Pour entretenir ma bonne humeur, j'ai découvert The Machinist.
Malgré les apparences, le flim nous montre une très belle histoire d'amour, car impossible, entre deux êtres que tout sépare, l'un étant une insaisissable incarnation du Mal, omniprésente et pourtant invisible aux yeux de tous sauf un, l'autre étant cet être unique donc, sa victime/cible/souffre-douleur et néanmoins ami, esprit torturé par une insomnie sévère et des visions de moins en moins claires, mais guidé par la certitude de ses convictions.
Le fait que cette histoire se déroule après nous avoir montré que l'insomniaque a tué, sans dévoiler le fin mot de cette affaire, met en exergue le difficile combat pour la lucidité, en le plaçant dans un registre tragi-comique.