Gamers Things

J'avoue avoir un peu peur mais j'ai cru comprendre qu'il y avait Jack Black dans le 2. Vu que j'adore le gars, je peux passer un bon moment juste grâce à lui ^^

wiiwii007 a écrit : ↑

07 déc. 2022 19:31

J'avoue avoir un peu peur mais j'ai cru comprendre qu'il y avait Jack Black dans le 2. Vu que j'adore le gars, je peux passer un bon moment juste grâce à lui ^^

Jack Black ne suffit pas à relever le niveau malheureusement

Je les aime bien les 2 Jumanji avec Dwayne Johnson.
Alors oui, OK, on est d'accord, c'est loin d'être du niveau de l'original !
Mais ça se regarde sans déplaisir, surtout le premier. Le 2 est bien moins foutu, trop long sur la fin, malgré de bons guests qui font plaisirs aux vieux geeks que nous sommes (DeVito et Danny Glover).

Je crois tu me sauves la journée J'allais écrire exactement comme toi, mais j'avais un peu peur des réactions

Du coup je rédigerais mes 4 lignes un peu plus sereinement ^^

De rien

spip a écrit : ↑

08 déc. 2022 12:04

Je les aime bien les 2 Jumanji avec Dwayne Johnson.
Alors oui, OK, on est d'accord, c'est loin d'être du niveau de l'original !
Mais ça se regarde sans déplaisir, surtout le premier. Le 2 est bien moins foutu, trop long sur la fin, malgré de bons guests qui font plaisirs aux vieux geeks que nous sommes (DeVito et Danny Glover).

La même, j'ai eu droit aux 2 car mon fils est fan de D. Johnson et K. Hart. Ça se laisse regarder, mais c'est sûr qu'il vaut mieux les voir dans un esprit "très bon public" plutôt qu'en critique de ciné.

Cormano a écrit : ↑

08 déc. 2022 12:59

spip a écrit : ↑

08 déc. 2022 12:04

Je les aime bien les 2 Jumanji avec Dwayne Johnson.
Alors oui, OK, on est d'accord, c'est loin d'être du niveau de l'original !
Mais ça se regarde sans déplaisir, surtout le premier. Le 2 est bien moins foutu, trop long sur la fin, malgré de bons guests qui font plaisirs aux vieux geeks que nous sommes (DeVito et Danny Glover).

La même, j'ai eu droit aux 2 car mon fils est fan de D. Johnson et K. Hart. Ça se laisse regarder, mais c'est sûr qu'il vaut mieux les voir dans un esprit "très bon public" plutôt qu'en critique de ciné.

C'est ça, le film est juste là pour divertir la famille.

-------------------------------------



J'ai été surpris en bien de ce Jumanji. A la base, je suis déjà assez friand des comédies fantastiques. Jack Black étant un artiste que j'aime beaucoup, j'étais donc dans de bonnes conditions ^^

Après un début hyper cliché et assez compliqué à encaisser pour ma part, dès l'arrivée dans Jumanji, ça l'a fait. Le coup du JV, et surtout le traitement respectueux qu'a reçu le média via le concept de niveaux, les dialogues, les vies, les stratégies etc. J'ai beaucoup aimé. Ni trop, ni pas assez. C'est aussi pour ça que je pardonne aux persos d'être dans la caricature : C'est un JV. Donc forcément...

A part ça l'histoire se suit bien, ça bastonne, l'humour a fonctionné chez moi, les effets sont pas dégueu... Franchement ça va.

Alors oui, on voit la fin arriver dès le départ, on a la petite morale classique et surement trop "Disney" pour certain, le déroulement "formaté film moderne" sans véritable surprise, les dialogues minimalistes etc. Mais je ne peux pas dire que je l'ai trouvé nul, bien au contraire. C'était sympa.

A prendre comme un divertissement tranquille.

Pas vu, mais on m'a dit que c'était pas si mal.

Je ne vais pas faire un long discours, en principe, si on aime le premier, on aimera le second. C'est la même chose avec quelques subtilités supplémentaires bien venues. J'ai passé un bon moment.

Puis de toutes façons, moi si j'entends :






Je suis déjà très content ^^ En plus, je trouve que ça marche super bien dans ces films.

J'ai rematé Eternal Sunshine of the Spotless Mind ...



Eternal Sunshine of the Spotless Mind pose la question suivante : vaut-il mieux avoir aimé et perdu, ou ne jamais avoir aimé du tout ? Je vous laisse trouver la meilleure solution pour vous ... J’avoue être assez romantique et un peu, voire même beaucoup fleur bleue sur les bords ... et ça tombe bien, le bleu est la couleur dominante dans Eternal Sunshine of the Spotless Mind (à l'image de l'affiche du film). Le romantisme voue un culte à la couleur bleue et Eternal Sunshine of the Spotless Mind est un film vraiment très, très bleu. C'est clairement l'un des films les plus romantiques que j'ai vu. C'est le film fait pour moi ... pour ceux qui croient au coup de foudre, aux âmes sœurs et au destin.

Joel (Jim Carrey) est socialement inapte. Il a eu des petites amies, mais aucune qui signifiait vraiment quelque chose pour lui. C’est comme s’il n’avait jamais eu de relation significative, d’aucune sorte. Mais voilà, un jour il rencontre Clémentine (Kate Winslet) et ses cheveux bleus ("blue ruin" dans le texte) ... Clémentine est délurée et loufoque, changeant la couleur de ses cheveux en fonction de son humeur, du rouge, à l’orange, au bleu, au vert. Elle semble être aux antipodes de Joel, mais ça clique tout de suite entre ces deux là. Dés les premiers moments de leur rencontre, tous deux savent qu’il y a quelque chose de spécial entre eux. Ils cliquent à un tel point, qu’ils ne peuvent même pas imaginer.

Cependant, après la dispute de trop, leur relation est brisée. Clémentine décide de visiter Lacuna Inc, une entreprise spécialisée dans l’effacement des souvenirs. Elle décide alors d’effacer Joel de sa mémoire pour toujours. Quand Joel l'apprend, poussé par la colère il décide de faire la même chose avec Clémentine, il décide de l'effacer complètement de sa mémoire lui aussi.

Eternal Sunshine of the Spotless Mind est à l'image de son scénariste Charlie Kaufman et de son réalisateur français Michel Gondry. Ce film est encore plus beau et original que les précédents film de Charlie Kaufman, en collaboration avec Michel Gondry (Human Nature) ou en collaboration avec Spike Jonze (Being John Malkovich et Adaptation). Mais la grosse valeur ajoutée du film, c'est ce romantisme exacerbé qui en fait l’une des expériences cinématographiques les plus marquantes que j'ai connu. Et ce romantisme exacerbé, ou ce qu'on pourrait qualifier de touche poétique, on la doit principalement à Michel Gondry. Michel Gondry, c'est comme une fusée éclairante qui accompagne les mots de Charlie Kaufman, réussissant l'exploit de mettre en image la folie créatrice de son compère scénariste. Tous les deux sont en parfaite harmonie.

Le processus d’effacement de la mémoire implique de réaliser une cartographie des souvenirs dans le cerveau, qui dixit le médecin "est techniquement une lésion cérébrale". La majeure partie du film se déroule pendant ce processus, dans la tête de Joel. Les souvenirs les plus récents sont les premiers à s'effacer et nous les voyons disparaître lentement dans le néant. Ce sont ceux qui sont les plus amers, à savoir les disputes et l’ennui qui s'installe dans le couple.

Mais au fur et à mesure qu'on remonte dans le temps et qu'on se rapproche de leur première rencontre, les souvenirs deviennent de plus en plus doux et beaux. Nous voyageons à reculons pour voir Joel et Clémentine vivre leurs meilleurs moments, aimant la vie et s’aimant l’un l’autre. Alors que le processus se poursuit, Joel regrette amèrement sa décision. Il veut que l’inévitable cesse, que l'effacement s'arrête, mais il s'avère être totalement impuissant. Bientôt, Clémentine ne sera plus, elle sera partie et il ne se souviendra même pas qu’il l’a oubliée. Le film se concentre sur ses tentatives de déjouer le processus et de retenir une partie d’elle dans les recoins de sa mémoire. Quand Clémentine murmure "Meet me in Montauk" à l’oreille de Joël, c'est difficile de retenir ses larmes ... Jim Carrey a réussi une transformation assez remarquable dans sa carrière, chose que j’aurais jugé impossible à l'époque de Dumb & Dumber ou de Ace Ventura. Sous la direction de Michel Gondry, il devient un acteur brillant qui me rappelle un peu la désinvolture, ainsi que la sensibilité d'un Jimmy Stewart ou d'un Tom Hanks (ou un mixte des deux). C’est un acteur fabuleux qui suscite tout de suite une grande sympathie, il est touchant, drôle et plein d'énergie positive. Non vraiment, il mérite toutes les éloges pour sa performance ici dans le rôle de Joel.

Et puis il y a Kate Winslet, la sublime Kate Winslet, toujours aussi brillante dans chacun de ses rôles. C'est clairement l’une des meilleures actrices de sa génération. Ici, elle incarne une femme qui a un besoin perpétuel d’attention, mais qui recherche également l'intimité, la passion et l'engagement dans le couple. C'est une femme complexe et fascinante. C'est facile de comprendre pourquoi Joel tombe fou amoureux de Clémentine ... elle est juste irrésistible ! La performance Kate Winslet est tellement impressionnante, qu'on n'envisage personne d'autre à sa place. Elle s'est complètement approprié le rôle de Clémentine ... Clémentine, c'est elle.

Eternal Sunshine of the Spotless Mind est probablement mon film préféré de ces 20 dernières années. C’est l’antithèse de la comédie romantique Hollywoodienne, généralement ultra formatée (et donc insipide) et pour plaire à tous le monde. Or, vouloir plaire à tout le monde, c'est ne plaire à personne. J’adore chaque minute du film, un film qui a de la passion, de l’éclat et un esprit brillant. Joel et Clémentine nous semblent être bien réels. Vous les soutenez, vous voulez qu’ils se rencontrent à nouveau et vous voulez leur donner une autre chance. C'est pourquoi la scène finale est juste parfaite ... Eternal Sunshine of the Spotless Mind, c’est un film qui ne fait que s’améliorer avec le temps. C’est beau, c’est bizarre, c’est exceptionnel, c’est drôle, c’est charmant, c’est touchant, c’est spirituel et c’est l’un des meilleurs films que j’ai jamais vu.

Immense film. Il,est dans mon top personnel incontestabement.
J'étais retourné le voir une seconde fois au ciné à l'époque. (j'avais fait ça pour la 25ème heure de Spike Lee aussi, jamais refais depuis)
Le meilleur Gondry ?

Il est dans mon top 10 et n'en sortira jamais.
De très loin le Meilleur Gondry et le meilleur Kaufman.

Il faut vraiment que je le revoie, je n'arrive pas à être aussi dythitambique que vous.
Je n'avais pas accroché, pourtant j'adore Kaufman, mais je préfère les films qu'il a fait avec spike jonze.

Shovel Knight a écrit : ↑

10 déc. 2022 12:07

Le meilleur Gondry ?

C'est pas vraiment compliqué ? Si ?

Gringos10 a écrit : ↑

10 déc. 2022 12:30

Shovel Knight a écrit : ↑

10 déc. 2022 12:07

Le meilleur Gondry ?

C'est pas vraiment compliqué ? Si ?

Effectivement ^^
A l'époque je souviens que j'étais hyper fan de Gondry. (connu via ses clips)
Du coup quand j'avais vu ce film je m'étais mi à le suivre de près.
La science des rèves était sympa, Be Kind Rewind aussi, mais après... je décroche totalement. Pire il a fait des bouses : Microbe & Gasoil, un des pires films que j'ai vu de ma vie.

Il est vraiment très chouette Be Kind Rewind.

Be kind et la science des rêves sont sympas. Human nature aussi, mais pas des chefs d'œuvres quoi.
En tout cas je les trouve inférieurs à dans la peau de Malkovich et adaptation, qui sont de petites merveilles.

Moins fan de La Science des rêves

Gringos10 a écrit :En tout cas je les trouve inférieurs à dans la peau de Malkovich et adaptation, qui sont de petites merveilles.

Et même très inférieurs.

Avec le petit cet après midi. On avait fait le premier il y a peu... Une suite très très moyenne pour ma part. J'ai vraiment pas trouvé ça terrible, le rythme est haché, le montage chaotique, l'OST hors sujet par moment, les effets font le yoyo, les dialogues mauvais, l'humour ne fonctionne pas... Bref, ya rien qui va à mon sens.

Donc ouai, bof.




Je connaissais déjà le film, mais je voulais faire découvrir à ma copine cette licence. Elle qui n'aime pas ce genre d'humour en général, et là ? Ben pareil, elle n'aime pas. De mon côté je trouve ça sympa sans plus. Même si le film et certaines scènes sont cultes, chui pas hyper à fond dedans. Les blagues me font sourires, parfois rires, mais jamais à me tordre en deux.

Donc bien car ça change, et que ça fait du bien.

C’est parce qu’elle n’aime pas les films de gladiateurs

Et c'est ce qui va entraîner ses problèmes de boisson.

J'aime bien Gondry. Même son L'Écume des jours, bien que raté, est bourré d'idées.

Tryphon a écrit : ↑

11 déc. 2022 01:32

J'aime bien Gondry. Même son L'Écume des jours, bien que raté, est bourré d'idées.

Oui mais que c'est raté. Tenté 2 fois, jamais réussi à aller au bout tant tout sonne faux. ça me provoque limite du malaise
(si vous voulais du vrai malaisant, regardez 'Microbe & Gasoil', vraiment regardez-le, je veux pas être le seul à avoir souffert autant)

J'ai vu bullet train hier soir .



Pour faire simple, un Tarantino/ guy ritchie de wich , histoire à tiroir Ikea.
Même brad pitt n'arrive pas à se sauver, c'est dire.
L'intention était bonne , mais ça sent tellement la commande et le chèquos ....... On arrive même à s'emmerder.

Je viens de mater Les Bonnes étoiles de Hirokazu Koreeda ...



Les Bonnes étoiles est le dernier film de Hirokazu Koreeda, un drame social touchant qui repose beaucoup sur son ambiance très soignée et sur un casting vraiment très bon, en premier lieu Song Kang-ho (prix de la meilleur performance masculine à Cannes). Le scénario, écrit avec une grande intelligence et avec beaucoup de sensibilité, ouvre une discussion sur les droits des enfants (ou ici en l'occurrence, des bébés).

Sang-hyeon (Song Kang-ho), propriétaire d’une laverie automatique et son ami Dong-soo (Dong-won Gang) font du bénévolat dans une église avec une "boîte à bébés". Ils profitent de leur position, pour mener une activité illégale de vente de nouveau-nés à des familles riches sur le marché noir de l’adoption. So-young (Ji-eun Lee), une jeune mère qui revient le lendemain après avoir déposé son bébé dans la boîte, découvre leur opération et décide de se joindre à eux pour trouver la bonne famille pour son enfant. Alors qu’ils partent en road trip, deux détectives (Bae Doona et Lee Joo-young) sont sur leur piste ...

Quand le film a commencé, je n’avais jamais entendu parler des "boîtes à bébés", auparavant. J'ai cru un instant que c'était une invention du scénariste, pour un besoin dramaturgique ... mais non, très vite j’ai réalisé que ces boîtes existaient réellement en Corée du sud. Ainsi, une église a une boîte ouverte 24 heures sur 24 qui permet aux gens de déposer des bébés non désirés et de manière anonyme. Le style de cinéma vérité-tranche de vie de Hirokazu Koreeda permet de s'immerger tout de suite dans cette histoire poignante.

Ce n'est que le deuxième ou troisième film de Hirokazu Koreeda que je vois et à chaque fois j’ai été impressionné par la précision derrière ses choix stylistiques. Utilisant les multiples points de vue de ses personnages, le scénario de Hirokazu Koreeda présente équitablement le dilemme moral de vendre un bébé orphelin, sans jamais être prêcheur ou didactique ... bien qu'il se disperse par moment dans des intrigues secondaires peu intéressantes, mais j'y reviendrai plus tard.

Vaut-il mieux vendre un orphelin à une famille riche ou le laisser à l' orphelinat ? Une boîte à bébé devrait-elle exister ? La boîte sauve-t-elle les bébés ou encourage-t-elle simplement les gens à abandonner leurs bébés ?

Hirokazu Koreeda ne prend pas parti sur la question. Il vous montre le point de vue d’un personnage, puis vous présente le contre-argument et vous éloigne à nouveau avec un troisième personnage et le processus se poursuivre sans fin. Mais ce qui fait l'attrait principal du film, c’est qu’il n’y a pas de réponse claire et définitive. Personne n'est ni tout noir, ni tout blanc dans cette histoire.Puis Hirokazu Koreeda passe à autre chose et déconstruit sont film. Qu’est-ce qui fait qu'une famille est une famille ? Est-ce défini par le sang, par le mariage ou par le couple ?

Ce que j’ai apprécié dans Les Bonnes étoiles, c’est la façon dont il traitait un sujet lourd et déprimant avec de sensibilité, de poésie et de cœur. Hirokazu Koreeda aime ses personnages et défend les inadaptés, à tel point que son optimisme passe sous silence la résolution finale de l’histoire d’un clignement d'œil (la résolution finale n'est vraiment pas très claire et vite expédiée).

Les personnages sont intéressants et on en apprend plus sur chacun d’eux tout au long du film, une réussite compte tenu du nombre d’entre eux. Le film alterne assez bien entre un ton sérieux et drôle, et un certain nombre de blagues ont fait rire toute la salle de cinéma (salle à moitié vide, ceci dit).

Le film est loin d'être parfait, malheureusement. Un gros inconvénient pour moi (mais ce n’est peut-être que moi) se situe au niveau du rythme. Le film met beaucoup trop de temps à démarrer et se perd vers la fin, avec une sous-intrigue (mais liée au récit principal) largement dispensable, impliquant deux gangsters et la femme du père du bébé. Cette sous intrigue est très confuse, tout comme la raison pour laquelle les deux femmes flics enquêtent sans relâche sur eux. La fin est également fort peu satisfaisante, elle semble précipité et on perd le côté poétique qui jusque là imprégnait le film.

En fin de compte, le voyage en valait quand même la peine, bien qu’il semble manquer de dramaturgie pour réellement convaincre le plus grand nombre. Du film, je retiens surtout ces quelques moments de poésie très réussies (la métaphore du parapluie dans le couple).

ha tiens je ne savais pas du tout que Kore eda avait fait un film avec des acteurs coréens, intéressant.

La suite du 1 quoi ^^

Pleins de références, de l'humour troisième degrés, des situations toutes plus invraisemblables les unes que les autres... On est bien.

Perso j'aime autant l'un que l'autre. Pas vraiment de préférence.




Un Tarzan particulier car Sean Connery fait parti du casting ! Je ne savais pas qu'il avait tourné dans un Tarzan ^^ Je ne l'ai jamais vu plus jeune que dans ce film. Très sympa celui là, on sent qu'on approche les années 60, la réalisation fait un bon en avant, avec de plus en plus de gros plans, une histoire mieux contée, une intrigue plus cool à suivre... Alors il y a encore de gros soucis niveau maquillage et effets spéciaux, mais ça reste très rigolo à voir (genre l'avion qui s'écrase, fou rire assuré ^^). Je trouve que Sean Connery est bon dedans, il apporte un plus, clairement.

Un Tarzan bien sympa.

Jamais vu de ma vie celui là !

J'ai beaucoup aimé. Voilà le De Funes que j'aime ! Puis avec Bourvil, ça le fait bien. On sent vraiment que De Funes devient une star et qu'il commence à avoir pas mal d'expérience. Il joue de mieux en mieux.

Le meilleur que j'ai vu pour le moment.

Une vie cachée de Terence Malick.

on m'avait dit que Malick s'était perdu depuis son "tree of life", je n'ai pas encore pu le vérifier mais par contre ce que je sais c'est que l'histoire "vraie" de Franz Jägerstätter, héros parmi les héros oubliés de la seconde guerre mondiale, ainsi que cette période trouble de l'histoire et le magnifique paysage champetre autrichien, ont redonné à Malick toute son inspiration et sa maestia. A hidden life, est un tourbillon de splendeur et d'émotions.
On y retrouve le lyrisme des moissons du ciel, la réflexion et le souffle héroïque de la ligne rouge.

l'histoire :
En 1938, après l'arrivée des troupes d'Hitler en Autriche, Franz Jägerstätter est le seul de son village, St. Radegund, à s'opposer au régime nazi allemand. Il refuse ensuite catégoriquement de combattre pour le Troisième Reich et devient objecteur de conscience. Il est alors emprisonné à Linz, puis à Berlin.

le film retrace donc une partie de la vie de l'Autrichien Franz Jägerstätter, décapité par les Nazis en 1943, puis béatifié et déclaré martyr par l'Église catholique en 2007, incarné à l'écran par l'Allemand August Diehl, totalement habité par son rôle, qui livre une prestation pleine de désespoir, forte et bouleversante comme on n'en avait plus vu depuis celle d'Adrien Brody dans Le pianiste de Polanski.
On est déchiré, partagé, interrogé par les décisions de cet homme. Qu'aurions nous fait à sa place? Aurions nous "fait allégeance à l'antéchrist" pour sauver notre vie, ou retrouver nos proches.
Son acte, discret, presque oublié, est de ceux qui, s’ils passent inaperçus, font la grandeur et l’héroïsme des belles histoires. Terrence Malick raconte l’oubli de ces combattants du bien, incarcérés, jugés et sacrifiés pour leurs convictions. "Mieux vaut subir l'injustice, que de la commettre", telle était leur philosophie.

Le sujet est une aubaine pour le style de Malick, même si on pourra lui faire l'éternel reproche de styliser l'horreur, celui-ci livre un chef d’œuvre, qui est tout sauf consensuel. Il est très profond, engagé politiquement, sans didactisme et loin des derniers délires ésotériques de l'auteur. On y retrouve son appétence pour décrire les liens familiaux, le rapport de l'homme à la nature, le tout sublimé par des mouvements de caméras audacieux et des plans de toute beauté. La voix off est toujours là, le prechi-prêcha mystico religieux et philosophique de l'artiste aussi. Ainsi que les ellipses poétiques.Visuellement, il rend grâce à cette histoire, dans son style inimitable.
Le sujet est magnifique, rare sur grand écran, et il méritait un aussi beau regard que celui de Terrence Malick.

(le seul bémol que j'apporterai est l'utilisation de l'anglais dans les conversations intimistes, et celle de l'allemand dans les plans d'ensemble, j'aurai préféré une totale authenticité linguistique)

Très beau film A hidden life, plein de beauté et de poésie sur un thème à la base assez sombre et triste. Il n'y a que Malick pour filmer comme ça et dégager de telles émotions.

SOS Fantômes, l'héritage / Ghostbusters, afterlife

Après le bide critique et commercial du remake "féminisé" de cette licence si culte des 80's, les producteurs ont décidé de déporter le lieu de l'intrigue de New york à une petite ville paumée des Etats-Unis, en y saupoudrant beaucoup de fan service, un peu de trucs à la mode actuelle (strangers things par exemple) et en y accolant une petite histoire de famille compliquée pour tirer un peu sur la corde émotionnelle. Le tout sous la houlette du fils Reitman et des acteurs d'origine, se portant en quelques sortes caution d'un retour aux sources et d'un respect de l'oeuvre original.
Ça commence plutôt bien, avec une scène d'ouverture bien filmée et intrigante qui explique la disparition de Spengler (interprété à l'origine par le regretté Harold Ramis, décédé en 2014), nous découvrons ensuite la fille qu'il n'a pas élevé, endettée jusqu'au coup, contrainte de quitter son domicile et de récupérer la vieille bâtisse délabrée de son paternel en y emmenant ses enfants, un ado débrouillard et une gamine qui est déjà un génie de la science malgré son jeune âge, comme feu son grand père. Tandis que les enfants vont commencer à découvrir le passé et le matériel de chasseur de fantômes de leur aïeux, d'étranges phénomènes surnaturels commencent à se produire dans la paisible bourgade.
C'est faussement novateur, mais la suite de l'histoire n'est qu'une transposition des films précédents avec de nouveaux acteurs et un nouveau décor, la trame s'évertuera à copier-coller les grandes lignes de ce qui a fait la réussite des opus originaux, en oubliant l'autodérision qui a fait le succès de ces fameux ghostbusters. Ça tire même un peu trop sur la fibre émotionnelle dans le dernier acte, jusqu'à l’écœurement. Tout est prévisible, voir un peu gros (la gamine de 12 ans qui maitrise l'accélérateur nucléaire en 30 secondes ou l'ado qui répare et conduit comme un taré l'ecto 1 en pleine ville alors qu'il a 15 ans), c'est du réchauffé, mais on a l'habitude avec ces feignasses d'hollywood, néanmoins ça se regarde sans déplaisir grâce au fan service, au jeu dynamique des acteurs et à la réalisation plutôt propre. Un bon pop corn movie. Vite vu, vite oublié. Contrairement aux films cultes dont il se veut l'héritier.

Voici enfin la suite tant attendue du chef d’œuvre de James Cameron, Avatar qui fut en son temps une révolution technologique mais aussi un film qui eu un impact durable sur l'imaginaire collectif, malgré ses multiples inspirations, par la générosité et l'ampleur de l'univers que l'auteur a crée.
“Le plus grand danger de Pandora, c’est d’en tomber éperdument amoureux”. Dès les premières secondes et cette phrase, la couleur est annoncée, on va en voir plus, et on va encore en prendre plein les yeux. Et on en prend plein les yeux ! C'est tout simplement magnifique, grandiose, on pourrait utiliser tous les superlatifs, on s'y attendait mais James Cameron place la barre encore plus haut que sur le premier. Là où réside tout son talent, c'est que la technique est là pour servir un univers et une histoire. Je suis toujours bluffé de voir à quel point tout cela prend vie sous nos yeux. Je pars sceptique à chaque fois en voyant les screenshots, je me demande comment cette création totale pourra prendre forme sans avoir l'air artificielle, mais Cameron réussit le pari assurément, on oublie très vite que ce que l'on regarde n'existe pas, ça semble tellement réel, et tout s'insère à la perfection les humains, les navis, les créatures, la nature, c'est foisonnant de détails, c'est parfait de beauté et de réalisme, la technologie s'efface petit à petit pour laisser la place à un sentiment total d'évasion. On est même physiquement happé par certaines scènes en ayant réellement le tournis en même temps que les acteurs en apesanteur dans un vaisseau.
C'est un pur bonheur de rejoindre une nouvelle fois Pandora, et de retrouver Jake Sully et sa nouvelle famille, on a l'impression de se replonger dans un monde que l'on avait pas vu depuis longtemps et qui nous manquait, de revoir de vieux amis, qui ont évolué, ont bâti une famille en même temps que nous, l'identification est au summum, l'immersion est totale. On partage quelques instants de bonheur, des mots simples, qui touchent direct et parlent au spectateur. Et puis c'est parti, l'action s'enchaine, une attaque de train futuriste en mode far west, quasi sans aucun temps mort 3 heures durant, la trame se déroule, reprenant un peu les ficelles du premier, tout en y ajoutant des variantes : le monde aquatique pour une explosion de délires visuels tous plus fous les uns que les autres. De nouveaux et nombreux liens filiaux et familiaux apportant de la matière à une émotion encore plus prégnante et un potentiel shakespearien énorme pour les futures suites.
Comme d'habitude Cameron dépeint des humains et leur soif d'expansion industrielle au bord du gouffre, pour mieux idéaliser ensuite le pouvoir de la nature, cette fois ce n'est plus la guerre qui guète mais tout simplement l'extinction de la Terre. Le message est clair. La lutte qui s'annonce en devient du coup moins manichéenne même si on retrouve encore les méchants bien méchants, tout ne sera plus blanc ou noir (dans les prochains opus en particulier)
Le réalisateur convoque également ses œuvres passées (abyss, terminator, aliens, titanic..) ainsi que les grands mythes fondateurs, avec le brio qui le caractérise, pour livrer une mosaïque pessimiste et universaliste.
C'est beau et intelligent, c'est du cinéma grand spectacle, tout en étant du cinéma d'auteur, c'est épique et intimiste à la fois, c'est un voyage dont on ressort lessivé mais euphorique, bref c'est pour offrir cette possibilité d'évasion que le cinéma existe. Et quand je dis cinéma c'est CINEMA (donc à voir en salle impérativement)

Polton a écrit : ↑

13 nov. 2022 00:58

je viens de voir top gun 2 .
Les tripes encore en mouvement.
Le cinéma hollywoodien n'est pas mort. Du moins tant que Tom Cruise ne meurt pas.
Quel shot ! je ne redescends pas. Les caméras Imax c'est la vie.

Vu hier soir, et je me suis fait un peu le même genre de réflexion.

J'avais vraiment l'impression d'être dans un film d'action des années 90, le héros un peu super-héros, les blagues qui font mouche, les personnages bien stéréotypés, et des scènes d'action qui envoient.
Il n'y a pas non plus des enjeux de fou, pas de méchant, le pitch tient sur un post-it, et la part belle est faite au fan service.

Par contre on ne s'ennuie pas, on se laisse aller, on n'a pas peur, et après 2h le tour de manège est terminé

Gringos10 a écrit : ↑

19 déc. 2022 17:14

Voici enfin la suite tant attendue du chef d’œuvre de James Cameron, Avatar qui fut en son temps une révolution technologique mais aussi un film qui eu un impact durable sur l'imaginaire collectif, malgré ses multiples inspirations, par la générosité et l'ampleur de l'univers que l'auteur a crée.
“Le plus grand danger de Pandora, c’est d’en tomber éperdument amoureux”. Dès les premières secondes et cette phrase, la couleur est annoncée, on va en voir plus, et on va encore en prendre plein les yeux. Et on en prend plein les yeux ! C'est tout simplement magnifique, grandiose, on pourrait utiliser tous les superlatifs, on s'y attendait mais James Cameron place la barre encore plus haut que sur le premier. Là où réside tout son talent, c'est que la technique est là pour servir un univers et une histoire. Je suis toujours bluffé de voir à quel point tout cela prend vie sous nos yeux. Je pars sceptique à chaque fois en voyant les screenshots, je me demande comment cette création totale pourra prendre forme sans avoir l'air artificielle, mais Cameron réussit le pari assurément, on oublie très vite que ce que l'on regarde n'existe pas, ça semble tellement réel, et tout s'insère à la perfection les humains, les navis, les créatures, la nature, c'est foisonnant de détails, c'est parfait de beauté et de réalisme, la technologie s'efface petit à petit pour laisser la place à un sentiment total d'évasion. On est même physiquement happé par certaines scènes en ayant réellement le tournis en même temps que les acteurs en apesanteur dans un vaisseau.
C'est un pur bonheur de rejoindre une nouvelle fois Pandora, et de retrouver Jake Sully et sa nouvelle famille, on a l'impression de se replonger dans un monde que l'on avait pas vu depuis longtemps et qui nous manquait, de revoir de vieux amis, qui ont évolué, ont bâti une famille en même temps que nous, l'identification est au summum, l'immersion est totale. On partage quelques instants de bonheur, des mots simples, qui touchent direct et parlent au spectateur. Et puis c'est parti, l'action s'enchaine, une attaque de train futuriste en mode far west, quasi sans aucun temps mort 3 heures durant, la trame se déroule, reprenant un peu les ficelles du premier, tout en y ajoutant des variantes : le monde aquatique pour une explosion de délires visuels tous plus fous les uns que les autres. De nouveaux et nombreux liens filiaux et familiaux apportant de la matière à une émotion encore plus prégnante et un potentiel shakespearien énorme pour les futures suites.
Comme d'habitude Cameron dépeint des humains et leur soif d'expansion industrielle au bord du gouffre, pour mieux idéaliser ensuite le pouvoir de la nature, cette fois ce n'est plus la guerre qui guète mais tout simplement l'extinction de la Terre. Le message est clair. La lutte qui s'annonce en devient du coup moins manichéenne même si on retrouve encore les méchants bien méchants, tout ne sera plus blanc ou noir (dans les prochains opus en particulier)
Le réalisateur convoque également ses œuvres passées (abyss, terminator, aliens, titanic..) ainsi que les grands mythes fondateurs, avec le brio qui le caractérise, pour livrer une mosaïque pessimiste et universaliste.
C'est beau et intelligent, c'est du cinéma grand spectacle, tout en étant du cinéma d'auteur, c'est épique et intimiste à la fois, c'est un voyage dont on ressort lessivé mais euphorique, bref c'est pour offrir cette possibilité d'évasion que le cinéma existe. Et quand je dis cinéma c'est CINEMA (donc à voir en salle impérativement)

Arfff tu fais chier... T'as pu le voir en VO ? A Roanne ya pas, je suis deg...

@wiiwii007 non malheureusement j'étais avec des potes pour qui c'est trop dur de lire des sous-titres pendant 3 heures

J'y vais probablement mardi soir, 4,50€ la place en 3D et VO

Gringos10 a écrit : ↑

23 déc. 2022 16:56

@wiiwii007 non malheureusement j'étais avec des potes pour qui c'est trop dur de lire des sous-titres pendant 3 heures

Lire des sous-titres en 3D, ça doit te sortir du truc non ?

Gringos10 a écrit : ↑

23 déc. 2022 16:56

@wiiwii007 non malheureusement j'étais avec des potes pour qui c'est trop dur de lire des sous-titres pendant 3 heures

Ah merde, et t'en as pensé quoi de la VF ? Ca va ?

------------------------------------



Vu avec le petit. Les sous titres ne marchaient pas, j'ai eu la flemme de sortir l'ordi pour remédier au problème donc on s'est fait le film en FR... Mon dieu cette catastrophe. Ca m'a déboussolé car je connais le film assez bien en VO mais là... J'ai tout simplement eu l'impression de regarder un mauvais film. Alors que d'habitude je le trouve très bien. Les bruitages en mousse, les voix pourries, les intentions à l'ouest... Le travail du son a été saccagé. J'imagine que mon fichier a aussi sa responsabilité là dedans... Mais bon, cette différence VO VF sur le son en général est horrible.

Donc à voir absolument en VO pour un film dynamique, et digne de ce nom. En tout cas, avec le fichier que j'ai.




Un classique chez moi, j'adore. On voulait le montrer au petit, c'est chose faite, il a adoré. Parfait ^^




Un Tarzan sympa car traqué. Une petite chasse à l'homme dans la jungle.




Tarzan Goes to India ^^ Pourquoi pas, le souci que j'ai eu c'est le nouvel acteur qui incarne Tarzan. Dans cet opus, t'as l'impression d'avoir un Tarzan presque civilisé. C'est assez bizarre. Du coup j'ai moins accroché. Puis le son était assez chiant avec tous les éléphants qui gueulaient.

wiiwii007 a écrit : ↑

23 déc. 2022 18:22

Gringos10 a écrit : ↑

23 déc. 2022 16:56

@wiiwii007 non malheureusement j'étais avec des potes pour qui c'est trop dur de lire des sous-titres pendant 3 heures

Ah merde, et t'en as pensé quoi de la VF ? Ca va ?

Non bof

Urbinou a écrit : ↑

23 déc. 2022 17:55

Gringos10 a écrit : ↑

23 déc. 2022 16:56

@wiiwii007 non malheureusement j'étais avec des potes pour qui c'est trop dur de lire des sous-titres pendant 3 heures

Lire des sous-titres en 3D, ça doit te sortir du truc non ?

Ce qui me sort du truc c'est les voix de merde des doubleurs.

wiiwii007 a écrit : ↑

23 déc. 2022 18:22

Tarzan Goes to India ^^ Pourquoi pas, le souci que j'ai eu c'est le nouvel acteur qui incarne Tarzan. Dans cet opus, t'as l'impression d'avoir un Tarzan presque civilisé.

Tu veux dire qu'il fait moins sauvage que les indiens du film ?

Gringos10 a écrit : ↑

24 déc. 2022 02:12

wiiwii007 a écrit : ↑

23 déc. 2022 18:22

Gringos10 a écrit : ↑

23 déc. 2022 16:56

@wiiwii007 non malheureusement j'étais avec des potes pour qui c'est trop dur de lire des sous-titres pendant 3 heures

Ah merde, et t'en as pensé quoi de la VF ? Ca va ?

Non bof

Putain fait chier, chez moi tout le monde est ok pour la VO mais yen a pas dans les cinés... La VF j'ai de plus en plus de mal... Pour moi ça gâche vraiment un film.

Gringos10 a écrit : ↑

24 déc. 2022 02:16

wiiwii007 a écrit : ↑

23 déc. 2022 18:22

Tarzan Goes to India ^^ Pourquoi pas, le souci que j'ai eu c'est le nouvel acteur qui incarne Tarzan. Dans cet opus, t'as l'impression d'avoir un Tarzan presque civilisé.

Tu veux dire qu'il fait moins sauvage que les indiens du film ?

C'est surtout que je n'imagine pas un Tarzan agir, penser, et parler ainsi. Trop "homme civilisé" ^^ Après, je n'ai pas encore lu les bouquins, et il me semble que Tarzan est assez "civilisé" dans le sens ou il apprend la lecture le langage etc. Mais je sais pas, le perso colle pas dans le film ^^ En tout cas, l'image que j'en ai, c'est pas du tout ça.

Je lirais au moins le premier roman pour mieux comprendre.

Fait assez étrange : Il n'y a pas de films Tarzan dans les années 70... Ou alors je n'en ai pas vu. Bizarre. Ya eu surdose dans les 40/50/60, puis rien ^^ Le public a du se lasser. Pourtant les films sont de mieux en mieux construits.

Pas mal celui là. Toujours avec le Tarzan que je trouve trop civilisé, mais sympa.

wiiwii007 a écrit : ↑

24 déc. 2022 09:50

Fait assez étrange : Il n'y a pas de films Tarzan dans les années 70... Ou alors je n'en ai pas vu. Bizarre. Ya eu surdose dans les 40/50/60, puis rien ^^ Le public a du se lasser. Pourtant les films sont de mieux en mieux construits.

C'est devenu une licence has been, comme zorro, alors qu'ils ont été les pionniers du genre super héros, le public s'est détourné pour les personnages de marvel/dc.
C'est greystoke, puis Disney qui ont dépoussiéré tarzan.

wiiwii007 a écrit : ↑

24 déc. 2022 10:40

Pas mal celui là. Toujours avec le Tarzan que je trouve trop civilisé, mais sympa.

Tu devrais mettre le titre et la date des films visionnés, ça serait interressant.

Le dernier de la licence !

C'était sympa. J'ai vu après coup qu'il s'était fait défoncer par la critique presse/public... Je ne suis pas raccord avec ce jugement. Ou plutôt, je l'ai bien reçu de mon côté. Ma copine aussi d'ailleurs. Donc je vais être beaucoup plus nuancé...

Pour moi, le film fait le taff. Dès le début, lorsque j'ai compris que j'avais affaire à un préquel, j'étais content. J'ai eu à peu près tout ce que je voulais savoir sur la folie du perso et son cheminement. Alors je peux comprendre que ce soit un peu moins subtile, que le perso soit un peu plus cru et violent de manière primaire. Mais justement, j'ai aimé ce côté brut, vengeur, protecteur. A côté de ça, j'aurais tout de même aimé une relation un peu plus prenante/développé entre lui et sa tante. Là c'était un peu le minimum syndicale. Dans les autres trucs qui m'ont un peu chagriné : La performance des acteurs du début. J'ai pas trouvé ça au top. J'ai eu un peu de mal au départ à entrer dans le film à cause de ça.

Donc un bilan mitigé, mais plus dans le bien que le mal pour ma part.




Un court métrage qui trainait sur ma clef. Apparemment c'était un hommage au 11 septembre. Je sais pas trop, d'ailleurs j'ai pas vraiment compris le concept. Donc je ne peux pas vraiment en dire plus... Si ça a fait des heureux alors c'est cool.

Alors @lessthantod ?
Cest les vacances et tu regardes pas un film par jour ?
Qu'est ce qu'il se passe ?

Re visionnage pour le petit. Il a bien aimé.

Perso j'ai trouvé ça encore top : Ambiance géniale, certaines images dingues, les lumières superbes, l'intrigue cool etc. Bref, je me suis régalé pour la énième fois.




Un autre film que le petit voulait voir. Il a beaucoup aimé, plus qu'Alien.

De mon côté, je ne compte plus le nombre de fois que je l'ai vu ce film et je ne m'en lasse pas. Le travail sur le son est génial. Avec un bon système, ça déboite. Sinon je trouve que la traque marche toujours aussi bien. Ce qui me semble être des incohérences ne me font pas plus tiquer que ça. Dans ce genre de film c'est souvent le bordel. Donc parfait !




Hier soir j'ai voulu montrer Blade Runner à ma copine pour voir si elle allait aimer. Pas fan de SF, j'étais intrigué ^^

C'est passé tout seul. Un tour de force !

De mon côté je me souvenais de l'intrigue principale, mais ça faisait au moins 10 ans que je ne l'avais pas vu. Donc très cool de le revoir. Ca confirme ce que j'avais en tête : Une tuerie. Les ziks, l'ambiance, l'image, les acteurs... Tout est top.

Vivement qu'on regarde la suite !

Ce trident magique