Comme on s'est pas mal éparpillé sur nos expériences persos, je me permets de créer un topic 5eme gen en général.
Et je commence direct en mode 3615mylife.
Alors alors.
I : Avant d'y toucher.
Je dirais que mon premier contact avec la 5eme gen, c'était avant la sortie des consoles toussa, 1993 je pense (j'avais 7-8 ans donc), via des magazines de jeux vidéo que j'achetais pas encore mais que j'arrivais à bouquiner de temps en temps à la médiathèque de ma ville, et parfois en bureau de tabac. Je les lisais pas tous, en général ceux qui avaient du DBZ en couverture, ça m'attirait comme une mouche à merde sur une bouse.
A ce stade mes souvenirs sont flous. Me rappelle avoir été très intrigué par la Jaguar et sa surpuissance annoncée. Puis par les annonces totalement fantaisistes (ce dont je me doutais pas) de Nintendo sur... c'était quoi son nom à l'époque à la future N64 ? Le projet Reality ou un truc comme ça ?
C'était totalement WTF d'ailleurs ce projet Reality. En gros on nous annonçait (avec 25 ans d'avance) une PS5 en fait. Vraiment. En gros les dinosaures de Jurassic Park mais en 3D temps réel, rien que ça (donc ouais, dire PS5 me semble pas si exagéré). Les infos (souvent WTFs) ont leaké pendant laaaaargement 3 ans avant la sortie de la N64, marrant de voir comment Nintendo a changé de stratégie maintenant (la Switch 2 officialisée 3 mois avant sa sortie réelle).
La Playstation ? Attend d'où il sort Sony a vouloir concurrencer Sega et Nintendo ? Ma main à couper que cette machine va faire un bide de dingue (ah ah).
Du côté de chez Sega, j'étais totalement perdu par les MCD, 32X et la future Saturn dont je crois qu'on savait pas encore le nom. Je regardais les deux premières avec intérêt, mais la Saturn rien à cirer à ce stade là.
La 3DO ? Jamais entendu parler.
Bon perso à ce stade j'avais la Megadrive depuis très peu de temps (ptêtre un an, donc on avait très peu de jeux) et je jouais encore beaucoup à la NES. Tout ça était donc bien obscur du haut de mes 6-7 ans.
II : Le premier vrai contact.
Mon meilleur pote Vincent qui a acheté la PS1, je saurais pas dire la date, mais vraisemblablement très peu de temps après sa sortie.
J'ai pris une énorme claque sur Air Combat et Ridge Racer.
Dès le début j'ai pas aimé Tekken.
Le reste de ses jeux au départ, je m'en rappelle pas de tous. Me rappelle de la Cité des Enfants perdus. C'était très beau mais j'y pigeais pas grand chose.
Ensuite sont venus d'autres jeux. Bloody Roar. Tekken 2. Oddworld, SoulBlade et j'en oublie. Tout ça c'était très bien (sauf Tekken).
J'aimais beaucoup jouer à cette console surpuissante finalement. Maiiiiis bah curieusement, pas une seconde j'ai eu envie de l'acheter. Je me satisfaisait d'y jouer chez mon ami.
Chez moi, on avait du retard de fou, mais osef. Je m'éclatais sur la Megadrive, je jouais également encore à la NES de temps en temps. On commençait a avoir énormément de jeux à mes yeux (c'est à dire autour d'une vingtaine pour les deux supports réunis, ouais je sais : lol)
Mon père nous a acheté le PC à ce moment là, vers Noël 96) On avait quelques jeux mais rien de dingue encore (de mémoire, du Adibou, Swiv 3D, Fade to Black (j'y pigeais rien). Franchement je trouvais pas ça sexy à l'époque.
Puis, un jour, chez un autre pote plus âgé (disons le fils d'un pote à mon père), j'ai découvert la N64 avec deux jeux : Mario Kart et Extreme-G. Les 20 premières secondes étaient décevantes, c'était ça le projet Reality de Nintendo ? L'arnaque putain, c'était pas tellement plus beau que les jeux PS1 chez Vincent.
Et j'ai instantanément saloper la baraque en bavant partout. Idem pour mon frère me semble. On s'est direct mis à chouiner comme des dingues pour l'avoir.
C'est en gros à ce moment là (fin 1997) qu'on a déménagé de 500 bornes vers le Sud. J'ai jamais revu mon meilleur ami, ni sa PS1. Plus de contacts avec l'autre qui avait sa N64 non plus.
Mais...
III : Quand je m'y suis vraiment mis
Mes parents ont du culpabiliser un peu de nous avoir fait demenager à 500 bornes de nos potes, et on a eu la N64 (super cool), par contre ils avaient décidé qu'on avait plus besoin de la NES ni de la MD et ont tout revendu une misère (vraiment pas cool du tout).
Avec cette N64, deux jeux : Mario Kart (super Méga cool) et Mario 64 (que j'avais décidé de détester par principe, je le rendais responsable de la perte de ma NES et ma MD). Bon ma haine de Mario 64 a été très éphémère devant la qualité du jeu.
C'est aussi la que j'ai pris un abonnement à Consoles+ pour me tenir au courant de ce qui sortait.
Au collège, dans ma nouvelle classe de bouseux campagnards ou je connaissais personne, j'ai vite repéré les mecs un peu loosers comme moi, qui avaient également la N64 (ouais @Killvan, t'as une vanne à faire la)
Les jeux N64 sont arrivés au compte goutte ensuite. En gros 3 jeux par an (un pour mon annif, un pour celui de mon frère, un en cadeau commun pour Noël). Loin de l'abondance qu'on avait connu sur console 8 et 16 bits à peine quelques années plus tôt. GoldenEye est venu assez vite.
On a chouiné comme des dingues pour avoir Zelda 64 à Noël 98. Limite on savait pas quoi réclamer à côté tellement on se fichait du reste (j'ai réclamé Turok 2 à côté, mon parrain était motivé pour m'acheter un jeu). Ma soeur a eu Yoshi's Story. Mon père s'est pris Wipeout 64 pour lui (ouaiiiis un jeu de plus).
En même temps, comme on était assez limité en nombre de jeux j'ai commencé à vraiment investiguer sur ce qu'on pouvait faire sur PC. Un mec du collège dealait des jeux gravés, et j'ai eu accès à pas mal de hits sortis sur PS1 (j'ai retrouvé Oddworld, puis les deux premiers Tomb Raider entre autre), puis des exclus PC (FPS, RTS toussa). Mais bon c'est une autre histoire. Je suis obligé d'en parler parce que plus tard le PC a eu un gros impact sur ma découverte de beaucoup de jeux de cette gen (avec l'émulation).
Je l'ai vraiment kiffé cette N64. En solo on avait beaucoup de jeux formidables. En multi c'était fou aussi le jeu à 4. J'y jouais avec mes potes, mais également avec ma famille, c'est la seule console à laquelle ma mère a joué.
La PS1 ? Personne l'avait chez mes nouveaux potes, je voyais juste ce qui sortait dans mes C+, et si certains jeux m'attiraient beaucoup, je regrettais absolument pas d'avoir pris la 64 à la place.
La Saturn ? Jamais vu tourner (c'est venu plus tard), manifestement la console faisait un bide, j'avais un peu loupé les magazines d'avant fin 1997 donc je savais pas ce que j'avais loupé qui était sorti avant, et ce qui sortait depuis mon abonnement à C+ était plus pauvre, pas de regrets non plus.
J'ai commencé à baver sur la Dreamcast quand même. Mais voila, entre le PC et la N64 j'avais déjà fort à faire. En plus ma petite soeur commençait à jouer et à réclamer des jeux également (je lui dois d'abord Yoshi's Story, puis Diddy Kong Racing et Goémon 2. Je me rappelle avoir râlé de ouf quand elle a gâché un cadeau d'annif avec Pokémon Stadium, mais elle était contente).
IV : Le rattrapage des jeux manqué.
Un truc qui m'a fait explosé la cervelle, c'est le double numéro d'été du Consoles+ de 1999. Avec un article vraiment sympa sur l'émulation en général. J'avais même pas envisagé que ça puisse exister. J'ai essayé instantanément.
J'ai littéralement pleuré de joie en relançant des jeux 8 et 16 bits qui avaient été vendu 2 ans plus tôt. Vraiment. Dans mon esprit de gamin de 14 ans, ça avait duré l'équivalent d'une vie. Revoir Super Mario Bros 3, La Légende de Thor ou WonderBoy in Monster World, c'était absolument fou. Gratos en plus.
Quelques mois après j'avais un nouveau PC, et L'ADSL également. D'un coup j'ai eu accès à moults roms PS1, et avec un ordi capable d'émuler cette console en beaucoup plus beau (du 1024 X 768 sans aucun soucis). J'ai ressorti tout mes C+ pour télécharger toutes les roms qui avaient l'air cool. Les Alundra, FF7 et 8, Gran Turismo, Heart of Darkness, Oddworld 2. Me rappelle, pourri gâté que j'étais devenu a cause de cette technologie, avoir râlé de ouf que Médiévil soit pas emulable (alors que j'avais téléchargé 40 jeux à côté quoi).
Gros regrets que l'emulation Saturn marche pas à l'époque, et que ça soit également la misère sur N64 (j'allais devoir continuer à réclamer des jeux).
J'ai eu la Dreamcast en 2000. Que j'ai adoré, mais elle m'a rien fait lâché en fait. Les jeux PS1 sur Bleem rivalisaient techniquement avec les jeux Dreamcast. Les jeux PCs faisaient encore mieux. Les jeux N64 faisaient super ringards à côté de tout ça mais ils étaient encore super funs, surtout en multi, et on continuait à enrichir notre collec' de 3-4 jeux par an. Clairement j'étais quand même en train de m'en lasser sur le solo. J'ai pris une grosse claque avec Majora's mais me rappelle avoir eu pas mal de désillusions successives (Turok 3, Donkey Kong 64 et Perfect Dark, tous imparfaits, voire dans le cas des deux FPS totalement aux fraises par rapport à ce qui sortait sur PC).
L'échec de la Dreamcast et l'arrêt de sa production m'ont écoeuré, et j'ai résilié mon abonnement à C+ direct, et totalement arrêté de suivre l'actualité vidéo-ludique sur console.
J'ai finalement eu mon premier contact avec la Saturn dans ces années la (après la Dreamcast), pas sur beaucoup de jeux, mais j'ai réussi à en essayer beaucoup, et en finir quelques uns.
J'ai également acheté une N64 US juste pour pouvoir tester Ogre Battle 64, qui est devenu un de mes jeux préférés all-time.
J'ai quitté le domicile familial en 2004 pour aller vivre avec ma première copine, et pour bosser. A ce moment là ma soeur et mon frère avaient eu la Gamecube déjà, que je regardais de loin, on aimait moins pour le multi (surtout moi, eux ils s'eclataient sur le Smash Bros), j'ai fait le Zelda WW et 1-2 RPGs mais pas grand chose. On a joué quelques mois à Double Dash mais finalement on préférait Mario Kart 64 par exemple. Jusqu'a quitter la maison, y'a pas eu deux jours sans que je lance Mario Kart 64. La 5eme gen faisait donc de la résistance. Mais quand je suis parti, bah j'ai laissé la N64 à la maison. Je jouais plus que sur PC à ce moment là. Fini les Mario Kart, GoldenEye et Vigilante 8. Fini de retourner voler dans Mario 64. Fini de relancer OOT et Majora's tout les ans.
Et cette ére a pris fin ainsi.
V : Le post-gen
J'ai découvert le site Emunova en 2007, en gros en même temps que j'ai arrêté le jeu sur PC (trop cher de maintenir un PC à niveau, et de toute façons j'avais plein de jeux pré-2004 que j'avais loupé). J'ai découvert que plein d'autres joueurs avaient aimé les mêmes jeux que moi. Pleiiiiin de jeux avaient pas été testés encore. Me rappelle avoir écrit quelques tests peu rigoureux, basés sur mes souvenirs de quelques années plus tôt.
Milieu 2008, ma première vraie nana se barre après 4 ans de relation, me laissant dans une ville où je connaissais personne.
Je rachète direct une MD et ressorti ma N64 US du carton. Et je me met au rétro gaming, achetant énormément de jeux que je revendais (dans 95% des cas) 15 jours après pour le même prix. J'ai fait un gros 80% du catalogue PAL et US de la N64. Refoutu Bleem sur mon PC et refait énormément de jeux PS1, quasiment tout ce qui avait été bien noté dans les Consoles+ de l'époque que j'avais gardé (les numéros allant de fin 97 à Mars 2001). J'ai du tester 200 jeux sur le site, en 2 ans en gros.
J'ai fini par revendre toutes mes consoles par manque de tunes, et j'ai totalement lâché le jeu vidéo.
2019, je quitte le soin pour l'éducation nationale. D'un coup je suis plein aux AS, et je me remet lentement à re-re-racheter du rétro. 2023 j'arrive ici.
Et voilà.
Désolé du pavé.
[blabla] 5eme gen
[blabla] 5eme gen
Intéressant comme topic, au moins on comprend mieux ton point de vue sur la gen 
A mon tour !
1) Avant la gen
Mon histoire du JV commence avec la NES, que j'ai adoré, puis la GB, que j'ai dévoré. Ensuite vint la SNES à la maison pour mes 10 ans, en 1994. Bien sûr, j'y avais déjà longuement joué chez le poto du quartier, vous savez, celui qui est enfant unique et à qui les parents achètent tout ce qu'il désire. Et ça fait profiter les copains dont c'est bien. Bref, la SNES c'était l'extase et je n'avais clairement pas besoin de nouvelles machines en 94, 95 et 96 tant je m'éclatais dessus. Bien sûr, j'entendais parler de la Saturn et de la Playstation à travers les nombreux magazines de JV que je dévorais, mais rien ne me faisait envie sur ces consoles, et en envisager l'achat, c'était vraiment, mais alors vraiment pas dans mes plans. Très jeune déjà, c'était clairement pas les beaux graphismes qui me faisaient de l'effet, mais plutôt une expérience de jeu profonde avec une jouabilité exemplaires, ce qui fait que Nintendo a toujours eu ma préférence, avec ses Mario, ses Zelda en 2D et autres qui ont largement contribué à façonner le joueur que je suis encore aujourd'hui. La 64 m'intriguait via les articles que je lisais, ça avait l'air fun vu comment les journalistes en parlaient, mais j'étais clairement pas pressé de passer à cette fameuse 3D dont tout le monde disait que c'était l'avenir du JV. Du haut de mes 10 ans, en tout cas je voulais juste continuer à kiffer le JV comme je le kiffais pendant des heures, ni plus ni moins. Précocement, dans le quartier, un pote avait une 3DO, le père du copain m'expliquant que c'était l'avenir du JV et que la M2 (sa successeure jamais sortie) serait LA console à posséder à l'avenir. Il y croyait dur comme fer et m'en parlait pendant que je jouais avec ses enfants à Street Fighter (qui était bien), un FIfa (c'était marrant d'emboiter les manettes les unes dans les autres pour du multi) et enfin à Road Rash, dont je découvrais l'existence et qui me mènera à m'acheter l'épisode 3D (que je trouve toujours excellent à ce jour) sur PS1, quelques années plus tard avec ma 1ère petite paie de saisonnier dans un camping.
2) Pendant
C'est simple, étant un gros lecteur de magazines de JV, en particulier de magazines Nintendo ou pro-big N, ma stratégie était simple : attendre cette fameuse N64 dont tout le monde disait qu'elle allait pulvériser la concurrence, comme d'hab. La 3DO c'était marrant chez le copain mais ça me bottait pas d'en acheter une, et puis dans les magazines ils étaient loin d'en vanter le succès. Oui, dans les années 90, je me basais quasiment uniquement sur les avis de Nintendo Player, Player One, Super Power voire Joypad & Consoles +, vu que j'avais accès à toute cette presse, et gratuitement en prime, par une tante qui travaillait dans le milieu de l'édition et qui nous ramenait les magazines de JV invendus à la fin de chaque mois. Donc mon parcours semblait tout tracé : NES -> SNES -> N64...
Mais mon plus vieux pote d'enfance m'a littéralement saoulé pendant des mois et des mois pour me dire de me procurer la Playstation, arguant que la N64 ne sera pas mieux, qu'elle n'aura que des jeux de gamins (argument important quand tu es un jeune ado) et qu'au moins, la PS1 pouvait se targuer d'avoir des hits en nombre et qu'elle était promise à une bel avenir. Bon, il m'a pas formulé ça comme ça mais c'était l'idée, et puis c'était sans doute aussi lié au fait qu'il était le seul, en 96, à avoir une PS1 dans le quartier (il voulait pas être le seul je suppose) mais il était lui même subjugué par les jv qui existaient déjà sur cette machine. Le coup de grâce, ce fut quand il m'a promis un CD de démo (un truc de iouf à l'époque) en cadeau si je me la procurai... Et je savais qu'il y avait la démo de Command & Conquer dessus, un jeu que j'avais connu quelques mois avant sur PC et que j'avais littéralement dévoré.
Bref, j'ai cédé, fini par me prendre cette fameuse PS1 sans trop savoir où je mettais les pieds (en même temps en 96 beaucoup d'autres s'étaient lassés des multiples reports de la 64, énorme erreur de big N au passage), j'ai pu me prendre également pour mon anniv' Command & Conquer, et une longue et belle histoire est née ! Enchainant les hits dessus, je me suis rapidement aperçu que mon pote avait eu raison d'insister lourdement pour que je prenne cette fameuse PS1. Et puis ce fut l'arrivée à la maison de Final Fantasy VII. Immense baffe vidéoludique, je crois que je ne m'en suis jamais remis, j'avais 13 ans et ce jeu m'a procuré un plaisir de jeu que je n'ai jamais retrouvé depuis. C'était LE jeu vidéo qui sortait pile au moment où je cherchais une expérience forte en la matière. J'avais déjà été subjugué plus jeune par la game boy, la NES puis la SNES (et Secret of Mana) mais là, c'était sans commune mesure. M'identifier aux héros, quand j'étais jeune, j'adorais, mais là, j'ETAIS LE HEROS qui devait SAUVER LE MONDE, POUR DE VRAI !! Bref, ce jeu m'a rendu fou, et ma 2è (et dernière à ce jour) immense baffe vidéoludique, ce fut ensuite Metal Gear Solid. Du jamais vu à l'époque, les magazines nous vendaient un jeu digne d'un film, et bah pour le coup, Kojima a mis le paquet pour réussir, une fois de plus, à me faire fusionner avec le jeu. Là encore, J'ETAIS LE PUTAIN DE HEROS qui allait encore sauver le monde, rien que ça !! Je crois que quand on est ado, ce sentiment d'être impliqué à 1000 % dans un JV est une fin en soi, j'aurai pu arrêter le JV après ces 2 immenses claques sans aucun regret, vu que ces 2 jeux furent pour moi l'apogée de ma vie de gamer.
Bref, la PS1 a su me combler alors que je chiais littéralement sur la Saturn, que je snobais largement, en même temps j'avais qu'une seule connaissance qui la possédait et les rares fois où j'ai pu l'essayer, je me suis trop vite ennuyé. Il devait pas posséder les bons jeux...
La N64, c'est plutôt les jeunes de mon quartier (les 1988) qui se la sont procurés. Eux ils étaient fous devant, moi j'ai eu plus de mal. A sa sortie, j'avoue que dès que j'ai pu mettre les mains dessus, j'avais les étoiles dans les yeux en espérant prendre a minima le même plaisir de jeu que j'avais eu avec la SNES avec Donkey Kong Country, Super Mario World, Zelda 3 & cie... Bah j'ai été déçu de Mario 64, n'arrivant clairement pas à m'immerger dans cet univers en 3D dont il fallait composer avec les fameux boutons jaunes de la manette trident. C'était chiant à mourir et ça gâchait l'expérience de jeu, selon le moi de l'époque. Le Zelda n'a fait que confirmer mon ressenti : la fée était chiante à supporter, le tutoriel long, l'arbre mojo chiant à mourir, le 1er donjon relou, la 3D de la plaine ultra lourde (à se perdre dedans pendant ce qui me semblait être des heures tellement je me repère mal dans un univers en 3D), bref j'ai vite décroché pour me consacrer plutôt à Lylat Wars. Au moins je me sentais en terrain connu avec ce jeu, proche de Starwing et plutôt fun à jouer, même si la musique est moins épique que dans l'opus SNES. Goldeneye a été un révélateur pour moi par contre, j'ai immédiatement accroché, j'ai persévéré pour être au même niveau que mes potes et j'ai kiffé le multijoueur à 4, dans mon quartier on enchainait les sessions sur ce jeu, c'est un des très rares qui a su trouver grâce à mes yeux, tout comme Mario Tennis. Que de parties endiablées sur ce jeu avec mon plus vieux poto (le même qui m'a harcelé pour que je me prenne la ps1 !) vu que c'est un gros fan et un joueur de tennis lui même.
Mais en dehors du multijoueurs, il n'y a rien qui me retenait sur la 64, que j'ai du m'acheter vers 2003, par là, un pote me la revendant 20 balles avec quelques jeux. J'ai beaucoup aimé tout de même l'apparition du stick analogique (largement supplanté après par la dual shock, que je trouvais bien meilleur à ce niveau là) et l'intégration du bouton Z, la fameuse gachette étrangement peu reprise par d'autres manettes, par la suite.
3) Après la gen
J'ai continué de jouer et de vénérer les jeux PS1 qui me sont tombés entre les mains, je continue toujours à le faire, trouvant toujours un charme fou à cette vieille 3D que d'aucun qualifieraient comme dégueulasses. Je lui trouve d'ailleurs bien plus de charmes qu'à celle des jeux de la N64, certes bien plus propres, mais sans doute trop lisse et qui, justement, ne dégage aucune saveur.
J'ai fini une fois OOT dans la partie d'un pote, il ne restait qu'à battre Ganon. Ok, j'ai kiffé sur le coup (je ne me pensais pas capable de le vaincre alors que j'ai presque pas touché au jeu à l'époque), puis j'ai refait OOT intégralement sur 3DS il y a quelques années, soluce sous la main car marre de devoir naviguer pendant des heures dans des temples longs et chiants à mourir à faire 10000 allers retours car j'ai oublié UN putain de truc dans une putain de pièce. Si ça c'est l'esprit du JV pour certains, hé bien très peu pour moi.
J'ai zappé la gen 6 (d'où mon désamour pour la PS2) car c'était l'époque des 18 ans, et à cet âge là on cherche d'autres types de plaisirs dans la vie Mais j'ai quand même joué à MGS 2 et 3 (j'ai adoré le 3), FF X (j'ai détesté, aucune magie par rapport au IX), Timesplitters 2 et 3 (j'ai adoré, ça a remplacé Goldeneye niveau multi, dans mon quartier) et sans doute quelques autres. J'ai découvert la gamecube à la fin de la gen, j'ai adoré F Zero GX (alors que j'avais pas accroché à F Zero X, en dépit de sa bande son, énorme pour l'époque).
Je continue de maudire la N64 qui, contrairement à ce que les magazines de l'époque laissaient penser, ne m'a clairement pas comblé, du moins en tant que joueur solo. Je continue d'adorer la PS1 et j'ai revu ma position concernant la Saturn, qui est loin d'être la console nulle à chier comme je l'ai longtemps pensé (entre 96 et 2019), car cette console avait tout d'une grande mais n'a malheureusement pas connu le succès pour les raisons que l'on sait. Pour moi, avec le recul, mon classement de cette gen serait désormais :
PS1 >>> Saturn >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> N64. (du moins en solo, en multi, je mettrai presque la 64 à égalité avec la ps1, car j'ai quand même laaaaaaaaaaaargement préféré les multis sur Crash Teah Racing que sur DKR, et je ne parle pas de MK 64)
A mon tour !
1) Avant la gen
Mon histoire du JV commence avec la NES, que j'ai adoré, puis la GB, que j'ai dévoré. Ensuite vint la SNES à la maison pour mes 10 ans, en 1994. Bien sûr, j'y avais déjà longuement joué chez le poto du quartier, vous savez, celui qui est enfant unique et à qui les parents achètent tout ce qu'il désire. Et ça fait profiter les copains dont c'est bien. Bref, la SNES c'était l'extase et je n'avais clairement pas besoin de nouvelles machines en 94, 95 et 96 tant je m'éclatais dessus. Bien sûr, j'entendais parler de la Saturn et de la Playstation à travers les nombreux magazines de JV que je dévorais, mais rien ne me faisait envie sur ces consoles, et en envisager l'achat, c'était vraiment, mais alors vraiment pas dans mes plans. Très jeune déjà, c'était clairement pas les beaux graphismes qui me faisaient de l'effet, mais plutôt une expérience de jeu profonde avec une jouabilité exemplaires, ce qui fait que Nintendo a toujours eu ma préférence, avec ses Mario, ses Zelda en 2D et autres qui ont largement contribué à façonner le joueur que je suis encore aujourd'hui. La 64 m'intriguait via les articles que je lisais, ça avait l'air fun vu comment les journalistes en parlaient, mais j'étais clairement pas pressé de passer à cette fameuse 3D dont tout le monde disait que c'était l'avenir du JV. Du haut de mes 10 ans, en tout cas je voulais juste continuer à kiffer le JV comme je le kiffais pendant des heures, ni plus ni moins. Précocement, dans le quartier, un pote avait une 3DO, le père du copain m'expliquant que c'était l'avenir du JV et que la M2 (sa successeure jamais sortie) serait LA console à posséder à l'avenir. Il y croyait dur comme fer et m'en parlait pendant que je jouais avec ses enfants à Street Fighter (qui était bien), un FIfa (c'était marrant d'emboiter les manettes les unes dans les autres pour du multi) et enfin à Road Rash, dont je découvrais l'existence et qui me mènera à m'acheter l'épisode 3D (que je trouve toujours excellent à ce jour) sur PS1, quelques années plus tard avec ma 1ère petite paie de saisonnier dans un camping.
2) Pendant
C'est simple, étant un gros lecteur de magazines de JV, en particulier de magazines Nintendo ou pro-big N, ma stratégie était simple : attendre cette fameuse N64 dont tout le monde disait qu'elle allait pulvériser la concurrence, comme d'hab. La 3DO c'était marrant chez le copain mais ça me bottait pas d'en acheter une, et puis dans les magazines ils étaient loin d'en vanter le succès. Oui, dans les années 90, je me basais quasiment uniquement sur les avis de Nintendo Player, Player One, Super Power voire Joypad & Consoles +, vu que j'avais accès à toute cette presse, et gratuitement en prime, par une tante qui travaillait dans le milieu de l'édition et qui nous ramenait les magazines de JV invendus à la fin de chaque mois. Donc mon parcours semblait tout tracé : NES -> SNES -> N64...
Mais mon plus vieux pote d'enfance m'a littéralement saoulé pendant des mois et des mois pour me dire de me procurer la Playstation, arguant que la N64 ne sera pas mieux, qu'elle n'aura que des jeux de gamins (argument important quand tu es un jeune ado) et qu'au moins, la PS1 pouvait se targuer d'avoir des hits en nombre et qu'elle était promise à une bel avenir. Bon, il m'a pas formulé ça comme ça mais c'était l'idée, et puis c'était sans doute aussi lié au fait qu'il était le seul, en 96, à avoir une PS1 dans le quartier (il voulait pas être le seul je suppose) mais il était lui même subjugué par les jv qui existaient déjà sur cette machine. Le coup de grâce, ce fut quand il m'a promis un CD de démo (un truc de iouf à l'époque) en cadeau si je me la procurai... Et je savais qu'il y avait la démo de Command & Conquer dessus, un jeu que j'avais connu quelques mois avant sur PC et que j'avais littéralement dévoré.
Bref, j'ai cédé, fini par me prendre cette fameuse PS1 sans trop savoir où je mettais les pieds (en même temps en 96 beaucoup d'autres s'étaient lassés des multiples reports de la 64, énorme erreur de big N au passage), j'ai pu me prendre également pour mon anniv' Command & Conquer, et une longue et belle histoire est née ! Enchainant les hits dessus, je me suis rapidement aperçu que mon pote avait eu raison d'insister lourdement pour que je prenne cette fameuse PS1. Et puis ce fut l'arrivée à la maison de Final Fantasy VII. Immense baffe vidéoludique, je crois que je ne m'en suis jamais remis, j'avais 13 ans et ce jeu m'a procuré un plaisir de jeu que je n'ai jamais retrouvé depuis. C'était LE jeu vidéo qui sortait pile au moment où je cherchais une expérience forte en la matière. J'avais déjà été subjugué plus jeune par la game boy, la NES puis la SNES (et Secret of Mana) mais là, c'était sans commune mesure. M'identifier aux héros, quand j'étais jeune, j'adorais, mais là, j'ETAIS LE HEROS qui devait SAUVER LE MONDE, POUR DE VRAI !! Bref, ce jeu m'a rendu fou, et ma 2è (et dernière à ce jour) immense baffe vidéoludique, ce fut ensuite Metal Gear Solid. Du jamais vu à l'époque, les magazines nous vendaient un jeu digne d'un film, et bah pour le coup, Kojima a mis le paquet pour réussir, une fois de plus, à me faire fusionner avec le jeu. Là encore, J'ETAIS LE PUTAIN DE HEROS qui allait encore sauver le monde, rien que ça !! Je crois que quand on est ado, ce sentiment d'être impliqué à 1000 % dans un JV est une fin en soi, j'aurai pu arrêter le JV après ces 2 immenses claques sans aucun regret, vu que ces 2 jeux furent pour moi l'apogée de ma vie de gamer.
Bref, la PS1 a su me combler alors que je chiais littéralement sur la Saturn, que je snobais largement, en même temps j'avais qu'une seule connaissance qui la possédait et les rares fois où j'ai pu l'essayer, je me suis trop vite ennuyé. Il devait pas posséder les bons jeux...
La N64, c'est plutôt les jeunes de mon quartier (les 1988) qui se la sont procurés. Eux ils étaient fous devant, moi j'ai eu plus de mal. A sa sortie, j'avoue que dès que j'ai pu mettre les mains dessus, j'avais les étoiles dans les yeux en espérant prendre a minima le même plaisir de jeu que j'avais eu avec la SNES avec Donkey Kong Country, Super Mario World, Zelda 3 & cie... Bah j'ai été déçu de Mario 64, n'arrivant clairement pas à m'immerger dans cet univers en 3D dont il fallait composer avec les fameux boutons jaunes de la manette trident. C'était chiant à mourir et ça gâchait l'expérience de jeu, selon le moi de l'époque. Le Zelda n'a fait que confirmer mon ressenti : la fée était chiante à supporter, le tutoriel long, l'arbre mojo chiant à mourir, le 1er donjon relou, la 3D de la plaine ultra lourde (à se perdre dedans pendant ce qui me semblait être des heures tellement je me repère mal dans un univers en 3D), bref j'ai vite décroché pour me consacrer plutôt à Lylat Wars. Au moins je me sentais en terrain connu avec ce jeu, proche de Starwing et plutôt fun à jouer, même si la musique est moins épique que dans l'opus SNES. Goldeneye a été un révélateur pour moi par contre, j'ai immédiatement accroché, j'ai persévéré pour être au même niveau que mes potes et j'ai kiffé le multijoueur à 4, dans mon quartier on enchainait les sessions sur ce jeu, c'est un des très rares qui a su trouver grâce à mes yeux, tout comme Mario Tennis. Que de parties endiablées sur ce jeu avec mon plus vieux poto (le même qui m'a harcelé pour que je me prenne la ps1 !) vu que c'est un gros fan et un joueur de tennis lui même.
Mais en dehors du multijoueurs, il n'y a rien qui me retenait sur la 64, que j'ai du m'acheter vers 2003, par là, un pote me la revendant 20 balles avec quelques jeux. J'ai beaucoup aimé tout de même l'apparition du stick analogique (largement supplanté après par la dual shock, que je trouvais bien meilleur à ce niveau là) et l'intégration du bouton Z, la fameuse gachette étrangement peu reprise par d'autres manettes, par la suite.
3) Après la gen
J'ai continué de jouer et de vénérer les jeux PS1 qui me sont tombés entre les mains, je continue toujours à le faire, trouvant toujours un charme fou à cette vieille 3D que d'aucun qualifieraient comme dégueulasses. Je lui trouve d'ailleurs bien plus de charmes qu'à celle des jeux de la N64, certes bien plus propres, mais sans doute trop lisse et qui, justement, ne dégage aucune saveur.
J'ai fini une fois OOT dans la partie d'un pote, il ne restait qu'à battre Ganon. Ok, j'ai kiffé sur le coup (je ne me pensais pas capable de le vaincre alors que j'ai presque pas touché au jeu à l'époque), puis j'ai refait OOT intégralement sur 3DS il y a quelques années, soluce sous la main car marre de devoir naviguer pendant des heures dans des temples longs et chiants à mourir à faire 10000 allers retours car j'ai oublié UN putain de truc dans une putain de pièce. Si ça c'est l'esprit du JV pour certains, hé bien très peu pour moi.
J'ai zappé la gen 6 (d'où mon désamour pour la PS2) car c'était l'époque des 18 ans, et à cet âge là on cherche d'autres types de plaisirs dans la vie
Mais j'ai quand même joué à MGS 2 et 3 (j'ai adoré le 3), FF X (j'ai détesté, aucune magie par rapport au IX), Timesplitters 2 et 3 (j'ai adoré, ça a remplacé Goldeneye niveau multi, dans mon quartier) et sans doute quelques autres. J'ai découvert la gamecube à la fin de la gen, j'ai adoré F Zero GX (alors que j'avais pas accroché à F Zero X, en dépit de sa bande son, énorme pour l'époque).Je continue de maudire la N64 qui, contrairement à ce que les magazines de l'époque laissaient penser, ne m'a clairement pas comblé, du moins en tant que joueur solo. Je continue d'adorer la PS1 et j'ai revu ma position concernant la Saturn, qui est loin d'être la console nulle à chier comme je l'ai longtemps pensé (entre 96 et 2019), car cette console avait tout d'une grande mais n'a malheureusement pas connu le succès pour les raisons que l'on sait. Pour moi, avec le recul, mon classement de cette gen serait désormais :
PS1 >>> Saturn >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> N64. (du moins en solo, en multi, je mettrai presque la 64 à égalité avec la ps1, car j'ai quand même laaaaaaaaaaaargement préféré les multis sur Crash Teah Racing que sur DKR, et je ne parle pas de MK 64)
[blabla] 5eme gen
et bé! il y a de la lecture cool !Je vais lire cela avec attention.j'en ferai de même sur mon exp PS 1 vs N64
[blabla] 5eme gen
===> est un vrai @bonhommeMilieu 2008, ma première vraie nana se barre après 4 ans de relation, me laissant dans une ville où je connaissais personne.
Je rachète direct une MD et ressorti ma N64 US du carton.
[blabla] 5eme gen
Laissez-moi vous raconter mon aventure avec cette génération de consoles:
je jouais que sur PC depuis 1993 j'en ai eu aucune et ça m'intéresse pas
Même GTA 1 j'y jouais sur PC je savais même pas qu'il existait sur PS1.
Voilà.
je jouais que sur PC depuis 1993 j'en ai eu aucune et ça m'intéresse pas
Même GTA 1 j'y jouais sur PC je savais même pas qu'il existait sur PS1.
Voilà.
[blabla] 5eme gen
Pour moi, j'ai gardé ma megadrive jusqu'à 1997, ensuite j'ai commencé à travailler du coup j'ai acheté une ps1 hacké qui a dû faire 1an le transfo a cramé 
.et vu que la dreamcast arrivé en octobre 98 je crois bah, je suis pas resté longtemps sur la gen 5 en gros voila pour moi .
.et vu que la dreamcast arrivé en octobre 98 je crois bah, je suis pas resté longtemps sur la gen 5 en gros voila pour moi .[blabla] 5eme gen
syl02 a écrit : ↑12 août 2025 20:28Pour moi, j'ai gardé ma megadrive jusqu'à 1997, ensuite j'ai commencé à travailler du coup j'ai acheté une ps1 hacké qui a dû faire 1an le transfo a cramé
[blabla] 5eme gen
Ça doit être cool de zapper la 5eme gen pour attaquer direct la Dreamcast. T'auras presque esquivé la 3D moche
[blabla] 5eme gen
Ha je t'assure, c'est chouette! Excepté Starwing, Virtua Racing et tous les trucs en fausses 3D, le premier jeu en 3D qui a croisé ma route, c'est Crazy Taxi. Y a pire, non?
[blabla] 5eme gen
Grave. Perso mon premier jeu Dreamcast ça a été Toy Commander, qui est pas incroyablement beau pour le support (c'est un jeu de début de console quoi), et déjà c'est beaucoup plus agréable à l'oeil que tout les jeux en 3D de la PS1 ou de la N64.
[blabla] 5eme gen
Attends attends, tu inclus les deux premiers dans la catégorie fausse 3D ou bien tu parles d'autre chose ?
[blabla] 5eme gen
Dans mes souvenirs, j'ai acheté blue stinger vite revendu et surtout sega rally 2, j'ai passé pas mal d'heure dessus. 
[blabla] 5eme gen
Avant la 5e gen :
J'étais totalement acquis à la cause de Nintendo. J'avais eu une NES, puis une SNES et mon frère avait sa Gameboy. J'avais joué à la MD chez des potes, mais à l'époque, ces jeux correspondaient moins à ce que j'aimais que ceux auxquels je pouvais jouer sur les consoles Nintendo.
Premier vrai contact :
En août 1995, un pote de 3e vient chez moi avec sa Sega Saturn. Il a quatre jeux : Virtua Fighter Remix, Daytona USA, Sega Rally et D. Il reste plusieurs jours à la maison et on squatte sa console. Moi qui n'étais pas très intéressé par les jeux en 3D, je me régale sur Daytona et sur Virtua Fighter. Sega Rally, j'ai un peu plus de mal avec la maniabilité. Il me propose ensuite de lancer une partie de D, je trouve le jeu trop cool avec une ambiance vachement flippante.
C'est décidé, je veux cette console pour Noël. Malheureusement, mes notes du 1er trimestre de 2de ne suivent pas, et mes parents refusent de m'offrir ma Sega Saturn. A la place, j'ai deux jeux SNES : Illusion of Time et Mystic Quest Legend.
L'année qui s'écoule ensuite va me faire changer d'avis. L'annonce de FFVII y est pour quelque chose. Entre temps, j'ai découvert la série avec Mystic Quest Legend et FF II sur SNES (acheté dans une brocante) puis d'autres opus chez un pote de classe dont le frère était fan de RPG.
Ma véritable entrée dans la 5e gen :
A Noël 1996, j'ai donc ma PS1. Avec je me prends Resident Evil, MK III et D ainsi qu'une carte mémoire. Le choix des jeux n'est pas forcément judicieux, surtout vu la durée de vie de D, mais ma partie sur Saturn m'avait tellement plu. Puis comme il me restait un peu d'argent, je me suis pris Street Fighter Alpha 2. J'avais hésité avec le 1 et le Dramatic Mode qui permet de se taper à deux contre le dernier boss. Mais bon, comme je n'avais qu'un pad, le choix était vite fait. A l'époque, je ne lisais plus de magazines, je suivais donc moins l'actualité ds JV.
Quoi qu'il en soit, j'ai tenu un an avec ces quatre jeux et ma SNES.
Noël 1997 : FFVII et Oddworld débarquent à la maison. Puis, l'année qui suit : une tonne de titres. A mon anniv, je me chope Suikoden dans une boutique à Créteil, j'avais appelé plusieurs magasins, et c'était le seul qui en avait un. En plus, à 99 FF, Castlevania Symphony of the Night, Breath of Fire III, Wild Arms et Rayman viennent compléter ma collec. En 1999, c'est Soul Blade, Adidas Power Soccer 97, Fifa 99, Street Fighter Alpha 3, Darkstalker 3 et FF VIII en fin d'année. En 2000, des titres comme Resident Evil 2 et MGS rejoignent ma ludothèque, mais surtout, unm pote me file un Tekken Jap et il me recommande de faire switcher ma console. Je vais donc à République et je fais switcher la bête. A la fac, un gras nous propose de graver des jeux et ça devient l'orgie de jeux Square Soft (Tobal, Legend of Mana, Parasite Eve, Vagrant Story, DQ 7, Valkyrie Profile et j'en passe). Je continue à m'acheter des jeux, mais en version US : FFIX, Chrono Cross, The Legend of Dragoon, RPG Maker. Le pote d'un ami me file son Xenogears US dont il n'a plus rien à faire.
Back to 1997 : mon frère décide de se prendre l'Ultra 64 devenue la Nintendo 64. A noël. il reçoit donc la console avec Killer Instinct Gold, Mario 64 et MK 64. On saigne le Mario Kart, je joue au Mario que je finis, mais pas avec les 120 étoiles (la console est à mon frère et il veut la squatter). Au final, il aura eu quelques jeux sympas dessus : Golden Eye 64, Zelda OoT et MM, Holy Magic Century, Mace the Dark Age (un nanard, mais il y a Pojo le Poulet Infernal), Resident Evil 2, Yoshi's Story et j'en passe. Mais je reste plus attaché à la console de Sony qui m'offre à boire et à manger.
Après la 5e gen :
En 2001, un pote me vend sa Dreamcast avec pas mal de titres. Je la prends surtout pour RE Code Veronica et pour Capcom VS SNK. Je me régale sur ces jeux, mais ma PS1 reste ma console prioritaire.
Fin 2003, je me paie une PS2.
Mais mon histoire avec la 5e gen n'est pas finie pour autant. En 2007, alors que je suis au Japon, j'héberge un pote de fac qui m'offre une Sega Saturn avec divers jeux dont Astal. A la Saint-Valentin qui suit, ma femme me prend le Castlevania Sotn sur Sega Saturn. Puis, vers 2013, je vois une 3DO dans un magasin pour 1 500 yens (une quinzaine d'euros à l'époque). Je me la prends avec Super Street Fighter II Turbo et je mets fin à des années de frustration. J'enrichis ma ludothèque 3DO avec quelques titres comme Gex, Road Rash et Sailor Moon S.
Ma Sega Saturn a vu d'autres titres arriver comme Radiant Silverugun (le shmup qui m'a fait aimer les shmups, Shinobi X, Sexy Parodius, Batsugun, Tarômaru, Cotton Boomerang, Cotton II et j'en passe. Mais c'est surtout avec la PS1 que je me suis fait plaisir avec des titres comme Panzer Bandits, 80's Robot Anime Geppyx, Lomax, R-Type Delta, Zanac X Zanac, Chippoke Ralph no Daibôken, Gegege no Kitarô, Strider II, Tomba, in the Hunt, Cooly Spunk, Bishi Bashi Special et là encore, j'en passe et des meilleurs. Je découvre surtout que la PS1 regorge de merveilles en 2D pour mon plus grand plaisir.
J'étais totalement acquis à la cause de Nintendo. J'avais eu une NES, puis une SNES et mon frère avait sa Gameboy. J'avais joué à la MD chez des potes, mais à l'époque, ces jeux correspondaient moins à ce que j'aimais que ceux auxquels je pouvais jouer sur les consoles Nintendo.
Premier vrai contact :
En août 1995, un pote de 3e vient chez moi avec sa Sega Saturn. Il a quatre jeux : Virtua Fighter Remix, Daytona USA, Sega Rally et D. Il reste plusieurs jours à la maison et on squatte sa console. Moi qui n'étais pas très intéressé par les jeux en 3D, je me régale sur Daytona et sur Virtua Fighter. Sega Rally, j'ai un peu plus de mal avec la maniabilité. Il me propose ensuite de lancer une partie de D, je trouve le jeu trop cool avec une ambiance vachement flippante.
C'est décidé, je veux cette console pour Noël. Malheureusement, mes notes du 1er trimestre de 2de ne suivent pas, et mes parents refusent de m'offrir ma Sega Saturn. A la place, j'ai deux jeux SNES : Illusion of Time et Mystic Quest Legend.
L'année qui s'écoule ensuite va me faire changer d'avis. L'annonce de FFVII y est pour quelque chose. Entre temps, j'ai découvert la série avec Mystic Quest Legend et FF II sur SNES (acheté dans une brocante) puis d'autres opus chez un pote de classe dont le frère était fan de RPG.
Ma véritable entrée dans la 5e gen :
A Noël 1996, j'ai donc ma PS1. Avec je me prends Resident Evil, MK III et D ainsi qu'une carte mémoire. Le choix des jeux n'est pas forcément judicieux, surtout vu la durée de vie de D, mais ma partie sur Saturn m'avait tellement plu. Puis comme il me restait un peu d'argent, je me suis pris Street Fighter Alpha 2. J'avais hésité avec le 1 et le Dramatic Mode qui permet de se taper à deux contre le dernier boss. Mais bon, comme je n'avais qu'un pad, le choix était vite fait. A l'époque, je ne lisais plus de magazines, je suivais donc moins l'actualité ds JV.
Quoi qu'il en soit, j'ai tenu un an avec ces quatre jeux et ma SNES.
Noël 1997 : FFVII et Oddworld débarquent à la maison. Puis, l'année qui suit : une tonne de titres. A mon anniv, je me chope Suikoden dans une boutique à Créteil, j'avais appelé plusieurs magasins, et c'était le seul qui en avait un. En plus, à 99 FF, Castlevania Symphony of the Night, Breath of Fire III, Wild Arms et Rayman viennent compléter ma collec. En 1999, c'est Soul Blade, Adidas Power Soccer 97, Fifa 99, Street Fighter Alpha 3, Darkstalker 3 et FF VIII en fin d'année. En 2000, des titres comme Resident Evil 2 et MGS rejoignent ma ludothèque, mais surtout, unm pote me file un Tekken Jap et il me recommande de faire switcher ma console. Je vais donc à République et je fais switcher la bête. A la fac, un gras nous propose de graver des jeux et ça devient l'orgie de jeux Square Soft (Tobal, Legend of Mana, Parasite Eve, Vagrant Story, DQ 7, Valkyrie Profile et j'en passe). Je continue à m'acheter des jeux, mais en version US : FFIX, Chrono Cross, The Legend of Dragoon, RPG Maker. Le pote d'un ami me file son Xenogears US dont il n'a plus rien à faire.
Back to 1997 : mon frère décide de se prendre l'Ultra 64 devenue la Nintendo 64. A noël. il reçoit donc la console avec Killer Instinct Gold, Mario 64 et MK 64. On saigne le Mario Kart, je joue au Mario que je finis, mais pas avec les 120 étoiles (la console est à mon frère et il veut la squatter). Au final, il aura eu quelques jeux sympas dessus : Golden Eye 64, Zelda OoT et MM, Holy Magic Century, Mace the Dark Age (un nanard, mais il y a Pojo le Poulet Infernal), Resident Evil 2, Yoshi's Story et j'en passe. Mais je reste plus attaché à la console de Sony qui m'offre à boire et à manger.
Après la 5e gen :
En 2001, un pote me vend sa Dreamcast avec pas mal de titres. Je la prends surtout pour RE Code Veronica et pour Capcom VS SNK. Je me régale sur ces jeux, mais ma PS1 reste ma console prioritaire.
Fin 2003, je me paie une PS2.
Mais mon histoire avec la 5e gen n'est pas finie pour autant. En 2007, alors que je suis au Japon, j'héberge un pote de fac qui m'offre une Sega Saturn avec divers jeux dont Astal. A la Saint-Valentin qui suit, ma femme me prend le Castlevania Sotn sur Sega Saturn. Puis, vers 2013, je vois une 3DO dans un magasin pour 1 500 yens (une quinzaine d'euros à l'époque). Je me la prends avec Super Street Fighter II Turbo et je mets fin à des années de frustration. J'enrichis ma ludothèque 3DO avec quelques titres comme Gex, Road Rash et Sailor Moon S.
Ma Sega Saturn a vu d'autres titres arriver comme Radiant Silverugun (le shmup qui m'a fait aimer les shmups, Shinobi X, Sexy Parodius, Batsugun, Tarômaru, Cotton Boomerang, Cotton II et j'en passe. Mais c'est surtout avec la PS1 que je me suis fait plaisir avec des titres comme Panzer Bandits, 80's Robot Anime Geppyx, Lomax, R-Type Delta, Zanac X Zanac, Chippoke Ralph no Daibôken, Gegege no Kitarô, Strider II, Tomba, in the Hunt, Cooly Spunk, Bishi Bashi Special et là encore, j'en passe et des meilleurs. Je découvre surtout que la PS1 regorge de merveilles en 2D pour mon plus grand plaisir.
[blabla] 5eme gen
Sympas vos anecdotes
Moi c'est beaucoup moins funky que certaines de vos histoires, mais bon.
Avant la 5ème Gen :
Chez ma mère, je suis à fond sur la Mega Drive depuis noël 1990, et ça durera jusqu'à la mi-1995 environ.
Chez mon père que je vois un week-end sur trois, je m'amuse toujours sur la Master System, et sur son vieux PC 486.
Chez les potes et le cousin, je joue à la Super NES. Ca me suffit largement tout ça
Début de la 5ème Gen :
Chez ma mère, un Pentium 75MHz arrive à la mi-1995, ce qui coïncide directement avec mon désintérêt pour la MD. Je bascule à fond sur le PC, avec Myst, puis Worms, Warcraft II, Command & Conquer, Wipeout.
La PS1 sort dans un désintérêt total de ma part. Je la vois tourner chez des potes, mais je m'en fous un peu. Je ne me souviens même pas chez qui je l'ai vue la première fois. Mon cousin qui avait tout ce qu'il voulait, il a pris une N64. J'ai un peu joué avec lui à des trucs genre Lylat Wars, Donkey Kong 64 ou Bomberman 64, mais on squattait surtout son ordi ensemble.
Aparté sur la Saturn. J'ai à peine appris son existence à l'époque, personne ne la possédait parmi mes connaissances. Jamais vue en vrai chez qui que ce soit. Comme ça c'est réglé.
Quand je tombe dedans :
Je crois que c'est vraiment avec Resident Evil que j'ai commencé à me dire que la PS1, ça avait quand même de la gueule. On devait être fin 1996, voire 1997 bien tassé. Ce pote avait aussi Wipeout 2097, mais je faisais mon snob à dire que je connaissais celui d'avant, comme pour Worms avec Armageddon, tiens.
Au final, mon père se prend la PS1, à moitié pour lui, à moitié pour moi, à noël 97. Je crois qu'il a pris le pack avec Resident Evil Director's Cut. Il a acheté G-Police aussi, mais j'ai jamais accroché, j'étais à fond sur RE. Un peu plus tard, toujours le même pote me montre Oddworld 1, et j'en parle aussitôt à mon père, qui me l'offre pour les vacances scolaires suivantes, peut-être pâques 98, un truc comme ça.
Chez ma mère, je suis toujours à fond sur l'ordi. Mais je découvre Gran Turismo durant l'été 98, qui commence à vraiment me donner envie d'avoir la console chez moi. FF VII aussi, qui me titille un peu, mais y jouer chez des potes me suffit encore.
C'est vraiment quand à mon anniversaire, en mars 1999, un pote débarque avec sa PS1 chez moi, que je tombe dedans pour de vrai. Il ramène encore Gran Turismo 1, mais surtout : Tekken 3. Coup de bol, mon beau-père craque sur GT1, et prend la console genre, 2 jours après. Mon pote me prête GT1, je m'achète Tekken 3.
J'y jouerai à fond jusqu'en 2001/2002, avec pour derniers représentants, Gran Turismo 2, Final Fantasy VIII, Tony Hawk 2... et le dernier jeu que j'ai fait dessus, Legend of Kartia, même s'il était déjà vieux, lui.
Post 5ème Gen :
La PS2 est arrivée en 2004 chez ma mère, je crois. Mon beau-père se l'est prise pour lui et ma petite sœur. J'en n'avais rien à carrer, car j'étais encore plus à fond dans le PC, avec Warcraft III, Diablo 2 et Heroes III notamment. Mes meilleurs potes se saignaient dessus depuis plusieurs années, mais même si je me suis éclaté un peu sur Burnout 2 et Need for Speed Underground 2, j'ai jamais poussé plus loin. Un peu de Devil May Cry, de FFX, mais franchement, balek.
La Dreamcast, j'ai connu une seule personne qui l'avait. Il en parlait tout le temps, il nous saoulait pour qu'on la teste, et qu'on comprenne qu'elle était vraiment incroyable. En vrai, j'ai adoré la ou les deux soirées qu'on a passées dessus, avec Crazy Taxi, Jet Set Radio et surtout Soul Calibur. Mais bon, une fois rentré chez moi, je retournais à mon PC.
La Xbox, jamais aimé. J'ai toujours trouvé que c'était la console des kékés (y compris les machines suivantes de chez Microsoft), même si je sais pas trop pourquoi ^^
Chez mon père, on se refera des parties de Oddworld 2 et de R-Type Delta jusqu'en 2005/2006 facile, avant de passer à la Wii.
Moi c'est beaucoup moins funky que certaines de vos histoires, mais bon.
Avant la 5ème Gen :
Chez ma mère, je suis à fond sur la Mega Drive depuis noël 1990, et ça durera jusqu'à la mi-1995 environ.
Chez mon père que je vois un week-end sur trois, je m'amuse toujours sur la Master System, et sur son vieux PC 486.
Chez les potes et le cousin, je joue à la Super NES. Ca me suffit largement tout ça
Début de la 5ème Gen :
Chez ma mère, un Pentium 75MHz arrive à la mi-1995, ce qui coïncide directement avec mon désintérêt pour la MD. Je bascule à fond sur le PC, avec Myst, puis Worms, Warcraft II, Command & Conquer, Wipeout.
La PS1 sort dans un désintérêt total de ma part. Je la vois tourner chez des potes, mais je m'en fous un peu. Je ne me souviens même pas chez qui je l'ai vue la première fois. Mon cousin qui avait tout ce qu'il voulait, il a pris une N64. J'ai un peu joué avec lui à des trucs genre Lylat Wars, Donkey Kong 64 ou Bomberman 64, mais on squattait surtout son ordi ensemble.
Aparté sur la Saturn. J'ai à peine appris son existence à l'époque, personne ne la possédait parmi mes connaissances. Jamais vue en vrai chez qui que ce soit. Comme ça c'est réglé.
Quand je tombe dedans :
Je crois que c'est vraiment avec Resident Evil que j'ai commencé à me dire que la PS1, ça avait quand même de la gueule. On devait être fin 1996, voire 1997 bien tassé. Ce pote avait aussi Wipeout 2097, mais je faisais mon snob à dire que je connaissais celui d'avant, comme pour Worms avec Armageddon, tiens.
Au final, mon père se prend la PS1, à moitié pour lui, à moitié pour moi, à noël 97. Je crois qu'il a pris le pack avec Resident Evil Director's Cut. Il a acheté G-Police aussi, mais j'ai jamais accroché, j'étais à fond sur RE. Un peu plus tard, toujours le même pote me montre Oddworld 1, et j'en parle aussitôt à mon père, qui me l'offre pour les vacances scolaires suivantes, peut-être pâques 98, un truc comme ça.
Chez ma mère, je suis toujours à fond sur l'ordi. Mais je découvre Gran Turismo durant l'été 98, qui commence à vraiment me donner envie d'avoir la console chez moi. FF VII aussi, qui me titille un peu, mais y jouer chez des potes me suffit encore.
C'est vraiment quand à mon anniversaire, en mars 1999, un pote débarque avec sa PS1 chez moi, que je tombe dedans pour de vrai. Il ramène encore Gran Turismo 1, mais surtout : Tekken 3. Coup de bol, mon beau-père craque sur GT1, et prend la console genre, 2 jours après. Mon pote me prête GT1, je m'achète Tekken 3.
J'y jouerai à fond jusqu'en 2001/2002, avec pour derniers représentants, Gran Turismo 2, Final Fantasy VIII, Tony Hawk 2... et le dernier jeu que j'ai fait dessus, Legend of Kartia, même s'il était déjà vieux, lui.
Post 5ème Gen :
La PS2 est arrivée en 2004 chez ma mère, je crois. Mon beau-père se l'est prise pour lui et ma petite sœur. J'en n'avais rien à carrer, car j'étais encore plus à fond dans le PC, avec Warcraft III, Diablo 2 et Heroes III notamment. Mes meilleurs potes se saignaient dessus depuis plusieurs années, mais même si je me suis éclaté un peu sur Burnout 2 et Need for Speed Underground 2, j'ai jamais poussé plus loin. Un peu de Devil May Cry, de FFX, mais franchement, balek.
La Dreamcast, j'ai connu une seule personne qui l'avait. Il en parlait tout le temps, il nous saoulait pour qu'on la teste, et qu'on comprenne qu'elle était vraiment incroyable. En vrai, j'ai adoré la ou les deux soirées qu'on a passées dessus, avec Crazy Taxi, Jet Set Radio et surtout Soul Calibur. Mais bon, une fois rentré chez moi, je retournais à mon PC.
La Xbox, jamais aimé. J'ai toujours trouvé que c'était la console des kékés (y compris les machines suivantes de chez Microsoft), même si je sais pas trop pourquoi ^^
Chez mon père, on se refera des parties de Oddworld 2 et de R-Type Delta jusqu'en 2005/2006 facile, avant de passer à la Wii.
[blabla] 5eme gen
Non, je les ai mis à part exprès. La fausse 3D, je parle des trucs en iso, genre Solstice, Sonic 3D, etc.
Bon, sinon, Crazy Taxi ce n'est pas tout à fait vrai que c'est mon premier jeu en 3D, car j'ai vu un pote jouer à Sega Rally et D. Mais je n'y ai pas joué moi-même. Donc c'est différent.
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dandyboh
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[blabla] 5eme gen
Je lis vos épopées au fur et à mesure et je poserai la mienne après ^^
Go lire Killvan.
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