Ma série du moment

[lessthantod]

J'espère qu'il ne jure pas en tabarnak dans ta VF zone 1

Oui j'ai vérifié, c'est bien la VF du pays "des fromages qui puent"

[dandyboh]

T'as déjà fini les 7 saisons ?
Jamais entendu parler de Anne with an E, ça parle de quoi ?

Oui, je me matais 4 - 5 épisodes par soir en moyenne, à raison de 100 épisodes en tout, ça fait 20 - 25 jours, vite fait

Anne with an E, c'est l'histoire d'une orpheline de 13 ans (Anne) qui trouve une famille d'accueil, fin du XIXè siècle, au Canada. Ça fait penser à la petite maison dans la prairie niveau ambiance et décor en effet. C'est tiré d'un livre. Pour le moment en tout cas, l'intérêt réside principalement au niveau de la personnalité très atypique de Anne, très bavarde, intelligente, débordante d'imagination, très expressive émotionnellement.

C'est du drama globalement, et le peu que j'en ai vu pour le moment me laisser penser que ça va continuer un moment. Faut que je rajoute boîte de mouchoirs à ma prochaine liste de courses.

[Gringos10]

Curieux de savoir ce que ça donne par rapport au film.

Quoi toi non plus tu ne connais pas ??

Firefly c'est génial : )

bah je connais le film, qui est sympa, sans plus. Mais pas la série.

[marmotplay]

Hop, dernièrement:

-Altered Carbon, j'ai bien aimé la première saison mais pas vraiment la seconde où j'ai trouvé l'acteur complètement hors sujet et l'histoire qui part en couille.

-Snowpiercer, ayant bien aimé le film je tente malgré les mauvaises critiques, bon bah je m'attendais à pire. Là aussi dommage que le rôle principal soit tenu par un des acteurs les plus insipides du casting. Et le scénario prends des raccourcis absolument invraisemblables où d'un épisode à l'autre certains personnages changent complètement de psychologie.

-Shadow and Bone, bon là aussi mon dieu le casting. Ça pourrait être bien mais une actrice principale avec 0 charisme, 2 expressions sur le visage, un antagoniste à peine mieux. Finalement, ce qui s'en sort le mieux c'est le trio de Crows qui provient du livre avec une histoire parallèle. Un peu dommage quand même.

[Esperluette]

Hop, dernièrement:

-Altered Carbon, j'ai bien aimé la première saison mais pas vraiment la seconde où j'ai trouvé l'acteur complètement hors sujet et l'histoire qui part en couille.

Pareil j'ai bien aimé la 1ere saison mais la 2eme... Pour avoir lu les bouquins, il faut quand même dire si que le 1er volume est comme la série une enquête assez simple à adapter le 2e c'est carrément autre chose avec une histoire de guerre entre factions, d'extraterrestres etc beaucoup plus compliqué pour une série.

Sinon j'ai fini Mare of Eastown et je n'ai pas compris qu'au dernier épisode il n'y ait aucune référence à

► Afficher le texte

la mort de Zabel le coéquipier de Mare, flingué dans l'épisode précédent !

J'ai repris Ragnarok dont la 2eme saison est dispo depuis peu. Les 2 premiers épisodes tiennent la route et on retrouve ce mélange super-héros et préoccupations de jeunes bien sympa.

[Tryphon]

Fini Godless. Dans l'ensemble, un très bon moment, le seul bémol est pour moi l'assaut de La Belle au dernier épisode. On veut faire du spectaculaire, ce que le film évitait jusque là, en multipliant les situations débiles et forcées (ralentis dégueus, Whitey Winn qui se fait tuer comme un con, un mec à cheval dans un escalier que personne ne parvient à toucher).

Le reste est très bien, les personnages touchants, les décors sublimes...

[maxicrash]

Black summer S2 terminée. On retrouve les protagonistes laissés à la fin de la S1.
Le premier épisode est une belle entrée en matière dans cette nouvelle saison. On retrouve toujours ce chapitrage dans chaque épisode.

Ce que j'ai apprécié dans cette nouvelle saison, les personnages toujours haut en couleurs. C'est presque toujours filmé au plus près de l'action, y'a pas d'artifice inutile même si on ne voit pas toujours très bien. Les zombies sont plus que coriaces, mais les ennemis les plus dangereux restent les humains.
Un nouvel ennemi fait son apparition : le froid.

Ces 2 saisons m'ont donné envie de relaisser une chance à Z nation.

[lessthantod]

Que ce fut éprouvant, Oz ...



Bien que découverte sur le très tard, Oz est une série qui m'apparait être très à l'avance sur son temps et précurseur pour beaucoup d'autres qui suivront. On y retrouve aussi des tas d'acteurs habitués des productions HBO. On les retrouve tous dans The Wire, Band of Brothers, Les Sopranos (Edie Falco) et même ailleurs que sur HBO, Lost, 30 Rock et Law & Order (J. K. Simmons et Christopher Meloni).
Oz est donc une série sur l'univers carcéral très réaliste (limite style documentaire) qui a le grand mérite de montrer et démontrer que la prison n'est vraiment pas un lieu paradisiaque, contrairement à ce que pourrait penser certains jeunes des ghettos américains. Oz nous oblige à ouvrir les yeux sur l'horreur qui règne dans les prisons américaines. Dans Oz il n'y pas de gentils, il n'y a que des méchants, tous coupables d'actes plus ou moins horribles. Le challenge sera donc de les rendre un minimum "sympathiques", de créer de l'empathie pour s'attacher à eux. La tâche est ardue pour les scénaristes et les acteurs, mais miracle ... ça fonctionne. On voit l'évolution des personnages quand ils sont poussés à bout dans un huit-clos pesant (Emerald Ciry), qui génère l'angoissante, la violence, la dépression ... et il faut s'accrocher, car la plupart du temps ce n'est vraiment pas beau à voir.
Mais pour moi, Oz c'est surtout et avant tout des personnages forts incarnés par des acteurs forts qui ont une vraie tronche, Terry Kinney aka Tim McManus, Lee Tergesen aka Tobias Beecher, Kirk Acevedo aka Miguel Alvarez, Dean Winters aka Ryan O'Reilly, J.K. Simmons aka Vern Schillinger (veillez à bien prononcer son nom) ... et mon acteur/personnage préféré de la série, le génial Christopher Meloni aka Chris Keller, un personnage très ambigu, à la fois drôle, inquiétant, et totalement imprévisible. Je m'arrête là, mais je pourrais continuer longtemps, tellement cette série regorge de personnages forts et marquants ... une VRAIE série chorale, en somme !
Mais voilà, à force de supprimer TOUS les personnages principaux, un à un, il n'y a plus de surprises et on comprend très vite que tout, absolument TOUT peut arriver et personne ne sera épargné. C'est ce qui fait la force du concept, mais aussi sa faiblesse. Et puis les scénaristes ont trop vite tendance à abuser des scènes choquantes, les dialogues crus, les meurtres et les viols. C'est clair que cette série n'est pas à conseiller aux âmes sensibles, mais plutôt à ceux qui préfèrent voir la vérité en face ... et la vérité n'est pas belle à voir.
The Wire (mon maître étalon) a toujours ma préférence, plus réaliste, plus ambitieuse, des saisons qui se démarquent plus l'une de l'autre et qui tournent moins en rond ... mais bon, c'est le genre auquel appartient Oz qui veut ça, une série de prison avec un seul et unique décor pour toutes les saisons. Alors que The Wire se permet de visiter, les tours de Baltimore, les docks, le système éducatif, la politique, les médias ... comparé à Emerald City pour Oz. La série monte en puissance au fil des saisons et des épisodes, elle devient très vite addictive. Je regrette juste pas mal de redondance d'une saison à une autre et même d'un épisode à un autre.
Bref, si comme moi vous avez aimé The Wire et Breaking Bad, alors Oz aussi ce sera votre "came" ... essayez l'expérience Oz, vous ne serez pas déçu !

[Shovel Knight]

Amen !

[lessthantod]

Pour une série de 1997, c'est prodigieux à quel point elle est en avance sur son temps, que ce soit sur le fond ou la forme. On cogite pas mal, sur une multitude de sujets (peine de mort, racisme, homosexualité ... ) et chaque arc narratif nous pousse à la réflexion et à se remettre en question.
Par contre la série s'essouffle quelque peu à partir de la saison 5 et clairement la série fini par tourner en rond, beaucoup de redondance et de situations qui se répètent. Du coup la 6ème saison m'a laissé avec un léger goût de "saison de trop".

[Shovel Knight]

Oui je suis d'accord pour la saison de trop.

Par contre as-tu la réponse à LA question :

Il tient comment le putain de chapeau d'Adebisi ?

[lessthantod]

Bon, j'ai repris GOT que j'avais lâché à la fin de la saison 6. Hier soir j'ai donc maté le dernier épisode de la saison 7 ...
(oui je sais, j'ai un wagon de retard)



Daenerys débarque à Westeros, ce qui enclenche la lutte pour le Throne de fer et la guerre contre les marcheurs blancs. Là les choses sérieuses commencent et clairement ça s'accélère. Et en plus, il va falloir raconter tout ça en seulement 7 épisodes au lieu des 10 habituels pour les saisons précédentes. Résultat, Les intrigues secondaires sont bâclées ou trop vites expédiées, tandis que la plupart des personnages secondaires sont délaissés, certains n'apparaissent même que le temps de 1 ou 2 épisodes, 5 minutes par-ci, par-là. Après faut savoir ce qu'on veut, je reprochais aux saison 5 & 6 de démarrer trop doucement. Je ne pourrais pas formuler le même reproche pour cette saison 7. Alors certes, 2 ou 3 épisodes supplémentaires n'auraient pas fait de mal, ça aurait éviter les incohérences temporelles et les "téléportations" d'un lieu à un autre d'un coup de baguette magique. Tout se passe plus vite durant cette saison 7, mais ce n'est pas plus mal finalement, après les 2 saisons précédentes très lentes. Et elle fait la part belle à l'action, la direction artistique est toujours impeccables et les effets spéciaux gagnent encore en qualité.
Cette saison 7 confirme également, que Jon Snow est décidément immortel ! Encore une fois, même quand la situation devient franchement désespérée pour lui, il arrive encore à s'en sortir par "on ne sait quel miracle".
Bref, cette avant dernière saison se révèle être courte, par moment bizarre, mais au finale très prenante. Elle nous offre une belle réalisation, le suspense et l'intensité dramatique sont au rendez vous ... là est bien l'essentiel.

[maxicrash]

Suits S9 (netflix) une bonne dernière saison avec des ennemis toujours plus méchants et un beau happy end à la disney.

[Esperluette]

Bon, j'ai repris GOT que j'avais lâché à la fin de la saison 6. Hier soir j'ai donc maté le dernier épisode de la saison 7 ...
(oui je sais, j'ai un wagon dragon de retard)

Fixed

[kikietced]

Alors j’ai pas fais le tour encore du topic je pense que vous en avez déjà parlé Mais on se lance à l’instant flash sur Netflix avec ma moitié. Jamais vu encore ...

[Killvan]

My name is Eart. Série comique dont je n'avais jamais vu la fin, là j'ai recommencé depuis le début et je compte bien aller au bout ^^

[Gringos10]

Alors j’ai pas fais le tour encore du topic je pense que vous en avez déjà parlé Mais on se lance à l’instant flash sur Netflix avec ma moitié. Jamais vu encore ...

Pas le souvenir qu'on en ait parlé.
Pas encore regardé, tu diras si c'est bien.

[Vortex]

J'ai enfin maté The Knick saison 1&2 ...



En tant que gros fan de Steven Soderbergh et amateur de séries médicales, on m’avait déjà parlé de The Knick, la soi-disant meilleure série dramatique de tous les temps et de tout l'univers ... j'ai enfin décidé de vérifier de mes propres yeux et il était grand temps. Car oui, disons-le tout de suite, cette série c'est de la bombe, tout est y est sublime, les acteurs, l'ambiance, la photo, la direction artistique, la BO ... pour le coup, Steven Soderbergh a fait fort, très fort.
Nous sommes à NY en 1900-1901 et nous suivons tout le staff de l’hôpital Knickerbocker, des chirurgiens aux infirmières, jusqu'aux dirigeants et financiers de l'hôpital de New York. En ce début du 20ème siècle, nous sommes à une étape charnière de la médecine, à une époque où le taux de mortalité a soudainement augmenté et où les antibiotiques n’existent pas encore … presque tout est encore a inventer et c'est ce que nous allons voir.
Dés le premier épisode, le ton est donné. Dieu est présent et se prend pour un chirurgien, ou serait-ce plutôt l'inverse ? C'est Clive Owen qui incarne le Dr John "Dieu" Thackery, chirurgien chef qui se prend donc pour Dieu. Pour l'occasion, l'acteur "au sommet de sa forme" est métamorphosé, remplit d’un charisme incroyable et d’une aura débordante. Nous suivons également les pérégrinations d'une jeune infirmière très remuante, dont on soupçonne ses considérations de l’époque (mais méfiez-vous des apparences), ce qui ouvre donc sur un premier thème important de la série : le combat des femmes pour s'émanciper des hommes. Ensuite il y a les assistants du chirurgien en chef, dont un docteur noir et on peut voir alors le deuxième thème abordé par la série : la lutte contre les préjugés raciaux. Mais ce n'est pas tout, les thèmes abordés sont si nombreux (inégalités sociales, religion, corruption, eugénisme ...) que ce serait trop long de tous les aborder. Cette série est d'une richesse folle et illustre à la perfection ce que doit être une série chorale, avec tout un tas de personnes qui ont tous leur importance et qui bien souvent cachent de terribles secrets. Attendez-vous donc à de nombreuses surprises et autres retournements de situations.
Rhaaa, quel dommage qu'il n'y ait pas de saison 3 et tellement déçu par HBO (pourtant peu coutumier du fait) de ne pas laisser Soderbergh poursuivre ses idées ... ça me dégoute ! Mais toujours est-il que la fin de la saison 2 est sublime, d'une finesse et d'une intelligence qu'on ne voit que trop rarement. Elle tire parfaitement avantage du format série, ce que beaucoup d'autres séries ne savent pas faire.
Bref, The Knick est une vraie pépite comme on en voit rarement. C'est rare que je donne la note parfaite, mais là je fais une exception, c'est du 20/20.

Dans mon Top 5 ever

[Shovel Knight]

Bon, depuis le temps que je repousse le visionnage de The Knick, ça suffit, hop ça télécharge

[lessthantod]

@Shovel Knight Tu ne vas pas le regretter, crois-moi

[Urbinou]

Il en aura pour son argent, c’est sûr

[Shovel Knight]

J'ai visionné juste le début de lépisode 1 surtout pour voir si mes sous titres étaient ok (je trouve que des sous titres anglais pas grave), et bah putain
La césarienne là, c'est goooooore, cte boucherie c'est tout le temps comme ça ?

[Myrage]

Bon, j'ai repris GOT que j'avais lâché à la fin de la saison 6. Hier soir j'ai donc maté le dernier épisode de la saison 7 ...
(oui je sais, j'ai un wagon de retard)



Daenerys débarque à Westeros, ce qui enclenche la lutte pour le Throne de fer et la guerre contre les marcheurs blancs. Là les choses sérieuses commencent et clairement ça s'accélère. Et en plus, il va falloir raconter tout ça en seulement 7 épisodes au lieu des 10 habituels pour les saisons précédentes. Résultat, Les intrigues secondaires sont bâclées ou trop vites expédiées, tandis que la plupart des personnages secondaires sont délaissés, certains n'apparaissent même que le temps de 1 ou 2 épisodes, 5 minutes par-ci, par-là. Après faut savoir ce qu'on veut, je reprochais aux saison 5 & 6 de démarrer trop doucement. Je ne pourrais pas formuler le même reproche pour cette saison 7. Alors certes, 2 ou 3 épisodes supplémentaires n'auraient pas fait de mal, ça aurait éviter les incohérences temporelles et les "téléportations" d'un lieu à un autre d'un coup de baguette magique. Tout se passe plus vite durant cette saison 7, mais ce n'est pas plus mal finalement, après les 2 saisons précédentes très lentes. Et elle fait la part belle à l'action, la direction artistique est toujours impeccables et les effets spéciaux gagnent encore en qualité.
Cette saison 7 confirme également, que Jon Snow est décidément immortel ! Encore une fois, même quand la situation devient franchement désespérée pour lui, il arrive encore à s'en sortir par "on ne sait quel miracle".
Bref, cette avant dernière saison se révèle être courte, par moment bizarre, mais au finale très prenante. Elle nous offre une belle réalisation, le suspense et l'intensité dramatique sont au rendez vous ... là est bien l'essentiel.

Moi j'avais enchainé toutes les saisons, ce que je trouve dommage c'est que dès le debut, on nous montre et presente les marcheurs blancs comme la plus grosse menace et pouf disparition jusqu'a la saison 7. J'ai regretté que cette menace soit finalement "succinte" au fil de la trame.

Mais ça n'empeche que j'ai adoré, bien qu'au debut, ca soit trop orienté cul à gogo. Apres ca se tasse, et je pense que ça a eté fait volontairement pour le buzz et lancer la serie...
Ma chouchoute c'est Marjorie Tyrell (je la trouve craquante), bien que Cersei dans les rues "de l'infamie" est pas mal non plus

[Tryphon]

Si seulement c'était le seul défaut de la conclusion...

[Vortex]

J'ai visionné juste le début de lépisode 1 surtout pour voir si mes sous titres étaient ok (je trouve que des sous titres anglais pas grave), et bah putain
La césarienne là, c'est goooooore, cte boucherie c'est tout le temps comme ça ?

Non, la césarienne c'est de la petite chirurgie

Je me souviens que j'ai failli faire gerber une collègue qui bosse pourtant dans le médical en lui montrant la scène

[Vortex]

Bon, j'ai repris GOT que j'avais lâché à la fin de la saison 6. Hier soir j'ai donc maté le dernier épisode de la saison 7 ...
(oui je sais, j'ai un wagon de retard)



Daenerys débarque à Westeros, ce qui enclenche la lutte pour le Throne de fer et la guerre contre les marcheurs blancs. Là les choses sérieuses commencent et clairement ça s'accélère. Et en plus, il va falloir raconter tout ça en seulement 7 épisodes au lieu des 10 habituels pour les saisons précédentes. Résultat, Les intrigues secondaires sont bâclées ou trop vites expédiées, tandis que la plupart des personnages secondaires sont délaissés, certains n'apparaissent même que le temps de 1 ou 2 épisodes, 5 minutes par-ci, par-là. Après faut savoir ce qu'on veut, je reprochais aux saison 5 & 6 de démarrer trop doucement. Je ne pourrais pas formuler le même reproche pour cette saison 7. Alors certes, 2 ou 3 épisodes supplémentaires n'auraient pas fait de mal, ça aurait éviter les incohérences temporelles et les "téléportations" d'un lieu à un autre d'un coup de baguette magique. Tout se passe plus vite durant cette saison 7, mais ce n'est pas plus mal finalement, après les 2 saisons précédentes très lentes. Et elle fait la part belle à l'action, la direction artistique est toujours impeccables et les effets spéciaux gagnent encore en qualité.
Cette saison 7 confirme également, que Jon Snow est décidément immortel ! Encore une fois, même quand la situation devient franchement désespérée pour lui, il arrive encore à s'en sortir par "on ne sait quel miracle".
Bref, cette avant dernière saison se révèle être courte, par moment bizarre, mais au finale très prenante. Elle nous offre une belle réalisation, le suspense et l'intensité dramatique sont au rendez vous ... là est bien l'essentiel.

Moi j'avais enchainé toutes les saisons, ce que je trouve dommage c'est que dès le debut, on nous montre et presente les marcheurs blancs comme la plus grosse menace et pouf disparition jusqu'a la saison 7. J'ai regretté que cette menace soit finalement "succinte" au fil de la trame.

Mais ça n'empeche que j'ai adoré, bien qu'au debut, ca soit trop orienté cul à gogo. Apres ca se tasse, et je pense que ça a eté fait volontairement pour le buzz et lancer la serie...
Ma chouchoute c'est Marjorie Tyrell (je la trouve craquante), bien que Cersei dans les rues "de l'infamie" est pas mal non plus

J'ai laissé tomber à la saison 3, je n'en pouvais plus des multiples ramifications

[lessthantod]

Je vous présente ma sitcom du moment, Happy Endings ...



Oubliez le synopsis de départ, à savoir "comment un groupe d'amis peut-il résister à la séparation de deux d'entre eux le jour de leur mariage au pied de l'autel ?", il sera vite évacué au bout de 2 ou 3 épisodes. Et puis, rien que le titre du show "Happy endings" dévoile le pot aux roses, ça ne peut que finir bien de toute façon. Non en réalité ce que nous avons là, c'est une sitcom "à la Friends", une série sur les trentenaires et pour les trentenaires, une feel-good sitcom drôle avec une pointe de sentiments. Sur le fond Happy Ending reprend donc la formule de Friends, mais sur la forme c'est très différent car ici pas de rires enregistrés et le tout est filmé en multi-caméras. Et puis contrairement à son ainée, Happy Endings tient compte de la diversité. Nous avons un couple interracial Brad et Jane (Damon Wayans Jr et Eliza Coupe), le couple séparé Alex et Dave (Elisha Cuthbert et Zachary Knighton), la bonne amie potelée un peu délurée Penny (Casey Wilson) et le bon pote potelé gay Max (Adam Pally). Comme dans Friends, ils sont donc 6 (3 garçons + 3 filles) et tout s'articule autour de 2 amis Alex et Dave qui se tournent autour tout le long de la série et dont le destin veut qu'ils finissent ensembles, tels les nouveaux Ross et Rachel. Mais clairement, question rires c'est Adam Pally qui vole la vedette à tout le groupe, le gars est hilarant. En plus son interprétation du gay est très subtile et va à l'encontre de tous les clichés du genre, il n'en fait pas une fofolle maniérée comme dans Will & Grace ou Modern Family. Son pouvoir comique est évident, qu'on retrouve également dans The Mindy Project, autre sitcom des années 2010 très drôle. Mention spéciale aussi au couple Damon Wayans Jr (déjà très drôle dans New Girl) et Eliza Coupe (déjà très drôle dans Scrubs), l'alchimie est évidente entre les 2 acteurs. A savoir que Damon Wayans Jr. est le fils de Damon Wayans, plus connu pour sa sitcom Ma Famille d’abord mais aussi pour son rôle dans Le Dernier Samaritain avec Bruce Willis (excellent Buddy Movie de Tony Scott et Shane Black). D'ailleurs, Damon Wayans apparaitra le temps d'un épisode et tout naturellement dans le rôle du père de Brad. Mais dans l'ensemble le casting est très équilibré et la série ne tourne pas autour d'un seul personnage complètement loufoque comme Barney dans HIMYM ou Sheldon dans The Big bang Theory. Non, ici tous les personnages ont droit à leurs petits moments de gloire, tous ont leur importance et forment ensemble une vraie bande potes ... comme au bon vieux temps de Friends, justement. Et à l'inverse de The Big Bang Théory, la série n'en fait jamais trop dans les références à la pop-culture américaine. De plus le ton de la série se veut réaliste, les scénario n'en font pas des tonnes dans le n'importe quoi comme dans HIMYM.
Bref, Happy Ending bénéficie avant tout d'un très bon casting (qualité essentielle à toutes bonne sitcom), tous les personnages sont attachants, l'écriture est soignée, c'est toujours drôle, parfois touchant ... une sitcom qui n'aura pas eu le succès qu'elle méritait, malheureusement :/

[dav1974]

Bosh est reviendu sur amazon ( Jkiff cette série policière)
Et Pennyworth, une des meilleures série "pop corn" que j'ai vu ces dernières années. (S02 Amazon aussi)

[BeyondOasis]

J'ai fini la saison 4 de Castlevania sur Netflix. Bah franchement c'était très moyen... la DA reste pas mal mais le reste est vraiment moyen.




Par contre dans un tout autre style j'ai vu la première saison de Mixte d'amazon: on est en 63 dans un lycée de province, qui reçoit des filles pour la première fois dans son établissement.
Ca commence de façon très légère, avec des jeunes qui font des conneries, et ça aborde rapidement des sujets beaucoup plus concrets et "actuels". Les acteurs sont bons, et visuellement on s'y croirait.

8 épisodes de 30 minutes environ, je recommande

[lessthantod]

Je voulais vous parler de l'une de mes sitcom favorite, The Office (US) ...



The Office (US) est définitivement l'une des meilleures sitcom que je connaisse. Avec le temps, au fur et à mesure qu'on avance dans les saisons, elle a réussie "chose pas facile" à se démarquer de son ainée UK made in Ricky Gervais. Aussi hilarante que son ainée, elle a su développer ses personnages, en faire évoluer certains et en introduire d'autres. L'humour british très prononcé des premières saisons, un humour très noir, bête et méchant ... peu à peu disparait au profit d'un humour plus standardisé américain. Les personnages sont toujours aussi bêtes, mais moins méchants, en découle des situations plus touchantes.
Et que dire de Steve Carell, il apporte énormément d'empathie pour un personnage qui de base ne l'est pas du tout. Michael Scott est un personnage profondément Idiot, égoïste, bête et méchant, mais qui aime profondément les gens avec qui il travaille (même s'il le démontre très mal). Non vraiment, la prestation de Steve Carell, c'est la classe incarnée. Ensuite il y a l'alchimie entre John Krasinski et Jenna Fischer qui est évidente, le couple Pam et Jim étant l'une des grandes forces de la série et le fil conducteur qui lui aura permis de durer 9 longues années. Et puis Rainn Wilson est hilarant dans son rôle de Dwigth Schrute, l'employé complètement sociopathe et imprévisible. Pour finir j'ai envie de mentionner Ed Helm que j'aime beaucoup dans le rôle d'Andy, un personnage qui a du cœur, tellement drôle et attachant et encore plus attachant lorsque débarque Ellie Kemper dans le rôle d'Erin la nouvelle réceptionniste. J'aime beaucoup la dynamique qui se créé entre ces 2 tourtereaux. Seulement dommage d'avoir complètement gâché cette relation sur les 2 dernières saisons, en faisant d'Andy un personnage pitoyable et détestable au possible (un véritable looser). Et je pourrais continuer longtemps comme ça dans la galerie des personnages, tellement ils sont nombreux à m'avoir profondément marqué et touché.
Mais voilà que la saison 8 arrive et se pose alors la question suivante : comment continuer sans Steve Carell ? Avec son départ au milieu de la saison précédente, je craignais tout naturellement une baisse de régime, mais finalement pas du tout et même au contraire. Cette saison 8 (l'avant dernière) est moins bonne que les premières, mais meilleure que la précédente. La série se réinvente sans Steve Carrel, les second rôles prennent plus d'importance et les intrigues se renouvellent. Il n'y a vraiment que le personnage d'Andy qui pose problème, les scénaristes ayant complètement foiré son évolution. Ed Helm fait ce qu'il peut pour surnager dans tout ça, mais n'y arrive pas ... la faute une fois encore à l'écriture de son personnage qui en fait un looser pathétique.
Au final, qu'est-ce que je retiens de The Office (US) ? Moi je retiens 9 années de vie au bureau entre employés complètement barrés, tous dirigés par un boss encore plus barré. On rit beaucoup, mais ce qui rend cette sitcom vraiment spéciale pour moi, c'est l'émotion qu'elle suscite en nous. Tous les personnages sont tellement attachants, on aime rire et pleurer avec eux ... on aimerait juste que ça ne finisse jamais.

[Captain Obvious]

J'aime bien aussi maisnje préfère auand même l'original, la version U.S est moins réaliste.

[Cyan59]

Black summer S2 terminée. On retrouve les protagonistes laissés à la fin de la S1.
Le premier épisode est une belle entrée en matière dans cette nouvelle saison. On retrouve toujours ce chapitrage dans chaque épisode.

Ce que j'ai apprécié dans cette nouvelle saison, les personnages toujours haut en couleurs. C'est presque toujours filmé au plus près de l'action, y'a pas d'artifice inutile même si on ne voit pas toujours très bien. Les zombies sont plus que coriaces, mais les ennemis les plus dangereux restent les humains.
Un nouvel ennemi fait son apparition : le froid.

Ces 2 saisons m'ont donné envie de relaisser une chance à Z nation.

Hello,
j'ai adoré aussi ces 2 saisons, cette tension permanente, ce réalisme simple mais efficace, du tout bon !
hâte de voir la suite !

[maxicrash]

Hello,
j'ai adoré aussi ces 2 saisons, cette tension permanente, ce réalisme simple mais efficace, du tout bon !
hâte de voir la suite !

Idem, tu as aimé / suivi Z nation ?

[Cyan59]

j'avais regardé 1 épisode ou 2 à la sortie, mais pas accroché, dois je lui redonner sa chance ?

[Urbinou]

C’est assez léger je trouve, j’ai bien aimé, jusqu’à un certain point. Ma compagne un peu moins : )

[Gringos10]

Je voulais vous parler de l'une de mes sitcom favorite, The Office (US) ...



The Office (US) est définitivement l'une des meilleures sitcom que je connaisse. Avec le temps, au fur et à mesure qu'on avance dans les saisons, elle a réussie "chose pas facile" à se démarquer de son ainée UK made in Ricky Gervais. Aussi hilarante que son ainée, elle a su développer ses personnages, en faire évoluer certains et en introduire d'autres. L'humour british très prononcé des premières saisons, un humour très noir, bête et méchant ... peu à peu disparait au profit d'un humour plus standardisé américain. Les personnages sont toujours aussi bêtes, mais moins méchants, en découle des situations plus touchantes.
Et que dire de Steve Carell, il apporte énormément d'empathie pour un personnage qui de base ne l'est pas du tout. Michael Scott est un personnage profondément Idiot, égoïste, bête et méchant, mais qui aime profondément les gens avec qui il travaille (même s'il le démontre très mal). Non vraiment, la prestation de Steve Carell, c'est la classe incarnée. Ensuite il y a l'alchimie entre John Krasinski et Jenna Fischer qui est évidente, le couple Pam et Jim étant l'une des grandes forces de la série et le fil conducteur qui lui aura permis de durer 9 longues années. Et puis Rainn Wilson est hilarant dans son rôle de Dwigth Schrute, l'employé complètement sociopathe et imprévisible. Pour finir j'ai envie de mentionner Ed Helm que j'aime beaucoup dans le rôle d'Andy, un personnage qui a du cœur, tellement drôle et attachant et encore plus attachant lorsque débarque Ellie Kemper dans le rôle d'Erin la nouvelle réceptionniste. J'aime beaucoup la dynamique qui se créé entre ces 2 tourtereaux. Seulement dommage d'avoir complètement gâché cette relation sur les 2 dernières saisons, en faisant d'Andy un personnage pitoyable et détestable au possible (un véritable looser). Et je pourrais continuer longtemps comme ça dans la galerie des personnages, tellement ils sont nombreux à m'avoir profondément marqué et touché.
Mais voilà que la saison 8 arrive et se pose alors la question suivante : comment continuer sans Steve Carell ? Avec son départ au milieu de la saison précédente, je craignais tout naturellement une baisse de régime, mais finalement pas du tout et même au contraire. Cette saison 8 (l'avant dernière) est moins bonne que les premières, mais meilleure que la précédente. La série se réinvente sans Steve Carrel, les second rôles prennent plus d'importance et les intrigues se renouvellent. Il n'y a vraiment que le personnage d'Andy qui pose problème, les scénaristes ayant complètement foiré son évolution. Ed Helm fait ce qu'il peut pour surnager dans tout ça, mais n'y arrive pas ... la faute une fois encore à l'écriture de son personnage qui en fait un looser pathétique.
Au final, qu'est-ce que je retiens de The Office (US) ? Moi je retiens 9 années de vie au bureau entre employés complètement barrés, tous dirigés par un boss encore plus barré. On rit beaucoup, mais ce qui rend cette sitcom vraiment spéciale pour moi, c'est l'émotion qu'elle suscite en nous. Tous les personnages sont tellement attachants, on aime rire et pleurer avec eux ... on aimerait juste que ça ne finisse jamais.

Jamais réussi à me plonger dedans , ça ne m'avait pas déplu, mais je n'ai pas persévéré plus loin qu'un ou deux épisodes, pourtant je suis fan de Carell. Il faut que je retente.

[Tryphon]

The Expanse saison 5, ça n'est pas mal pour l'instant. Ce que j'aime dans cette série (entre autres), c'est que les saisons ne se ressemblent pas du tout.

[Sybillin]

J'ai fini la saison 4 de Castlevania sur Netflix. Bah franchement c'était très moyen... la DA reste pas mal mais le reste est vraiment moyen.

J'avais visionné la première saison, il y a déjà plusieurs années (de façon à peu près incontournable étant donné la place éminente qu'occupent les premiers opus de ce jeu dans mon panthéon personnel), et en était sorti franchement écoeuré, alors même qu'il n'était sans doute pas possible de faire davantage partie du coeur de cible...
L'animation "simili-japonaise" au rendu misérable, ne parvenant même pas à faire exister comme tel un personnage marchant en vue latérale et en plan large (la base pourtant élémentaire de toute formation en dessin animé), les tristes méandres du récit pour tenter de meubler quatre malheureux épisodes, l'économie criante de moyens et de talent sur le moindre élément en mouvement à l'écran... Vraiment, le tout faisait honte à voir ! Et ce, d'autant plus que par ailleurs, l'existence même d'un tel projet animé s'accompagnait de discours triomphalistes sur "l'art d'égaler les productions japonaises"... Franchement, c'était à vomir, sur tous les plans...

[BeyondOasis]

[mention]Sybillin[/mention] visiblement tu n'as pas aimé.

La meilleure saison selon moi, sans voler très haut non plus, est la 2nde. Ca peut peut-être valoir le coup que tu y jettes un oeil

[lessthantod]

Je voulais vous parler de l'une de mes sitcom favorite, The Office (US) ...

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The Office (US) est définitivement l'une des meilleures sitcom que je connaisse. Avec le temps, au fur et à mesure qu'on avance dans les saisons, elle a réussie "chose pas facile" à se démarquer de son ainée UK made in Ricky Gervais. Aussi hilarante que son ainée, elle a su développer ses personnages, en faire évoluer certains et en introduire d'autres. L'humour british très prononcé des premières saisons, un humour très noir, bête et méchant ... peu à peu disparait au profit d'un humour plus standardisé américain. Les personnages sont toujours aussi bêtes, mais moins méchants, en découle des situations plus touchantes.
Et que dire de Steve Carell, il apporte énormément d'empathie pour un personnage qui de base ne l'est pas du tout. Michael Scott est un personnage profondément Idiot, égoïste, bête et méchant, mais qui aime profondément les gens avec qui il travaille (même s'il le démontre très mal). Non vraiment, la prestation de Steve Carell, c'est la classe incarnée. Ensuite il y a l'alchimie entre John Krasinski et Jenna Fischer qui est évidente, le couple Pam et Jim étant l'une des grandes forces de la série et le fil conducteur qui lui aura permis de durer 9 longues années. Et puis Rainn Wilson est hilarant dans son rôle de Dwigth Schrute, l'employé complètement sociopathe et imprévisible. Pour finir j'ai envie de mentionner Ed Helm que j'aime beaucoup dans le rôle d'Andy, un personnage qui a du cœur, tellement drôle et attachant et encore plus attachant lorsque débarque Ellie Kemper dans le rôle d'Erin la nouvelle réceptionniste. J'aime beaucoup la dynamique qui se créé entre ces 2 tourtereaux. Seulement dommage d'avoir complètement gâché cette relation sur les 2 dernières saisons, en faisant d'Andy un personnage pitoyable et détestable au possible (un véritable looser). Et je pourrais continuer longtemps comme ça dans la galerie des personnages, tellement ils sont nombreux à m'avoir profondément marqué et touché.
Mais voilà que la saison 8 arrive et se pose alors la question suivante : comment continuer sans Steve Carell ? Avec son départ au milieu de la saison précédente, je craignais tout naturellement une baisse de régime, mais finalement pas du tout et même au contraire. Cette saison 8 (l'avant dernière) est moins bonne que les premières, mais meilleure que la précédente. La série se réinvente sans Steve Carrel, les second rôles prennent plus d'importance et les intrigues se renouvellent. Il n'y a vraiment que le personnage d'Andy qui pose problème, les scénaristes ayant complètement foiré son évolution. Ed Helm fait ce qu'il peut pour surnager dans tout ça, mais n'y arrive pas ... la faute une fois encore à l'écriture de son personnage qui en fait un looser pathétique.
Au final, qu'est-ce que je retiens de The Office (US) ? Moi je retiens 9 années de vie au bureau entre employés complètement barrés, tous dirigés par un boss encore plus barré. On rit beaucoup, mais ce qui rend cette sitcom vraiment spéciale pour moi, c'est l'émotion qu'elle suscite en nous. Tous les personnages sont tellement attachants, on aime rire et pleurer avec eux ... on aimerait juste que ça ne finisse jamais.

Jamais réussi à me plonger dedans , ça ne m'avait pas déplu, mais je n'ai pas persévéré plus loin qu'un ou deux épisodes, pourtant je suis fan de Carell. Il faut que je retente.

Il faut passer le cap de la saison 1 qui est un copier-coller de la version originale UK de Ricky Gervais. Ce n'est qu'à partir de la saison 2 qu'elle trouve peu à peu sa propre identité et que Steve Carell s'empare de son personnage et en face quelque chose de très différent et plus proche de lui.
Si tu es fan de Steve Carell, tu ne peux pas passer à côté de la série.

[Sybillin]

@Sybillin visiblement tu n'as pas aimé.

La meilleure saison selon moi, sans voler très haut non plus, est la 2nde. Ca peut peut-être valoir le coup que tu y jettes un oeil

Merci du conseil, mais l'abstention par défaut va sans doute l'emporter.
Comme dirait l'autre (en une tournure toujours aussi marmoréenne): "J'ai déjà donné!"

[Cyan59]

J'ai fini la saison 4 de Castlevania sur Netflix. Bah franchement c'était très moyen... la DA reste pas mal mais le reste est vraiment moyen.

J'avais visionné la première saison, il y a déjà plusieurs années (de façon à peu près incontournable étant donné la place éminente qu'occupent les premiers opus de ce jeu dans mon panthéon personnel), et en était sorti franchement écoeuré, alors même qu'il n'était sans doute pas possible de faire davantage partie du coeur de cible...
L'animation "simili-japonaise" au rendu misérable, ne parvenant même pas à faire exister comme tel un personnage marchant en vue latérale et en plan large (la base pourtant élémentaire de toute formation en dessin animé), les tristes méandres du récit pour tenter de meubler quatre malheureux épisodes, l'économie criante de moyens et de talent sur le moindre élément en mouvement à l'écran... Vraiment, le tout faisait honte à voir ! Et ce, d'autant plus que par ailleurs, l'existence même d'un tel projet animé s'accompagnait de discours triomphalistes sur "l'art d'égaler les productions japonaises"... Franchement, c'était à vomir, sur tous les plans...

j'en suis à la saison 2, ça se laisse regarder tranquillement je trouve ^^
puis rien que pour

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la reprise du theme bloody tears

, agréable surprise

[dav1974]

Pennyworth saison 2....wesh ! de la balle, c'est vraiment super extra trop bien.
J'ai bouffé la dizaine d'episodes en deux nuits...et comme pour la saison 1, c'est top moumoute.
POur ceux qui ont pas suivit : Amazon nous propose un retour dans le temps, dans une Angleterre "parallèle" (un petit peu de Man in the high castle), pour y suivre les aventures de Alfred le futur majordome des Waynes.

Alors ça me gonfle, parce qu'il y a tonne de branlorisateurs youtubeur qui font des émission "théories et analyses" sur des séries de merde (Wanda et j'en passe), mais qui zappent complètement ce genre de séries respectueuses des spectateur et de l'univers qu'elles exploitent.

Allez, refourguez la vaisselle et le ménage a maman tout en lui organisant une réunion tupperware avec ses copines molles des fesses a 300 Km de la, foutez les gosses sont chez mamie pour qu'ils l'arrosent pendant la canicule, et prenez le temps de mater Pennyworth avec une roteuse a la main.

[BeyondOasis]

J'ai regardé The Cry, sur M6 je crois, une mini série anglo-australienne de 2018, en 4 épisodes



L'histoire d'un couple, de la disparition de leur enfant... mais je n'en dirais pas plus car toute la série est montée de telle sorte qu'on nous dévoile des éléments de l'intrigue petit à petit, via des flashbacks principalement.
L'histoire en elle même ne révolutionne pas le genre, mais la construction des épisodes est vraiment bien menée, on ne comprend pas tout tout de suite, et on est surpris jusqu'à la fin.
Je recommande chaudement (rapport à l'Australie tout ça)

[dav1974]

C'est pas tiré d'un livre cette serie ? le pitch me parle.

[BeyondOasis]

C'est pas tiré d'un livre cette serie ? le pitch me parle.

Apparemment oui

The Cry est une série télévisée dramatique britannique et australienne en quatre parties adaptée du roman éponyme d'Helen FitzGerald

[dav1974]

J'ai du bouffer cette histoire sur la Kindlle pendant le conf. Jcommence a vieillir, je vois des series (partout !) ou des films en me demandant tjrs pourquoi ça me parle...

[lessthantod]

Mes 2 petites séries du moment que je visionne à la cool, Silicon Valley et The Mindy Project ...



Alors à première vue, si on s'arrête au synopsis de la série, on peut craindre le bête copier-coller de The Big Bang Theory ... mais en réalité ça n'a absolument rien a voir. Dés le premier épisode, le ton est donné et ne laisse donc aucune doute sur les intentions du Show Runner. Même si les personnages sont atypiques et geek dans l'âme, un peu comme dans TBBT, ici ils le jouent avec le plus grand sérieux du monde. C'est donc le décalage entre le ton sérieux de la série et ses personnages décalés, qui suscite le rire. Et même sur le fond les 2 séries sont très différentes, finalement. Alors certes, dans les 2 séries ça parle de nerds et de geeks, mais dans Silicon Valley on visitera plutôt l'environnement bureaux de "l'entrepreneurship" plutôt que l'appartement "à la Friends". On va donc suivre de jeunes développeurs, des geek high-tech asocial, qui rêvent de succès en démarrant une startup. On s'éloigne vraiment du ton et des thèmes abordés dans TBBT avec son humour très (trop ?) référencé aux comics, le cinéma, les super héros, la science fiction, les sciences ...
Gilfoyle et Dinesh sont de très loin mes 2 personnages préférés, j'adore leur dynamique, ça fonctionne très bien entre ces 2 là, alors que Richard m'apparait de plus en plus irritant. Les tics répétés de l'acteur principal Thomas Middleditch, m'agacent furieusement. Quant à Monica, l'attrait féminin de la série, elle est ravissante.
Par contre, plus les saisons avancent, plus le personnage de Peter Gregory me manque. La mort de l'acteur au milieu de la saison 1 a laissé un vide qui ne sera jamais comblé par la suite (RIP Christopher Evan Welch :/ ).



Mindy Kaling s'est d'abord fait connaître auprès du grand public dans The Office (US), grâce au rôle de la très superficielle Kelly Kapoor. Mais ici elle vole de ses propres ailes, The Mindy Project étant réellement son projet à elle (d'où le titre de la série). Créatrice et productrice de la série, elle se donne le rôle principal de Mindy, un rôle très différent de Kelly Kapoor et que j'imagine plus proche de ce qu'elle est vraiment dans la réalité (elle dans la vraie vie, quoi).
Mindy est donc attachante, pétillante ... une véritable boule d'énergie qui ravage tout sur son passage. C'est d'ailleurs la force, mais aussi la limite d'un concept qui est auto centrée sur elle-même, ne laissant que peu de place pour ses collègues de travail. Certains arrivent néanmoins à exister, certains plus que d'autres. Je pense en premier lieu au très talentueux Chris Messina, à la fois drôle et sensible dans le rôle de Danny le "love interest". On retrouve aussi Ike Barinholtz dans le rôle de l'infirmier Morgan, un infirmier complètement barré, un rôle lui permettant de laisser libre cours à toutes ses facéties. Et pour finir, mention spéciale à Adam Pally, qui débarque dans la série après l'annulation de Happy Endings (aka Max l'ami gay). Ici il joue le rôle du Dr Peter Prentice le nouveau collègue de Mindy et son apport humoristique à la série est évidente.
The Mindy Project c'est un humour doux-amer jubilatoire (marque de fabrique de Mindy Kaling) et avec de très nombreux caméos, tous très réussis et venus de toute part (acteurs invités de The Office (US), 30 Rock, SNL, mais aussi Seth Rogen et James Franco). L'équilibre est parfait entre le jeu sobre des acteurs, les dialogues excellemment bien écrits et les situations bien barrées. C'est vraiment un humour et un ton qui "contrairement ce qu'on aurait pu craindre" est à l'opposé d'un Sex & The City ou d'un Ally McBeal par exemple.

[Urbinou]

+1 pour Silicon Valley ! Le Pdg de Hooli (me souviens plus de son nom) est génial aussi je trouve. Par contre, y a pas à comparer avec tbbt, excellents chacun dans leur style, mais rien à voir.

[Urbinou]

Sinon j’ai remis 5 balles dans AppleTV+ pour voir la s2 de For all Mankind. Elle n’est évidemment pas exempte de défauts, mais j’aime beaucoup, on s’attache aux personnages, assez réaliste astronomiquement parlant.