Qu'est que vous en pensez de l'IA ?
Publié : 27 oct. 2025 13:41
C'est plus rapide qu'un humain ,pour faire des dialogue !
TITRE : “Derniers Battements”
[Contexte : Deux survivants, Lina et Marcus, cherchent à traverser une ville en ruines. Ils viennent de se réfugier dans une épicerie abandonnée alors que la nuit tombe. Le bruit des rôdeurs se fait entendre dehors.**]
Lina :
Chut… Écoute.
(Tend l’oreille)
Ils sont encore là… juste derrière les vitres.
Marcus :
Ouais. Ils ont dû nous suivre depuis le pont.
(Tient son arme)
On va devoir attendre qu’ils se dispersent.
Lina :
Attendre ? Il fait déjà presque nuit, Marcus. Tu sais ce qui sort après le coucher du soleil.
Marcus :
Je sais. Mais si on bouge maintenant, on se fera déchiqueter.
(Pause)
On va rester planqués ici jusqu’à ce que le vent tourne.
Lina :
Tu dis toujours ça, “jusqu’à ce que le vent tourne”.
(Soupire)
T’as déjà vu le vent tourner dans ce monde ?
Marcus :
...Pas vraiment. Mais faut bien garder un peu d’espoir, non ?
[Un bruit de verre brisé retentit au fond du magasin.]
Lina :
(Murmure)
Oh non… T’as entendu ?
Marcus :
Ouais. C’est pas le vent, ça.
(Il éclaire la zone avec sa lampe torche.)
Recule un peu, couvre-moi.
[Un rôdeur surgit derrière le comptoir, gueule ouverte.]
Lina :
Marcus ! À gauche !
Marcus :
Je l’ai !
(Tire — bang! — le rôdeur tombe au sol.)
Lina :
Tu l’as attiré, maintenant ils savent qu’on est là !
Marcus :
Alors faut courir. Par derrière, la porte de service !
[Ils courent, bousculant des étagères. Les cris des zombies s’amplifient.]
Lina :
On va jamais y arriver ! Ils sont trop nombreux !
Marcus :
Tais-toi et cours !
(Il pousse une caisse devant la porte pour bloquer le passage.)
Monte sur les toits ! Vite !
[Une fois sur le toit, haletants.]
Lina :
(Respire fort)
T’aurais pu prévenir avant de tirer…
Marcus :
Et t’aurais préféré qu’il me morde ?
(Pause)
Écoute, on a survécu. C’est tout ce qui compte.
Lina :
Pour combien de temps, tu crois ?
Marcus :
Autant que nos balles et notre courage tiendront.
(Il regarde l’horizon rougeoyant.)
Et quand y’aura plus rien de tout ça…
(Petit sourire)
On improvisera.