The Messenger (Switch)
The Messenger (Switch)
The Messenger (Switch) 07.11.21
Terminé en 15h30 environ (j'ai pris mon temps !). Il me manque 15 Sceaux de Pouvoir pour le 100%, je verrai si je m'y remets un peu plus tard.
Développé par Sabotage Studio, The Messenger vous fera instantanément penser à Ninja Gaiden. Vous incarnez un ninja dont les aptitudes rappellent celles de Ryu Hayabusa. A la base, vous pouvez sauter, vous agripper aux parois, lancer des shuriken et bien sûr dégainer votre arme blanche. Grosse particularité de gameplay, vous pouvez effectuer des sauts multiples sous réserve que vous frappiez une lanterne, un ennemi ou bien encore un projectile. Vous récoltez des fragments de cristaux en détruisant les ennemis, des lanternes ou bien des cristaux géants. Ces fragments servent de monnaie d'échange dans la boutique, vous permettant de remplir l'arbre de compétence, d'augmenter vos points de vie, le nombre de shuriken dont vous disposez, etc. Plus tard, vous débloquerez un grappin, une cape vous permettant de planer (mais aussi une attaque vrillée fort utile) ou bien encore des tabi qui permettent carrément de courir sur l'eau ou la lave.
Un des gros points forts du titre, le level design exploite à merveille les possibilités de gameplay, c'est vraiment du très grand art ! Avec un minimum de skill, vous allez réaliser de véritables chorégraphies ! Je n'ai pas regardé de speedruns sur le net mais je pense que ce titre s'y prête à merveille. Un quasi sans faute pour le level design, dans le haut du panier des productions néo-rétro voire même des jeux rétro tout court...
Sur le plan graphique, le style 8-bits se veut assez dépouillé mais n'est pas déplaisant visuellement pour autant. Les boss sont très réussis. Souvent énormes et charismatiques, ils disposent en général de 3-4 patterns différents originaux et vous prendrez un malin plaisir à trouver les failles pour vous en débarrasser, après de nombreuses tentatives. Dommage par contre que les ennemis de base soient aussi peu variés, j'en ai dénombré une grosse dizaine à tout casser...
Sur le plan sonore, vous avez intérêt à aimer les chiptunes 8-bits car vous allez en bouffer à toutes les sauces. La plupart des compositions sont très entraînantes, même si certaines peuvent lasser à la longue (les boucles sont assez courtes et vous allez les entendre à de nombreuses reprises). Les développeurs ont le souci du détail, comme en témoigne l'environnement sonore qui devient "étouffé" lorsque vous évoluez sous l'eau. Une jolie trouvaille pour un jeu 2D !
Le jeu brille par son humour omniprésent, notamment lors des conversations avec le mage boutiquier. Ce dernier vous rappelle constamment que vous êtes dans un JV, prend plaisir à vous malmener, et les histoires qu'il vous narre s'avèrent captivantes et très bien écrites. C'est bien simple, j'allais parfois dans la boutique juste pour échanger avec ce même marchand !
Côté difficulté, le soft se veut exigeant (je suis mort plus de 400 fois !) mais il n'est jamais frustrant, les portes de sauvegarde étant assez bien réparties sur la map. Il nécessite malgré tout pas mal de skill, n'étant clairement pas à mettre entre les mains d'un néophyte sous peine de le dégoûter rapidement ! Récupérer les 45 Sceaux de Pouvoir constitue un gros challenge, il vous faudra beaucoup de skill et une patience à toute épreuve. Les vies sont infinies, vous devrez juste à chaque mort laisser une vingtaine de cristaux au petit démon qui vous accompagne, afin que ce dernier vous laisse tranquille.
Les développeurs sont assurément des passionnés de retrogaming. Ils ont injecté des éléments de gameplay de nombreux titres de la période 8-16 bits : Ninja Gaiden bien sûr comme évoqué plus haut, mais aussi les Castlevania (les têtes de méduses possèdent exactement le même pattern, ou bien encore les chauves-souris), The Lion King (pour le passage où l'on doit taper des fleurs pour choisir la direction dans laquelle elles vont vous projeter, à la manière des singes roses et bleus du 2nd stage du jeu de Disney), Zelda ALTTP (mais j'y reviendrai plus tard). Vous aurez même le droit vers la fin du jeu à une phase de shmup à dos de serpent céleste !
SPOILER
Mais le grand twist de The Messenger, c'est bien évidemment sa transition au bout de quelques heures de jeu d'un action-platformer à un Metroidvania. Ce changement de genre (et d'époque dans le scénario du jeu) s'accompagne également d'un passage de graphismes 8-bits à 16-bits. Des warp zones vous permettent de passer de l'un à l'autre, ce qui aura pour effet de débloquer de nouveaux passages vous permettant de poursuivre votre progression. Malheureusement, qui dit Metroidvania dit aussi backtracking... Le rythme du jeu s'en ressent alors, avec une seconde partie trop longue et rébarbative. D'autant plus qu'on ne sait pas toujours où aller (même si vous pouvez "acheter" des conseils auprès du boutiquier contre 300 fragments de cristaux). Vous risquez comme moi de pester à errer au travers des stages que vous avez déjà parcourus, en n'ayant pas la moindre idée de ce que vous devez faire pour dérouler le scénario !!! Vraiment dommage, d'autant plus que scénario a tendance à se perdre un peu... Le jeu aurait gagné à être moins long, plus condensé en fait. La seconde partie traîne clairement en longueur, ce qui est renforcé par le fait que vous aurez déjà débloqué l'intégralité des compétences et que les nouveaux éléments de gameplay (hormis les tabi) sont réduits à la portion congrue... Bref, il y a moins de carottes pour faire avancer l'âne (pardon le joueur !). De surcroît, les boss se font beaucoup plus rares... Avec cette orientation Metroidvania, à titre personnel, j'ai un peu eu l'impression d'être en quelque sorte trompé sur la marchandise. Continuer dans le style action-platformer façon Ninja Gaiden ne m'aurait pas déplu, bien au contraire !
FIN DU SPOILER
A trop vouloir en faire, les développeurs m'ont perdu dans la seconde partie du jeu. J'ai souvent pesté contre les A/R incessants à errer comme une âme en peine, les baisses de rythme, j'ai même songé à lâcher l'aventure... Malgré tout, les sensations pad en mains, le challenge, l'humour m'y ont fait revenir avec plaisir !
The Messenger reste un excellent titre néo-rétro mais un peu en deçà de mes attentes (qui étaient sans doute un peu trop élevées), d'où mon 17/20 "seulement". Cela dit, je compte le finir à 100% et j'ai déjà rapidement testé le DLC ("Picnic Panic"), signe qui ne trompe pas !
Note : 17/20
Terminé en 15h30 environ (j'ai pris mon temps !). Il me manque 15 Sceaux de Pouvoir pour le 100%, je verrai si je m'y remets un peu plus tard.
Développé par Sabotage Studio, The Messenger vous fera instantanément penser à Ninja Gaiden. Vous incarnez un ninja dont les aptitudes rappellent celles de Ryu Hayabusa. A la base, vous pouvez sauter, vous agripper aux parois, lancer des shuriken et bien sûr dégainer votre arme blanche. Grosse particularité de gameplay, vous pouvez effectuer des sauts multiples sous réserve que vous frappiez une lanterne, un ennemi ou bien encore un projectile. Vous récoltez des fragments de cristaux en détruisant les ennemis, des lanternes ou bien des cristaux géants. Ces fragments servent de monnaie d'échange dans la boutique, vous permettant de remplir l'arbre de compétence, d'augmenter vos points de vie, le nombre de shuriken dont vous disposez, etc. Plus tard, vous débloquerez un grappin, une cape vous permettant de planer (mais aussi une attaque vrillée fort utile) ou bien encore des tabi qui permettent carrément de courir sur l'eau ou la lave.
Un des gros points forts du titre, le level design exploite à merveille les possibilités de gameplay, c'est vraiment du très grand art ! Avec un minimum de skill, vous allez réaliser de véritables chorégraphies ! Je n'ai pas regardé de speedruns sur le net mais je pense que ce titre s'y prête à merveille. Un quasi sans faute pour le level design, dans le haut du panier des productions néo-rétro voire même des jeux rétro tout court...
Sur le plan graphique, le style 8-bits se veut assez dépouillé mais n'est pas déplaisant visuellement pour autant. Les boss sont très réussis. Souvent énormes et charismatiques, ils disposent en général de 3-4 patterns différents originaux et vous prendrez un malin plaisir à trouver les failles pour vous en débarrasser, après de nombreuses tentatives. Dommage par contre que les ennemis de base soient aussi peu variés, j'en ai dénombré une grosse dizaine à tout casser...
Sur le plan sonore, vous avez intérêt à aimer les chiptunes 8-bits car vous allez en bouffer à toutes les sauces. La plupart des compositions sont très entraînantes, même si certaines peuvent lasser à la longue (les boucles sont assez courtes et vous allez les entendre à de nombreuses reprises). Les développeurs ont le souci du détail, comme en témoigne l'environnement sonore qui devient "étouffé" lorsque vous évoluez sous l'eau. Une jolie trouvaille pour un jeu 2D !
Le jeu brille par son humour omniprésent, notamment lors des conversations avec le mage boutiquier. Ce dernier vous rappelle constamment que vous êtes dans un JV, prend plaisir à vous malmener, et les histoires qu'il vous narre s'avèrent captivantes et très bien écrites. C'est bien simple, j'allais parfois dans la boutique juste pour échanger avec ce même marchand !
Côté difficulté, le soft se veut exigeant (je suis mort plus de 400 fois !) mais il n'est jamais frustrant, les portes de sauvegarde étant assez bien réparties sur la map. Il nécessite malgré tout pas mal de skill, n'étant clairement pas à mettre entre les mains d'un néophyte sous peine de le dégoûter rapidement ! Récupérer les 45 Sceaux de Pouvoir constitue un gros challenge, il vous faudra beaucoup de skill et une patience à toute épreuve. Les vies sont infinies, vous devrez juste à chaque mort laisser une vingtaine de cristaux au petit démon qui vous accompagne, afin que ce dernier vous laisse tranquille.
Les développeurs sont assurément des passionnés de retrogaming. Ils ont injecté des éléments de gameplay de nombreux titres de la période 8-16 bits : Ninja Gaiden bien sûr comme évoqué plus haut, mais aussi les Castlevania (les têtes de méduses possèdent exactement le même pattern, ou bien encore les chauves-souris), The Lion King (pour le passage où l'on doit taper des fleurs pour choisir la direction dans laquelle elles vont vous projeter, à la manière des singes roses et bleus du 2nd stage du jeu de Disney), Zelda ALTTP (mais j'y reviendrai plus tard). Vous aurez même le droit vers la fin du jeu à une phase de shmup à dos de serpent céleste !
SPOILER
Mais le grand twist de The Messenger, c'est bien évidemment sa transition au bout de quelques heures de jeu d'un action-platformer à un Metroidvania. Ce changement de genre (et d'époque dans le scénario du jeu) s'accompagne également d'un passage de graphismes 8-bits à 16-bits. Des warp zones vous permettent de passer de l'un à l'autre, ce qui aura pour effet de débloquer de nouveaux passages vous permettant de poursuivre votre progression. Malheureusement, qui dit Metroidvania dit aussi backtracking... Le rythme du jeu s'en ressent alors, avec une seconde partie trop longue et rébarbative. D'autant plus qu'on ne sait pas toujours où aller (même si vous pouvez "acheter" des conseils auprès du boutiquier contre 300 fragments de cristaux). Vous risquez comme moi de pester à errer au travers des stages que vous avez déjà parcourus, en n'ayant pas la moindre idée de ce que vous devez faire pour dérouler le scénario !!! Vraiment dommage, d'autant plus que scénario a tendance à se perdre un peu... Le jeu aurait gagné à être moins long, plus condensé en fait. La seconde partie traîne clairement en longueur, ce qui est renforcé par le fait que vous aurez déjà débloqué l'intégralité des compétences et que les nouveaux éléments de gameplay (hormis les tabi) sont réduits à la portion congrue... Bref, il y a moins de carottes pour faire avancer l'âne (pardon le joueur !). De surcroît, les boss se font beaucoup plus rares... Avec cette orientation Metroidvania, à titre personnel, j'ai un peu eu l'impression d'être en quelque sorte trompé sur la marchandise. Continuer dans le style action-platformer façon Ninja Gaiden ne m'aurait pas déplu, bien au contraire !
FIN DU SPOILER
A trop vouloir en faire, les développeurs m'ont perdu dans la seconde partie du jeu. J'ai souvent pesté contre les A/R incessants à errer comme une âme en peine, les baisses de rythme, j'ai même songé à lâcher l'aventure... Malgré tout, les sensations pad en mains, le challenge, l'humour m'y ont fait revenir avec plaisir !
The Messenger reste un excellent titre néo-rétro mais un peu en deçà de mes attentes (qui étaient sans doute un peu trop élevées), d'où mon 17/20 "seulement". Cela dit, je compte le finir à 100% et j'ai déjà rapidement testé le DLC ("Picnic Panic"), signe qui ne trompe pas !
Note : 17/20
The Messenger : Picnic Panic (Switch)
The Messenger : Picnic Panic (Switch) 21.11.21
Je n'ai pas pour habitude de faire des DLC mais quand il s'agit d'un jeu de la trempe de The Messenger et qu'en plus c'est gratuit, alors pourquoi se priver !?!
L'histoire se déroule dans un autre espace-temps, sur l'île tropicale et volcanique de Voodkins, rappelant fortement Hawaï. Les Phobikiens ont été kidnappés alors qu'ils étaient en pleine session de picnic (d'où le titre du jeu) et c'est bien sûr The Messenger qui vient à la rescousse !
Le DLC est découpé en 3 zones géographiques distinctes :
- La Haute mer : The Messenger "surfe" sur le Crâne-Mobile de Ruxxtin en sa compagnie. Cette phase se déroule sur 3 plans distincts et fait immédiatement penser au passage horriblement difficile des différents Battletoads, dans lequel il faut prendre des tremplins tout en évitant de nombreux obstacles. Ici, la difficulté est beaucoup plus abordable, sauf peut-être le boss (une énorme pieuvre) un peu plus retors...
- Ensuite, vous évoluerez sur les rivages de Voodkins, avec de nouveaux monstres à la clé mais aussi des mini-puzzles pas bien compliqués, dans lesquels il faut définir le bon itinéraire pour des espèces de cages d'ascenseurs. Le boss de la zone (un gigantesque totem) s'avère vraiment coriace ! Il faut être patient et très précis, l'affrontement étant long et complexe, avec de nombreux patterns à assimiler.
- Last but not least, la Montagne de Feu, de loin la zone la plus intéressante ! Avec son level design très vertical, vous devrez réaliser de véritables acrobaties pour la gravir, en gros mettre à profit tout ce que vous avez pris dans le "vrai" jeu (grappin, sauts multiples, etc). Avec en point d'orgue, un duel façon freerun/Parkour contre votre Doppelgänger en personne. Superbe et très original ! Enfin, un gros clin d'oeil à Punch-Out en guise de boss final !
Pour jouer à ce DLC, vous devrez avoir fini le jeu au préalable (ce qui explique sans doute la difficulté un peu plus prononcée de ce DLC), puis vous rendre dans la boutique et interagir avec la boule de voyance. Comptez 2-3h environ pour le finir à 100% (c'est-à-dire récupérer tous les fragments de masque), et une bonne heure et demie en ligne droite.
On retrouve bien évidemment l'humour pince-sans-rire du boutiquier et ses histoires captivantes. Côté bande-son, des compositions réorchestrées mais aussi de nouvelles musiques (18 au total) sont au programme.
Difficile de faire la fine bouche face à ce DLC gratuit, qui permet de prolonger l'expérience de jeu et qui introduit de nouveaux monstres, mécanismes, idées de gameplay (la course-poursuite avec le double maléfique notamment) et qui préfigure ce que pourrait être The Messenger 2.
Note : 16/20
Je n'ai pas pour habitude de faire des DLC mais quand il s'agit d'un jeu de la trempe de The Messenger et qu'en plus c'est gratuit, alors pourquoi se priver !?!
L'histoire se déroule dans un autre espace-temps, sur l'île tropicale et volcanique de Voodkins, rappelant fortement Hawaï. Les Phobikiens ont été kidnappés alors qu'ils étaient en pleine session de picnic (d'où le titre du jeu) et c'est bien sûr The Messenger qui vient à la rescousse !
Le DLC est découpé en 3 zones géographiques distinctes :
- La Haute mer : The Messenger "surfe" sur le Crâne-Mobile de Ruxxtin en sa compagnie. Cette phase se déroule sur 3 plans distincts et fait immédiatement penser au passage horriblement difficile des différents Battletoads, dans lequel il faut prendre des tremplins tout en évitant de nombreux obstacles. Ici, la difficulté est beaucoup plus abordable, sauf peut-être le boss (une énorme pieuvre) un peu plus retors...
- Ensuite, vous évoluerez sur les rivages de Voodkins, avec de nouveaux monstres à la clé mais aussi des mini-puzzles pas bien compliqués, dans lesquels il faut définir le bon itinéraire pour des espèces de cages d'ascenseurs. Le boss de la zone (un gigantesque totem) s'avère vraiment coriace ! Il faut être patient et très précis, l'affrontement étant long et complexe, avec de nombreux patterns à assimiler.
- Last but not least, la Montagne de Feu, de loin la zone la plus intéressante ! Avec son level design très vertical, vous devrez réaliser de véritables acrobaties pour la gravir, en gros mettre à profit tout ce que vous avez pris dans le "vrai" jeu (grappin, sauts multiples, etc). Avec en point d'orgue, un duel façon freerun/Parkour contre votre Doppelgänger en personne. Superbe et très original ! Enfin, un gros clin d'oeil à Punch-Out en guise de boss final !
Pour jouer à ce DLC, vous devrez avoir fini le jeu au préalable (ce qui explique sans doute la difficulté un peu plus prononcée de ce DLC), puis vous rendre dans la boutique et interagir avec la boule de voyance. Comptez 2-3h environ pour le finir à 100% (c'est-à-dire récupérer tous les fragments de masque), et une bonne heure et demie en ligne droite.
On retrouve bien évidemment l'humour pince-sans-rire du boutiquier et ses histoires captivantes. Côté bande-son, des compositions réorchestrées mais aussi de nouvelles musiques (18 au total) sont au programme.
Difficile de faire la fine bouche face à ce DLC gratuit, qui permet de prolonger l'expérience de jeu et qui introduit de nouveaux monstres, mécanismes, idées de gameplay (la course-poursuite avec le double maléfique notamment) et qui préfigure ce que pourrait être The Messenger 2.
Note : 16/20
The Messenger (Switch)
Ah ah ! Il y a déjà un topic !!!
Je viens de le commencer, et pour l'instant je suis amoureux du jeu
Je commenterais ton test une fois que je l'aurais terminé, je ne veux pas me spoiler.
Je viens de le commencer, et pour l'instant je suis amoureux du jeu
Je commenterais ton test une fois que je l'aurais terminé, je ne veux pas me spoiler.
- BeyondOasis
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The Messenger (Switch)
Comment ne pas aimer The Messenger si on aime le rétro et en particulier les jeux de ninjas ? C'est sans doute le meilleur hommage au genre (avec peut-êre cyber shadow que je n'ai pas encore fait). Le gameplay est top, c'est bien kiffant de sautiller partout, le style graphique / musical est réussi, le twist est sympa. Contrairement à @kurush j'ai bien aimé la partie dans l'ensemble, même si c'est vrai que ça traîne un peu en longueur.
Le seul point sur lequel je suis un peu mitigé c'est l'humour, avec l'utilisation trop fréquente du "brisage du 4ème mur", ils auraient pu jouer ça plus finement... mais c'est vraiment du pinaillage.
Merci pour le test
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Le seul point sur lequel je suis un peu mitigé c'est l'humour, avec l'utilisation trop fréquente du "brisage du 4ème mur", ils auraient pu jouer ça plus finement... mais c'est vraiment du pinaillage.
Merci pour le test
- Polton
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The Messenger (Switch)
Je ne vais pas être original, ce jeu est génial. Un des meilleurs jeux auxquels il m'a été donné de jouer ces dernières années.
Au passage, il était prévu 3 DLCs. Je n'ai aucune idée d'où est-ce que ça en est.
Au passage, il était prévu 3 DLCs. Je n'ai aucune idée d'où est-ce que ça en est.
- BeyondOasis
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The Messenger (Switch)
Mais il est déjà sorti en boite ?
En tout cas moi je l'ai sur Switch en boite
Sinon super jeu en effet. Mais je l'ai abandonné j'ai pas été au bout, vers les 2/3 je crois, j'étais perdu dans les niveaux et ça m'saoulé
Mais je le retenterais un jour c'est certain
Tu veux un coup d'pelle ?
- BeyondOasis
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The Messenger (Switch)
Oui il est sorti mais chez SRG ou un truc du genre je crois. Moi je veux la version Fr, à 30€ à la Fnac
- Kenji
- Chevalier du Zodiaque
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The Messenger (Switch)
Sabotage le studio de dev, ont également fait Sea of Stars, un rpg. A essayer donc
- BeyondOasis
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The Messenger (Switch)
Une pépite ce jeu en effet.
@Cormano : Cyber Shadow est excellent aussi, bien que moins original que The Messenger. Mais ça reste vraiment très bon, et j'y ai pris beaucoup de plaisir aussi.
@Cormano : Cyber Shadow est excellent aussi, bien que moins original que The Messenger. Mais ça reste vraiment très bon, et j'y ai pris beaucoup de plaisir aussi.
The Messenger (Switch)
Faudra que je me le fasse celui-là, il a l'air d'avoir un bon feeling à la Ninja Gaiden / Blue Shadow, avec plein de dash en plus
The Messenger (Switch)
The Messenger terminé à 100% en 14H. J'ai entamé le New Game + pour voir un peu la difficulté, je suis presqu'à la moitié du jeu. Je vais m'arrêter là pour le moment.
Super le test Kurush, j'ai juste deux points que je n'ai pas perçu de la même façon : La difficulté et le côté recherche.
- La difficulté, c'est personnel bien évidement, et je pense avoir été trop entraîné par Céleste qui possède quelques similitudes dans les sensations pad en mains. Et vu que Céleste est 100 fois plus difficile, celui là m'a paru facile. Ca ne veut pas dire que je n'ai pas perdu de vies, bien au contraire (je crois 300 en tout). Tout ça pour dire que la maniabilité est tellement parfaite que si vous maîtrisez le ninja, alors vous serez vraiment à l'aise.
- La recherche dans ce jeu se fait bien en réalité. Je n'ai pas payé une seule fois pour avoir des infos. J'ai juste regardé les indices donnés par le prophète. J'ai trouvé ça assez parlant pour ne pas galérer. J'ai pas erré une seule fois. Au cas où, pour les futurs joueurs, les indices apparaissent lorsque l'on est sur la carte (L), et que l'on appuie sur A. T'as une phrase énigmatique qui apparait et permet de savoir ou aller. Donc chez moi, pas de perte de rythme.
Sinon tout est presque parfait, on est d'ac. Je mets des réserves sur l'OST qui ne me branche pas plus que ça (le style), même si les compositions sont dingues. Le compositeur est un déglingo ^^ Apparemment il a fait ça sur tracker… Bravo car c'est particulier. En fait j'aurais aimé qu'il y ait quelques phases plus cools, softs, ambiances. Là c'est toujours au taquet. Et quand on est dans une boutique et que tu lis du texte, c'est relou d'entendre une musique à fond de cale et complexe… Quand on évolue (plus tard dans le jeu), le son MD fait son apparition. Chui vraiment pas fan. Heureusement que le compositeur a su ajuster ça comme il faut, ça prend largement moins la tête que sur MD.
Les musiques du générique de fin m'ont bien plu.
Un autre point un peu dommage ce sont les pièces vertes à récolter. L'aspect recherche n'existe pas car on peut les voir sur la carte. Déjà ça, c'est zarb. Mais j'ai trouvé le level design des parcours pour les choper moyen… Ca pourrait être très bon, mais c'est pas assez punitif pour donner un véritable challenge. La plupart du temps, il te suffit de tracer comme un porc. En prenant quelques coups ça passera. Ca fait tout foirer ^^ Contrairement à un Céleste qui te one shot pour des phases bien plus tendues. C'est dommage… Puis la récompense derrière… Mouai ^^
Au final, je vais terminer par du positif car on pourrait croire que je n'ai pas aimé, alors que c'est tout l'inverse. J'ai adoré, juste frustré que le challenge ne soit pas assez poussé à mon gout. Un jeu au top tout de même !
Super le test Kurush, j'ai juste deux points que je n'ai pas perçu de la même façon : La difficulté et le côté recherche.
- La difficulté, c'est personnel bien évidement, et je pense avoir été trop entraîné par Céleste qui possède quelques similitudes dans les sensations pad en mains. Et vu que Céleste est 100 fois plus difficile, celui là m'a paru facile. Ca ne veut pas dire que je n'ai pas perdu de vies, bien au contraire (je crois 300 en tout). Tout ça pour dire que la maniabilité est tellement parfaite que si vous maîtrisez le ninja, alors vous serez vraiment à l'aise.
- La recherche dans ce jeu se fait bien en réalité. Je n'ai pas payé une seule fois pour avoir des infos. J'ai juste regardé les indices donnés par le prophète. J'ai trouvé ça assez parlant pour ne pas galérer. J'ai pas erré une seule fois. Au cas où, pour les futurs joueurs, les indices apparaissent lorsque l'on est sur la carte (L), et que l'on appuie sur A. T'as une phrase énigmatique qui apparait et permet de savoir ou aller. Donc chez moi, pas de perte de rythme.
Sinon tout est presque parfait, on est d'ac. Je mets des réserves sur l'OST qui ne me branche pas plus que ça (le style), même si les compositions sont dingues. Le compositeur est un déglingo ^^ Apparemment il a fait ça sur tracker… Bravo car c'est particulier. En fait j'aurais aimé qu'il y ait quelques phases plus cools, softs, ambiances. Là c'est toujours au taquet. Et quand on est dans une boutique et que tu lis du texte, c'est relou d'entendre une musique à fond de cale et complexe… Quand on évolue (plus tard dans le jeu), le son MD fait son apparition. Chui vraiment pas fan. Heureusement que le compositeur a su ajuster ça comme il faut, ça prend largement moins la tête que sur MD.
Les musiques du générique de fin m'ont bien plu.
Un autre point un peu dommage ce sont les pièces vertes à récolter. L'aspect recherche n'existe pas car on peut les voir sur la carte. Déjà ça, c'est zarb. Mais j'ai trouvé le level design des parcours pour les choper moyen… Ca pourrait être très bon, mais c'est pas assez punitif pour donner un véritable challenge. La plupart du temps, il te suffit de tracer comme un porc. En prenant quelques coups ça passera. Ca fait tout foirer ^^ Contrairement à un Céleste qui te one shot pour des phases bien plus tendues. C'est dommage… Puis la récompense derrière… Mouai ^^
Au final, je vais terminer par du positif car on pourrait croire que je n'ai pas aimé, alors que c'est tout l'inverse. J'ai adoré, juste frustré que le challenge ne soit pas assez poussé à mon gout. Un jeu au top tout de même !