Hawkes), un vendeur de chaussures qui vient de se séparer de sa femme noire. Il gardera les enfants, l’adolescent Peter et le plus jeune Robby. Richard semble avoir du mal à s’adapter aux nouvelles responsabilités. Nous ne savons pas pourquoi le couple s'est séparé, mais c'est clair que lui vit moins bien la chose que son ex-femme. Ils sont évidemment tombés amoureux, ont eu deux enfants et puis c'est elle qui a décidé de passer à autre chose, tandis que Richard essaie toujours de comprendre ce qui lui arrive.

Les deux garçons sont la plupart du temps laissés à eux-mêmes durant la journée. Comme ils ont du temps à perdre, ils se mettent à discuter sur un serveur en ligne. Les échanges entre le jeune Robby et son ou sa correspondant(e) sont hilarantes. Le jeune garçon est beaucoup trop mature et réfléchi pour son âge. C’est un petit malin qui sait très bien comment manœuvrer face à un possible pédophile qui le traque en ligne. À la fin, nous réalisons qui est vraiment la personne en question qui discute avec lui et c'est une très belle surprise/révélation.

En parallèle, nous suivons les mésaventures de Christine (Miranda July), une femme qui fait des vidéos "artistiques" dans lesquelles elle est le sujet et le personnage principal des petits clips qu'elle met en scène. Christine gère également un service de voiture pour les personnes âgées de sa région, mais nous la voyons surtout conduire le grand-père Michael qui lui donne de sage conseil sur la vie. Un jour Christine amène Michael dans le magasin à chaussure dans lequel travaille Richard. C’est bien sûr le coup de foudre pour Christine qui ne peut plus quitter ses yeux de lui. Richard quant à lui se montre plus réticent et sur la défensive. Il faut dire que Christine est très entreprenante et un peu "spéciale" dans sa façon d'aborder Richard.

Nous suivons également deux adolescentes très précoces pour leur âge et qui s’intéressent à l’un des collègues de travail de Richard, vivant dans le même quartier. Un jeu de séduction dangereux se met alors en place entre les deux jeunes adolescente et leur proie, dont on ne sait pas quel sera l'issu. Et toujours dans le même quartier, nous rencontrons une petite fille qui accumule dans un coffret tout un tas d'objets pour constituer la dot de son future et hypothétique mariage. C’est une petite fille triste qui vit dans son propre monde, sans rien partager avec les autres.

Le personnage clé dans tout ça, c'est Richard qui est magnifiquement interprété est John Hawkes. C’est un acteur qui fait passer tout un tas d'émotions par un simple regard et qui contribue énormément à l’ambiance du film. Miranda July est également très intrigante, elle apporte son côté excentrique et son énergie. On sent qu'elle a beaucoup d'amour à donner et que Richard a besoin d'en recevoir à ce moment là ... les deux sont faits pour se rencontrer, quoi ! Et puis il y a les deux garçons de Richard, interprétés par Miles Thompson (le plus grand) et Brandon Ratcliff (le plus jeune) qui sont d'un naturel désarmant devant la caméra. C'est encore plus vrai pour le plus jeune des deux, qui vole littéralement la vedette à tout le monde dés qu'il apparait à l'écran, se montrant à la fois mignon comme tout, drôle et sacrément intelligent pour son âge.

Moi, toi et tous les autres dépeint les personnages tels qu’ils sont. Tout ce que nous trouvons gênant et étrange dans ce film, existe autour de nous dans la vraie vie et Miranda July n’a pas peur de le montrer. En fin de compte, nous recherchons tous l’amour et dans ce film, même les moments étranges sont romantiques.

Miranda July est un vrai talent à suivre et je vais m'empresser d'approfondir le reste de sa filmographie, The Future (2011) et Kajillionaire (2020).

[wiiwii007]

Pourquoi pas ^^

J'ai pris ça comme un divertissement pépère. C'était loin d'être génial mais il y a une ambiance. Les acteurs n'étaient pas mauvais d'ailleurs. C'est peut-être ce qui m'a tenu en éveil... Enfin presque, j'ai du remettre quelques scènes car je m'endormais un peu de temps à autre. Ma copine par contre, à la fin ça a été : "Yen a combien de films Critters ? Ca risque de bien tourner en rond ^^"

M'enfin voilà, moyennasse mais pas dégueulasse.

[Esperluette]

On en est allé voir en famille De l'autre côté du ciel, un animé qui adapte un conte populaire japonais pour nous raconter l'histoire d'amitié entre un petit garçon ayant perdu son père et un être improbable fait de détritus, poupelle, dans une ville steampunk. Il y a plusieurs sujets qui sont abordés (l'écologie, le deuil, l'endoctrinement) ce qui permet plusieurs niveaux de lecture selon l'âge des spectateurs. Le style graphique est original par rapport aux autres productions nipponnes et j'ai trouvé ça super joli. On a trouvé ça très sympa.

[kinski]

J'en aimerais surement d'autres plus tard. J'en sais rien.

Moi j'en doute fortement, mais j'espère me tromper

je pense qu'il peut aimer les films modernes, sans woody, comme match point, minuit à paris, vicky christina, scoop, blue jasmine, etc...

Oui c'est vrai ce que tu dis, Blue Jasmine et surtout Match Point, ça peut plaire quand on n'est pas amateur de Woody Allen.
Mais je préfère quand même Manhattan, qui m'a mis une énorme claque quand je l'ai découvert jeune adulte.

[Gringos10]

Pourquoi pas ^^

J'ai pris ça comme un divertissement pépère. C'était loin d'être génial mais il y a une ambiance. Les acteurs n'étaient pas mauvais d'ailleurs. C'est peut-être ce qui m'a tenu en éveil... Enfin presque, j'ai du remettre quelques scènes car je m'endormais un peu de temps à autre. Ma copine par contre, à la fin ça a été : "Yen a combien de films Critters ? Ca risque de bien tourner en rond ^^"

M'enfin voilà, moyennasse mais pas dégueulasse.

J'aime bien Critters, mais je préfère Ghoulies !

[Tonkatsu]

Bon déjà je déments cette phrase d'accroche sur la jaquette du DVD :




On est loin, mais très loin de la trilogie de Sam Raimi. La licence ayant été passée à la moulinette marvel/Disney depuis.
J'en viens presque à regretter le dyptique avec Andrew Garfield alors que c'était déjà pas folichon.

J'ai une part de responsabilité dans le fait de ne pas avoir pris la peine de mater les épisodes précédents de cette nouvelle trilogie, pensant que ça pouvait être vu indépendamment, et attiré par cette idée de multiverse entre les films des sagas precedentes, mais non il y a tout un contexte et des persos mis en place dans les deux premiers films (et d'autres marvel), donc j'ai été un peu perdu au début sans aucune référence, je m'y attendais un peu donc ce n'est pas ce que je lui reprocherai, mais par contre je n'en peux plus de ces montages de tarés dans les films du mcu, avengers en tête, ça fuse dans tous les sens, on est asséné d'informations et les saynètes s'enchaînent les unes après les autres afin de placer le max de cameos et de punchlines qui tombent à l'eau à cause de ce rythme effréné. C'est dommage car cet épisode avait vraiment un potentiel de dingue avec cette idée de crossover entre les sagas, et au final ça donne juste un bordel mal filmé et même le fan service le plus basique est gâché dans son traitement.

+1

Un film qui repose que sur sur du fan service avec un scénar inexistant ou plutôt qui tente de broder autour de ce mutiverse. Juste bon à réunir les Parker. Tobey qui fait de la peine et un Garfield qui vole la vedette à Holland. Le plus triste étant le rôle de Dr Strange tout simplement inutile.

J'ai maté Les éternels aussi sur Canal. Déjà un peu mieux mais ça vole pas haut, dommage car je trouvais l'histoire des Célestes et des Éternelles qui débarquent et évoluent sur terre intéressante mais t'as le sentiment d'avoir des X men au rabais et à ce propos ils sont passés, eux et d'autres super héros lorsqu'il y a l'événement final ? A ce propos un peu WTF qu'il n'y ait pas de conséquences sur la planète un tel remue méninge

J'ai l'impression de mater que des films moyens en ce moment car je me suis tapé hier soir Uncharted. C'est fort, du ciné qui veut singer un JV qui lui même reprend des codes du 7ème art. Le plus gênant étant des cascades (comme celle de l'avion) en numérique, à quoi bon ? Autant jouer à cette séquence mieux foutu dans Uncharted 3. Vraiment plat ce film, manque de bol c'est encore avec Holland, j'ai rien contre lui mais purée ça ne colle pas eu tout au perso. Pareil pour Walhberg, non mais Sully... Je me suis ennuyé jusqu'à la scène finale, impressionnante mais tellement WTF aussi. Pour de l'aventure on reste bien loin des Indiana Jones, je ne parle même des plans géniaux de Spielberg mais sur les répliques que j'ai trouvé lourdingues. Genre Nate est au gouvernail et Sully lui balance d'arrêter de se prendre pour Jack Sparrow. Du même niveau durant tout le film. Ne parlons pas des vilains incarnés par une badgirl cliché et un Banderas juste là pour son chèque.

[wiiwii007]

Je crois que c'est dans ce film que j'ai vu le match de boxe le plus délirant de toute ma vie. Je n'en ai pas vu beaucoup, mais alors celui là... Ce délire ^^ Au secours. Bon et sinon, film lambda, qui ne m'a pas forcément déplu, mais qui ne m'a absolument pas passionné non plus.

[wiiwii007]

Je fais un ressenti collectif car c'est du pareil au même me concernant. Du coup c'était sympa, on prend ça comme un divertissement pépère. A noter que dans le 3, les petites bêtes sont un poil mieux "animées". Ils ont viré les loops, ça fait plus naturel. Ah oui, et il y a Dicaprio dans son premier film ! Il joue déjà bien.

[Gringos10]

@wiiwii007 regarde les Ghoulies maintenant , c'est l'autre série de films culte de la monstersploitation qui a sévit dans les années 80 suite au succès des Gremlins!

[wiiwii007]

@wiiwii007 regarde les Ghoulies maintenant , c'est l'autre série de films culte de la monstersploitation qui a sévit dans les années 80 suite au succès des Gremlins!

Pas maintenant, j'ai encore des Critters à voir et bien d'autres choses... Mais je suis en train de les choper. Merci ^^

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Film très moyen mais avec la particularité d'avoir Annie Cordy et Henri Salvador à l'affiche. Et franchement, le film vaut le coup d'être vu juste pour ça. Alors c'est hyper surjoué mais c'est très sympa de les voir aussi jeune et dynamique.

Je ne connaissais pas ce Salvador là ^^

[Cormano]

Quelle affiche ! C'est fou tous ces classiques du cinéma français réunis Ça donne envie de le voir, même si le film est moyen. En plus j'aime beaucoup Claude Sautet, mais je ne connais pas ses débuts, donc curieux pour ça aussi.

[Gringos10]

Pas maintenant, j'ai encore des Critters à voir

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Full metal jacket
Critters
L'impossible monsieur Pipelet
Critters 2
Critters 3
Bonjour sourire !

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Films regardés en 2021 :
Bienvenue chez les Ch'tis
Cause toujours... tu m'intéresses !
Coup de tête
L'emmerdeur
L'emmerdeur (Remake)
La chèvre
La ch'tite famille
La doublure
La maison du bonheur
Le Dîner de cons
Le Grand Blond avec une chaussure noire
Le Jaguar
Le jouet
Le Placard
Le retour du Grand Blond
Les compères
Les Fugitifs
My left foot
More
Neuilly sa mère !
On aura tout vu !
Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?
Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu ?
Tarzan (1918)
The Adventures of Tarzan (1921)
Tarzan the Ape Man (1932)
Tarzan the Fearless (1933)
Tarzan Escapes (1936)
The Silence of the Lambs
The terminal

Films regardés en 2020 :
1941
Artificial Intelligence: A.I
Amistad
Austin Powers: International Man of Mystery
Austin Powers: The Spy Who Shagged Me
Austin Powers in Goldmember
Beethoven
Beethoven's 2nd
Beethoven's 3rd
Beethoven's 4th
Beethoven's 5th
Beethoven's Big Break
Beethoven's Christmas Adventure
Beethoven's Treasure Tail
Beetlejuice
Bruce Lee - The Big Boss
Bruce Lee - La Fureur de vaincre
Bruce Lee - La Fureur du dragon
Bruce Lee - Opération Dragon
Bruce Lee - Le Jeu de la mort
Catch Me If You Can
Close Encounters of the Third Kind
Die Hard
Die Hard 2: Die Harder
Die Hard with a Vengeance
Die Hard - Live Free or Die Hard
Die Hard - A Good Day to Die Hard
Duel
E.T. the Extra-Terrestrial
Empire of the Sun
Final destination 1
Final destination 2
Final destination 3
Final destination 4
Final destination 5
Ghostbusters
Ghostbusters II
Ghostbusters (2016)
Harry Potter Philosopher's Stone (1997)
Harry Potter Chamber of Secrets (1998)
Harry Potter Prisoner of Azkaban (1999)
Harry Potter Goblet of Fire (2000)
Harry Potter Order of the Phoenix (2003)
Harry Potter Half-Blood Prince (2005)
Harry Potter Deathly Hallows Part 1 (2007)
Harry Potter Deathly Hallows Part 2 (2007)
Hook
Jaws
Jaws 2
Jaws 3-D
Jaws : The Revenge
La chèvre
La Vérité si je mens !
La Vérité si je mens ! 2
La Vérité si je mens ! 3
La Vérité si je mens ! Les débuts
Le Gendarme de Saint-Tropez
Le Gendarme à New York
Le Gendarme se marie
Le Gendarme en balade
Le Gendarme et les Extra-terrestres
Le Gendarme et les Gendarmettes
Lethal weapon 1
Lethal weapon 2
Lethal weapon 3
Lethal weapon 4
Manhunter
Mary Poppins Returns
Minority Report
Planet of the Apes
Beneath the Planet of the Apes
Escape from the Planet of the Apes
Conquest of the Planet of the Apes
Battle for the Planet of the Apes
Planet of the Apes (2001)
Rise of the Planet of the Apes
Dawn of the Planet of the Apes
War for the Planet of the Apes
Pretty woman
Saving private Ryan
Schindler's List
School of rock
Tenacious D in The Pick of Destiny
Teenage Mutant Ninja Turtles
Teenage Mutant Ninja Turtles II : The Secret of the Ooze
Teenage Mutant Ninja Turtles III
The Color Purple
The Truman show
Twilight Zone : The Movie

Films regardés en 2019 :
Prometheus
Alien : Covenant
Alien
Aliens
Alien 3
Alien Resurrection
Jurassic park
The Lost World: Jurassic Park
Jurassic Park III
Jurassic World
Jurassic World : Fallen Kingdom
Star Wars : Episode I – The Phantom Menace
Star Wars : Episode II – Attack of the Clones
Star Wars : Episode III – Revenge of the Sith
Star Wars : Episode IV – A New Hope
Star Wars : Episode V – The Empire Strikes Back
Star Wars : Episode VI – Return of the Jedi
Star Wars : Episode VII – The Force Awakens
Star Wars : Episode VIII – The Last Jedi
The Terminator
Terminator 2 : Judgment Day
Terminator 3: Rise of the Machines
Terminator Salvation
Terminator Genisys

il y a d'autres critters sortis après le 3 ? ? ?

[Gringos10]

En plus j'aime beaucoup Claude Sautet, mais je ne connais pas ses débuts, donc curieux pour ça aussi.

ah oui tiens, ça attise aussi ma curiosité.

[wiiwii007]

Pas maintenant, j'ai encore des Critters à voir

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Memento
Always
The Sugarland express
Munich
War of the Worlds
War horse
Lincoln
The BFG
Bridge of spies
The post
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Fight club
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Total recall
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Dark star
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Halloween
Les 11 commandements
The fog
Jurassic world : Le monde d'après
Iznogoud
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Halloween II
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The thing
Halloween III
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The Curious Case of Benjamin Button
The Girl with the Dragon Tattoo
Tu peux garder un secret
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Starman
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Prince of darkness
Halloween 4
Coursier
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Halloween 5
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Memoirs of an Invisible Man
In the Mouth of Madness
Halloween 6
De l'huile sur le feu
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Flying Padre
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La traversée
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Halloween, 20 ans après
The Matrix
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Escape from L.A
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Ghosts of Mars
Lolita
Halloween Resurrection
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The ward
What's up, Tiger Lily ?
2001 : A Space Odyssey
Take the Money and Run
Bananas
Halloween (remake)
A Clockwork Orange
Everything You Always Wanted to Know About Sex (But Were Afraid to Ask)
Halloween 2 (suite du remake)
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Tarzan Finds a Son
Carbone
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Tarzan's Secret Treasure
Rendez-vous chez les Malawas
Tarzan Triumphs
Tarzan's New York Adventure
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The shining
Annie Hall
Tarzan and the Amazons
Intérieurs
Manhattan
Lucky
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La Bande à papa
Ah ! les belles bacchantes
Au diable la vertu
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Le Jaguar
Le jouet
Le Placard
Le retour du Grand Blond
Les compères
Les Fugitifs
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More
Neuilly sa mère !
On aura tout vu !
Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?
Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu ?
Tarzan (1918)
The Adventures of Tarzan (1921)
Tarzan the Ape Man (1932)
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Catch Me If You Can
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Die Hard
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Ghostbusters II
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Jaws
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The Terminator
Terminator 2 : Judgment Day
Terminator 3: Rise of the Machines
Terminator Salvation
Terminator Genisys

il y a d'autres critters sortis après le 3 ? ? ?

Oui il y en a 5 en tout.

[on-off]

C'était pas (trop) mal fait Critters par rapport à plein d'autres, ça se laisse regarder (avec une certaine indulgence).

[Gringos10]

je me suis enfilé le dytique Marseillais de Cédric Jimenez. La French et Bac Nord. Deux films inspirées d'histoires vraies et ayant pour cadre la cité phocéenne, à des époques différentes.



Résumé : Marseille. 1975. Pierre Michel, jeune magistrat venu de Metz avec femme et enfants, est nommé juge du grand banditisme. Il décide de s'attaquer à la `French Connection', organisation mafieuse qui exporte l'héroïne dans le monde entier. N'écoutant aucune mise en garde, le juge Michel part seul en croisade contre Gaëtan Zampa, figure emblématique du milieu et parrain intouchable. Cependant, il va rapidement comprendre que, pour obtenir des résultats, il doit changer ses méthodes.

J'ai longtemps été méfiant envers ce film, pensant injustement qu'un film mafieux français avec Jean Dujardin dans son casting ne serait qu'une pâle et peu crédible copie des références hollywoodiennes. Mais c'est parce que je ne connaissais pas encore le talentueux scénariste et réalisateur Cédric Jimenez.
Film sur le démantèlement de la french connection, organisation criminelle majeure qui régnait sur le trafic de drogue en France et jusqu'à New York jusqu'au milieu des années 70, par le juge Michel, magistrat intègre et jusqu'au-boutiste qui se lança à corps perdu dans sa lutte contre la pègre et notamment le gangster Gaëtan Zampa que tout le monde appelait Tany.
Polar à l'intrigue haletante, le film de Jimenez ne laisse pas une minute de répit au spectateur, propose une immersion totale grâce reconstitution parfaite (décors, costumes, bande originale) et renoue avec un certain esprit du film politico-policier français, un peu oublié depuis quelques années.
Au niveau du casting, Jean Dujardin incarne un juge Michel émouvant dont on ressent toute l'obstination mais aussi l'esseulement, il livre une prestation qui semble fidèle à la réalité. Propre.
Benoit Magimel, dans un rôle assez discret est toutefois très crédible dans le rôle du "fou", sbire frustré et traitre.
Et enfin, la grosse satisfaction c'est gilles Lellouche dans le rôle de Zampa, qui aurait pu être expansif et caricatural mais délivre au contraire une performance tout en subtilité et contraste, autoritaire, parfois tendre, souvent violent mais d'une froideur terrifiante.
Le scénario est bien écrit, alternant l'enquête formidablement documentée et le quotidien des protagonistes, ne verse pas dans le manichéisme, la morale bienpensante ou la violence gratuite et offre de beaux moments d'émotion grâce à un bel équilibre et une réelle maitrise.
Jimenez est également un bon réalisateur, sa mise en scène colle au plus près de ses personnages, entre reconstitution quasi documentaire des faits et plans spectaculaires réussis, soulignée par une belle photo et un montage dynamique.
Donc au final une excellente surprise qui va bien au delà de que j'en espérais.







Résumé : 2012. Les quartiers Nord de Marseille détiennent un triste record : la zone au taux de criminalité le plus élevé de France. Poussée par sa hiérarchie, la BAC Nord, brigade de terrain, cherche sans cesse à améliorer ses résultats. Dans un secteur à haut risque, les flics adaptent leurs méthodes, franchissant parfois la ligne jaune. Jusqu’au jour où le système judiciaire se retourne contre eux…

Une fois encore le casting est magistral, avec en tête un Lellouche d'une crédibilité impressionnante.
Coté mise en scène, Jimenez atteint un niveau de maitrise formelle et narrative auquel je ne l'attendais pas, et la thématique est portée par un scénario osé et diablement efficace.
Comme la French, Bac Nord renvoie au cinéma âpre des 70s et on pense autant aux polars, qu'aux westerns ou aux chroniques sociales de l'âge d'or hollywoodien.
Mais c'est aussi un film qui a son identité bien française, et la sécheresse, la nervosité, de ces œuvres qui dépeignent la violence et l'ambiance étouffante de ces périphéries urbaines régies par des lois qui leurs sont propres, de La Haine aux Misérables, en passant par Chouf.
Pour autant, ici les flics s'y sentent comme chez eux, et s'y adaptent à la marge de la droiture, un peu comme les Ripoux de Zidi dans le Barbès des années 80.
Il a été fait le reproche au film, entre autres récupérations politiques, de dépeindre la population de ces zones de non-droit de manière caricaturale et uniforme, mais c'est un choix délibéré et assumé, que je trouve excellent car cela renforce l'immersion, accentue le propos et la mise en scène amenant au sensationnel climax de milieu de film. Et on a même l'impression lors de certains plans de la fameuse scène d'assaut militaire en plein cœur de la cité de se retrouver dans un film de Carpenter (Assault on precinct 13 ou New-york 97) et sa façon d’appréhender la menace d'une foule anxiogène et déshumanisée.
Le but du réalisateur, comme pour la French, n'est pas de porter de jugement de valeur, il ne veut ni faire de ses personnages des héros, ni des martyres, mais simplement raconter la (sur)vie d'un groupe de baqueux de l’intérieur, avec ses dysfonctionnements, ses règles, celles d'êtres humains coupables d’avoir inventer leurs propres codes et de s'être inspiré des méthodes de ceux contre qui ils luttaient. Un arc narratif de cinéma caractérisé, que ne renierait pas un certain William Friedkin, réalisateur, entre autres, de French Connection, la boucle est bouclée.

[Gringos10]

j'ai hâte de voir Novembre le dernier Jimenez, sur les attentats du 13/11.

[Noctis]

J'ai adoré bac nord au cinéma, il faut vraiment que je mate la french.

On ira voir novembre mais je n'ai pas spécialement d'attente !

[Gringos10]

J'ai adoré bac nord au cinéma, il faut vraiment que je mate la french.

Il est sur prime, si tu as.

[wiiwii007]

Pas mal du tout celui là. j'ai été surpris, je ne m'attendais pas à un film de ce genre. Là au moins on a des bonnes répliques, de belles scènes, des acteurs qui font le taff etc. C'est bien dirigé/réalisé.

J'ai passé un bon moment.

[lessthantod]

Je viens de mater It Follows ...



It Follows de David Robert Mitchell mérite-t-il toutes les éloges reçues lors de sa sortie ? J'ai tout lu et tout entendu à son sujet, "le meilleur film d’horreur de la décennie", "le renouveau du film d'horreur", "le digne héritier de John Carpenter", "l’un des films d'horreur les plus effrayants jamais réalisés" ... Je pense que parfois des éloges aussi exagérées, mettant la barre aussi haut au niveau de nos attentes, peuvent jouer en défaveur du film. Les critiques font monter la sauce, pour au final ne susciter que de la déception chez le spectateur.

Ne vous y trompez pas, It Follows vaut vraiment le détour. C'est l’un des films d’horreur les plus intéressants de ces 10 ou 20 dernières années. Même en prenant en compte les quelques lacunes du film et les petits problèmes de rythme, je suis plus qu’heureux à l'idée de soutenir ce petit bijou qui a été récompensé au festival de Gérardmer et de Deauville (deux récompenses amplement méritées). Je félicite également David Robert Mitchell pour son audace au niveau de l'écriture et de la mise en scène. La plupart des films d’horreur sont financés pour de mauvaises raisons, parce que pas besoin de scénario, peu coûteux, rapide à filmer et facile à marketer. Depuis bien longtemps, les studios n'essayent même plus de faire de bons films et se contentent de la médiocrité. Voici un film qui est parti à gauche (innover et surprendre), alors que la plupart du peloton est allé à droite (copier ce qui marche déjà).

Après une scène d'introduction mémorable qui vous met tout de suite dans l'ambiance, nous nous concentrons sur Jay et Hugh (Maika Monroe et Jake Weary), deux jeunes lycéens (ils ont plus l'air d'avoir la vingtième et un peu plus, mais passons) qui ont rendez-vous au cinéma. Dans la salle, Hugh remarque une femme en robe jaune, mais Jay ne semble pas la voir. Il panique et tous deux sortent précipitamment de la salle. Suite à un rapport sexuel à l'arrière d'une voiture, Hugh prend un chiffon de chloroforme et endort Jay ...

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Lorsqu'elle se réveille un peu plus tard dans la nuit, elle se retrouve attachée à un fauteuil roulant. C’est là que Hugh raconte à Jay que "quelque chose" le suit depuis longtemps, mais que lui seul peut la voir. Ce "quelque chose" peut prendre la forme d'une femme nue, d'une vieille femme, mais peut aussi prendre la forme de n’importe qui, même les personnes que vous connaissez et aimez. Cette "maladie" peut se transmettre lors d'un rapport sexuel avec une autre personne. La "chose" suivra alors la dernière personne infectée à un rythme de marche et si elle rattrape Jay, elle la tuera et poursuivra de nouveau Hugh.

It Follows est l’un des plus beaux films d'horreur que j'ai vu de ces 10 dernières années. C'est évident qu'un grand soin a été porté sur la mise en scène et la photographie du film. David Robert Mitchell utilise une palette de couleurs très particulière, un mélange de bleu turquoise, de violet foncé et de vert, avec une touche de gris. C'est alors que le rouge sang fait une entrée fracassante à l'écran. C'est une sensation très particulière, d'une puissance visuelle qui fait écho à Dario Argento, comme un hommage à Suspiria dans la sensation ressentie. L’histoire quant à elle s'inspire beaucoup des films d’horreur de John Carpenter et Wes Craven des années 1980. On installe une ambiance étrange au sein d'un teen-movie et l'horreur s'installe peu à peu pour aboutir sur un final très spectaculaire. A la fin du visionnage, on pense forcément à Halloween et à Freddy.

II Follows est un vrai régal d'un point de vue visuel et sonore. Ainsi, la BO de Disasterpeace se combine à la perfection avec la cinématographie de David Robert Mitchell. L’utilisation de synthétiseurs lourds fait que It Follows fonctionne comme un film d’horreur des années 1980. Les synthés sont bruyants et dérangeants, au point même où parfois ils semblent prendre le contrôle de l’ensemble du film. D’autres fois, cependant, ils sont dérangeants seulement pour le plaisir d’être dérangeants et perturbent légèrement la mise en scène de David Robert Mitchell.

Bien que l’intrigue semble déroutante, David Robert Mitchell sait parfaitement où il veut nous emmener avec It Follows. On voit des adolescents échanger des conversations sans but, fuir une menace qu'on ne voit pas, se réconforter les uns les autres par le sexe, se rassurer mutuellement en se disant tout ira bien et discuter des différentes façons de combattre cette force obscure. C’est presque comme si Larry Clark avait fait un film d’horreur, car les changements de ton donnent l’impression de regarder un film dans le film sur les difficultés du passage à l’âge adulte, en plus d’un film d’horreur. Ces changements de ton ne sont pas dérangeants, car ils fonctionnent bien avec les éléments les plus suspensifs du film, en ralentissant un peu l’action pour nous donner un moment de répit. Il y a tout de même des petites baisses de rythmes qui découlent de cela et que je déplore un peu.

La réussite du film, on la doit à la parfaite collaboration entre le réalisateur et son compositeur. Disasterpeace met l’accent sur une partition vivante et intense, tandis que David Robert Mitchell se s'aventurer au-delà des limites du genre dans l'écriture du scénario et dans la réalisation (en utilisant des plans longs et une mise en scène audacieuse). Ainsi, It Follows est un régal sur presque tous les fronts, sur la forme comme sur le fond. Et puis un petit mot sur l'actrice principale Maika Monroe, qui ne se contente pas d'être belle ici (et elle est vraiment très belle). Son jeu est très intense et elle semble être toujours à la limite de la rupture. J'y vois des similitudes dans son jeu avec Jamie Lee Curtis dans le Halloween de 1978.

Les seuls véritables points négatifs qui font que je ne puisse pas crier au chef d'ouvre, c'est l'impression que le film souffre quelque peu d'une surcharge sensorielle (parfois trop de sons et trop de couleurs en même temps) ou le fait aussi que vers la fin, le scénario semble changer de direction gratuitement, juste histoire de surprendre le spectateur. Et puis j'en reviens aux petits problèmes de rythme, certains plans auraient pus être raccourcis ou certaines scènes qui apparaissent dispensables, auraient pu être coupées du montage final.

It Follows est un film à voir et à soutenir, car c’est l’une de ces rares opportunités que nous avons en tant que spectateur, de voir quelque chose d'original et frais et qu'on a pas l'impression d'avoir déjà vu mille fois. Et en même temps on se régale de repérer toutes ces références au cinéma d'horreur des années 1980, sans que jamais ça en devienne trop lourd. Et même si It Follows n’est pas le joyau parfait qu'on m'a vendu, c'est évident que c'est un film qui a du cœur (7.5/10).

[Noctis]

J'ai adoré bac nord au cinéma, il faut vraiment que je mate la french.

Il est sur prime, si tu as.

Ah super, je note merci !

Tiens je ne connais pas "It follows", merci pour ton retour @lessthantod !

Pour la traversée de Paris, je suis bien dégoûté. J'ai le blu-ray mais il ne fonctionne pas (il fait partie de cette vague de BR qui peut rencontrer des soucis techniques, comme le premier Iron Man ou Hulk) donc je n'ai pas encore maté le film :/


Sinon je viens de mater Alabama Monroe. Bon dur d'en parler. En tout cas la narration / le montage sont vraiment remarquables mais le film ne laisse pas indemne.

[damspirit]

Des gens ici ont vu Poulet-frites, le film des créateurs de l'émission Strip-Tease ?

[Gringos10]

It follows Je l'ai vu 3 fois au cinéma. Une véritable révélation, de loin le meilleur film que j'avais vu cette année là.
Tout y est parfait, scénario, réalisation, acteurs et surtout cette BO monumentale. (par le compositeur des ost de fez et hyper lift drifter, j'ai acheté le vinyle direct)

[Gringos10]

Des gens ici ont vu Poulet-frites, le film des créateurs de l'émission Strip-Tease ?

Non c'est un film ?

[Shovel Knight]

Des gens ici ont vu Poulet-frites, le film des créateurs de l'émission Strip-Tease ?

Non mais j'ai bien envie.

J'ai déjà vu un autre docu avec la juge belge haute en couleurs qui est filmée dedans :



Ils en on fait aussi une série sur Netflix c'est exceptionnel

[wiiwii007]

J'ai adoré bac nord au cinéma, il faut vraiment que je mate la french.

Il est sur prime, si tu as.

Ah super, je note merci !

Tiens je ne connais pas "It follows", merci pour ton retour @lessthantod !

Pour la traversée de Paris, je suis bien dégoûté. J'ai le blu-ray mais il ne fonctionne pas (il fait partie de cette vague de BR qui peut rencontrer des soucis techniques, comme le premier Iron Man ou Hulk) donc je n'ai pas encore maté le film :/


Sinon je viens de mater Alabama Monroe. Bon dur d'en parler. En tout cas la narration / le montage sont vraiment remarquables mais le film ne laisse pas indemne.

Ah merde... Et t'as essayé sur un autre lecteur pour être certain ?

[Gringos10]

Last night in soho d'Edgar Wright

Je n'avais déjà que peu goûté à Baby Driver, et ce n'est pas ce Last night qui me réconciliera avec le style Edgar Wright que je trouve largement surcoté.
Donc cette fois, on a soi disant affaire à un film d'horreur psychologique, mais il n'en porte que le nom. Car on est à des années lumières des dernières prouesses dans le genre comme It follows, hérédité ou midsommar. Rien n'est effrayant, ni même angoissant, les effets spéciaux semblent cheap et on ne s'attache que moyennement aux persos qui sont assez superflus.
Reste une première partie assez jolie entre réalité, rêve et cauchemar, la reconstitution d'un Londres fantasmagorique des années 60-70, grâce à une belle photo et quelques idées de mise en scène, notamment le jeu de miroirs, pas très original (ça lorgne beaucoup chez Argento et Bava) mais bien réalisé, ensuite l'intrigue bancale s'embourbe dans des twists mal amenés et prend le dessus sur le contemplatif malsain du début en faisant place à des scènes clichés et conventionnelles, et on assiste un peu béatement au dénouement le plus confus et sans intérêt qui soit.
Bref un film d'auteur qui se retrouve vite rongé par sa propre ambition, je retiendrai tout de même les numéros d'actrice de ses deux têtes d'affiche, Thomasin McKenzie vraie surprise et Anya Taylor-Joy sublime comme d'habitude.