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J'ai revu hier sur TF1 :
Je l'avais pas revu depuis sa sortie cinema. J'avais beaucoup aimé à l'époque, et m'etais étonné depuis de voir que beaucoup de monde crachaient dessus.
Et hier... bah j'ai trouvé ça toujours très cool.
Alors OUI c'est le plus gros succès en salle en France. NON je sais pas si c'est mérité. Y'a des films de très grandes qualités qui se plantent, d'autres tout nazes qui marchent très bien, c'est la vie, je crois pas que le mérite ait tant à voir dedans. NAN c'est pas le meilleur film jamais sorti dans les salles françaises, c'est sur, mais à mes yeux ça reste un bon film.
Bref. Perso j'ai beaucoup rigolé. La majorité des gags font mouche. Le film est très feel-good. Je trouve Dany Boon très bon dedans, Merad aussi, les acteurs secondaires sont parfois excellents (Line Renaud), au pire disons qu'ils font le taf. Y'a guère que la femme du personnage de Kad Merad qui m'a gonflé.
J'ai souvent entendu reprocher au film d'être caricatural sur les gens d'el ch'nord. Moui. C'est pas faux. M'enfin je serais curieux d'avoir l'opinion de ces gens là sur un Fernandel, un gendarme de De Funès ou les 9/10eme des comédies françaises en général en fait.
Je trouve que ça brosse un portrait certes orienté mais plutôt sympa des Nordistes quand meme, sans se foutre de leur gueule non plus, ni trop trop les idealiser.
Bref. Je trouve que c'est une très bonne comédie française, et au final y'en a pas des tonnes qui m'ont fait autant marrer dans ce qui est sorti post-2000.
Je l'avais pas revu depuis sa sortie cinema. J'avais beaucoup aimé à l'époque, et m'etais étonné depuis de voir que beaucoup de monde crachaient dessus.
Et hier... bah j'ai trouvé ça toujours très cool.
Alors OUI c'est le plus gros succès en salle en France. NON je sais pas si c'est mérité. Y'a des films de très grandes qualités qui se plantent, d'autres tout nazes qui marchent très bien, c'est la vie, je crois pas que le mérite ait tant à voir dedans. NAN c'est pas le meilleur film jamais sorti dans les salles françaises, c'est sur, mais à mes yeux ça reste un bon film.
Bref. Perso j'ai beaucoup rigolé. La majorité des gags font mouche. Le film est très feel-good. Je trouve Dany Boon très bon dedans, Merad aussi, les acteurs secondaires sont parfois excellents (Line Renaud), au pire disons qu'ils font le taf. Y'a guère que la femme du personnage de Kad Merad qui m'a gonflé.
J'ai souvent entendu reprocher au film d'être caricatural sur les gens d'el ch'nord. Moui. C'est pas faux. M'enfin je serais curieux d'avoir l'opinion de ces gens là sur un Fernandel, un gendarme de De Funès ou les 9/10eme des comédies françaises en général en fait.
Je trouve que ça brosse un portrait certes orienté mais plutôt sympa des Nordistes quand meme, sans se foutre de leur gueule non plus, ni trop trop les idealiser.
Bref. Je trouve que c'est une très bonne comédie française, et au final y'en a pas des tonnes qui m'ont fait autant marrer dans ce qui est sorti post-2000.
#jesuiswoke
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Pareil que toi, j'ai jamais trop compris pourquoi il se faisait défoncer par pas mal de monde. Mais bon... Moi ils me font rire ^^
- Kenji
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La première fois j'ai tenu 15 min, la deuxième fois euh non y a pas eu de deuxième fois.
On est très loin d'un Francis Veber par exemple (ou même de Claude Zidi) pour comparer avec d'autres productions françaises
On est très loin d'un Francis Veber par exemple (ou même de Claude Zidi) pour comparer avec d'autres productions françaises
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Ça dépend lesquels je trouve. Des Veber que je noterais au dessus de Bienvenue chez les ch'tits, j'en vois que 2. Et je me tate sur le Dîner de Cons.
Zidi y'en a aucun.
#jesuiswoke
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Le diner de cons est dans les cieux par rapport aux Ch'tits, 'spèce de fou !!!!
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mais grave ! ! !
même le pire Veber est au dessus des chtis bordel !
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"Avec le canon d'un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles"
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Non mais il est très bien le Dîner de cons, j'ai pas dit le contraire hein.
Juste, Bienvenue chez les Ch'ti aussi.
Après c'est pas le même genre d'humour du tout. C'comme comparer un vieux De Funès à Hot Shots! (Bon non, pas du tout, mais c'juste pour dire que c'est pas la même forme d'humour).
Juste, Bienvenue chez les Ch'ti aussi.
Après c'est pas le même genre d'humour du tout. C'comme comparer un vieux De Funès à Hot Shots! (Bon non, pas du tout, mais c'juste pour dire que c'est pas la même forme d'humour).
#jesuiswoke
- Shovel Knight
- Chevalier du Zodiaque
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En parlant de comédies tiens, j'en ai vu 2 récentes ce weekend :
Nous les Leroy
Bof, j'ai trouvé ça sans aucun intéret. Seul José Garcia surnage dans ce marasme et insuffle un peu dynamisme. Mais charlotte Gainsbourg plombe tout par l'inexistence et la mollesse de son jeu.
3/10
Un ptit truc en plus
Très très moyen, vu le carton en salle je m'attendais au moins à un "Bienvenue chez les chtis" que je trouve très correcte en comédie populaire, et bien on en est loin.
5/10
Nous les Leroy
Bof, j'ai trouvé ça sans aucun intéret. Seul José Garcia surnage dans ce marasme et insuffle un peu dynamisme. Mais charlotte Gainsbourg plombe tout par l'inexistence et la mollesse de son jeu.
3/10
Un ptit truc en plus
Très très moyen, vu le carton en salle je m'attendais au moins à un "Bienvenue chez les chtis" que je trouve très correcte en comédie populaire, et bien on en est loin.
5/10
Tu veux un coup d'pelle ?
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J'ai (enfin) regardé Everything, Everywhere, All at Once.
C'était excellent. Drôle, touchant, stylé, épique, très bon casting...
Civil War ausssi, tout pareil, le drôle en moins
J'imagine très bien un futur proche dans le même délire.
C'était excellent. Drôle, touchant, stylé, épique, très bon casting...
Civil War ausssi, tout pareil, le drôle en moins
J'imagine très bien un futur proche dans le même délire.
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- "Irrational Man", réalisé par Woody Allen, sorti en 2015 -
Je peux désormais dire que j'aime le style Woody ^^ Mais le style tardif, pas celui de ses débuts ou il joue dans ses films. Là on a la même réflexion, les dialogues sympas, mais sans le bégayement qui rend le tout relou à suivre à mon sens. Du coup j'adhère bien. A chaque film je suis content de retrouver un personnage fort, souvent tiraillé par une philosophie de vie, un questionnement incessant sur la mort, la chance, les conséquences etc. Sujets que j'aime particulièrement.
Dans ce "Irrational man", encore une fois, on part dans un trip philosophique, pas forcément poussé mais très sympa à suivre. En tout cas c'était bien cool. Un petit film qui se regarde comme on mange un petit bonbon bien bon.
- "Diary of the Dead", réalisé par George A. Romero, sorti en 2007 -
Aoutch... Le premier "Living dead" de Romero que je n'aime vraiment pas. Déjà le style de réalisation "found footage/caméra à l'épaule" je crains un peu. C'est particulier, ça bouge beaucoup, le côté faux documentaire me fait un peu fuir, ce sont souvent des jeunes tebés qui sont à l'honneur etc. Bref, c'est un style qui ne m'attire pas. Les "Blair witch" par exemple m'avaient déjà bien saoulé.
Dans celui là, j'ai pas aimé les persos, pas aimé les réactions, les dialogues non plus, pas aimé la réa… Je me suis endormi sur la fin pour me réveiller au générique. Ca m'a gonflé. C'était pas pour moi… Ni pour ma copine apparemment. Elle n'a pas aimé non plus.
Dernière modification par wiiwii007 le 05 sept. 2024 13:12, modifié 1 fois.
- lessthantod
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Je viens de mater The Imitation Game ...
Sorti en 2014 et réalisé par Morten Tyldum, Imitation Game est un biopic qui retrace un large pan de la vie du mathématicien britannique (et homosexuel) Alan Turing et qui met évidence le rôle prépondérant qu'il joua durant la Seconde Guerre Mondiale. Il y a quelque chose de mécanique dans The Imitation Game, un rythme théâtral et une attention aux détails qui contribuent à la réussite du film. Ce biopic de l’extraordinaire (et tragique) mathématicien et inventeur de la machine de Turing, ancêtre de l'ordinateur moderne, est joué par Benedict Cumberbatch qui est complètement investi dans le rôle. C’est un film accessible qui, bien que pouvant sembler un peu trop académique, est tout à fait engageant, apportant son lot de rires, de larmes et de frissons.
Dans Imitation Game, nous suivons le parcours d'Alan Turing pour briser le code de la fameuse machine Enigma, utilisée par les Allemands pour s'envoyer des messages cryptés pendant la Seconde Guerre mondiale et ceci afin de mener des attaques surprises sur les alliés. Il tente de le faire en construisant le premier ordinateur, un projet qui le passionne au point d'y consacrer tout son temps et toute son énergie. Le gouvernement voit tout ça d'un mauvais œil, constatant que Turing y consacre beaucoup trop de temps et d'argent. Il doit faire face à un rejet social tout en acceptant sa propre homosexualité, ce qui le conduisit à une dépression, le poussant même à se suicider. Néanmoins, le film se concentre plus sur les accomplissements d'une vie plutôt que sur sa disparition.
Il s'agit de l'adaptation cinématographique de la biographie d'Alan Turing (Alan Turing The Enigma) d'Andrew Hodges. Il n'y a rien de révolutionnaire dans l'écriture du film, mais il contient tous les ingrédients pour faire un bon biopic. C'est un film qui "coche toutes les cases", sans rien révolutionner, mais il le fait de la bonne façon. Au lieu d’une structure linéaire, le film emprunte une narration en flashbacks pour étoffer toute l’histoire du personnage. C'est un peu étrange de retourner à l’école avec lui, mais heureusement, le récit et la performance des jeunes acteurs rendent ces flashbacks intéressants. C'est comme montrer l’origine de quelque chose, pour comprendre le monde tel que nous le connaissons.
Même si son arrogance et son audace l'isole de ses petits camarades, on se prend vite d'affection pour Alan Turing et Benedict Cumberbatch y est pour beaucoup. Jusqu'à présent, je ne l’ai vu que dans des (petits) seconds rôles, comme dans Reviens-moi, Star Trek Into Darkness, Le Hobbit ou 1917 et je suis assez impressionné, sinon séduit par sa performance. Chaque bégaiement, chaque hochement de tête, semblent si naturels. Quant à Keira Knightley qui interprète la plus proche amie (et très brièvement la fiancée) d'Alan Turing, son rôle n’est peut-être pas aussi profond, sans les hauts et les bas du célèbre mathématicien, mais elle tire le meilleur parti de son utilisation relativement parcimonieuse, devenant même le cœur du film. Etant donné qu'Alan Turing est un homme qui a du mal à se connecter aux autres, grâce à elle leur relation devient crédible et la façon dont elle gère les choix de son personnage est traitée plutôt habilement.
Bref, The Imitation Game s'avère être un biopic sans grande originalité, mais néanmoins très efficace. C'est un film important, puisqu'il raconte une page méconnue et pourtant cruciale de la Seconde Guerre mondiale et ça, il le fait avec beaucoup soin, que ce soit au niveau de la reconstitution que de la performance des acteurs. Je regrette juste la forme un peu trop lisse du film et le manque de surprises. Rien à reprocher au film néanmoins, les intensions du réalisateur étaient très claires, à savoir faire un biopic sur Alan Turing pour lui faire honneur et lui rendre hommage et en ce sens la mission est amplement remplie.
Sorti en 2014 et réalisé par Morten Tyldum, Imitation Game est un biopic qui retrace un large pan de la vie du mathématicien britannique (et homosexuel) Alan Turing et qui met évidence le rôle prépondérant qu'il joua durant la Seconde Guerre Mondiale. Il y a quelque chose de mécanique dans The Imitation Game, un rythme théâtral et une attention aux détails qui contribuent à la réussite du film. Ce biopic de l’extraordinaire (et tragique) mathématicien et inventeur de la machine de Turing, ancêtre de l'ordinateur moderne, est joué par Benedict Cumberbatch qui est complètement investi dans le rôle. C’est un film accessible qui, bien que pouvant sembler un peu trop académique, est tout à fait engageant, apportant son lot de rires, de larmes et de frissons.
Dans Imitation Game, nous suivons le parcours d'Alan Turing pour briser le code de la fameuse machine Enigma, utilisée par les Allemands pour s'envoyer des messages cryptés pendant la Seconde Guerre mondiale et ceci afin de mener des attaques surprises sur les alliés. Il tente de le faire en construisant le premier ordinateur, un projet qui le passionne au point d'y consacrer tout son temps et toute son énergie. Le gouvernement voit tout ça d'un mauvais œil, constatant que Turing y consacre beaucoup trop de temps et d'argent. Il doit faire face à un rejet social tout en acceptant sa propre homosexualité, ce qui le conduisit à une dépression, le poussant même à se suicider. Néanmoins, le film se concentre plus sur les accomplissements d'une vie plutôt que sur sa disparition.
Il s'agit de l'adaptation cinématographique de la biographie d'Alan Turing (Alan Turing The Enigma) d'Andrew Hodges. Il n'y a rien de révolutionnaire dans l'écriture du film, mais il contient tous les ingrédients pour faire un bon biopic. C'est un film qui "coche toutes les cases", sans rien révolutionner, mais il le fait de la bonne façon. Au lieu d’une structure linéaire, le film emprunte une narration en flashbacks pour étoffer toute l’histoire du personnage. C'est un peu étrange de retourner à l’école avec lui, mais heureusement, le récit et la performance des jeunes acteurs rendent ces flashbacks intéressants. C'est comme montrer l’origine de quelque chose, pour comprendre le monde tel que nous le connaissons.
Même si son arrogance et son audace l'isole de ses petits camarades, on se prend vite d'affection pour Alan Turing et Benedict Cumberbatch y est pour beaucoup. Jusqu'à présent, je ne l’ai vu que dans des (petits) seconds rôles, comme dans Reviens-moi, Star Trek Into Darkness, Le Hobbit ou 1917 et je suis assez impressionné, sinon séduit par sa performance. Chaque bégaiement, chaque hochement de tête, semblent si naturels. Quant à Keira Knightley qui interprète la plus proche amie (et très brièvement la fiancée) d'Alan Turing, son rôle n’est peut-être pas aussi profond, sans les hauts et les bas du célèbre mathématicien, mais elle tire le meilleur parti de son utilisation relativement parcimonieuse, devenant même le cœur du film. Etant donné qu'Alan Turing est un homme qui a du mal à se connecter aux autres, grâce à elle leur relation devient crédible et la façon dont elle gère les choix de son personnage est traitée plutôt habilement.
Bref, The Imitation Game s'avère être un biopic sans grande originalité, mais néanmoins très efficace. C'est un film important, puisqu'il raconte une page méconnue et pourtant cruciale de la Seconde Guerre mondiale et ça, il le fait avec beaucoup soin, que ce soit au niveau de la reconstitution que de la performance des acteurs. Je regrette juste la forme un peu trop lisse du film et le manque de surprises. Rien à reprocher au film néanmoins, les intensions du réalisateur étaient très claires, à savoir faire un biopic sur Alan Turing pour lui faire honneur et lui rendre hommage et en ce sens la mission est amplement remplie.
- lessthantod
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Pour rester dans les biopics, je viens de mater Bohemian Rhapsody ...
Sorti en 2018 et réalisé par Bryan Singer, Bohemian Rhapsody est un film à voir avec les oreilles grandes ouvertes, un film qui risque de vous mettre en PLS. Pourtant c’était loin d’être gagné, car ce biopic de Queen (ou plutôt de Freddy Mercury) a connu une production pour le moins houleuse, puisque Bryan Singer a été évincé à la toute fin du tournage, remplacé par le monteur du film Dexton Fletcher. Mais cette réalisation bicéphale et les problèmes de tournages ne se ressentent absolument pas à l’écran. Bohemian Rhapsody raconte donc l'histoire du groupe Queen ou une partie de son histoire, avec du vrai mais aussi avec pas mal de faux. Mais peu importe, je ne suis pas un spécialiste du groupe et j'ai abordé le film tel quel, comme un docu fiction et un mélodrame.
Dans le rôle de Freddy Mercury, nous retrouvons Rami Malek affublé d’une prothèse pour accentuer sa dentition en avant (Freddy Mercury était né avec des dents surnuméraires) qu’on trouve bizarre au début, puis à laquelle on finit par s'y habituer. Il campe un Freddy Mercury toujours tiraillé entre ce qu’il est, ce qu’il incarne en public et ce qu’il voudrait être. C'est un homme tourmenté, qui n’arrive pas à se positionner face aux gens qu’il aime. Gay, sans jamais le revendiquer, mais sans jamais le cacher non plus, Freddy Mercury semble être né un peu trop tôt pour être accepté pour ce qu’il était, à savoir un homme complexe sur tous les plans, flamboyant, outrancier et génialement doué dans son job.
On retrouve également Joseph Mazzello dans le rôle de John Deacon, le bassiste de Queen. Joseph Mazzello, ce nom ne vous dit rien ? Mais si, souvenez-vous du petit garçon dans Jurassique Park, c'était lui et depuis il a bien grandi. C'est également amusant de retrouver Aidan Gillen (Littlefinger dans Game of Thrones) en manager de Queen et un Mike Myers méconnaissable dans le rôle "fictionnel" du patron d'EMI. C'est aussi l'occasion de rappeler que dans ce film, le vrai côtoie le faux, puisque Mike Myers incarne un personnage qui n'a pas existé. C'est également amusant de se rappeler que Mike Myers s'est fait d'abord connaitre avec une comédie sur le rock'n roll, Wayne's World.
Bohemian Rhapsody est plus un film sur Freddy Mercury que sur Queen, puisque dés le début du film on se concentre sur son background à lui et pas sur celui des autres membres du groupe. Et si Freddy Mercury n'est rien sans Queen, il faut dire aussi que Queen n'est rien sans Freddy Mercury. De son vrai nom Farrokh Bulsara, il est montré comme un homme qui a du mal à accepter son origine, mais aussi son physique. Il est fragile mentalement, ne supporte pas la solitude et le succès ne va rien arranger. Il va s'adonner à de nombreux excès, drogues, alcool et sexe (amant ou amantes). C'est une vraie rock star, quoi !
Attention, Bohemian Rhapsody n'est pas un documentaire. On raconte bien l'histoire de Queen, mais c'est fortement romancé. Les inexactitudes sont là pour les besoins dramatiques du film, ça aide notamment à comprendre les mauvais choix de Freddy Mercury. Résultat, c'est vraiment un film poignant qui va vous prendre aux trippes. Et le film m'a pris par surprise en se terminant avec le Live Aid en entier (20 minutes). Et puis le générique apparait avec le fameux The Show Must Go On qui est la dernière composition du vivant de Freddie Mercury. On voit donc un Freddy Mercury qui se donne à fond, pour tous ses fans, malgré la souffrance et la solitude et malgré même la certitude de la mort.
Bref, Bohemian Rhapsody dresse un portrait touchant de Freddy Mercury. Et même sans être un grand fan (j'aimais bien Queen), je me suis passionné pour le destin de cet artiste écorché vif. Quant à Rami Malek, il est vraiment époustouflant. Et même si la ressemblance n'est pas particulièrement frappante, on oublie complètement Rami Malek et on voit Freddy Mercury. Et même si le film peut sembler un peu trop sage comparé à ce que représente Queen, la scène de clôture du film mettra tout le monde d'accord.
Sorti en 2018 et réalisé par Bryan Singer, Bohemian Rhapsody est un film à voir avec les oreilles grandes ouvertes, un film qui risque de vous mettre en PLS. Pourtant c’était loin d’être gagné, car ce biopic de Queen (ou plutôt de Freddy Mercury) a connu une production pour le moins houleuse, puisque Bryan Singer a été évincé à la toute fin du tournage, remplacé par le monteur du film Dexton Fletcher. Mais cette réalisation bicéphale et les problèmes de tournages ne se ressentent absolument pas à l’écran. Bohemian Rhapsody raconte donc l'histoire du groupe Queen ou une partie de son histoire, avec du vrai mais aussi avec pas mal de faux. Mais peu importe, je ne suis pas un spécialiste du groupe et j'ai abordé le film tel quel, comme un docu fiction et un mélodrame.
Dans le rôle de Freddy Mercury, nous retrouvons Rami Malek affublé d’une prothèse pour accentuer sa dentition en avant (Freddy Mercury était né avec des dents surnuméraires) qu’on trouve bizarre au début, puis à laquelle on finit par s'y habituer. Il campe un Freddy Mercury toujours tiraillé entre ce qu’il est, ce qu’il incarne en public et ce qu’il voudrait être. C'est un homme tourmenté, qui n’arrive pas à se positionner face aux gens qu’il aime. Gay, sans jamais le revendiquer, mais sans jamais le cacher non plus, Freddy Mercury semble être né un peu trop tôt pour être accepté pour ce qu’il était, à savoir un homme complexe sur tous les plans, flamboyant, outrancier et génialement doué dans son job.
On retrouve également Joseph Mazzello dans le rôle de John Deacon, le bassiste de Queen. Joseph Mazzello, ce nom ne vous dit rien ? Mais si, souvenez-vous du petit garçon dans Jurassique Park, c'était lui et depuis il a bien grandi. C'est également amusant de retrouver Aidan Gillen (Littlefinger dans Game of Thrones) en manager de Queen et un Mike Myers méconnaissable dans le rôle "fictionnel" du patron d'EMI. C'est aussi l'occasion de rappeler que dans ce film, le vrai côtoie le faux, puisque Mike Myers incarne un personnage qui n'a pas existé. C'est également amusant de se rappeler que Mike Myers s'est fait d'abord connaitre avec une comédie sur le rock'n roll, Wayne's World.
Bohemian Rhapsody est plus un film sur Freddy Mercury que sur Queen, puisque dés le début du film on se concentre sur son background à lui et pas sur celui des autres membres du groupe. Et si Freddy Mercury n'est rien sans Queen, il faut dire aussi que Queen n'est rien sans Freddy Mercury. De son vrai nom Farrokh Bulsara, il est montré comme un homme qui a du mal à accepter son origine, mais aussi son physique. Il est fragile mentalement, ne supporte pas la solitude et le succès ne va rien arranger. Il va s'adonner à de nombreux excès, drogues, alcool et sexe (amant ou amantes). C'est une vraie rock star, quoi !
Attention, Bohemian Rhapsody n'est pas un documentaire. On raconte bien l'histoire de Queen, mais c'est fortement romancé. Les inexactitudes sont là pour les besoins dramatiques du film, ça aide notamment à comprendre les mauvais choix de Freddy Mercury. Résultat, c'est vraiment un film poignant qui va vous prendre aux trippes. Et le film m'a pris par surprise en se terminant avec le Live Aid en entier (20 minutes). Et puis le générique apparait avec le fameux The Show Must Go On qui est la dernière composition du vivant de Freddie Mercury. On voit donc un Freddy Mercury qui se donne à fond, pour tous ses fans, malgré la souffrance et la solitude et malgré même la certitude de la mort.
Bref, Bohemian Rhapsody dresse un portrait touchant de Freddy Mercury. Et même sans être un grand fan (j'aimais bien Queen), je me suis passionné pour le destin de cet artiste écorché vif. Quant à Rami Malek, il est vraiment époustouflant. Et même si la ressemblance n'est pas particulièrement frappante, on oublie complètement Rami Malek et on voit Freddy Mercury. Et même si le film peut sembler un peu trop sage comparé à ce que représente Queen, la scène de clôture du film mettra tout le monde d'accord.
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J'ai trouvé ce biopic absolument catastrophique perso. Honteux même. Même si ouais, Rami Malek est épatant. Et la BO, bien entendu, elle est nickelle, normal.
Tu parles de "film un peu trop sage comparé à ce que représente Queen", j'ai trouvé pour ma part que c'était plus lisse qu'un oeuf ouais. Apres j'imagine que les "anti-wokes" (y'a un mot pour ça ?) étaient pas du tout prêt à assumer même une fraction de la réalité, et bon faut bien les préserver ces petits coeurs fragiles, quitte à prendre de grosses libertés avec la réalité.
Et décidément, Hollywood est pas doué pour représenter les processus de création musicale.
Et y'a des raccourcis scénaristiques de partout.
La scène de fin, boaaaaarf. Parce que la découverte de sa maladie est arrivée bien plus tard, la montée en puissance de l'émotion finale et donc le conditionnement du spectateur m'ont semblé soudain bien artificiels, et la réalisation franchement mauvaise à ce moment là.
Bref. J'ai pas aimé Bohemian Rapsody. Ça aurait sans doute été bien meilleur s'ils en avaient fait une série, le format film se prêtant absolument pas à ce genre d'oeuvres.
Tu parles de "film un peu trop sage comparé à ce que représente Queen", j'ai trouvé pour ma part que c'était plus lisse qu'un oeuf ouais. Apres j'imagine que les "anti-wokes" (y'a un mot pour ça ?) étaient pas du tout prêt à assumer même une fraction de la réalité, et bon faut bien les préserver ces petits coeurs fragiles, quitte à prendre de grosses libertés avec la réalité.
Et décidément, Hollywood est pas doué pour représenter les processus de création musicale.
Et y'a des raccourcis scénaristiques de partout.
La scène de fin, boaaaaarf. Parce que la découverte de sa maladie est arrivée bien plus tard, la montée en puissance de l'émotion finale et donc le conditionnement du spectateur m'ont semblé soudain bien artificiels, et la réalisation franchement mauvaise à ce moment là.
Bref. J'ai pas aimé Bohemian Rapsody. Ça aurait sans doute été bien meilleur s'ils en avaient fait une série, le format film se prêtant absolument pas à ce genre d'oeuvres.
#jesuiswoke
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Il faudrait que je le revois, mais dans mes souvenir c'était pas si mal. Il faut surtout se dire que faire un film sur la vie d'un groupe c'est comme descendre une seule piste de ski du Domaine des 3 Vallées. C'est peanuts… Alors forcément qu'il manque des choses, faut accepter un condensé. Et surtout accepter le fait qu'un Biopic puisse être romancé. Surtout que les membres sont derrières et valident.
Perso je connais moyennement la véritable histoire de Queen, les grandes lignes oui, mais pas comme un fan. Pourtant j'adore le groupe. Du coup j'ai plutôt apprécié le film, comme un hommage. Il faudrait que je le revois pour m'en refaire une idée car ça date maintenant. Je me souviens ne pas l'avoir si lisse que ça le film.
Perso je connais moyennement la véritable histoire de Queen, les grandes lignes oui, mais pas comme un fan. Pourtant j'adore le groupe. Du coup j'ai plutôt apprécié le film, comme un hommage. Il faudrait que je le revois pour m'en refaire une idée car ça date maintenant. Je me souviens ne pas l'avoir si lisse que ça le film.
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Mon appréciation vient pas du fait qu'ils aient occulté des choses (même si ça joue), mais surtout du grand nombre de contre-vérités presente dans le film, et du fait qu'il soit grandement aseptisé. Quitte à faire un film sur Mercury (parce que c'est bien davantage de ça qu'il s'agit que d'un film sur Queen), j'ai trouvé ça vraiment raté, le film se contentant pas de survoler la réalité, mais de l'arranger à sa sauce.
#jesuiswoke
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C'est ça qui est bien quand tu connais pas bien l'histoire du groupe, tu le sais pas en visionnant ^^ C'est après coup que tu sais, en lisant wiki par exemple Mais bon, ça ne me gêne pas quand c'est romancé, surtout quand ça vient des membres eux-mêmes. Si c'était fait dans leur dos ok, mais là…
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Moi c'est surtout que c'est très gentillet, à la fois dans l'écriture (on dirait une comédie romantique de base) et dans la réalisation (à l'exception du concert, c'est d'une platitude...)
Je ne vois pas du tout l'intérêt de mettre Freddie Mercury là-dedans.
Je ne vois pas du tout l'intérêt de mettre Freddie Mercury là-dedans.
Marmotte, le 14/8/22 : "merde, je suis un gros connard "
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Moi je vois l'intérêt, si t'aimes le groupe, ça peut faire un film sympa à voir. C'est plaisant.
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Faut pas trop l'aimer quand même, sinon (comme dans mon cas) ça peut être vu comme un affront ce film.
#jesuiswoke
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Pourtant comme dit plus haut, j'aime beaucoup. Queen fait parti des groupes qui m'ont marqué et influencé. Mais le film ne me gêne pas, du moment que les membres du groupe donnent leur aval. Je ne vois pas le souci. Sans leur permission, là ça me dérangerait. Comme la sortie des albums d'MJ après sa mort… Là j'ai énormément de mal, je trouve ça abusé. Surtout connaissant le mec, perfectionniste à fond… Il doit se retourner dans sa tombe.
Dernière modification par wiiwii007 le 05 sept. 2024 13:01, modifié 1 fois.
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Bah justement, j'aime bien le groupe et je trouve pas le film sympa.
Alors que j'aime pas Gainsbourg, et j'ai trouvé le flim de Sfar très sympa.
Et j'aime les Beatles, et j'ai trouvé Yesterday bien plus sympa que Bohemian Rhapsody
Alors que j'aime pas Gainsbourg, et j'ai trouvé le flim de Sfar très sympa.
Et j'aime les Beatles, et j'ai trouvé Yesterday bien plus sympa que Bohemian Rhapsody
Marmotte, le 14/8/22 : "merde, je suis un gros connard "
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Oui c'est possible aussi, que veux tu ^^ Ce sont les gouts de chacun ça.
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- "Survival of the Dead", réalisé par George A. Romero, sorti en 2010 -
Mieux que "Diary of the dead" ouf ! C'est pas un film de youf' à mon sens, mais il se regarde. Ce que j'ai bien aimé c'est la rivalité entre les deux familles, j'ai trouvé ce concept sympa. Toujours avec ce questionnement, doit-on tuer les personnes atteintes, ou les attacher en espérant un remède futur, ou tenter une "éducation" ? Marrant, moi je flinguerais je pense ^^
Dommage que les acteurs soient moyens, que certaines réactions soient trop débiles, et que le concept ne soit pas plus développé. En l'état, c'était juste sympa.
Dernière modification par wiiwii007 le 07 sept. 2024 12:32, modifié 1 fois.
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+1Antarka a écrit : ↑05 sept. 2024 07:44Mon appréciation vient pas du fait qu'ils aient occulté des choses (même si ça joue), mais surtout du grand nombre de contre-vérités presente dans le film, et du fait qu'il soit grandement aseptisé. Quitte à faire un film sur Mercury (parce que c'est bien davantage de ça qu'il s'agit que d'un film sur Queen), j'ai trouvé ça vraiment raté, le film se contentant pas de survoler la réalité, mais de l'arranger à sa sauce.
Regardez plutôt le docu "lover of life, singer of songs"
"Avec le canon d'un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles"
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Il aurait sûrement détesté le film ^^
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https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Bohemia ... ody_(film).
Voire la catégorie "Différences avec la réalité historique".
On parle pas de trucs occultés bien légitimement parce que le format film est bien trop court pour retracer la carrière de Mercury la.
Voire la catégorie "Différences avec la réalité historique".
On parle pas de trucs occultés bien légitimement parce que le format film est bien trop court pour retracer la carrière de Mercury la.
#jesuiswoke
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C'est un peu comme si tu jouais à un Mario en attendant un SF2. Tu seras forcément déçu, les mecs du groupes voulaient faire un film grand public, pas un documentaire historique.
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Antarka a écrit : ↑05 sept. 2024 14:54https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Bohemia ... ody_(film).
Voire la catégorie "Différences avec la réalité historique".
On parle pas de trucs occultés bien légitimement parce que le format film est bien trop court pour retracer la carrière de Mercury la.
tain la liste de différences est longue comme le bras
Mes Ventes viewtopic.php?t=2621
Ma Collection Pc Big Box /Atari ST / Amiga viewtopic.php?t=1622
Mes Recherches viewtopic.php?p=77932#p77932
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Oui mais prenez "Ray", très populaire ce film, et pourtant c'est pareil, tu prends la liste des différences, c'est énorme (Wiki US). Les films comme ça sont souvent hyper romancés.
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Après en ce qui me concerne, c'est pas un film sur Queen, c'est un film sur Freddy Mercury, et ce film donne une vision a peu près totalement fausse du bonhomme.
Rien que ses orgies quoi, je dis pas que le film aurait dû filmer des partouzes géantes ou il se fait 6-8 bonhommes, mais ça aurait au moins pu être évoqué. Mercury me semble indissociable de ses excès.
C'comme si on faisait un film sur Nirvana sans parler du tout de l'addiction à l'héroïne de Kurt Cobain. Pire même. J'ai pas vu le biopic sur Amy Whinehouse, mais j'ose espérer qu'ils ont pas passé ses addictions sous silence ?
Rien que ses orgies quoi, je dis pas que le film aurait dû filmer des partouzes géantes ou il se fait 6-8 bonhommes, mais ça aurait au moins pu être évoqué. Mercury me semble indissociable de ses excès.
C'comme si on faisait un film sur Nirvana sans parler du tout de l'addiction à l'héroïne de Kurt Cobain. Pire même. J'ai pas vu le biopic sur Amy Whinehouse, mais j'ose espérer qu'ils ont pas passé ses addictions sous silence ?
#jesuiswoke
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Ah ben perso, j'aime beaucoup la musique de Queen, mais je ne savais pas grand-chose de leur histoire, et sur le point que tu décris (les excès et plans partouzes de F. Mercury), c'est bien l'idée que ça m'a donné du bonhomme, même si c'était à lire entre les lignes, parce que justement, avec ce genre de prod', je m'attends à ce que ce soit édulcoré. Dans l'ensemble j'ai bien aimé, mais comme je dis dans l'autre topic sur l'argument, les biopics sont souvent décevants pour les "vrais fans de l'artiste", et aussi pour les fans de ciné en général.
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Pareil, il me semble que c'est bien présent dans le film. En tout cas, il ne me semble pas que ce soit zappé.
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Le première expression que j'ai donné c'est "lissé comme un oeuf".
Ce film est une fiction quasi totale. En tant que tel, il est plutôt sympa. Le fait qu'il utilise le nom de Freddy Mercury pour vendre, c'est ça que je blâme. Se servir d'une legende pour essayer d'imposer une autre legende (celle du film) et se faire du blé avec.
Ce film est une fiction quasi totale. En tant que tel, il est plutôt sympa. Le fait qu'il utilise le nom de Freddy Mercury pour vendre, c'est ça que je blâme. Se servir d'une legende pour essayer d'imposer une autre legende (celle du film) et se faire du blé avec.
#jesuiswoke
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Oui ça m'a surpris d'ailleurs car perso j'avais trouvé ça commercial mais pas si lisse que ça. On comprend bien qu'il fait nawak dans ses fêtes il me semble. Après, je le défends parce que je trouve que vous y allez fort, mais j'ai pas non plus un souvenir de fou. Disons que c'est un film sympa car Queen pendant 2H, et que ça me suffit ^^
- lessthantod
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Je viens de mater L'Aventure de Mme Muir ...
Sorti en 1947 et réalisé par Joseph L. Mankiewicz, L'Aventure de Mme Muir est un film de fantôme surprenant pour l'époque, un détonant mélange de comédie fantastique et de romance. C'est également la seconde collaboration entre le réalisateur multi-oscarisé et la magnifique Gene Tierney, après Le Château du dragon. Bien qu’un peu prétentieux par moments, L'Aventure de Mme Muir est l’un des meilleurs films romantiques de l'âge d'or d’Hollywood. L'aspect comédie fantastique pourra en déconcerter certains, mais c'est ce qui fait toute l'originalité de cette comédie romantique.
L’intrigue suit Lucy Muir (Gene Tierney) une veuve qui emménage dans une maison au bord de la mer avec sa femme de chambre et sa fille (Natalie Wood), afin d’échapper à ses beaux-parents. Elle sait que la maison est hantée avant d’y emménager, mais l’idée de vivre dans une maison hantée la fascine plus encore. Et elle est encore plus fascinée lorsqu’elle se retrouve face au fantôme de l’ancien propriétaire, un capitaine de mer au fort caractère (Rex Harrison) qui s’oppose à tout autre être vivant à Gull Cottage. La façon dont leur relation évolue, est la base du reste de son fantasme ...
Pour moi, le fantôme est l'incarnation du fantasme de l'héroïne. La fin vient quelque peu contredire mon interprétation, puisque sa fille elle aussi a vu le fantôme, mais c'est la beauté d'un film qui peut être vu sous différents angles.
Plus de quatre décennies avant que Demi Moore ne tombe amoureuse d’un fantôme dans Ghost, Gene Tierney en faisait de même, mais avec beaucoup plus de finesse et de grâce. L’ambiance et la fantaisie de l'époque est renforcée par la partition d’une sensibilité exquise de Bernard Herrmann, capturant l’atmosphère de la maison de bord de mer au bord à falaise. Mais comme on peut s’y attendre d’un film qui met en scène une femme tombant amoureuse d’un esprit, L'Aventure de Mme Muir met à rude épreuve votre suspension consentie de l'incrédulité. Cependant, le film a cette grande capacité à nous faire croire en ses personnages et c'est principalement dû aux performances fabuleuses des deux acteurs, ou plutôt devrais-je dire des trois acteurs têtes d'affiche.
Gene Tierney est la jeune et (très) jolie veuve entêtée, tandis que Rex Harrison est le marin acariâtre. Gene Tierney tient ici son meilleur rôle après Laura, s'engageant dans de nombreux dialogues pleins de malices avec le fantôme incarné par Rex Harrison. Leur relation occupe toujours le devant de la scène et c’est le plus grand attrait du film. Les touches d’humour abondent dans les premières scènes de Giene Tierney avec ses proches qui s’opposent à sa décision de prendre son indépendance, quitter le cocon familial et commencer une nouvelle vie. Quant à George Sanders, il est très amusant dans le rôle d'un homme qui tente de convaincre la veuve qu’il n’est pas un homme marié.
Bref, L'Aventure de Mme Muir est un film fortement poétique et mélancolique, apportant une réflexion intéressante sur le temps qui passe, la solitude et la relation amoureuse. Dans un monde actuel où les réseaux sociaux prennent le pas sur le réel, il est bon de voir des sentiments franchir la frontière de la mort.
Sorti en 1947 et réalisé par Joseph L. Mankiewicz, L'Aventure de Mme Muir est un film de fantôme surprenant pour l'époque, un détonant mélange de comédie fantastique et de romance. C'est également la seconde collaboration entre le réalisateur multi-oscarisé et la magnifique Gene Tierney, après Le Château du dragon. Bien qu’un peu prétentieux par moments, L'Aventure de Mme Muir est l’un des meilleurs films romantiques de l'âge d'or d’Hollywood. L'aspect comédie fantastique pourra en déconcerter certains, mais c'est ce qui fait toute l'originalité de cette comédie romantique.
L’intrigue suit Lucy Muir (Gene Tierney) une veuve qui emménage dans une maison au bord de la mer avec sa femme de chambre et sa fille (Natalie Wood), afin d’échapper à ses beaux-parents. Elle sait que la maison est hantée avant d’y emménager, mais l’idée de vivre dans une maison hantée la fascine plus encore. Et elle est encore plus fascinée lorsqu’elle se retrouve face au fantôme de l’ancien propriétaire, un capitaine de mer au fort caractère (Rex Harrison) qui s’oppose à tout autre être vivant à Gull Cottage. La façon dont leur relation évolue, est la base du reste de son fantasme ...
Pour moi, le fantôme est l'incarnation du fantasme de l'héroïne. La fin vient quelque peu contredire mon interprétation, puisque sa fille elle aussi a vu le fantôme, mais c'est la beauté d'un film qui peut être vu sous différents angles.
Plus de quatre décennies avant que Demi Moore ne tombe amoureuse d’un fantôme dans Ghost, Gene Tierney en faisait de même, mais avec beaucoup plus de finesse et de grâce. L’ambiance et la fantaisie de l'époque est renforcée par la partition d’une sensibilité exquise de Bernard Herrmann, capturant l’atmosphère de la maison de bord de mer au bord à falaise. Mais comme on peut s’y attendre d’un film qui met en scène une femme tombant amoureuse d’un esprit, L'Aventure de Mme Muir met à rude épreuve votre suspension consentie de l'incrédulité. Cependant, le film a cette grande capacité à nous faire croire en ses personnages et c'est principalement dû aux performances fabuleuses des deux acteurs, ou plutôt devrais-je dire des trois acteurs têtes d'affiche.
Gene Tierney est la jeune et (très) jolie veuve entêtée, tandis que Rex Harrison est le marin acariâtre. Gene Tierney tient ici son meilleur rôle après Laura, s'engageant dans de nombreux dialogues pleins de malices avec le fantôme incarné par Rex Harrison. Leur relation occupe toujours le devant de la scène et c’est le plus grand attrait du film. Les touches d’humour abondent dans les premières scènes de Giene Tierney avec ses proches qui s’opposent à sa décision de prendre son indépendance, quitter le cocon familial et commencer une nouvelle vie. Quant à George Sanders, il est très amusant dans le rôle d'un homme qui tente de convaincre la veuve qu’il n’est pas un homme marié.
Bref, L'Aventure de Mme Muir est un film fortement poétique et mélancolique, apportant une réflexion intéressante sur le temps qui passe, la solitude et la relation amoureuse. Dans un monde actuel où les réseaux sociaux prennent le pas sur le réel, il est bon de voir des sentiments franchir la frontière de la mort.
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- "City Lights", réalisé par Charlie Chaplin, sorti en 1931 -
Encore un super film de Chaplin… Décidément, entre le début de sa carrière et la fin t'as un monde d'écart, c'est dingue. J'ai rarement vu ça. Le mec a vachement évolué. Il a complètement intégré le côté dramatique et sentimentale dans ses derniers films. Son perso est devenu "gentil" même si il reste opportuniste. C'est génial, il y a là un juste équilibre que j'adore. Puis bon, il est très bon dans tous les domaines ce fou, la BO est géniale…
Encore une fois, tout le film est au service de sa fin. Une fin attendue, et pourtant qui m'a totalement touchée. Encore un petit bijou de justesse.
Dernière modification par wiiwii007 le 08 sept. 2024 17:58, modifié 1 fois.
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Je ne l'ai pas vu, ça donne envie En tout cas l'affiche est superbe!
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C'est dans la ligné de "Ta ruée vers l'or", "Le kid" etc. Si t'as aimé ceux là, tu aimeras surement "Les Lumières de la ville".
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- "Soylent Green", réalisé par Richard Fleischer, sorti en 1973 -
Ca faisait un bail que je voulais combler ce manque… C'est fait ! Et qu'est-ce que c'était génial. C'est toujours plaisant de voir des films comme cela avec des héros un peu "borderline", des décors crados, une ambiance pesante et étouffante… C'est plaisant car c'est hyper bien retranscrit grâce à son image bien sûr mais aussi grâce à la mise en scène vraiment maîtrisée. Ca fourmille de détails, tout semble réel et concret. J'avais chaud et étais mal pour eux ^^
Les sujets traités dans le film m'ont beaucoup plu également, ça me parle à fond. Et pour finir, certaines scènes sont vraiment géniales. Dont une en particulier frôlant le génie selon moi : le Foyer. Je pense qu'on doit être nombreux à le penser ^^ Quelle scène émouvante…
Bref, j'ai trouvé "Soylent Green" vraiment très bon, ma copine a beaucoup aimé également. Si je devais faire une critique négative : pas assez long. J'aurais voulu en savoir plus sur ce monde.
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- "Soylent Green", réalisé par Richard Fleischer, sorti en 1973 -
Ca faisait un bail que je voulais combler ce manque… C'est fait ! Et qu'est-ce que c'était génial. C'est toujours plaisant de voir des films comme cela avec des héros un peu "borderline", des décors crados, une ambiance pesante et étouffante… C'est plaisant car c'est hyper bien retranscrit grâce à son image bien sûr mais aussi grâce à la mise en scène vraiment maîtrisée. Ca fourmille de détails, tout semble réel et concret. J'avais chaud et étais mal pour eux ^^
Les sujets traités dans le film m'ont beaucoup plu également, ça me parle à fond. Et pour finir, certaines scènes sont vraiment géniales. Dont une en particulier frôlant le génie selon moi : le Foyer. Je pense qu'on doit être nombreux à le penser ^^ Quelle scène émouvante…
Bref, j'ai trouvé "Soylent Green" vraiment très bon, ma copine a beaucoup aimé également. Si je devais faire une critique négative : pas assez long. J'aurais voulu en savoir plus sur ce monde.
Dernière modification par wiiwii007 le 10 sept. 2024 14:48, modifié 2 fois.
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Un très grand film que Soleil Vert.
J'ai également beaucoup aimé le roman, qui est assez différent tout en abordant les mêmes thématiques.
J'ai également beaucoup aimé le roman, qui est assez différent tout en abordant les mêmes thématiques.
#jesuiswoke
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Excellent film, oui.
c'est ma femme qui me l'a fait découvrir à l'époque, j'avais adoré son univers.
Il faudrait vraiment que je le re-visionne.
c'est ma femme qui me l'a fait découvrir à l'époque, j'avais adoré son univers.
Il faudrait vraiment que je le re-visionne.
- lessthantod
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Je viens de mater Forever Ambre ...
Sorti en 1947 et réalisé par Otto Preminger, Forever Amber est l’un de ces projets maudits des grands studios et un projet trop ambitieux pour son propre bien. Le résultat est loin d’être aussi mauvais qu’on pourrait le croire, mais les stigmates de sa production chaotique sont bien visibles. Basé sur un roman de Kathleen Winsor, qui avait certainement lu et/ou vu Autant en emporte le vent sorti huit ans plus tôt, le roman Forever Amber fit scandale en 1944. Il a été censuré dans de nombreux pays, mais pourquoi me direz-vous ? Parce qu’il s’agissait essentiellement d’une femme, Ambre, qui passe de l’obscurité à la lumière en séduisant des hommes de pouvoir plus âgées qu'elle. C'est donc une histoire immorale. Aujourd’hui, ça ne choquerait personne, mais dans les années 40, il a fait sensation.
Ambre (Linda Darnell) est une jeune femme d'une grande beauté et une femme ambitieuse qui n'a d'attrait que pour les plus belles choses de la vie, à la Madame Bovary. Elle refuse d'épouser l’homme qu’on lui dit d’épouser et fuit une vie promise à la pauvreté en suivant Bruce Carlton (Cornel Wilde) et Lord Almsbury (Richard Greene), deux aventuriers qui se rendent à Londres pour réclamer leur dû auprès du roi Charles II (George Sanders). Ambre tombe immédiatement amoureuse de Bruce et parvient sans mal à le séduire. Mais pour lui, ce n'est qu'une aventure amoureuse de courte durée avant de repartir en mer. Il quitte donc Ambre, mais sans savoir qu'elle est enceinte de lui. C'est le début des ennuis pour Ambre, qui se fait escroquer de l’argent qu’il lui a donné et est arrêtée pour dettes.
Ambre parvient néanmoins à s’échapper de prison avec l’aide d’un bandit de grand chemin (John Russell). Une nuit, alors que la police la poursuit, elle entre dans la maison du capitaine Rex Morgan (Glenn Langan) pour se cacher. Comme tous les hommes qui croisent la route d'Ambre, il est séduit par la jeune femme et la convainc d'accepter un emploie de comédienne de théâtre, pour avoir la protection du roi. Finalement, elle finit par devenir la favorite du roi Charles II et vit dans le palais avec son fils.
A l'origine, c'est Peggy Cummins qui devait interpréter Ambre, mais elle a été évincé du tournage. Apparemment, Elle ne correspondait pas au rôle, trop juvénile et pas assez sexy. Elle a donc été remplacée par Linda Darnell et ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre. C'est l'une des plus belles actrices du Hollywood des années 40/50 et ici elle aussi belle en blonde qu'en brune. Elle incarne une Ambre très sensuelle et aguicheuse et ses costumes sont absolument magnifiques. D'ailleurs, toute la production la production du film est sublime. Belle et sexy, Linda Darnell illumine le film de sa beauté et les différents hommes qui tombent sous sont charme sont très bons dans leurs rôles, sauf Cornel Wilde. Il est absolument transparent et il n'y a aucune alchimie avec Linda Darnell. Dommage qu’un Errol Flynn par exemple, n’ait pas pu obtenir son rôle. Vincent Price devait jouer le rôle du roi Charles II, mais il a été remplacé par George Sanders et il ne démérite absolument pas. C'est même l'une des grosses satisfactions du film, son interprétation du roi est absolument jouissive.
Certaines coupes et certains raccourcis scénaristiques sont très visibles. La plus visible concerne Ambre qui, par un tour de passe-passe, se retrouve enceinte en prison, sans trop savoir qui est le père ni quand exactement elle est tombée enceinte. On finit par comprendre que c'est Bruce le père, mais aucune scène pour l'affirmer avec certitude. Et après la naissance du bébé, vous n’en entendez presque plus parler, avant que Bruce revienne une dernière fois le récupérer. Les personnages se téléportent d'un endroit à un autre, Bruce ne fait que passer devant la caméra et on ne comprend pas pourquoi Ambre est tombée amoureuse de lui. Et des raccourcis scénaristiques comme ceux-là, il y en a plein ...
Bref, Forever Amber souffre de pas mal de longueurs et l'absence d'alchimie entre Linda Darnell et Cornel Wilde plombe pas mal le film. Otto Preminger signe un film résolument bancal, mais qui vaut la peine d’être vu rien que pour la grande beauté de Linda Darnell.
Sorti en 1947 et réalisé par Otto Preminger, Forever Amber est l’un de ces projets maudits des grands studios et un projet trop ambitieux pour son propre bien. Le résultat est loin d’être aussi mauvais qu’on pourrait le croire, mais les stigmates de sa production chaotique sont bien visibles. Basé sur un roman de Kathleen Winsor, qui avait certainement lu et/ou vu Autant en emporte le vent sorti huit ans plus tôt, le roman Forever Amber fit scandale en 1944. Il a été censuré dans de nombreux pays, mais pourquoi me direz-vous ? Parce qu’il s’agissait essentiellement d’une femme, Ambre, qui passe de l’obscurité à la lumière en séduisant des hommes de pouvoir plus âgées qu'elle. C'est donc une histoire immorale. Aujourd’hui, ça ne choquerait personne, mais dans les années 40, il a fait sensation.
Ambre (Linda Darnell) est une jeune femme d'une grande beauté et une femme ambitieuse qui n'a d'attrait que pour les plus belles choses de la vie, à la Madame Bovary. Elle refuse d'épouser l’homme qu’on lui dit d’épouser et fuit une vie promise à la pauvreté en suivant Bruce Carlton (Cornel Wilde) et Lord Almsbury (Richard Greene), deux aventuriers qui se rendent à Londres pour réclamer leur dû auprès du roi Charles II (George Sanders). Ambre tombe immédiatement amoureuse de Bruce et parvient sans mal à le séduire. Mais pour lui, ce n'est qu'une aventure amoureuse de courte durée avant de repartir en mer. Il quitte donc Ambre, mais sans savoir qu'elle est enceinte de lui. C'est le début des ennuis pour Ambre, qui se fait escroquer de l’argent qu’il lui a donné et est arrêtée pour dettes.
Ambre parvient néanmoins à s’échapper de prison avec l’aide d’un bandit de grand chemin (John Russell). Une nuit, alors que la police la poursuit, elle entre dans la maison du capitaine Rex Morgan (Glenn Langan) pour se cacher. Comme tous les hommes qui croisent la route d'Ambre, il est séduit par la jeune femme et la convainc d'accepter un emploie de comédienne de théâtre, pour avoir la protection du roi. Finalement, elle finit par devenir la favorite du roi Charles II et vit dans le palais avec son fils.
A l'origine, c'est Peggy Cummins qui devait interpréter Ambre, mais elle a été évincé du tournage. Apparemment, Elle ne correspondait pas au rôle, trop juvénile et pas assez sexy. Elle a donc été remplacée par Linda Darnell et ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre. C'est l'une des plus belles actrices du Hollywood des années 40/50 et ici elle aussi belle en blonde qu'en brune. Elle incarne une Ambre très sensuelle et aguicheuse et ses costumes sont absolument magnifiques. D'ailleurs, toute la production la production du film est sublime. Belle et sexy, Linda Darnell illumine le film de sa beauté et les différents hommes qui tombent sous sont charme sont très bons dans leurs rôles, sauf Cornel Wilde. Il est absolument transparent et il n'y a aucune alchimie avec Linda Darnell. Dommage qu’un Errol Flynn par exemple, n’ait pas pu obtenir son rôle. Vincent Price devait jouer le rôle du roi Charles II, mais il a été remplacé par George Sanders et il ne démérite absolument pas. C'est même l'une des grosses satisfactions du film, son interprétation du roi est absolument jouissive.
Certaines coupes et certains raccourcis scénaristiques sont très visibles. La plus visible concerne Ambre qui, par un tour de passe-passe, se retrouve enceinte en prison, sans trop savoir qui est le père ni quand exactement elle est tombée enceinte. On finit par comprendre que c'est Bruce le père, mais aucune scène pour l'affirmer avec certitude. Et après la naissance du bébé, vous n’en entendez presque plus parler, avant que Bruce revienne une dernière fois le récupérer. Les personnages se téléportent d'un endroit à un autre, Bruce ne fait que passer devant la caméra et on ne comprend pas pourquoi Ambre est tombée amoureuse de lui. Et des raccourcis scénaristiques comme ceux-là, il y en a plein ...
Bref, Forever Amber souffre de pas mal de longueurs et l'absence d'alchimie entre Linda Darnell et Cornel Wilde plombe pas mal le film. Otto Preminger signe un film résolument bancal, mais qui vaut la peine d’être vu rien que pour la grande beauté de Linda Darnell.
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@Antarka : Oui j'ai vu qu'il était tiré d'un roman. Apparemment un peu plus orienté sur "'l'explosion démographique". Il faudrait que je le lise un jour…
@ankx : Tu peux, à part quelques scènes qui ont un poil vieilli (baston, sang...), le reste est vraiment au top.
------------------------------
- "I Know What You Did Last Summer", réalisé par Jim Gillespie, sorti en 1997 -
Film que j'avais déjà vu quand j'étais jeune, j'avais déjà moyennement apprécie l'œuvre, je ne sais plus pour quelle raison mais j'avais ce souvenir un peu "mouai...". + de 25 ans plus tard… Toujours "mouai". Pourtant je trouve le début, même si très classique en soit, pas mauvais. La psychologie sur l'urgence, la décision à prendre rapidement etc. C'était cool. Là ou j'adhère pas c'est avec le tueur, je ne l'aime pas. Je ne lui trouve aucun charisme, son arme fait presque rire (Candyman il rigole pas avec son crochet, c'est pas le même délire), les scènes des meurtres restent très basiques… Bref, c'est assez plat. Puis l'histoire ne m'a pas vraiment convaincue car trop complexe et mal mise en scène à mon sens.
Bref, c'était pas nul, mais j'ai pas aimé comme un Scream par exemple.
@ankx : Tu peux, à part quelques scènes qui ont un poil vieilli (baston, sang...), le reste est vraiment au top.
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- "I Know What You Did Last Summer", réalisé par Jim Gillespie, sorti en 1997 -
Film que j'avais déjà vu quand j'étais jeune, j'avais déjà moyennement apprécie l'œuvre, je ne sais plus pour quelle raison mais j'avais ce souvenir un peu "mouai...". + de 25 ans plus tard… Toujours "mouai". Pourtant je trouve le début, même si très classique en soit, pas mauvais. La psychologie sur l'urgence, la décision à prendre rapidement etc. C'était cool. Là ou j'adhère pas c'est avec le tueur, je ne l'aime pas. Je ne lui trouve aucun charisme, son arme fait presque rire (Candyman il rigole pas avec son crochet, c'est pas le même délire), les scènes des meurtres restent très basiques… Bref, c'est assez plat. Puis l'histoire ne m'a pas vraiment convaincue car trop complexe et mal mise en scène à mon sens.
Bref, c'était pas nul, mais j'ai pas aimé comme un Scream par exemple.
Dernière modification par wiiwii007 le 12 sept. 2024 13:50, modifié 1 fois.
- lessthantod
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Je viens de mater Ariane de Billy Wilder ...
Sorti en 1957 et réalisé par Billy Wilder, Ariane (Love in the Afternoon) est une comédie romantique immensément sympathique et qui profite du charme de la ville de Paris. Audrey Hepburn y incarne une jeune fille (sous-entendu encore vierge) qui s'amourache d'un coureur de jupons riche et (beaucoup) plus âgé qu'elle. Ariane ressemble étrangement à un autre film de Billy Wilder, Sabrina, puisqu'un éveil amoureux est offert à un bel indifférent par une ravissante jeune fille, envahit de la tête aux pieds par ses premiers émois envers un homme plus âgé, dont la prestance et la réussite n'ont d'égales que son indifférence. Billy Wilder montre encore une fois son côté (un peu) transgressif en mettant en scène les amours d’une jeune vierge avec un homme d’âge mûr qui pourrait être son père. Mais le côté transgressif de Billy Wilder s'arrête là, le film n'est pas aussi dérangeant et sulfureux que les autres comédies du réalisateur (Sept ans de réflexion et Certains l'aiment chaud, pour n'en citer que deux).
Claude Chavasse (Maurice Chevalier) est un détective privé qui a été engagé pour piéger Flannagan (Gary Cooper) un vieux playboy riche et séduisant qui sort avec la femme d’un client (John McGiver). Ce client décide alors de le prendre sur le fait, puis de lui tirer dessus. La fille du détective Ariane Chavasse (Audrey Hepburn) est intriguée par ce Flannagan et décide de le mettre au courant pour empêcher son meurtre. Et bien sûr, elle finit par tomber amoureuse de lui. Une jeune fille tellement timide, mais qui énumère plus vingt hommes qu'elle aurait connu dans sa vie ! L’amour est un jeu qui semble difficile à maîtriser, mais auquel n’importe qui peut jouer, surtout l’après-midi ... Paris, c'est tellement plus charmant l'après-midi !
Ariane est une comédie drôle et caustique, dans le pur style Billy Wilder. L'écriture est très intelligente, avec beaucoup de sous-entendus et de métaphores sexuelles pour échapper à la censure du Hollywood des années 50. C'est aussi une romance ravissante et rafraichissante, dans le pur style Audrey Hepburn, dans laquelle un duo de personnages que tout oppose (le romantisme d'Ariane et le cynisme de Flanagan) finissent par être attirés l’un par l’autre. Audrey Hepburn se la joue jeune fille naïve et gentille, tandis que Gary Cooper se la joue playboy qui multiplie les conquêtes. Ici, le jeu de Gary Cooper est plus léger moins grave que dans ses rôles habituels. Cependant, il s'avère très vite qu'il est un peu trop vieux pour jouer le Casanova de service. Quant à Audrey Hepburn, sa silhouette gracile, son minois félin et sa douceur va vous faire fondre sur place. Et bien sûr, Maurice Chevalier est très touchant en tant que père protecteur et compréhensif.
Bref, Ariane est une charmante comédie romantique du grand Billy Wilder et Audrey Hepburn est adorable. Cary Cooper est peut-être un peu trop vieux pour le rôle, mais plus que la différence d’âge, c'est son caractère un peu raide et froid qui ne sied pas bien au rôle. Le problème, c’est qu'à ce stade de sa carrière, il est plus difficile pour lui de sortir de ce personnage de séducteur impénitent et symbole d’une certaine idée de l’Amérique. Visiblement déjà bien affaibli, il participera encore à six longs métrages, avant son décès en 1961 des suites d'une longue maladie. Mais ne boudons pas notre plaisir, Ariane est une comédie romantique vraiment très drôle et avec une Audrey Hepburn toujours égale à elle-même. C'est un film charmant, proche du conte de fée, où la jolie jeune fille sort un séducteur invétéré de son labyrinthe de conquêtes.
Sorti en 1957 et réalisé par Billy Wilder, Ariane (Love in the Afternoon) est une comédie romantique immensément sympathique et qui profite du charme de la ville de Paris. Audrey Hepburn y incarne une jeune fille (sous-entendu encore vierge) qui s'amourache d'un coureur de jupons riche et (beaucoup) plus âgé qu'elle. Ariane ressemble étrangement à un autre film de Billy Wilder, Sabrina, puisqu'un éveil amoureux est offert à un bel indifférent par une ravissante jeune fille, envahit de la tête aux pieds par ses premiers émois envers un homme plus âgé, dont la prestance et la réussite n'ont d'égales que son indifférence. Billy Wilder montre encore une fois son côté (un peu) transgressif en mettant en scène les amours d’une jeune vierge avec un homme d’âge mûr qui pourrait être son père. Mais le côté transgressif de Billy Wilder s'arrête là, le film n'est pas aussi dérangeant et sulfureux que les autres comédies du réalisateur (Sept ans de réflexion et Certains l'aiment chaud, pour n'en citer que deux).
Claude Chavasse (Maurice Chevalier) est un détective privé qui a été engagé pour piéger Flannagan (Gary Cooper) un vieux playboy riche et séduisant qui sort avec la femme d’un client (John McGiver). Ce client décide alors de le prendre sur le fait, puis de lui tirer dessus. La fille du détective Ariane Chavasse (Audrey Hepburn) est intriguée par ce Flannagan et décide de le mettre au courant pour empêcher son meurtre. Et bien sûr, elle finit par tomber amoureuse de lui. Une jeune fille tellement timide, mais qui énumère plus vingt hommes qu'elle aurait connu dans sa vie ! L’amour est un jeu qui semble difficile à maîtriser, mais auquel n’importe qui peut jouer, surtout l’après-midi ... Paris, c'est tellement plus charmant l'après-midi !
Ariane est une comédie drôle et caustique, dans le pur style Billy Wilder. L'écriture est très intelligente, avec beaucoup de sous-entendus et de métaphores sexuelles pour échapper à la censure du Hollywood des années 50. C'est aussi une romance ravissante et rafraichissante, dans le pur style Audrey Hepburn, dans laquelle un duo de personnages que tout oppose (le romantisme d'Ariane et le cynisme de Flanagan) finissent par être attirés l’un par l’autre. Audrey Hepburn se la joue jeune fille naïve et gentille, tandis que Gary Cooper se la joue playboy qui multiplie les conquêtes. Ici, le jeu de Gary Cooper est plus léger moins grave que dans ses rôles habituels. Cependant, il s'avère très vite qu'il est un peu trop vieux pour jouer le Casanova de service. Quant à Audrey Hepburn, sa silhouette gracile, son minois félin et sa douceur va vous faire fondre sur place. Et bien sûr, Maurice Chevalier est très touchant en tant que père protecteur et compréhensif.
Bref, Ariane est une charmante comédie romantique du grand Billy Wilder et Audrey Hepburn est adorable. Cary Cooper est peut-être un peu trop vieux pour le rôle, mais plus que la différence d’âge, c'est son caractère un peu raide et froid qui ne sied pas bien au rôle. Le problème, c’est qu'à ce stade de sa carrière, il est plus difficile pour lui de sortir de ce personnage de séducteur impénitent et symbole d’une certaine idée de l’Amérique. Visiblement déjà bien affaibli, il participera encore à six longs métrages, avant son décès en 1961 des suites d'une longue maladie. Mais ne boudons pas notre plaisir, Ariane est une comédie romantique vraiment très drôle et avec une Audrey Hepburn toujours égale à elle-même. C'est un film charmant, proche du conte de fée, où la jolie jeune fille sort un séducteur invétéré de son labyrinthe de conquêtes.
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@lessthantod
tu préferes quel film ?
entre "Forever Ambre" et "Ariane"
Perso avant les années 1978 j'y connais rien.kedal en cinoche.D'ailleurs même maintenant^^
j'ai lu attentivement tes posts sur les 2 films et toutes tes analyses de fims d'ailleurs bien avant (j'adore,tu me fais découvrir des films que je n'aurai jamais pensé voir comme Gringos).Pour une fois je répond a tes avis de cinoche..Respect pour ta connaissance.Purée les reférences que tu envoies.J'y "catche" kedal.(acteurs,réalisateurs,films,je connais pas un nom^^ ...on voit le cinéphile less vs un "billy noob" un darktet comme moi
Questions...comment arrives tu a visionner ces films de 1944 ou 1957 ?! tu n'étais pas né?!
Cassettes,Vhs?! non? sans doute un support moderne.lequel ?comment?gratuit?payant?illégal?
Exemple : je souhaiterai voir "Forever Ambre",comment je fais en septembre 2024 ?
Merci de m'avoir fait découvert "le film LE BATEAU (das boot" ) best film de sous marin ever! ok 4h30 de film ça fait peur^^mais trop bien:)
et bravo@lessthantod pour ton orthographe parfaite. je t'envie^^je suis nul en ortho..et quand je post ici c'est a la va vite..flemme de corriger les fautes.(enfin a la va vite...je préfère poster du fond,plutot que de la forme)
tu préferes quel film ?
entre "Forever Ambre" et "Ariane"
Perso avant les années 1978 j'y connais rien.kedal en cinoche.D'ailleurs même maintenant^^
j'ai lu attentivement tes posts sur les 2 films et toutes tes analyses de fims d'ailleurs bien avant (j'adore,tu me fais découvrir des films que je n'aurai jamais pensé voir comme Gringos).Pour une fois je répond a tes avis de cinoche..Respect pour ta connaissance.Purée les reférences que tu envoies.J'y "catche" kedal.(acteurs,réalisateurs,films,je connais pas un nom^^ ...on voit le cinéphile less vs un "billy noob" un darktet comme moi
Questions...comment arrives tu a visionner ces films de 1944 ou 1957 ?! tu n'étais pas né?!
Cassettes,Vhs?! non? sans doute un support moderne.lequel ?comment?gratuit?payant?illégal?
Exemple : je souhaiterai voir "Forever Ambre",comment je fais en septembre 2024 ?
Merci de m'avoir fait découvert "le film LE BATEAU (das boot" ) best film de sous marin ever! ok 4h30 de film ça fait peur^^mais trop bien:)
et bravo@lessthantod pour ton orthographe parfaite. je t'envie^^je suis nul en ortho..et quand je post ici c'est a la va vite..flemme de corriger les fautes.(enfin a la va vite...je préfère poster du fond,plutot que de la forme)
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Aucun des 2, j'ai envie de diredarktet a écrit :tu préferes quel film ?
entre "Forever Ambre" et "Ariane"
Perso avant les années 1978 j'y connais rien.kedal en cinoche.D'ailleurs même maintenant^^
Si tu veux découvrir la filmo de Billy Wilder je te conseille plutôt Certains l'aiment chaud avec Marylin Monroe, de loin la meilleur comédie de Billy Wilder. Mais mon film préféré de Billy Wilder c'est Boulevard du Crépuscule, un film noir sur le monde du Hollywood et un film plus sombre que ce que nous a habitué Billy Wilder.
Si tu veux découvrir la filmo d'Audrey Hepburn, il y en a deux comédies romantiques à voir en priorité, Diamants sur canapé et Charade avec un Cary Grant vieillissant mais toujours aussi bon.
Pour Otto Preminger, il a fait un chef d'œuvre absolu, c'est Laura avec Gene Tierney (pour moi la plus belle actrice des années 40) et un Vincent Price encore débutant. C'est LE film noir parfait, pour moi le meilleur film noir avec Sueurs Froides d'Alfred Hitchcock, à voir de toute urgence lui aussi.
Et pour finir, si tu veux voir un film avec Linda Darnell, il y a un film qui s'impose, c'est le Western La Poursuite infernal de John Ford avec aussi Henry Fonda. Et si tu aimes les western, je te recommande chaudement La Prisonnière du désert toujours de John Ford avec John Wayne.
Question simple, réponse simple ... je regarde tous mes films sur support physique(DVD ou Blu-ray).darktet a écrit :j'ai lu attentivement tes posts sur les 2 films et toutes tes analyses de fims d'ailleurs bien avant (j'adore,tu me fais découvrir des films que je n'aurai jamais pensé voir comme Gringos).Pour une fois je répond a tes avis de cinoche..Respect pour ta connaissance.Purée les reférences que tu envoies.J'y "catche" kedal.(acteurs,réalisateurs,films,je connais pas un nom^^ ...on voit le cinéphile less vs un "billy noob" un darktet comme moi
Questions...comment arrives tu a visionner ces films de 1944 ou 1957 ?! tu n'étais pas né?!
Cassettes,Vhs?! non? sans doute un support moderne.lequel ?comment?gratuit?payant?illégal?
Exemple : je souhaiterai voir "Forever Ambre",comment je fais en septembre 2024 ?
J'avoue me faire aider par une prof de Français fan de cinoche et de vieux films comme moi. Elle ne corrige pas toutes mes critiques, mais la plupart.darktet a écrit :Merci de m'avoir fait découvert "le film LE BATEAU (das boot" ) best film de sous marin ever! ok 4h30 de film ça fait peur^^mais trop bien:)
et bravo@lessthantod pour ton orthographe parfaite. je t'envie^^je suis nul en ortho..et quand je post ici c'est a la va vite..flemme de corriger les fautes.(enfin a la va vite...je préfère poster du fond,plutot que de la forme)
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@ lessthantod Merci pour ces conseils bien utiles pour moi aussi Y'a tellement de perles dans le ciné rétro...
Pour ma part j'ai vu Entre le ciel et l'enfer de Akira Kurosawa, avec Toshirô Mifune, de 1963.
Un polar bien mené : la construction du film, le développement de l'enquête, le portrait des classes sociales, la "p'tite surprise" -> Excellent
Pour ma part j'ai vu Entre le ciel et l'enfer de Akira Kurosawa, avec Toshirô Mifune, de 1963.
Un polar bien mené : la construction du film, le développement de l'enquête, le portrait des classes sociales, la "p'tite surprise"
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J'ai vu Priscilla hier de Sofia Coppola. C'était vraiment pas mal. Pas ouf de chez ouf, mais pas mal du tout.
Bon casting, Cailee Spaeny se transforme très bien de ses 14 à presque 30 ans. Jacob Elordi incarne parfaitement la raclure qu'était Elvis
Renfield aussi, c'était marrant. Nicolas Cage est parfait dans une caricature de lui-même. Nicholas Hoult devient petit à petit un clone de Hugh Grant.
Ca vaut des bons 7/10 tout ça.
Bon casting, Cailee Spaeny se transforme très bien de ses 14 à presque 30 ans. Jacob Elordi incarne parfaitement la raclure qu'était Elvis
Renfield aussi, c'était marrant. Nicolas Cage est parfait dans une caricature de lui-même. Nicholas Hoult devient petit à petit un clone de Hugh Grant.
Ca vaut des bons 7/10 tout ça.
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- "I Still Know What You Did Last Summer", réalisé par Danny Cannon, sorti en 1998 -
Suite directe du premier, aucune véritable surprise dans ce film. Le seul + à mon sens c'est qu'il est plus dynamique, avec des meurtres plus sanglants. Par contre faut qu'ils arrêtent de faire "brailler" les gonzesses à ce point, ça en devient ridicule à force. Comme si on définissait la qualité d'un film d'horreur à sa "Scream queen"... Ca a tendance à me faire fuir si c'est abusé. Mais bon, j'ai quand même passé un moment presque sympa.