Gamers Things

lessthantod a écrit : ↑
21 août 2023 10:15

Bref, ce film est un bijou d'humour noir

"À quoi ça sert de garder un chien paralysé ? - C'est décoratif, c'est comme un tapis, mais vivant"

Non mais, tous les dialogues de ce film sont à tordre de rire

lessthantod a écrit : ↑
21 août 2023 11:03
Non mais, tous les dialogues de ce film sont à tordre de rire

j'ai commencé le gout des autres, c'est assez savoureux pour l'instant.

Une pure affaire, d'Alexandre Coffre, avec François Damiens et Laurent Lafitte.
résumé : David Pelame, un avocat sans envergure, se laisse facilement passer par-dessus par son concurrent le plus mordant dans l'entreprise. Un soir, en promenant son chien, il trouve un sac rempli de cocaïne. Ne sachant pas trop quoi en faire au début, il se décide à vendre la marchandise avec une notion très subjective du « métier » de dealer. Si sa vie de famille devient plus agréable et sa relation avec sa femme plus tendre, dans l'entreprise il prend une certaine aisance qui lui permet de mieux assumer les relations avec les autres (et accessoirement d’écarter son concurrent). Toutefois, il est confronté à l'appréciation négative de sa nouvelle activité, mais l'argent est si facilement gagné que tous rentrent dans le business. Mais un jour, arrive celui à qui appartiennent le sac et son contenu…

Une belle déception ! Le sujet était pourtant sympa et le casting talentueux, mais le réalisateur hésitant systématiquement entre la comédie, le drame social, le film de mœurs, il passe complètement à côté de son sujet, c'est plein de clichés, totalement prévisible, irréaliste et même pas drôle. Dommage, un sacré gâchis.

La prise de Beverly Hills, de Sidney J.Furie
Résumé : Suite à l’accident d’un dangereux camion-citerne rempli de produits toxiques en plein Beverly Hills, en proie aux flammes et afin d’éviter tout risque lié à la population, il est demandé aux habitants résidant les plus proches de l’accident de quitter la ville. La police met rapidement en place des bus pour les évacuer, tout est fait pour gérer la catastrophe au plus vite. Boomer Hayes, quaterback vedette de son équipe, découvre que l'évacuation de la ville cache un complot...et il s'emploie, avec l'aide d'un officier de police repenti, à délivrer la ville de ce casse géant orchestré par une bande d'anciens flics véreux.

Dans la grande tradition des buddy movies-actioners des 80/90's, la prise de beverly hills, avec son pitch astucieux, et un bon faiseur à sa tête, en la personne de Sidney Furie (Aigle de fer, Superman IV), promettait un honnête et jouissif divertissement de destruction massive, mais malheureusement Ken Wahl (et sa sublime coupe mulet de rigueur) n'est ni Bruce Willis, ni Mel Gibson, il a le charisme d'une huitre, et son acolyte c'est encore pire.
Au final malgré quelques scènes d'action plutôt cools où l'on voit la moitié de beverly hills en carton-pâte se faire bousiller par des camions, des tanks, des bagnoles roulant à fond, dans tous les sens, à travers tout et n'importe quoi, et sa vedette de quaterback sauver la ville à à coup de shuriken, celles-ci ne parviennent pas à nous sauver de l'ennui car le reste est une alternance de scènes romantiques bidons et de dialogues de remplissage, sans aucune consistance. En bref un nanard assez plat, très inégal mais qui peut être fun si on le mate au 10ème degrés, le genre de films qu'on ne fait plus de nos jours... et c'est peut-être pas plus mal

@wiiwii007 je ne sais pas si tu as déjà vu celui-ci lors de ton épluchage de la filmo Clavier?

La soif de l'or de Gérard Oury
résumé : Urbain Donnadieu, PDG d'une entreprise de maisons préfabriquées, a été élevé par sa grand-mère, Zézette, dans le culte du profit. Avare de première classe, il a volé 60 000 francs par jour à son entreprise, qu'il a transformés en lingots. Il voudrait bien les faire passer en Suisse. Il décide donc de cacher les lingots dans les briques d'une des maisons qu'il doit livrer, une idée qu'il va regretter. Tout irait pour le mieux si son épouse, Fleurette, agent du fisc et son amant, Jacques, chauffeur et meilleur ami d'Urbain, ne venaient pas mettre leur nez dans ce plan...

Purée qu'est-ce que c'était lourd....
Gerard Oury a beau avoir été un des plus grands réalisateurs français de comédies (le corniaud, la grande vadrouille, rabbi jacob, l'as des as, etc...), il n'en demeure pas moins que sur sa fin de carrière sa filmo s'est bien dégradée. Ce film coïncide également avec la mauvaise période de Clavier, qui hurle, gesticule, s'auto-parodie en une espèce de bouffon insupportable. Les gags sont éculés, sont mous et tombent systématiquement à l'eau. Tout est excessif ou inapproprié , c'est un ratage de A à Z.

Non je ne l'ai pas encore vu celui là. Enfin, il me semble que si, mais il y a longtemps. En tout cas, tu donnes pas envies ^^

Gringos10 a écrit : ↑
23 août 2023 14:31

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@wiiwii007 je ne sais pas si tu as déjà vu celui-ci lors de ton épluchage de la filmo Clavier?

La soif de l'or de Gérard Oury
résumé : Urbain Donnadieu, PDG d'une entreprise de maisons préfabriquées, a été élevé par sa grand-mère, Zézette, dans le culte du profit. Avare de première classe, il a volé 60 000 francs par jour à son entreprise, qu'il a transformés en lingots. Il voudrait bien les faire passer en Suisse. Il décide donc de cacher les lingots dans les briques d'une des maisons qu'il doit livrer, une idée qu'il va regretter. Tout irait pour le mieux si son épouse, Fleurette, agent du fisc et son amant, Jacques, chauffeur et meilleur ami d'Urbain, ne venaient pas mettre leur nez dans ce plan...

Purée qu'est-ce que c'était lourd....
Gerard Oury a beau avoir été un des plus grands réalisateurs français de comédies (le corniaud, la grande vadrouille, rabbi jacob, l'as des as, etc...), il n'en demeure pas moins que sur sa fin de carrière sa filmo s'est bien dégradée. Ce film coïncide également avec la mauvaise période de Clavier, qui hurle, gesticule, s'auto-parodie en une espèce de bouffon insupportable. Les gags sont éculés, sont mous et tombent systématiquement à l'eau. Tout est excessif ou inapproprié , c'est un ratage de A à Z.

J'adorais ce film quand j'étais gosse.
J'avais tenté de le revoir adulte j'ai pas pu aller au bout tant c'est insupportable

Une grosse grosse bouse avec Clavier, qui en a enchaîné quelques unes (La vengeance d'une blonde, Les anges gardiens, etc.).
À fuir.
En même temps le Clavier post Les visiteurs était abominable.

Film qui ne suit pas forcément le bouquin mais qui s'en sert pour son intrigue. J'ai trouvé ça bien, au moins on n'est pas déçu par ça. Mais il y a bien d'autres points sur lesquels on peut l'être ^^ Au hasard, le jeu d'acteur, le côté comique qui tombe à plat, l'archi formatage "film familial"... Il y a quand même un petit côté sympathique. J'ai trouvé le film divertissant malgré ses soucis.

Mon dieu... Une catastrophe. Basé sur le bouquin mais alors de très loin car tout est à l'ouest. Le jeu d'acteur aussi, les effets, la réalisation, le montage etc. Rien n'est bon dans ce film à mes yeux.

Un petit bijou d’humanité entre deux personnages très différents qui finiront par évoluer et se lier d'amitié. Le sujet, basé sur le racisme (on est en 1962) est bien porté et bien interprété. Très bon film.

Il y a une semaine, j'ai revu Taxi Driver à la TV : je ne me rappelais plus du happy ending après la fusillade. Est il mort et ce qu'on voit correspond à sa volonté de remettre de l'ordre ou a t-il trouvé sa place dans le monde en accomplissant ce qu'il souhaitait ? Je ne sais pas trop

Esperluette a écrit : ↑
23 août 2023 20:10

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Un petit bijou d’humanité entre deux personnages très différents qui finiront par évoluer et se lier d'amitié. Le sujet, basé sur le racisme (on est en 1962) est bien porté et bien interprété. Très bon film.

j'en avais parlé ici > viewtopic.php?p=19128#p19128
bon film mais moins enthousiaste que toi

Esperluette a écrit : ↑
23 août 2023 20:18

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Il y a une semaine, j'ai revu Taxi Driver à la TV : je ne me rappelais plus du happy ending après la fusillade. Est il mort et ce qu'on voit correspond à sa volonté de remettre de l'ordre ou a t-il trouvé sa place dans le monde en accomplissant ce qu'il souhaitait ? Je ne sais pas trop

on avait un petit débat sur celui-ci ^^
viewtopic.php?p=42116#p42116

Extrait de conversation chez moi, pendant la sieste du petit, entre moi et ma nana.

Elle : tient tu as Les Bronzés 3 sur le DD externe.
Moi : Houla, c'est un oubli ça. Vais vite virer cette merde.
Elle : non attend, je l'ai jamais vu moi.
Moi : et c'est très bien, je t'assure. C'est une grosse bouse.
Elle : non mais toi tu aimes rien aussi.
Moi : ouais mais nan, d'accord, mais la c'est pas juste moi, c'est le monde entier, le multivers entier.
Elle : Roooh t'exageres.
Moi : franchement non, je crois pas.
Elle : en quoi il est si mauvais ?
Moi : Roooh je m'en souviens pu du film moi. Il est pas drôle, pas intéressant, pas pertinent quoi. Je sais plus (zieute viteuf sur mon portable, vois que j'ai mis 2/10 sur Senscritique mais pas de critique, zut), c'est juste de la merde quoi.
Elle : bah tu vois tu t'en rappelles pu. Tu veux pas lui laisser une seconde chance ?
Moi : non, mais j'ai compris que j'étais baisé de toute façons. J'aurais le droit de faire des commentaires désobligeants et pénibles tout le film ?
Elle : nan !
Moi : au moins de bien te balancer que je t'avais prévenu en me foutant de ta gueule ?
Elle : si tu veux.

*deux heures plus tard*

Moi : AH AH JE TE L'AVAIS DIT !!!!

Que dire... Je sais pas. Y'a rien qui allait. Vraiment. Ou presque (j'aime bien les deux dernières minutes du film, avec les migrants qui débarquent).
Alors OUI ils ont l'air de bien s'amuser notre troupe du splendid. On devrait être content pour eux. Devrait. Sauf que moi, devant ce film, j'avais juste envie de les abattre en fait. Dire que ce truc a fait 10 millions d'entrée. L'acting est naze. Le "scénario" est naze. Les personnages sont nazes. Les blagues sont gênantes. C'est vraiment une des pires comédies françaises que j'ai jamais vu (j'en vois pas de pires la, mais j'ai pas trop pris le temps de réfléchir). Genre "Qu'est ce qu'on a fait au bon Dieu ?" à côté, c'est Les Tontons Flingueurs.

Heureusement que ma nana a détesté aussi. J'aurais remis 2-3 trucs en question sinon (genre chaque fois ou je l'aurais fait rire, je me serais rappelé qu'elle a rigolé devant Les Bronzés 3).

Bref. J'hesite à baisser ma note SC à 1/10 en fait. Mais ça serait ptetre tirer sur l'ambulance.

Le truc bien c'est que j'ai droit de choisir le prochain film. Comme elle n'aime pas la SF (qu'elle dit) ni les trucs gores, ça sera Starship Troopers.

j'aime bien les bronzés 3 moi. Ma copine aussi ^^

J'aime la troupe donc ça me va bien. Si tu veux pire que ce film, j'ai de quoi t'amuser

Merci Antarka, c'est tellement vécu !

Comme quoi faut laisser tranquilles les films cultes

. Les deux premiers étaient tellement bons, et ce 3eme volet d'un pathétisme comme j'en ai rarement vu...

wiiwii007 a écrit : ↑
23 août 2023 21:59
j'aime bien les bronzés 3 moi. Ma copine aussi ^^

J'aime la troupe donc ça me va bien.

Nous aussi, mais dans le 3, ils ne sont plus que les ombres d'eux même, tellement navrants, ankylosés, ils ont perdu toute la fraîcheur et la créativité qu'ils avaient dans les années 80. Certains se sont bien reconvertis en solo, souvent dans des registres moins comiques, mais ils en ont justement perdu tout le sens de l'humour magique qui était le leur.

J'ai lu le message sur la soif de l'or, 100% d'accord.
Dans le même esprit il y avait Les anges gardien avec Depardieu et Clavier. totalement raté (prétexte à quelques plans-nichons typiques des années 90).

Gringos10 a écrit : ↑
23 août 2023 22:31

wiiwii007 a écrit : ↑
23 août 2023 21:59
j'aime bien les bronzés 3 moi. Ma copine aussi ^^

J'aime la troupe donc ça me va bien.
Nous aussi, mais dans le 3, ils ne sont plus que les ombres d'eux même, tellement navrants, ankylosés, ils ont perdu toute la fraîcheur et la créativité qu'ils avaient dans les années 80. Certains se sont bien reconvertis en solo, souvent dans des registres moins comiques, mais ils en ont justement perdu tout le sens de l'humour magique qui était le leur.

Le pire c'est que je suis dac avec toi ^^ Mais non, j'arrive quand même à passer un bon moment devant. Va comprendre

Ça me donne envie de vous demander vos comédies françaises préférées, celles qui vous ont fait le plus rire, c'est ici que ça se passe : viewtopic.php?t=2320

Suite de "Journey to the center of the Earth" de 2008... Dégringolade. Autant dans le premier on suivait une histoire sympathiquement basée sur le roman du grand Verne, autant là... Rien n'est respecté. Pire, le film est tellement formaté "aventure des familles" que ça en devient très très relous. Bref, ya rien à voir à part quelques belles images de temps à autres. Et la petite chanson au milieu : Car Dwayne qui joue du ukulele et chante "What a wonderful world"... C'est sympa ^^

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lessthantod a écrit :Vu Barbie avec les filles et je ne sais pas quoi en penser. Je ne saurai même pas dire si j'ai aimé ou pas ?!

Barbie de Greta Gerwig (et Noah Baumbach son co-scénariste) est une comédie parodique à prendre au second degré ... non, que dis-je ... au millième degré. L'humour débile et le discours enfoncé à coups de marteau sont complètement assumés, pour au final un film Barbie aussi cliché que la poupée elle-même.

Le film est une parodie et dans une parodie, on force le trait au maximum pour dénoncer ce qui cloche dans notre société. Greta Gerwig veut dénoncer le sexisme envers les femmes, le manque de considération et sur ce que c'est d'être une femme aujourd'hui dans notre société ... à savoir, être une mère. Les hommes (moi y compris) n'ont pas forcément la même sensibilité pour comprendre et appréhender le discours d'une femme, parce qu'on ne le vit pas.

Mais les hommes aussi peuvent subir des injustices et que l'inverse du patriarcat n'est pas souhaitable non plus. C'est d'ailleurs ce que tente de démontrer Greta Gerwig avec Barbie Land qui est un essai de matriarcat. On le voit avec le statut des Ken qui n'existent qu'à travers les yeux de Barbie. C'est d'ailleurs très intéressant de constater que les hommes de Barbie Land subissent le même traitement que les femmes dans le monde réel.

La critique du patriarcat vs la critique du matriarcat est très bien trouvé, je trouve ! Ainsi, on s'amuse de voir Ken chercher à obtenir des postes très qualifiés, pour se voir refuser parce qu'il n'a pas les qualifications requises. Venant de Barbie Land, l'aboutissement ultime du féminisme "en carton", Ken s'imagine que dans un monde patriarcal, il peut tout obtenir facilement sous prétexte qu'il est un homme. Seule ombre au tableau, il va s'aperçoir que même dans un monde patriarcal, les hommes doivent acquérir des compétences pour accéder à de hautes fonctions. De retour à Barbie Land, il est tout heureux de s'être senti respecté pour la première fois et pense que sans ce minuscule détail (avoir un doctorat) il aurait pu devenir chirurgien.

Il y a néanmoins plusieurs choses qui me dérangent dans Barbie. Greta Gerwig et son co-scénariste abusent du procédé qui veut qu'on brise le "quatrième mur". Quand c'est bien dosé, ça passe ... mais ici, c'est d'une lourdeur ! On parle de Mattel, des poupées et on cite même Margot Robbie ...

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Et puis, tout le passage dans le monde réel est assez intéressant du point de vue de Ken, mais Will Ferrel en big boss de Mattel ça ne fonctionne pas. Certaines scènes avec lui sont plus gênantes que drôles. Quant au duo de la mère et de sa fille, elles sont toutes les deux assez insupportables, avec la mère qui se comporte comme une gamine de trois ans et la fille qui est complètement aigrie et blasée de la vie (elle déteste tout, les hommes, les femmes, la société, Barbie ...).

Enfin, pour finir avec les points negatifs, le discours féministe "enfoncé à coups de marteau" n'est pas très subtil du tout. Et histoire de cracher un peu plus sur la licence Barbie ...

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Mais sinon, si on oublie le côté moralisateur du film, le délire fonctionne plutôt bien. Le monde de Barbie Land est vraiment bien conçu visuellement et est cohérent (contrairement au monde réel). La mise en scène et la direction artistique sont impeccables. Quant à la performance des acteurs, il n'y a rien à redire, ils sont tous très bons. Margot Robbie est magnifique en Barbie, mais ça ne devrait étonner personne, puisqu'elle était déjà éblouissante dans Babylon. Quant à Ryan Gosling, il est exceptionnel et volerait presque la vedette à tout le monde. On le retrouve en mode comédie et fait preuve de beaucoup d'autodérision, comme dans Nice Guys où je l'avais déjà trouvé excellent.

Au final, que penser de ce Barbie ? Difficile de se prononcer pour ma part, je ne sais toujours pas si j'ai aimé ou pas !? Mais globalement, je dois avouer que je n'ai pas passé un mauvais moment ... sans dire non plus que j'ai passé un très bon moment. En fait, le film Barbie n'est ni bon, ni mauvais ... il est juste moyen. (5.5/10)

Ryan Gosling, j'attends encore de le voir mauvais dans un film.

The Gray Man et Love & Secrets sont très mauvais. Bon c'pas la faute de Gosling après.

Only Gods Survive je le trouve plutôt médiocre aussi.

Enfin Oui c'est un super acteur.

Vu aucun des trois. Je l'ai vu dans Barbie, Lalaland, Blade Runner 2049, The Nice Guys, First Man, Crazy Stupid Love. Il est excellent dans tous.

Parce que c'est un excellent acteur.

Ça doit bien exister mais quand même, je vois aucun acteur qui ait joué QUE dans des bons films. A part Chuck Norris.

Antarka a écrit :Only Gods Survive je le trouve plutôt médiocre aussi.

Only Gods Forgives

lessthantod a écrit : ↑
08 févr. 2023 12:37
Je viens de remater Le Goût des autres d'Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri ...
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Le Goût des autres, c'est d'abord et avant tout un film d'acteurs. Le film de (et avec) Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri réunit un ensemble de personnages minutieusement choisis et assemblés, comme un puzzle humain et le résultat est tout simplement jubilatoire.

La structure du scénario et la qualité de son écriture nous pousse à tout repenser sur les personnages que nous tenions déjà pour acquis. Cette qualité d'écriture se voit surtout dans les dialogues, tous d'une finesse incroyable. Quant au scénario, il s'articule autour de différents arcs narratifs de personnages tous complexes et ambivalents. Lorsque le visionnage sera terminé, vous n’en croirez pas vos yeux, tellement votre cerveau en sera retourné.

Le thème principal du film, ce sont les paires de couples dépareillés. M. Castella (Jean-Pierre Bacri) est dans un mariage malheureux, dû au fait que sa femme déteste les gens et préfère les animaux, ce qui en fait une bien mauvaise partenaire pour lui. Quand le chien de cette terrible femme mord un passant, au lieu de montrer de la sympathie, elle blâme le pauvre homme. Ensuite, vous découvrez que son chien mord les gens tout le temps, mais c’est toujours la faute de la victime. Ensuite, M. et Mme Castella vont à une pièce de théâtre et Mme Castella trouve à redire sur tout.

M. Castella déteste généralement le théâtre, mais est hypnotisé par la performance de l’une des actrices, la même femme qui lui donne des cours d’anglais. M. Castella passe une grande partie du film à tenter de se rapprocher de cette actrice (Anne Alvaro) et de ses amis bohèmes, même s’il n’a vraiment rien en commun avec eux et semble n’avoir aucune chance avec elle.

D'autres personnages secondaires qui gravitent autour du couple Castella, exploitent également le thème des couples dépareillés. Mme Castella essaie, pour une fois, de tendre la main à sa belle-sœur séparée. Il y a aussi Agnès Jaoui qui travaille dans un bar et qui tour à tour est séduite par le chauffeur de M. Castella (Alain Chabat) puis par son garde du corps (Gérard Lanvin). Toutes ces relations sont difficiles, voire impossibles. Certaines fonctionnent malgré tout, d’autres non. Bien que je ne croie pas vraiment au vieil axiome selon lequel « les contraires s’attirent », le film est suffisamment intelligent et bien fait, avec un jeu d'acteurs très crédible, pour nous faire croire que ce sont de vraies personnes.

La confiance, l’intelligence et l’humour avec lesquels Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri présentent ces vies enchevêtrées, sont un plaisir certain et offre une alternative rafraîchissante aux comedies romantiques plus classiques. Et puis, Jean-Pierre Bacri est une fois de plus formidable et c'est probablement son plus grand rôle. J'aime vraiment ce personnage de vieux bougon fort sympathique, qu'il interprète films après films.

Le film est magnifiquement rythmé et stimulant. Les prémisses du film n’est pas de savoir si les contraires s'attirent (ce qui ne serait pas nouveau), mais si nos idées préconçues nous maintiennent fermés à de nouvelles personnes et à de nouvelles expériences. Avec un petit coup du destin, les personnages de ce film si charmant prennent de profondes respirations, regardent à nouveau les gens et les situations, et voient ce qui leur manquait dans leur vie auparavant. L'art (ici le théâtre) nous enrichit et nous aide à abandonner les vieilles idées préconçues.

Même plus de 20 ans après, Le Goût des autres c'est un film qui n'a rien perdu de sa fraicheur et l’un des meilleurs films d’acteurs que vous puissiez voir.

ça y est c'est vu !
et je confirme, c'est un super film. L'écriture est vraiment d'un niveau supérieur, d'une justesse exquise. Les acteurs sont exceptionnels (notamment Bacri et Alvaro), le genre de rôles qui te fait tomber sous le charme des personnages tellement ils sont authentiques et attachants. Le scénario est subtile, intelligent, sans aucune fausse note, c'est assez rare de voir ce degrés de perfection dans l'esquisse de personnalités.

j'ai hâte de voir d'autres films du duo Jaoui/Bacri (rip JP), je commence par "On connait la chanson" d'Alain Resnais.

Je viens de La Mule de Clint Eastwood ...

La Mule de Clint Eastwood est un récit imprégné d'humanité. C'est le film testament de Clint dans une Amérique en pleine mutation. C'est aussi le prolongement de Gran Torino (du même scénariste Nick Schenk) tout en étant son penchant négatif, l'un étant sombre et l'autre lumineux.

La Mule c'est l'histoire d'un vieil homme Earl Stone (Clint Eastwood) qui tente de faire les choses bien et qui essaye de corriger ce qu'il a raté par le passé et ceci avec une grande humilité. Mais c'est aussi un film sur la tolérance, que ce soit les vétérans, les bikeuses, les blacks et bien sûr les gars du cartel mexicain dont certains qui font juste leur boulot.

A l'image de Sylvester Stallone ou de Robert Redford, on retrouve bien le même état d'esprit, celui des anciens qui veulent faire passer un message de tolérance aux plus jeunes. Certains vont trouver ça simpliste, mais ce n'est pas simpliste ... c'est juste du bon sens !

L'enquête policière avec Bradley Cooper ne casse pas des briques, certes, mais elle est là pour servir le propos du film, c’est à dire la remise en question de cet homme arrivé au crépuscule de sa vie. C'est Clint Eastwood qui se raconte à travers Earl, un personnage d’une génération passée, mais qui n’en est pas pour autant obtus ou réac (ou alors juste un peu). Poussé par son envie d'apprendre, il ne rechigne pas à échanger avec les plus jeunes. Il fait aussi son introspection comme pour établir son testament et dans le cas de Clint Eastwood ce sera une œuvre-testament.

On est entre le road movie et le western, avec la voiture qui remplace le cheval et qui traverse ces immenses (et magnifiques) paysages désertiques. Earl c'est en quelque sorte l'homme sans nom de la Trilogie du dollar de Sergio Leone, avec sa chasse au trésor (l'argent accumulé au fil de ses courses), opposé à des chasseurs de prime (le cartel mexicain). L'ambiance du film est très soignée et le rapport de force entre les gars du cartel mexicain et Earl est très bien traitée.

Dans La Mule il y a aussi une très grande importance donnée à la famille, comme dans un film de gangsters. L'ambivalence des membres du cartel est très bien rendue à l'écran. Même dans un milieu aussi pourri que celui de la drogue, la famille est au centre de tout ... le milieu de la drogue fonctionne comme une famille, quoi ! Ainsi, le parrain du cartel (Andy Garcia) a un côté très paternaliste. Un autre exemple est l'homme de main du cartel qui négocie pour que Earl finisse sa dernière course pour eux ...

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La Mule c'est aussi un très bon thriller. Même si Earl est très sympathique et semble être apprécié de tous (y compris des gars du cartel), on ressent une tension sous-jacente, très légère mais toujours présente, ce qui crée du suspense (les bases du thriller).

La Mule est un film qui va peut-être manquer d'enjeux pour certains, mais il est vraiment prenant, touchant et drôle. On se prend tout de suite d'affection pour Earl, dans une histoire aux tenants et aboutissants connus, mais brillamment narrée et avec beaucoup d'authenticité.

lessthantod a écrit : ↑
25 août 2023 22:49
Il fait aussi son introspection comme pour établir son testament et dans le cas de Clint Eastwood ce sera une œuvre-testament.

C'est pas cry macho son film testament?
J'ai l'impression qu'il fait un film testament tous les ans

Pas vu Cry Macho et il ne me donne pas envie de le voir :/

Ça m'a mis un coup quand j'ai vu Eastwood dans la mule...
Dans gran torino Il avait encore de la tenue, de la prestance, mais dans la mule il accuse vraiment son âge le vieux, c'est dur de le voir comme ça.
Même si j'aimerai être comme lui au même âge, faut pas se mentir.

Je commence à croire qu'il n'y aura aucune adaptation sérieuse... Encore tout faux dans celui là. La psychologie absente, et même totalement inverse à celles d'origine, des persos supplémentaires histoire de faire plaisir aux mecs, des insectes géants mal fait, une histoire totalement rushée et saccagée... Bref, c'était nul. Au delà de la comparaison avec le roman, le film en lui même est mauvais.

Ouhh que c'était long !! Muet je veux bien, noir et blanc également, les deux en même temps, pourquoi pas c'est basique, mais quand la longueur de visionnage dépasse l'heure, et qu'en plus c'est très moyen... C'était plus une épreuve qu'autre chose. Je ne pourrais pas le comparer au roman que je n'ai pas encore pris le temps de relire. Mes souvenirs se sont un peu effacés. Mais bon, le film n'est déjà pas très intéressant en soit... Puis bon, ces surenchères d'interprétations du à l'absence de son, j'ai du mal. J'ai l'impression de regarder une pièce de théâtre mélangé à un film ^^

Pas pour moi.

Un Frankenstein qui aurait pu être sympa à voir. L'histoire m'a fait tenir plus de 15 min. Mais après il ne se passe absolument rien. C'est long, vide, chiant. Bref, j'ai pas aimé. En ce moment c'est la loose ^^

Résumé : À Paris, un grand patron de la finance et son chauffeur sont tués. Alors que, vivants, ils n'avaient que des relations strictement professionnelles et hiérarchiques, leurs fantômes assistent le plus souvent ensemble aux conséquences de leurs modes de vie troublés.
Fantôme avec chauffeur, de Gérard Oury, avec Philippe Noiret et Gérard Jugnot, écrit par Francis Veber... En lisant ces 4 noms, parmi les plus grands du cinéma français, on se dit qu'on va forcément tomber sur une pépite d'humour, d'écriture et de jeu d'acteurs... Malheureusement il en est tout autre.
Comme je l'evoquais déjà avec La soif de l'or, Gérard Oury, le parrain de la comédie française (le corniaud, la grande vadrouille, Rabbi Jacob..) a connu une fin de carrière un peu moins rose, et même en s' alliant avec un des meilleurs scenaristes du genre, (Francis Veber, en petite forme sur ce coup) , il réussit à peine à faire mieux que ses échecs précédents. L'idée de départ n'était pourtant pas mauvaise, une espèce de "ghost" à la franchouillarde avec des bonnes gueules d'acteurs, mais même eux n'ont pas tellement l'air d'y croire, l'immense Noiret semble s'ennuyer comme un rat mort et le rôle de Jugnot est écrit avec les pieds, il ne colle absolument pas à l'acteur. Et comme c'était la mode à l'époque on y a ajouté des effets spéciaux en images de synthèse dégueulasses, des éléments scenaristiques hors sujet pour y foutre de la réalité virtuelle en mode "le cobaye", ça donne un bloubi boulga assez indigeste, pas très drôle, même si le film se laisse regarder sans déplaisir car le casting est de haute volée, et quelques dialogues bien sentis, il ne restera pas dans les annales de la comédie française, loin de là.

wiiwii007 a écrit : ↑
29 août 2023 09:14
Je commence à croire qu'il n'y aura aucune adaptation sérieuse... Encore tout faux dans celui là. La psychologie absente, et même totalement inverse à celles d'origine, des persos supplémentaires histoire de faire plaisir aux mecs, des insectes géants mal fait, une histoire totalement rushée et saccagée... Bref, c'était nul. Au delà de la comparaison avec le roman, le film en lui même est mauvais.

Je n'arrive même pas à distinguer de quelles adaptations tu parles la plupart du temps, essaye au moins de citer le réalisateur ou mettre la date.

Si c'est le film de 61, il est considéré comme une des meilleures adaptations, donc oui il y a des chances que tu ne trouves pas mieux. (au moins pour l'île mystérieuse, pour les autres ça devrait aller)

Gringos10 a écrit : ↑
29 août 2023 10:07

wiiwii007 a écrit : ↑
29 août 2023 09:14
Je commence à croire qu'il n'y aura aucune adaptation sérieuse... Encore tout faux dans celui là. La psychologie absente, et même totalement inverse à celles d'origine, des persos supplémentaires histoire de faire plaisir aux mecs, des insectes géants mal fait, une histoire totalement rushée et saccagée... Bref, c'était nul. Au delà de la comparaison avec le roman, le film en lui même est mauvais.
Je n'arrive même pas à distinguer de quelles adaptations tu parles la plupart du temps, essaye au moins de citer le réalisateur ou mettre la date.

Si c'est le film de 61, il est considéré comme une des meilleures adaptations, donc oui il y a des chances que tu ne trouves pas mieux. (au moins pour l'île mystérieuse, pour les autres ça devrait aller)

Oui d'après l'affiche et les comédiens c'est la version de 1961 , moi perso je l'ai vu quand j'était tout gamin et ca m'avais fasciner la dérive en ballon dirigeable l'ile inconnu , la grotte a pirate , les grosses bébêtes , le capitaine Némo en scaphandre en coquillage , la réparation du bateau pirate, l'explosion de l'ile

J'ai du voir en VHS ce film un nombre incalculable de fois et preuves en est c'est encore très frais dans ma mémoire.

Par contre la version avec patrick stewart et Kyle MacLachlan passer complètement au oubliette et je suis fan des acteurs/trices ...

Et pour 20 milles lieu sous les mers il y en a qu'un et unique c'est celui de disney de 1954 avec kirk douglas

Oui t'as raison Gringos, je mettrais les dates. Je le fais dans mon récap' en spoil mais j'oublie à chaque fois de le mettre dans mon texte... C'est bien celui de 1961.

Si ça c'est la meilleure adaptation, alors ouai je suis mal car tu ne peux pas faire plus mauvais à mon sens. Alors peut-être (je viens d'aller voir quelques critiques sur allocine) que les gens qui ont noté sont nostalgiques ?! Je ne vois que ça, ou vouer un culte à certains producteurs/réalisateurs. Sinon franchement, comment dire que c'est bien ? Je comprends pas. Là je ne parle que pour le film. Si je compare au roman, c'est juste guignolesque. Mais bon, apparemment c'était voulu par le producteur d'après wiki. Le mec trouvait l'idée de Verne ennuyeuse (les naufragées), il a donc voulu ajouter des monstres géants

Mais je crois qu'il n'a pas compris que l'intérêt de ce livre n'était pas forcément dans l'action (et encore). Mais bon, si ça a plu, tant mieux. Mais j'ai peur pour la suite.

Morkalavin a écrit : ↑
29 août 2023 11:12
...

Et pour 20 milles lieu sous les mers il y en a qu'un et unique c'est celui de disney de 1954 avec kirk douglas

Yep, pas vu depuis longtemps mais excellent souvenir

J'ai maté Runaway train d'Andrei Konchalovsky
un film qui m'a toujours intrigué quand j'étais gosse grâce à sa merveilleuse jaquette, ça éveillait toujours de la curiosité chez moi ce genre d'illustrations avec ces grosses machines qui semblaient prendre vie (Duel, Enfer Mécanique, Maximum overdrive, etc...)

► Afficher le texte

je l'avais déjà regardé il y a pas mal d'années mais dans une version dvd pourrie qui ne lui rendait pas vraiment hommage, j'ai donc profité de sa remasterisation en bluray pour le revoir.

résumé : Prisonnier multirécidiviste, Manny s'allie avec Buck, une jeune tête brûlée, pour s'évader d'une prison de haute sécurité en Alaska. Après une marche éprouvante, ils parviennent à une gare ferroviaire et montent à bord d'un train dont le conducteur décède, foudroyé par une crise cardiaque, peu de temps après avoir mis en route les machines. Les freins lâchent, la vitesse du convoi augmente alors progressivement et irrémédiablement ; le poste central d'aiguillage est désemparé et tente par tous les moyens de parer à la course folle du train.

La gestation de ce film est assez improbable, jugez plutôt : une histoire originale d'Akira Kurosawa adaptée par Edward Bunker ex taulard, compagnon de cellule de Danny Trejo (qui joue un petit rôle dans le film), devenu écrivain et acteur (il fut même conseiller technique sur Heat de Michael Mann), produite par les cousins fous de la Cannon, Globus-Golan ( Cyborg, Bloodsports, Cobra, Over the top, etc...), et réalisée par un moscovite disciple de Tarkovski et futur réalisateur du nanard de luxe stallonien Tango et Cash, Andrei Konchalovsky .

Et que donne donc ce mélange improbable? un film d'action plutôt honnête ma foi !
La tension monte crescendo et ne se relâche jamais. Le casting est de qualité, Jon Voight est parfait de bestialité en prisonnier impitoyable et incontrôlable, suivi de près par son compagnon de fortune interprété par le tout jeune Eric Roberts crédible en chien fou admiratif de cette légende des prisons. La seule interprète féminine du film, Rebecca De Mornay, essaye tant bien que mal d'exister au milieu de toute cette testostérone. D'ailleurs cet ensemble donne un film très phallocentré, souvent graveleux, témoin d'une époque révolue où le film d'action rimait souvent avec misogynie et obscénité.
On pourrait penser qu'il est du même acabit que les autres films burnés du duo de la Cannon, maison des Chuck Norris, Bronson, des sous indiana jones et autres ninjas à moustache, mais il se dégage quelque chose de différent... finalement à mesure que le train avance et emmène nos protagonistes assoiffés de liberté vers un inéluctable destin, s'installe un désespoir violent, illustré par un monologue touchant de Voight, ainsi qu'une atmosphère froide et sèche, sublimée par la très belle photo et les décors naturels de l'Alaska, qui ne lâchera pas le spectateur jusqu'au dernier plan inoubliable, accompagné du Gloria de Verdi, et cette citation de Richard III ""La bête la plus féroce connait la pitié. Je ne la connais pas. Je ne suis donc pas une bête."

J'adorais ce film quand j'étais gosse, on avait la VHS. Faudrait que je le revois

Les yeux bleu de Rebecca De Mornay miam miam !
Elle est milaydy de winter quelque années après dans les trois mousquetaires avec kiefer sutherland/jack bauer

Réalisé par Jacques Monnet, sorti en 1981.

Je ne sais pas trop quoi en dire de ce film. Très souvent, je trouve que ça ne joue pas super bien mais je sais pas, il y a une sorte d'ambiance nostalgique, et cool qui m'embarqué. Mais pas que, certaines répliques sont pas mal du tout et j'ai bien rigolé 3, 4 fois dans le film. Puis bon, voir la clique dans un groupe de musique, c'est assez marrant. Surtout dans ce style, avec ce texte ^^

Donc plutôt bien au final, même si c'est un peu le bordel.

Jamais vu ce film, il a l'air sympa.

Ca reste très light par rapport à d'autres, mais je sais pas, j'aime l'ambiance ^^

The Man From Earth (2007)

Un bon paquet d'années après le premier visionnage qui m'avait fait forte impression, il est toujours aussi captivant dès les premières minutes.
Tout le film se passe dans une pièce où les personnage ne font que discuter entre eux.

Des professeurs d'université venu dire au revoir à leur ami prof qui s'en va après 10 ans, qui leur raconte qu'il fait ça tous les 10 ans quand les gens commencent à s'apercevoir qu'il ne vieillis pas... et qu'il a 14 000 ans.

Comme quoi sans budget et sans aucun effet spéciaux il est possible de faire un chouette film de SF.

Je viens de voir qu'il y a eut une suite The Man From Earth: Holocene (2017)

Dig! (Documentaire, 2004)

Documentaire totalement dingue sur 2 des groupes de rock psyché indépendants les plus géniaux des années 90 : The Dandy Warhols & The Brian Jonestown Massacre.
Le destin entrelacé de 2 groupes amis, avec les histoires de succès, de jalousie, d'admiration, de drogue, de santé mentale, de bastons, d'arrestations... Le docu couvre les débuts des 2 groupes de 1995 à 2003. Adorant les 2 groupes c'est passionnant, et hallucinant à chaque scène, dans le pire comme dans le meilleur. Voir Anton Newcombe au sommet du son génie créatif (et complètement camé) capable d'enchainer 3 albums de haut volée en 1 an. Marant de voir David Lachapelle venu réaliser un clip péter un câble tant Courtney Taylor (leader des Dandy) est insupportable. Un peu triste aussi de revoir le regretté Greg Shaw de Bomp! Records qui décèdera peu après. Je pense qu'il faut un minimum connaitre les 2 groupes et les principaux membres pour bien comprendre ce qu'il se passe. Mais c'est absolument génial.

Shovel Knight a écrit : ↑
31 août 2023 12:53
The Man From Earth (2007)

un des meilleurs huis clos jamais fait !

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